L’Assemblée nationale a donné le feu vert aux préfets leur permettant de montrer le carton rouge à de potentiels casseurs, lorsque ces derniers émettent le désir de participer à des manifestations. Cela se pratique déjà dans le milieu des hooligans, des supporteurs d’équipe de foot. Pas d’entrées aux matchs pour tous ceux qui ont été remarqués pas leurs actes violents. Cela se pratique couramment et ne pose pas de grands problèmes, car les clubs, s’ils sont propriétaire ou locataire du stade, ont le droit de recevoir ou de refuser qui bon leur semble. Feriez-vous entrer n’importe qui dans votre appartement ? Pour bien comprendre la portée un autre exemple. Bien des personnes voulant aller en boîte, ne sont pas en mesure de le faire « car leur gueule » ne correspond pas aux vues du tenancier. Souvent il s’agit de blacks, à qui on raconte des sornettes. Du racisme à portée de main. Le législateur est souvent impuissant face à une telle discrimination, à cause des raisons évoquées. Cela a mené les nazis à interdire les bancs dans les jardins publics aux Juifs, aux Gitans et aux homos. Un moyen de répression, comme au temps du 3ème Reich, qui lorsqu’il est repris pas les collectivités locales, rend tout système félon du point de vue éthique. La nouvelle disposition est contestée, aussi dans les rangs de la majorité, des interdictions administratives de manifester qui peuvent être insidieuses dans d’autres domaines, comme celui de l’exclusion, quelle en soient les raisons. Je pense que dans le droit pénal, il y a assez de moyens de lutter contre les casseurs, d’émettre des jugements plus sévères, sans avoir besoin d’en rajouter. Puis du point-de-vue pratique, ce serait conférer à la police encore bien plus de moyens de répression. Ce serait une manière de promouvoir l’arbitraire. Weiterlesen

Das britische Unterhaus hatte sich gestern Abend in einer Serie von Abstimmungen mit jeweils knapper Mehrheit nur auf zwei Positionen einigen können: Es soll keinen ungeregelten Austritt geben – was aber nicht mehr als eine Willensbekundung war. Premierministerin May soll in Brüssel abermals über die von der EU verlangte Garantie einer offenen Grenze in Irland im Brexit-Deal verhandeln – mit dem Ziel, diesen sogenannten „Backstop“ zu streichen und zu ersetzen. Dafür hatte sich May gestern eingesetzt, so dass sie das Ergebnis als Erfolg verbuchen konnte.

Wenn man für das englische Wort „Backstop“ eine deutsche Übersetzung sucht, dann findet man gleich mehrere Begriffe. Es kann Absicherung, Schutz und Notanker bedeuten, aber auch Auffangmechanismus und Sicherheitsnetz.

Beim Brexit ist mit „Backstop“ ein Sicherheitsnetz gemeint. Und zwar für die irische Insel. Denn nach dem Brexit am 29. März 2019 wird Irland weiterhin in der EU bleiben, Nordirland aber nicht, es wird dann nur noch zu Großbritannien gehören.

Der „Backstop“ soll also ausschließen, dass es an der Grenze zwischen dem britischen Nordirland und dem EU-Mitglied Irland Schlagbäume und Kontrollen gibt. Die EU besteht darauf, weil eine Teilung der irischen Insel ein Wiederaufflammen der Gewalt in der ehemaligen Bürgerkriegsregion provozieren könnte. Der „Backstop“ sieht vor, dass Großbritannien so lange in der Zollunion mit der EU bleibt, bis eine andere Lösung gefunden ist, außerdem sollen in Nordirland weiter einige Binnenmarktregeln gelten. Kritiker fürchten, diese Klausel könne Großbritannien dauerhaft an die EU binden. Solange Großbritannien in der Zollunion ist, muss es sich auch an EU-Regeln halten (wienerzeitung.at).

Die Sorge vieler Briten ist, dass sie als Vereinigtes Königreich sehr lange in der Zollunion der Europäischen Union festhängen. Damit dürfte Großbritannien nämlich keine neuen Handelsabkommen mit anderen Ländern der Welt abschließen und müsste sich auch lange nach dem Brexit weiterhin an EU-Regeln halten.

Das wollen die Brexit-Befürworter auf keinen Fall und gehen deshalb gegen den „Backstop“ auf die Barrikaden. Für die EU ist der „Backstop“ eine feine Sache. Denn der freie Warenverkehr ist damit garantiert und das EU-Mitglied Irland ist geschützt.

EU–Ratspräsident Donald Tusk ließ in dieser Sache verlauten: „Der bestehende Austrittsvertrag ist der bestmögliche Weg zu einem geordneten Brexit“ (zeit.de). Konsequenz: Man wird nicht nachverhandeln!

