Le tribunal fédéral administratif a statué. Les villes, où le taux de pollution est trop élevé d’après les normes européennes de 2010, pourront prendre les mesures adéquates pour corriger les mauvais chiffres. Cela peut aller jusqu’à l’interdiction de circuler pour les véhicules les plus vieux fonctionnant au diesel. Cet arrêté est sans aucun doute un coup de semonce pour l’industrie automobile allemande, qui a beaucoup tablé sur ce carburant. Il ne fait aucun doute qu’on ne s’arrêtera pas là. Est-ce le coup de glas pour le diesel ? Cela pourrait être à moyenne et longue échéance le cas. La politique essaie de trouver des solutions intermédiaires, mais il faudra bien que l’industrie coopère d’une manière plus efficace que jusqu’à présent. Ce n’est pas en corrigeant la software qu’il sera possible d’en faire des moteurs propres. Il existe des moyens « mécaniques » pour arriver à de meilleurs résultats, mais il y a réticence de la part des constructeurs. Cela demande beaucoup de travail et en plus ce procédé est assez cher. En principe cela ne devrait pas être aux clients, qui ont acheté leurs véhicule en toute bonne foi, d’être puni, mais bien les grandes entreprises. En invoquant toutes les procédures légales que cela pourrait entraîner, elles démontrent qu’elles ne veulent rien savoir de cette possibilité, car il se pourrait bien que d’autres pays augmentent leurs revendications. Il y aurait aussi la possibilité de la reprise de l’ancien véhicule qui entraînerait l’achat d’un nouveau modèle, ou fonctionnant à l’essence ou celui de la nouvelle génération du diesel. Mais là aussi il n’y a pas de raisons que le client lésé casque. Weiterlesen

L’ouverture de la SNCF à la concurrence, comme l’exige l’Union Européenne, constitue une option de taille, qui amène avec elle un grand nombre de changements. La compagnie changera de statut et deviendra une société de droit privé, avec certes un actionnaire de taille : La République française. Afin que tout cela fonctionne, la rentabilité sera placée aux premières loges, ce qui n’est pas le cas actuellement. Cela peut amener la SNCF a fermer certaines lignes peu rentables, à changer le rythme de l’horaire en fonction des profits. Cela ne correspond évidemment plus à la philosophie du service publique, qui a pour premier devoir d’offrir au public un service complet, même si économiquement cela entraîne des pertes. L’Allemagne a connu ce phénomène il y a quelques années. Ce que je peux en tirer comme conclusions à l’heure actuelle, c’est qu’au point de vue du fonctionnement, il y a bien des pannes. La concurrence directe n’a pas vraiment donné un coup de fouet à cette entreprise qui par bien des points de vue est ringarde. Et ceux qui pensaient que le prix des billets allait baisser, se sont royalement trompés. En France il en sera de même. Il y aura probablement deux sociétés, l’une étant propriétaire du réseau ferré, l’autre gérant son leasing. Cela revient à dire que cette dernière accordera des licences à toutes sociétés faisant des offres intéressantes. Weiterlesen

Hier j’ai voulu en savoir plus de ce qui se passait à la Ghouta orientale. Cette banlieue de Damas aux mains des rebelles contre le régime de Bachar el-Assad depuis le début du conflit. J’ai feuilleté l’album de photos et ais été pris d’horreur. D’innombrables cadavres de bébés, de bambins. Souvent à leur coté des parents désespérés. Si on veut vraiment se faire une idée de ce que c’est ce conflit, il ne suffit que d’aller sur ce site. Partout des ruines, des rues prisent par la fumée des incendies que les bombardements provoquent. Il est évident que les islamistes se soient mêlés à la population afin de se protéger. Mais depuis le martyre d’Alep, ils auraient dû se dire, que cela ne les mets pas à l’abri. Le dictateur syrien n’hésite pas à attaquer des citoyens innocents, afin de les éliminer. Il prend en compte le massacre de ses compatriotes afin de regagner la suprématie sur la Ghouta orientale, et ceci sans un complexe. Il est permis de se demander ce que peut bien ressentir un tel homme, lorsque son état-major lui montre ces photographies afin de prouver leurs actions. Ce médecin de formation et père de famille, peut-il rester de marbre en voyant tout cela ? Où est-il pris de tant de haine, que cela ne le touche pas ? Je ne crois pas que le cessez-le-feu négocié avec grande peine au Conseil de sécurité de l’ONU à New York, l’empêchera de continuer ce massacre. La Russie a forcé les autres nations d’accepter, que le régime de Damas ait le droit de continuer à s’attaquer aux rebelles. Dans de telles conditions rien ne changera. Weiterlesen

