Le curé n’aura pas l’honneur de recevoir Richard Ferrand dans le confessionnal. Tout se dit publiquement. Les hommes et femmes politiques sont constamment soumis à un contrôle venant de la presse. Leur passé est épluché au mieux. La moindre escapade est citée, qu’elle soit juridiquement répréhensible ou non. Dans le cas du ministre, il s’agit d’une question de loyer entre l’organisation dont il était à la tête avant de devenir député, la Mutuelle de Bretagne, la propriétaire des locaux ayant été sa compagne. Lorsqu’on parle de la moralisation de la vie politique, le Président a raison. Mais il devrait aussi savoir que les personnes concernées sont de plus en plus vulnérables. Il est possible de semer des informations ayant pour but de causer du dommage aux uns ou aux autres. Le fake news est devenu monnaie-courant, ce qui rend les choses encore plus délicates. Avant même qu’une enquête ait pu être réalisée, ceux qu’on veut attaquer sont mis au pilori. Leur défense est fragilisée dès le début, ce qui pourrait être le cas du ministre. Dans son cas les faits sont clairs. Il y a eu amalgame entre la vie professionnelle et celle d’un politicien. Il est difficile dans bien des cas de séparer l’une de l’autre. La nouvelle loi sera très stricte à ce sujet. Il était temps de donner un code limpide aux représentants de l’État et du peuple. Il ne sera plus possible de danser dans deux bals à la fois. Mais si on applique ce principe aux politiciens, il faudrait l’étendre sur toute la population. Ce ne sera probablement pas possible, car cela créerait de la délation, qui à mes yeux est aussi grave que les faits qu’on puisse reprocher aux uns ou aux autres. Avec des médias à la recherche de nouvelles les plus corsées possible, le danger persiste que la société dans laquelle nous vivons, mette de plus en plus sous pression tous ceux qui voudraient jouer un certain rôle publique. Weiterlesen

Der Einschlag des Blitzes in den Baum ist,

Bersten, Krachen. Holz zerfetzt, fällt zu Boden.

Zerrissene Wolken fügen sich zusammen.

Rauch des Gefechts verzieht sich im Regen.

Die Seele bricht unter zu viel Gewicht.

Das Leben setzt ihr Stempel,

Berührungen hinterlassen Fingerabdrücke.

Zu nah, zu schutzlos, zu direkt.

Lange her, Jimi, ewig bist Du fort.

Gitarren gehen heute keine mehr zu Bruch.

Der Purple Haze lichtet sich,

Seelen liegen glasklar, nackt vor uns.

Krüge bersten nicht am Brunnen,

Seelen nicht im Gespräch. Die Stille

nach dem Blitz, sie spannt dem Bogen.

Donnernd bebt die Erde, die Sehne reißt.

Der Donner im Sturm befreit,

Lastende Stille kann töten.

Eine Aurora des Lichtes bringt Hoffnung,

Der Bluebird küsst den Himmel.

Vladimir Poutine a été reçu pas Emmanuel Macron dans « la masure » du Roi-soleil. Un lieu symbolique pour tous autocrates. Je suppose que le maître du Kremlin s’est senti honoré par l’attention que le Président lui a porté. Mais trêve de plaisanterie, cette première rencontre a été un pas de plus en direction de l’avenir de l’Europe, même si les tentions n’ont pas eu être écartées. Ce qui a caractérisé cette rencontre, c’est la sincérité des propos d’Emmanuel Macron. Tout en étant amical dans la forme, il a exposé tout ce qui le gênait, ce qui l’avait blessé comme les injures portées à son sujet par Russia today et Sputnik, deux compagnies proches du pouvoir. Aussi l’ingérence informatique dans la bonne marche de la campagne. Il lui a aussi exprimé son étonnement qu’il ait soutenu Marine Le Pen, la figure de proue de l’extrême-droite française. Vladimir Poutine a encaissé tout cela avec une certaine gêne. Il a défendu néanmoins le FN, en disant qu’il œuvrait pour un rapprochement entre les deux pays, qu’il avait rejeté les sanctions économiques provoquées par la crise ukrainienne. Les deux hommes étaient parfaitement conscients qu’il fallait parer à de nouvelles tensions pouvaient éclater à l’avenir. C’est la raison pour laquelle « un forum franco-russe » a été mis sur pied. Son rôle est d’anticiper, d’essayer d’éviter les écueils et d’apaiser toutes situations pouvant dégénérer. Cet organe pourrait être un instrument bienfaiteur en ce qui concerne les relations entre l’UE et la Russie. Depuis le G7 à Taormina, l’ambiance au sein de l’Alliance Atlantique est plus que perturbée. Weiterlesen