Die Antwort der EU kommt nicht überraschend. Die 27 Mitgliedstaaten der Europäischen Union haben nach dem Brexit-Referendum vom 23. Juni 2016 sehr schnell die strategische Entscheidung getroffen, die Integrität des europäischen Binnenmarktes um jeden Preis zu erhalten. Sie taten das aus gutem Grund. Die EU hat auf der Weltbühne nur als Binnenmarkt Gewicht. Selbst der nicht gerade europafreundliche US-Präsident Donald Trump verhandelte jüngst direkt mit EU-Kommissionspräsident Jean-Claude Juncker über Handelsfragen, nicht mit den einzelnen europäischen Staatschefs.

Donald Trump tut das nicht, weil es ihm gefällt, er tut es, weil es nicht anders geht. Europa spricht als Binnenmarkt mit einer Stimme. Das sollte sich nach fester Überzeugung aller 27 Staatschefs der EU auch durch den Brexit nicht ändern.

Experten zufolge könnte aber eine harte und physische Landgrenze zwischen Irland und Nordirland durch vier Arten von Checks verhindert werden (tt.com): So sollen Warenlieferungen bereits an den Häfen und Flughäfen gescannt werden – in vielen Fällen nur durch den Barcode. Solche Transitverfahren gebe es bereits zwischen den Kanarischen Inseln und Spanien.

Die zweite Art von Checks betrifft schriftliche Zolldeklarationen, die durch den Brexit umfangreicher werden dürften. Die Prüfung regulatorischer Vorschriften könne durch Marktüberwachung und Fabriksinspektionen gewährleistet werden. Einzig die vierte Art von Kontrollen erfordert eine klassische Überprüfung, nämlich Tiertransporte und phyto-sanitäre Kontrollen, die sicherstellen sollen, dass Lebensmittel und Agrarprodukte den EU-Sicherheitsstandards entsprechen.

Non, je m’oppose à toutes formes de renégociations entre les Grande-Bretagne et l’UE concernant le Brexit, car je considère que ce qui se passe actuellement tient du chantage. Toutes les concessions que pourraient faire Bruxelles, seraient constamment remises en question. Une situation inacceptable pour l’UE. Mais je sais aussi que s’il n’y avait pas d’accord, nous en subirons aussi les conséquences. La pomme de discorde autour de la frontière entre l’Irlande du Nord et celle de Dublin nous hante. Il faut éviter à tous prix, qu’il y ait à nouveau une guerre fratricide entre protestants et catholiques. Mais il y aura là aussi des limites qui ne pourront pas être dépassées, comme de tout accepter ce que Londres veut nous faire avaler. Si on veut éviter à tout prix que la frontière soit fermée, il faut la laisser ouverte. C’est si simple que cela, même si ma réponse a un relent d’ironie. Il est clair que cela sera une brèche en ce qui concerne la question de souveraineté. Qui pourra empêcher en UE de passer pas cette frontière verte, pour casser le blocus volontaire que le Brexit réclame ? D’après les nouvelles de ce matin, il n’y aura aucun pays en Europe qui serait prêt à rediscuter ce que stipule l’accord négocié avec Madame May. Dans ce cas-là il ne s’agit pas seulement de perdre la face, bien plus de se renier soi-même. Il en faut de l’arrogance de la part des députés de la Chambre basse, de croire qu’ils pourront mettre à genoux l’UE toute entière. C’est vraiment une attitude post-coloniale, qui aurait pu se passer comme au temps de l’Empire. Mais qu’est-ce l’Angleterre aujourd’hui ? L’ombre d’elle-même, un pays qui a vendu son âme aux spéculateurs de la City. Qui s’est fait graissé la patte par des financiers plus ou moins véreux. Le gouvernement a bradé l’industrie, à cracher sur les travailleurs au profit des courtiers, qui n’en ont rien à faire de tous ceux qui vivent de leur travail. Il ne s’agit que de profits, d’argent facile. Weiterlesen

Je dois tout d’abord faire mon mea culpa. Je ne peux pas faire autrement que de dire, que j’aime faire de la vitesse, lorsque je suis sur les tronçons, où la vitesse n’est pas limitée sur les autoroutes allemandes. Souvent je ne m’aperçois pas à quelle vitesse je conduis. Parfois du 180 à 200 kilomètres à l’heure. Pour cela je reçois un savon par mes amis, qui trouvent mon attitude insensée, irresponsable du point de vue sécuritaire et écologique. Je fais évidemment amende-honorable, m’efforce d’avoir mauvaise conscience, mais n’y arrive pas tellement. Je sais ce qu’une limitation de vitesse peut représenter. Chaque fois que je me rends dans notre domicile en France, je passe par la Suisse, où sur les autoroutes, où la vitesse maximale est limitée à 120 km/h, j’ai l’impression d’être un escargot et commence vite à m’ennuyer, connaissant comme ma poche, le parcours que je prends dix à douze fois pas ans. Une vitesse désagréable, qui donne l’impression, qu’elle n’est pas organique. Par contre les 130 sont pour moi plus acceptables. Weiterlesen