Am Valentinstag hatte ein 19-jähriger ehemaliger Schüler an einer High School in Florida 17 Menschen erschossen. Die Debatte über die laxen Waffengesetze in den USA wurde dadurch neu entfacht. In einem großen Kreis saßen Überlebende und Angehörige im Weißen Haus um den US-Präsidenten, auch die früherer Massaker an US-Schulen. Sie erzählten ihre Geschichte, diskutierten Vorschläge und fragten Donald Trump innigst, was er zu tun gedenke, um solche Bluttaten zu verhindern.

Trump, grundsätzlich ein schlechter Zuhörer, riss sich zusammen. Im Umgang mit weinenden Hinterbliebenen und Jugendlichen durfte er keinen Fehler machen. Im Umgang mit der von ihm geschätzten Waffenlobby aber auch nicht, das würden ihm seine Anhänger sehr übel nehmen.

Trump markierte den Entschlossenen. Zu viele Zwischenfälle, zu viel Gerede, jetzt werde gehandelt. Strengere Überprüfungen würden jetzt ein Thema, ein höheres Mindestalter von Waffenkäufern. Schwammig äußerte sich der Präsident zu psychischen Erkrankungen. Und, als hätte es ihm die mächtige Waffenlobby NRA selbst ins Heft diktiert: mehr Waffen an Schulen, ja warum nicht?

Der „Bump Stock“ soll verboten werden. Der Schnellfeuerkolben, keine 100,– US-Dollar teuer, erhöht die Schussfolge einer Waffe – und aus einer halbautomatischen Waffe wird ein Maschinengewehr. Der Attentäter von Las Vegas nutze den Plastikaufsatz, um im Herbst letzten Jahres auf einem Konzert Jagd auf Menschen zu machen. Schon damals wurde der Ruf nach schärferen Waffengesetzen laut. Doch erst das aktuelle Massaker – ohne diese Vorrichtung – ließ US-Präsident Trump nun handeln. Der Republikaner, seit Wahlkampfzeiten eigentlich ein Verfechter liberaler Waffengesetze, will den „ Bump Stock“ aus den Geschäften verbannen. Das Justizministerium soll ein entsprechendes Verkaufsverbot vorbereiten.

Ob es dazu kommt, ist fraglich. Ein entsprechendes Gesetz müsste im Kongress eine Mehrheit finden. Und der diskutierte schon oft strengere Regelungen, ja selbst ein Verbot der Dauerfeuer-Aufsätze. Es blieb beim Debattieren …

Lehrer bewaffnen: die Lösung aller Probleme? Trump meint, Feiglinge würden abgeschreckt. Soweit, so gut! Was ist mit den anderen? Man stelle sich den Fall am Valentinstag vor. Lehrer – vielleicht auch andere Schüler – schießen zurück. Wer sagt uns, dass bei einer solchen Schießerei à la Wild West nicht noch mehr Menschen umgekommen wären?! Das Argument, man habe sich gewehrt, ist ein schwacher Trost.

Was ist mit Trumps Argument, psychisch labile Waffenkäufer besser zu kontrollieren? Das taugt wenig bis gar nichts! Was suchen Waffen in den Händen psychisch labiler Menschen? Nichts! Das hat auch nichts mit Freiheit zu tun. Die hört dort auf, wo die des anderen beginnt.