US-Präsident Donald Trump kommt seinen Zielen näher, als die Rückschläge in der Symbolpolitik vermuten lassen. Kritiker messen Trumps Einwanderungspolitik gerne daran, ob er die Grenzmauer zu Mexiko baut oder wie Gerichte den Einreisebann für Menschen aus muslimischen Ländern bewerten.

Trump hatte eine härtere Grenzpolitik versprochen, die Behörden haben begonnen, sie umzusetzen. In den ersten 100 Tagen nach seinem Amtsantritt verhaftete die für Abschiebungen zuständige US-Polizeieinheit „ICE“ („Immigration and Customs Enforcement“) 41.300 Menschen, die sich illegal im Land befanden. Das sind 40 Prozent mehr als im Vergleichszeitraum des vergangenen Jahres. Jeder vierte Verhaftete hatte allerdings gar keinen kriminellen Hintergrund – dieser Anteil hat sich verdoppelt.

Dass die Polizeieinheit nicht nur die „Bad Hombres“ (Zitat Trump) verhaftet, hängt mit ausgeweiteten ICE-Befugnissen zusammen. Wie einst unter George W. Bush darf die Behörde wieder Arbeitsplatz-Razzien in Firmen oder auf Farmen durchführen. Bei dieser Gelegenheit greifen die Beamten oft auch jene undokumentierten Mitarbeiter – meist aus Ländern wie Mexiko und Lateinamerika – auf, die nicht auffallen und sich deshalb umso strenger an die Gesetze halten.

Zudem tauchen sie Berichten zufolge auch in der Nähe von Schulen und Kirchen auf – Orte, an denen sie zwar kein Zugriffsrecht haben, ihre Präsenz aber durchaus Unwohlsein auslöst. Es ist unbestreitbar, dass das Klima für die geschätzt elf Millionen Menschen ohne Papiere rauer wird.

Ein Abschreckungseffekt durch härteres Vorgehen ist durchaus Teil der Strategie, seit Jahren propagieren Teile der Republikaner die Idee der „Selbstabschiebung“: Wenn die Lebensumstände für die „Illegales“ immer schwieriger werden, kehren nach dieser Theorie viele freiwillig in die Heimat zurück.

Einige „Ilegales“ gehen nicht mehr zur Arbeit oder nehmen nur noch Aufträge außerhalb von Latino-Vierteln an, um nicht zufällig aufgegriffen zu werden. Anekdotischen Berichten zufolge haben einige Eltern ihre Kinder aus der Schule genommen, andere werden nach dem Unterricht von Verwandten abgeholt, die amerikanische Staatsbürger sind. Besitzer von Farmen in Kalifornien und Florida melden, dass sich in diesem Jahr deutlich weniger Erntehelfer als sonst bewerben.

Weil viele Familien für den Fall einer Abschiebung Geld ansammeln, leidet in den Großstädten auch die Wirtschaft in den Vierteln der Hispanics. Zwischen einem Drittel und der Hälfte ist das Geschäft eingebrochen, erklärt die hispanische Handelskammer von Kansas City (Financial Times). Ein Drittel der Latinos sagt, die Situation habe sich im Vergleich zum vergangenen Jahr verschlechtert – so viele wie seit fünf Jahren nicht mehr.