Depuis quelques temps, comme Emmanuel Macron l’a fait en Égypte, je cherche les raisons du malaise qui nous rendent depuis quelques années la vie si difficile. Je suis son raisonnement, que cela n’est de loin pas seulement un phénomène social, qu’il suffit de régler à coups de milliards. Bien plus la question fondamentale de la vie en général. Il est évident qu’il ne puisse pas y avoir de réponses toutes faites. Elles n’existent pas ! Comme vous l’avez pu lire dans mes textes, je reprends souvent l’exemple du mythe de Sisyphe, cet homme qui pousse une pierre jusqu’au sommet de la montagne et qui au dernier moment, peu importe la cause, la lâche. Elle se précipite alors dans l’abîme entraînant tout sur son passage.Je pourrais aussi parler de la fascination du Crépuscule des Dieux. Celui de la destruction intégrale, une sorte de suicide collectif et ceci avec le but de tout reconstruire, de faire tabula rasa. Un Chef d’État ne peut pas le dire clairement comme je le fais ici : Je crois que nous nous trouvons dans une phase d’autodestruction. La politique est dans l’incapacité de mettre un frein à un tel phénomène, elle ne peut qu’attendre le pire, pour ainsi dire comme spectatrice. Même si les apprentis-sorciers de l’extrême-droite s’immolaient, rien n’y changerait. Pourquoi ? Je pense qu’il est dans la nature humaine de s’autodétruire afin de se réinventer ensuite. N’oublions pas que nous vivons en Europe occidentale depuis 73 ans en paix. Une phase aussi longue n’a jamais eu lieu sur le continent. Un miracle en soi. Je ne vais pas énumérer toutes les raisons. L’une d’entre-elles est la menace nucléaire qui ne fait pas la différence entre les belligérants. L’Idée d’un anéantissement intégral de l’humanité a été un vecteur stabilisateur pendant la guerre-froide. Personne ne voulait prendre en compte le principe de la terre brûlée comme l’avait fait Adolf Hitler. Je pense que malheureusement ce genre de retenue s’est évaporé avec les ans. Weiterlesen

Es gibt tatsächlich Leute, die behandeln andere Menschen wie Luft und sind davon überzeugt, die seien durchsichtig. Sie schauen leer ins Leere, tun so als ob da niemand sei und das in einer Zeit, in der gegenseitiger Respekt und akzeptables Sozialverhalten mittlerweile bei jedem angekommen sein sollte. Wie schaffen diese Menschen eigentlich ihren täglichen Job? Sitzen sie vielleicht mit der gleichen muffigen Fresse hinter ihrem Telefon, Computer oder Aktenberg und sind sich nicht ein klein wenig darüber bewusst, dass sie einem unsympathischen Eiszapfen gleichen? Sollte das cool sein? Oder soll das dem Gegenüber unmissverständlich klarmachen, er/ sie sei Luft und völlig überflüssig? Ich bin noch nicht ganz dahinter gekommen, ob solche Leute sich für etwas Besseres halten, arrogant und hochnäsig sind oder im Grunde voller Komplexe und einfach mit allem unzufrieden – es soll ja viele Gründe geben, warum man so ein Kotzbrocken wird. Trifft man Ignoranten auf dem Gang, erwarten sie, dass sie zuerst gegrüßt werden und erst dann! sehen sie sich veranlasst, widerwillig ein kurzes, schweigendes Kopfnicken in deine Richtung zu werfen, aber mehr ist nicht drin. Sie gehen die Treppe hoch, sehen dich kommen und knallen dir mit Sicherheit die Tür vor der Nase zu. Oder sie drücken ihre Kippe fast vor deinen Füssen aus und schauen durch dich hindurch, sehen nur ihr eigenes Spiegelbild in der Scheibe. Komische Leute gibt es mit einem widerwärtigen Verhalten und ich bin sicher, jeder kennt solch einen ungehobelten Klotz. Gehen diese Ignoranten morgens zum Bäcker und bestellen Brot und Brötchen, ohne „Hallo“ oder „Guten Tag“ zu sagen? Arroganz ist keine gute Eigenschaft, Ignoranz auch nicht und herablassendes Verhalten ein echtes Armutszeugnis. Wer nun diese Menschen s o erzogen hat, der sollte strafrechtlich verfolgt werden, denn in der Erziehung ist zweifellos einiges schief gelaufen, sonst gäbe es diese unhöflichen – asozialen – Charakter-Ruinen nicht. Die Unzufriedenheit, die sich in ihrem Leben angestaut hat, darf aber niemals ein Freischein sein, seine Mitmenschen derart beschissen zu behandeln. Sicher möchte man manchmal direkt vor ihre abweisenden Gesichter göbeln, sie schütteln und wünscht  sich heimlich, dass das Pech wie die Pest an ihnen haften bleibt und wir wissen genau, dass man für Erdrosseln mit anschließendem Erstickungstod in den Bau wandern muss. Aber das alles ist der Schädling der Gesellschaft nun wirklich n i c h t wert.