Und ein entscheidender Sachverhalt sei hier nicht unerwähnt: wir reden nicht nur über Pistolen und Gewehre aus dem 18. Jahrhundert. Wir reden über moderne Kriegswaffen, frei zugänglich für nahezu jedermann!

Es gibt in einer Zivilisation ein prägendes Merkmal: das Gefühl der Sicherheit. In einer zivilen Gesellschaft braucht es keine Waffen! Der Staat gewährleistet die Sicherheit durch Ordnungsbehörden, Polizei und Militär. Dies ist nicht nur in „Old Europe“ so, sondern auch in den USA. Sollte es jedenfalls sein. Vor 200 Jahren brauchte man in der Wildnis des Westens der USA Waffen, es gab noch keinen Ordnungsapparat. Muss man das heute eins zu eins weiterführen? Ist es nicht so, dass die Ordnungs- und Sicherheitssysteme in Demokratien schwächeln? Auch in Deutschland hört man von Zeit zu Zeit, das jemand sich überlegt, „eine Waffe anzuschaffen“. Bröckelt hier eine unserer vornehmsten Errungenschaften, das Sicherheitsgefühl? Offensichtlich! Wir müssen uns die Frage stellen, warum das so ist. Zwei Punkte sind zu diskutieren: die finanzielle Ausstattung unserer Sicherheitssysteme und ob diese modernen Gefahren noch sicher begegnen können. In Florida war das jedenfalls nicht so. Sicherheitsbeamte und Polizei kamen nicht bzw. wesentlich zu spät.

Trumps Diskussion ist nichts anderes als Augenwischerei. Ein Großteil seiner Wählerschaft rekrutiert er aus der Waffenlobby. Er kann – unabhängig vom Kongress – gar nicht „hart durchgreifen“. Darüber hinaus sind schon viel zu viele Waffen, ja Arsenale, im Umlauf. Für den unwahrscheinlichen Fall von Restriktionen würden diese durch einen florierenden Schwarzmarkt umgangen.

Schade um das Meeting im Weißen Haus: eine inszenierte Show mit handverlesenen Personen. Ein Mädchen bedankte sich gar artig für die Einladung und für die gute Arbeit des Präsidenten. Na denn …

Lorsqu’on sait qu’un agriculteur gagne en moyenne 350 € par mois, on ne peut pas attendre de lui qu’il danse la Samba de joie. La plupart des gens lui diraient : « C’est bien simple, tu n’as qu’à… » Pensent-ils qu’ils se porteraient mieux en jetant l’éponge ? En abandonnant la terre de leurs ancêtres ? La laisser aller en jachère représenterait pour eux une trahison, un déni de leur personnalité. Dans une telle situation ils ont du mal à accepter les bons conseils, d’autant plus qu’ils viennent souvent des salons dorés, d’un monde se trouvant à des années lumières de leur situation. Lorsque Emmanuel Macron leur dit de changer les méthodes de production, de se baser sur de nouveaux produits que réclame le marché, il a probablement raison mais oublie qu’il a affaire à des personnes déprimées, qui après des années de luttes vaines, n’ont probablement plus la force nécessaire de mettre en pratique des réformes. Et puis il y a une chose qu’on oublie souvent. Tout changement met beaucoup de temps, car il est au rythme que la nature nous impose. Un exemple que j’ai déjà évoqué : Lorsque les viticulteurs du Languedoc-Roussillon ont quitté le système du vin industriel, produit par les coopératives et se sont mis à leur propre compte pour produire des AOC de haute qualité, ils ont dû arracher les plants, enlever la terre souillée par le phosphate et d’autres pesticides, puis la mettre en jachère pendant sept ans, afin qu’elle soit biologiquement propre. Puis il fallu planter de nouvelles espèces de raisins. Encore quelques années nécessaires pour commencer la production. Cela demande énormément de temps et pendant tout cela, il faut bien vivre. Weiterlesen