An der südlichen Grenze der USA hat sich die Lage verändert, derzeit werden dort deutlich weniger Menschen als zuletzt aufgegriffen. Der „Trump-Effekt“ ist jedoch nur schwer zu bemessen, weil es eine Dunkelziffer unerkannter Grenzübertritte gibt, die bei der Aussicht auf direkte Abschiebung ohne Chance auf Asylverfahren steigt. Allerdings hat die Zahl der Asylsuchenden aus Mittelamerika zugenommen, die nun versucht, in Mexiko zu bleiben. Die Preise der „Coyotes“ genannten Menschenschmuggler, die häufig für die mexikanischen Drogenkartelle arbeiten, haben sich in den vergangenen Monaten fast verdoppelt.

Politisch basteln die Republikaner an weiteren Bausteinen für eine härtere Einwanderungspolitik. Vergangene Woche beriet der Justizausschuss im Repräsentantenhaus über ein verschärftes Grenzschutzgesetz. Der unerlaubte Grenzübertritt gilt bislang als Ordnungswidrigkeit, die nach fünf Jahren verjährt. Nun soll er zu einer Straftat erklärt und mit Gefängnis von bis zu 20 Jahren bestraft werden. Die Zahl der Deportationen ging unter Trump, anders als die Zahl der Festnahmen, bislang nicht nach oben.

Ideen, die aus der Mode waren, haben wieder Konjunktur: Lobbyorganisationen wie „American Children First“ wollen Bürgerentscheide darüber, ob Kindern ohne Staatsbürgerschaft künftig die Schulbildung verweigert werden darf. Bislang gibt es dafür selbst unter Republikanern keine Mehrheit, auch Gerichte dürften solche Anliegen kritisch bewerten. Angesichts fortgesetzter Haushaltskürzungen dürften allerdings gerade in konservativen Staaten kontroverse Debatten darüber anstehen, welche Rechte und Leistungen illegalen Einwanderern verwehrt werden könnten.

Ein böses Omen für einen demokratischen Staat …

 

 

Anne Hildago réclame avec raison l’interdiction du « Festival Afroféministe » prévu du 28 au 30 juillet à Paris. L’accès aux blancs serait des plus limités ce qui est du racisme pur et dur. Sommes-nous revenus au temps de l’apartheid ? Je ne comprends pas que des personnes étant victimes d’exclusion un peu partout dans le monde puissent avoir de telles réactions. Ne voient-elles pas qu’en agissant ainsi elles provoquent la haine. C’était peut-être leur intention de le faire ? Je comprends très bien que les organisations antiségrégationnistes soient blessées. J’emploie consciemment ce terme, car pour tous ceux qui s’engagent pour plus d’ouverture, qui condamnent le néo-nazisme, cette initiative risque d’envenimer encore plus le climat que nous connaissons actuellement, où la moindre étincelle peut provoquer une ratonnade. C’est de l’eau amenée aux moulins de tous ceux qui réclament l’expulsion de tous individus qui ne correspondent pas à leurs valeurs de l’Occident. Pour lutter efficacement contre la lèpre brune, il faut que les vrais démocrates fassent route ensemble. On ne peut pas condamner comme je le fais le racisme exercé contre les noirs, les musulmans venant de Syrie, d’Afghanistan ou d’ailleurs et cautionner l’attitude de ceux qui préconisent l’exclusion des blancs. C’est manqué de respect contre tous ceux pour qui la fraternité, la liberté et l’égalité ne sont pas des paroles en l’air. La République n’a pas mérité cela. Weiterlesen

Si les Américains font faux bond, il faut que les liens entre les autres membres du G7 se resserrent. Merci Monsieur Trump, vous nous avez donné l’occasion de renaître de nos cendres. Mais il est trop imbu de soi-même pour s’apercevoir qu’il a enterré la suprématie des USA, au cas où les autres pays de la planète ne se vautrent pas une fois de plus à ses pieds. Ce qu’il considère comme étant une victoire pour son pays, pourrait être son déclin. Plus personne ne peut vraiment prendre au sérieux une administration qui refuse de voir la réalité, celle du désastre climatique dû à la pollution. Que le Japon et le Canada se joignent aux Européens ne peut qu’être une bonne nouvelle. Il faut aussi souligner la position de l’Angleterre, en plein brexit. Mais ce qui me semble essentiel, c’est que l’UE prenne conscience des atouts que lui confèrent plus d’unité. Il faudra tout faire pour parler d’une seule voix. Ce qui s’est passé à Taormina devrait nous inciter à reprendre le travail au sein du chantier « Europe ». Je souhaite que les propositions émises pas Emmanuel Macron soient discutées et mènent à un renforcement de nos positions. Comme je l’ai évoqué à plusieurs reprises, nous ferions bien de revoir nos rapports avec la Russie, la Chines et les autres puissances émergentes. Et les États-Unis ? Ils seront évidemment des nôtres s’ils arrêtent de nous dicter leurs quatre volontés et qu’ils respectent leurs engagements. Avec Trump cela ne sera pas le cas. La question qui se pose est de savoir s’il faut encore le prendre au sérieux ? J’ose espérer que les citoyens américains s’apercevront bientôt qu’ils ont à faire à un fossoyeur. J’ai été élevé dans une société, où des amis de mes parents étaient souvent des diplomates. Weiterlesen