 

© Petra M. Jansen

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Ce matin je me demande si cela apporte quelque chose de se mêler de l’extérieur dans un conflit comme celui du Venezuela ? C’est une ingérence dans les affaires intérieures d’un pays. On ne peut pas le nier ! Mais cette réponse ne me sied pas non plus. Je vais essayer d’aborder de plus près cette question qui est fondamentale dans les rapports humains. Il ne se passe pour ainsi dire pas un mois, où dans la rubrique des faits divers d’un journal ou sur un blog, le public apprend qu’une fois de plus une personne a été molestée dans la rue ou dans un métro. Pour la plupart du temps, ceux qui étaient les spectateurs sont passés outres ou sont restés rivés sur leurs sièges. Ils ne sont pas intervenus comme la loi les y forcerait. Une non-assistance à personne en danger est punissable, bien s’en faut. Dans un tel cas, il y a clarté. Mais en ce qui concerne l’attitude à prendre en politique internationale, les avis sont partagés. Et le Venezuela ? Il y aurait, si je prends le droit pénal, assez d’éléments pour une intervention extérieure. Le peuple vit dans la disette, la violence est au rendez-vous. Le président Maduro fait tout pour brimer ses adversaires, un recours incessant à la force. Puis il y a la demande indirecte à l’aide de Juan Guaido, le leader de l’opposition qui s’est auto-nommé chef de l’État. Donald Trump n’a pas manqué le coche et l’a reconnu. Les Russes, les Chinois, les Turques quant à eux, continuent de soutenir l’autocrate dit socialiste de Caracas. Et l’UE ? Elle serait du côté de Guaido, mais à condition qu’il organise au plus vite de nouvelles élections. Il est évident que Nicolas Maduro ne saute pas de joie. Après des élections manipulées, il se sent nommé en toute légitimité, même si un nombre colossal d’électeurs ne se sont pas rendus aux urnes par protestation. Les candidats potentiels de l’opposition étaient soit en taule ou ne se sont pas présentés, parce qu’ils étaient soumis à des menaces. Weiterlesen

Emmanuel Macron a participé d’une manière impromptue à un débat dans la Drôme. Il n’était pas abattu, tout le contraire. Plus combatif que jamais, il déclara à Bourg-de-Péage devant près de 200 citoyens, dont des jaunes, que la révolte des Gilets Jaunes était pour lui une ouverture, un vecteur de réflexion. „Je suis le fils de cette crise, la colère que vous exprimez, une partie d’elle m’a porté.“ Sans allez dire qu’il est des leurs, il n’en est pas loin. n’a-t-il pas été élu à cause du ras-le-bol du système politique des décennies antérieures ? Un langage contre tous ceux qui se sont faits une place au soleil en prétendant qu’ils étaient proches du peuple, comme les syndicats et certains politiciens prétendant le représenter. „Je ne suis pas un politicien. J’y suis allé contre le système politique en place. On m’a pris pour un fada.“ En prétendant cela il se met du côté des Gilets Jaunes, prétendant même d’être en quelque sorte issu d’un élan protestataire identique. Une démarche habile, que le Mouvement n’avait pas prévu. De la récupération en quelque sorte. Le Président sera confronté aux faits, il sera fait un bilan, ce qui ne sera pas aisé pour lui. „Je ne suis pas un héritier, je suis né à Amiens, il n’y a personne dans ma famille qui était banquier, politicien ou énarque. Ce que j’ai, je le dois à une famille qui m’a appris le sens de l’effort.“ C’est ainsi qu’il réfute les arguments le traitant de président des riches. Seul l’effort lui a permis de réussir, c’est ce qu’il a prétendu. „Est-ce qu’il y a deux ans, on vivait mieux quand il y avait l’ISF, est-ce qu’il y avait moins de SDF ? Non. Je n’ai pas supprimé l’ISF pour faire des cadeaux à certains, c’est pour qu’ils réinvestissent dans le pays.“ Emmanuel Macron a déclaré qu’il ne revenait pas sur l’impôt de solidarité sur la fortune. Il sait que la France est un pays, où les citoyens plus ou moins fortunés, collectent leurs bien comme des écureuils et les considèrent comme une chassegardée. Le président avait voulu rendre son pays plus attractif pour les investisseurs, générer ainsi de la richesse. Weiterlesen