Plus de 12 % des femmes ont déjà été violées. La plupart connaissaient leurs agresseurs. Souvent des membres de leurs familles ou de leur entourage. Il m’est incompréhensible que ces délinquants ne se donnent même la peine de dissimuler leur identité. Est-ce une espèce de droit de cuissage qui les pousse à trouver plus ou moins normal leur comportement ? Lorsque le souverain ou le seigneur avaient le droit au premier rapport sexuel avec une jeune mariée, le viol était considéré comme un privilège dû aux tous puissants. Que cela se déroule de même pour les attouchements commis sur des enfants dans le cadre familial, qui devrait en principe protéger ses membres quel que soit leur âge, me déroute beaucoup. Je comprends qu’il est presque impossible pour les victimes d’aller dénoncer de tels méfaits, lorsqu’ils sont commis par des parents ou des amis intimes. Je n’ai pas relaté les autres statistiques, car je suis d’avis que le nombre de viols est plus élevé que le chiffre qui nous est donné. Qui se prête à un tel questionnaire ? Des personnes ayant fait un travail de réflexion. Les autres se tairont car elles ont un sentiment de honte, même s’il y a de quoi condamner de tels agissements. Chaque fois que j’essaie de démêler l’écheveau de telles affaires, je me pose la question de ce qu’il y faudrait faire pour éviter en amont de telles agressions ? Est-il possible de faire entendre raison aux adultes ? Dans bien des cas leur comportement est inné. Malgré tous les articles dans la presse ou les émissions traitant ce sujet à la radio ou à la télévision, cela n’empêche pas les chiffres de ces méfaits d’être en pente ascendante. En plus le public est informé de ce qu’encourent les violeurs. Weiterlesen

D’après les dernières informations que j’ai lues ce matin, les soudures de la centrale nucléaire de Flamanville, dans le département de la Manche, sont d’une qualité inférieure ce qui inquiète l’EDF. Je me souviens des questions qui ont été évoquées à l’époque au sujet de certains réacteurs se trouvant à deux pas de chez moi en France. Vivant à proximité du CERN, aux portes de Genève, j’ai été mis en relation lors d’un tournage d’un film avec des physiciens qui me firent la remarque que la politique des gouvernements successifs était plus que risquée. Ils étaient des anti-nucléaires, car ils se rendaient parfaitement compte, qu’une catastrophe pouvait être provoquée justement par une rupture d’une soudure. Une des grande panne du CERN, qui avait paralysé tout le système de recherche pendant des mois et qui avait coûté les yeux de la tête, avait été un défaut sur une des pièces composant le cyclotron long de 27 kilomètres. Pas plus de 50 centimètres ! Ceci pour démontrer ce qui pourrait déclencher un drame dans une centrale atomique. Au CERN, il n’y a aucun danger, car les recherches ne sont en aucun cas polluantes, car il n’est pas question de fusion nucléaire. Donc un risque zéro, malgré certaines polémiques ! Je veux ainsi démontrer que la moindre erreur humaine peut être la cause d’une pollution qui pourrait être à l’égale de celle de Fukushima au Japon. Nul n’est à l’abri d’une défaillance humain, comme elle a eu lieu à Tchernobyl, où des scientifiques ont fait un test de sécurité. Nous en connaissons les conséquences. Weiterlesen

Türkische Kampfflugzeuge und Artillerie bombardierten die syrischen Milizen in dem Moment, als sie die Grenzen zu Afrin überschritten.

Der türkische Außenminister Cavusoglu hatte Anfang der Woche angekündigt, dass man sich durch die Präsenz syrischer Soldaten nicht abhalten lassen werde. Die Offensive gegen die „kurdische Terrororganisation“ werde weitergehen, die Angriffe fortgesetzt. Unter Artilleriebeschuss seien sechs Menschen verletzt worden, darunter vier Kinder, meldeten die Syrische Beobachtungsstelle für Menschenrechte. Nach Angaben der Menschenrechtler flogen türkische Jets Luftangriffe.