Mark Zuckerberg, le créateur de Facebook ,a donné une conférence à l’université de Harvard devant les diplômés de l’année 2017. Cela a été un discours très politique que je trouve par bien des aspects important, en particulier lorsqu’il parle, comme Benoît Hamon du revenu universel, mais aussi de l’assurance-maladie. Il se rend parfaitement compte, que la couche de la population que Donald Trump méprise, celle des nécessiteux, augmente de plus en plus. Un terreau pouvant provoquer la désintégration de tout un pays, si on ne combat pas la misère. Lui, Zuckerberg, qui connaît parfaitement les technologies actuelles, met en garde ses compatriotes contre une évolution qui ne peut pas être freinée : celle de la technologie et avant tout de l’automatisation. Un thème que j’aborde également assez souvent. Mais comme tous qui comme lui se penche sur ce problème, il n’a pour l’instant pas encore les réponses adéquates. C’est dans le domaine climatique et écologique qu’il y aurait de nouveaux débouchés, mais pas si on fait obstruction comme Donald Trump. Le G7 qui se déroule à Taormina démontre que le Président des USA n’a rien compris aux menaces qui nous guettent de plus en plus, que ce soit le climat, le social ou l’économie. Il se conduit comme un éléphant dans un magasin de porcelaine et ignore tous les conseils qu’on lui donne. À l’inverse de Mark Zuckenberg, il fait preuve d’ignorance. Le gel de la libre-circulation des biens et des personnes ne peut qu’engendrer plus de misère en Amérique. Je dis bien en Amérique ! Les Européens et les Asiatiques s’en tireront bien mieux. Le patron de Facebook n’est pas un inconditionnel de la mondialisation, car il voit bien qu’il faut donner aux gens un sentiment de proximité, sans pour autant les mettre en cage. Il dénonce aussi la politique d’immigration de la nouvelle administration. Au fait elle a à nouveau subi un revers de taille. Un tribunal n’a pas donné le feu vert à ce décret, car il le considère comme étant discriminatoire et raciste. Weiterlesen

Letzten Samstag verließen wir spät in Frankfurt die Konzerthalle. Es war schön, gut besucht. Von solchen Erlebnissen zehrt man monate-, ja zuweilen jahrelang. So etwas bleibt in Erinnerung! Was passiert, wenn sich solche Erinnerungen mit Angst mischen, war mir in diesem Moment nicht richtig klar. Wie es ist, wenn das Schicksal Schönheit und Horror nur für runde 48 Stunden und 850 Kilometer Luftlinie trennt. Wie schmal ist die Linie, die Lebensfreude und Tod trennt?!

Am Montag dieser Woche waren bei einem Anschlag am Ende des Konzerts der Sängerin Ariana Grande 22 Menschen getötet und mehr als 60 Personen zum Teil schwer verletzt worden. Der „Islamische Staat“ (IS) hatte behauptet, hinter dem Anschlag zu stecken.

Aber vielleicht weil es das Ziel des Massenmörders war, möglichst viele junge Konzertbesucher, das weichste der weichen Ziele, in den Tod zu reißen, ist dieser Anschlag so abscheulich. Möglicherweise sind die Bekundungen der Bestürzung und der Betroffenheit auch deshalb so eindringlich und mitfühlend. Ja, Großbritannien steht nicht allein. In diesem Kampf gegen einen menschenverachtenden Extremismus stehen seine Partner in Europa und anderswo fest an seiner Seite!

Diese Tat ist Ausdruck einer nihilistischen Gesinnung, die sich gegen die Jugendkultur richtet. Es ist schwer zu sagen, wie viele radikalisierte Islamisten, die britische Staatsbürger sind und/oder der Terrormiliz „Islamischer Staat“ nahestehen, diese Gesinnung teilen und an der Schwelle stehen, potenzielle Massenmörder zu werden.

Wie viele werden über die Tat jubeln, die Manchesters Bürgermeister einen Akt des Bösen nannte? Werden einige darüber erschrocken sein, weil die Grenze der Ruchlosigkeit überschritten wurde? Auch das ist schwer zu sagen. Aber eines steht felsenfest und ist nicht nur eine Floskel für solche Anlässe: Britannien wird nicht vor den Terroristen in die Knie gehen. Es wird noch mehr für Belange der Sicherheit tun, aber es wird sich nicht vorschreiben lassen, wie es zu leben hat und welche Politik es verfolgt.

Können wir Bürger mit noch größerer Dringlichkeit fragen, wie das sein kann: islamistischer Terror im Herzen ihrer Städte, ob von Einzelgängern oder von Auftragsmördern verübt?

Ich weiß zuweilen nicht, was mir besser erscheint?! Soll über Attentate öffentlich berichtet werden? Oder sollen wir einfach nur schweigen? Müssten die Tageblätter und die Nachrichtenseiten im Internet und im Fernsehen nicht einfach weiß sein? Genauso nihilistisch wie die Gesinnung der Täter?! Was wollen diese Mörder eigentlich? Sie wollen Aufmerksamkeit! Kleine quengelnde Kinder, die andere mit in den Tod reißen, um einmal in den Gazetten zu stehen. Und wir berichten über sie! Darin liegt wohl der große Fehler. Man müsste diese Selbstmordattentäter über den Tod hinaus eigentlich mit Nichtachtung strafen. Einfach buchstäblich „totschweigen“. 22 Menschen starben bei dieser grausamen Mordtat, Jugendliche, Kinder. Wie es immer heißt: „Sie sind tot!“. Und in fünf oder sechs Wochen sind sie aus den Schlagzeilen verschwunden. Tot ist schlimm genug, aber das ist beileibe nicht alles, was diese Verbrecher anrichten. Hier wurden 22x Jahrzehnte von Leben genommen, 22x die Chance, Glück zu finden, hier wurden 22x Mütter und Väter, Töchter und Söhne, Nichten, Neffen, Enkel und irgendwann einmal Großeltern ausgelöscht. Das ist das, was entscheidend ist, der große Verlust!

Der Terror soll es wieder gewesen sein, der IS beansprucht wieder diesen feigen Massenmord für sich. Ich frage mich manchmal, ob unsere Regierungen nicht kapituliert haben. Wird wohl wieder der Terror gewesen sein, „wir ermitteln!“. Was kommt eigentlich nach Monaten aus diesen „Ermittlungen“ raus? Weiß das jemand? Oder sind die Akten da schon im Häcksler?! Ich behaupte deshalb: Es ist bequem, wenn es „wieder einmal der Terror“ war. Lässt sich eh wenig machen … Das ist eigentlich eine gute Ausrede für Machtlosigkeit. Und dann ein bisschen IS dazu. Einer muss ja schuld sein. Ich bezweifle, dass die Mehrheit der IS-Mitglieder überhaupt weiß, wo Manchester liegt. Geschweige denn, dass der dortige Anschlag auf das Konto des IS geht.

Wir reden hier über feigen Mord. Schweigen wir für die Opfer, gedenken wir ihrer und ihrer Familien.

Und verschweigen wir den Namen des Täters. Auf dass sein Name in Vergessenheit gerät. Ein Mensch mit einer solchen Gesinnung ist es nicht wert, erinnert zu werden.

Die Tat von Manchester hat nichts Menschliches in sich, verstößt gegen alles, was Humanität ausmacht. Hierfür fehlen uns die Worte …