Mit ihrer Bombardierung riskiert die Türkei einen Konflikt mit dem Iran. Er ist neben Russland der zweite wichtige Verbündete des Assad-Regimes. In Afrin wurden iranische Militärfahrzeuge und Waffen gesehen. Beobachter vermuteten iranische Waffenlieferungen an die Kurdenmiliz.

Mit dem Angriff der Türkei auf die syrische Regimetruppen verkompliziert sich der Konflikt um Afrin, Der Iran und die Türkei sind eigentlich Verbündete, hatten mit Russland in Astana und Sotschi Deeskalationspläne für Syrien entworfen. Nun stehen die Zeichen auf Konfrontation zwischen den beiden Staaten.

Wie lange Russland zusehen wird, dass syrische Soldaten bombardiert werden, ist eine große Frage. Der Kreml hatte Ankara im Januar noch grünes Licht für die Afrin-Offensive namens Olivenzweig gegeben. Aber eine bewaffnete Auseinandersetzung zwischen Ankara und Damaskus, die möglicherweise in einen offenen Krieg münden könnte, wird Russland wohl nicht riskieren.

Die Türkei ist Mitglied der NATO. Kann es aufgrund des syrischen Angriffs zum Bündnisfall kommen? Die Botschafter wurden für eine Krisensitzung ins Brüsseler Hauptquartier der transatlantischen Allianz einbestellt, wo der NATO-Rat eine Stunde lang über die Eskalation an der Grenze zwischen Syrien und dem Bündnismitglied Türkei beriet.

Die nach Artikel 4 des Washingtoner Nordatlantikpakts von der Regierung in Ankara beantragten Konsultationen mündeten schließlich in eine scharf abgefasste Solidaritätserklärung. Darin ist von „aggressiven Akten an der NATO-Südostgrenze“, einem „ungeheuerlichen Bruch internationalen Rechts“ sowie einer „Gefahr für einen der Alliierten“ die Rede. Die NATO verlangte in der Stellungnahme umgehend ein „sofortiges Ende der Gewalt“.

Die Formulierungen fallen deutlicher aus als nach dem Abschuss des türkischen Kampfjets Mitte 2017, als die Türkei zum ersten Mal Beratungsbedarf anmeldete. Von Warnungen oder Drohungen sieht das Bündnis weiterhin ab, weil es keinerlei aktives Interesse gibt, sich militärisch zu engagieren. Andernfalls hätte es genug Gelegenheiten gegeben, sich einzuschalten. So verbirgt sich hinter der Formulierung in der NATO-Erklärung, die von „anhaltendem Beschuss von Orten in der Türkei“ spricht, die Tatsache, dass es schon geraume Zeit zu Scharmützeln entlang der Grenze kommt.

Es gibt zwei Ursachen für die Zurückhaltung. Einerseits gibt es keine diplomatische Unterstützung durch die beiden Sicherheitsratsmitglieder China und Russland, was unter anderem damit zu tun hat, dass sie der NATO vorwerfen, 2011 ihr Libyen-Mandat zu großzügig interpretiert zu haben. Anders als damals, als Generalsekretär Rasmussen von sich aus vorab eine grundsätzliche Einsatzbereitschaft der Allianz feststellte, hat er dies im Falle Syrien bisher unterlassen.

Das hat andererseits auch damit zu tun, dass die NATO-Militärs von einem Engagement abraten. Die Bewaffnung des syrischen Militärs ist ungleich stärker als damals die des libyschen. Vor allem sind – laut Expertenkreisen – „die Luftverteidigungsfähigkeiten ganz anders ausgeprägt“. Aber auch die politische Lage unterscheide sich gravierend, wie das NATO-Kommando erst vor einigen Tagen in Brüssel sagte. In Libyen sei die Opposition im Land weitgehend geeint, die Unterstützung der Nachbarländer grundsätzlich vorhanden gewesen. Das könne man in dieser Form in Syrien nicht erkennen.

Fazit: Militärisch kann man – unter Abwägung aller Umstände – die Situation derzeit nicht lösen.