Et voilà la dernière sortie du grand Trump : il veut armer les enseignants afin de faire le carton sur tous ceux qui auraient l’idée de « perturber » les cours. Pour ma part j’irais encore plus loin, je distribuerais des pistolets-mitrailleurs aux enfants à partir de la maternelle. Comme branche principale, ils apprendraient à tirer. Mais attention : seuls les blancs seraient autorisés d’en faire usage. Puis pour que le tout soit plus patriotique, le « notre père qui est aux cieux » serait assorti d’un nouveau verset, où les marchands d’armes auraient droit à des louanges. Je pourrais continuer ainsi jusqu’à la fin de mon article, mais je veux vous épargner d’autres bêtises, comme ma proposition de confier cette bonne éducation au Klu-Klux-Klan, peut-être serait-ce trop gros ! Il est tout de même déconcertant de constater ce que le Président des États-Unis sort comme idioties. Je me demande s’il a toute sa tête. Au lieu d’apaiser les jeunes en acceptant que la vente des armes soit réglementée, il fait encore un pas de plus en direction de la commercialisation des outils à tuer. J’ai l’impression de me retrouver dans un western, où le héros canarde les vilains indiens qui ont eu le toupet de contester le vol de leurs terre. L’adulation des armes part de là, c’est à dire de la conquête du continent américain par des individus plus ou moins contestables qu’étaient ces colons. Weiterlesen

Le poumon vert de Damas, la Goutha orientale, est mis en état de siège par les troupes du dictateur Bachar al-Assad. Plus de 400000 habitants, dont près de la moitié des enfants, souffrent de la faim. Ils sont sous-alimentés et si rien ne change, en danger de mort. Le régime n’hésite pas à employer des armes chimiques (2013), dont du sarin, pour casser la résistance de cette enclave aux mains des rebelles depuis le début du conflit syrien depuis le mois de mars 2011. D’après les informations que je viens de recevoir à cinq heures, l’armée syrienne prévoit une attaque imminente de l’armée de terre contre la Goutha orientale. Je suis assis devant mon ordinateur et écris ces lignes dans un état d’impuissance. Je viens de me plaindre auprès de ma femme que j’ai des courbatures un peu partout dans mon corps, mais qu’est-ce à côté du martyre que vivent en particulier les petits ? C’est comme si mon petit-fils de sept ans était livré corps et âme à une telle situation, qui ne connaît aucune pitié. Les attaques de ces derniers jours on fait des centaines de victimes, que ce soit des morts ou des blessés. Je sais que de telles comparaisons n’apportent pas grand chose, mais j’essaie de m’imaginer ce que peut représenter une telle prise d’otages, digne du Moyen-âge. Mais avec le lot d’horreurs qu’on nous sert quotidiennement, il est parfois nécessaire de faire une projection ce que pourrait être la situation, si nous étions concernés. Presque pas de quoi se nourrir, peu de médicaments, des soins plus que précaires, c’est le sort des assiégés. Et ceci seulement parce qu’un clan familial s’accroche au pouvoir, comme si il lui était dû. Weiterlesen

Türkei ist im Januar (Offensive „Olivenzweig“) in das Nachbarland Syrien einmarschiert, um die aus ihrer Sicht terroristische YPG zu bekämpfen und eine Sicherheitszone an der Grenze zu schaffen. Die auch von den USA unterstützte kurdische Miliz hat sich an die Regierung von Präsident Baschar al-Assad mit der Bitte um Militärhilfe gewandt. Erste regierungsnahe Milizen sollen Berichten zufolge zeitnah in der umkämpften Provinz Afrin eintreffen. Die staatliche Nachrichtenagentur berichtete, sogenannte Volkskräfte würden lokale Einheiten dabei unterstützen, eine „türkische Aggression“ abzuwehren.

Der ehemalige Vorsitzende der syrischen Kurdenpartei dementierte diese Berichte allerdings. „Es gibt zurzeit Verhandlungen mit der Regierung unter Vermittlung von Russland, aber es wurde noch keine Einigung erzielt“, sagte jener in Berlin. Es sei nicht einfach, eine Vereinbarung mit der Regierung Assads zu treffen, denn es mache keinen Unterschied, ob man von der Türkei unterdrückt werde oder vom Regime der Baath-Partei.

Die PYD ist die dominierende Partei in den kurdisch kontrollierten Gebieten in Nordsyrien und eng mit den syrisch-kurdischen YPG-Einheiten verbunden. Die syrische Kurdenpartei forderte Unterstützung von der EU und den USA. Die syrische Regierung habe immer noch die Vorstellung, dass sie in dem Gebiet die vollständige Kontrolle übernehmen könne, wie vor 2011. Die Kurden würden dies jedoch nicht akzeptieren. Man wolle Demokratie und Föderalismus.

Die kurdischen Streitkräfte und die syrische Regierung hatten zuvor eine Vereinbarung getroffen, dass die syrische Armee in die Region Afrin einmarschieren darf, um mitzuhelfen, die türkische Offensive gegen die Kurden abzuwehren.

Die Türkei startete vor einem Monat eine Luft- und Bodenoffensive in der syrischen Region Afrin, um kurdische Kämpfer im Norden anzugreifen. Damit eröffnete Präsident Erdogan eine neue Front in dem vielschichtigen syrischen Krieg. Die Region Afrin wird seit 2012 von YPG-Einheiten kontrolliert und hat mit der stillschweigenden Duldung der Zentralregierung weitgehende Autonomie erlangt.

Die kurdische YPG-Miliz, die Waffen aus den Vereinigten Staaten erhalten hat, hat während des IS-Konflikts weite Teile Nordsyriens aus den Händen der Terrormiliz Islamischer Staat gerissen. Die Vereinigten Staaten haben der YPG in Afrin jedoch keine Unterstützung gewährt. Obwohl auch Russland wie die USA gute Kontakte zur YPG pflegt, wurde die türkische Offensive auch von ihnen geduldet. Die Türkei geht gegen die Kurden gemeinsam mit Verbündeten der Freien Syrischen Armee, einer syrischen Oppositionsgruppe, vor.

In der Türkei sind mittlerweile 786 Menschen wegen Kritik am Militärfeldzug in Afrin festgenommen worden. In sozialen Internetmedien habe es mindestens 587 „Propagandavergehen“ und 85 Proteste gegeben. Zu den Festgenommenen gehörten kurdische Politiker und türkische Ärzte, die vor dem Verlust von Menschenleben gewarnt hatten. Ihnen werde „Terrorpropaganda“ vorgeworfen.

Russland mahnte alle Seiten zur Zurückhaltung und Achtung der territorialen Integrität Syriens. Konstantin Kossatschow, Vorsitzender des russischen Auswärtigen Ausschusses im Parlaments-Oberhauses warnte, dass eine Entsendung syrischer Truppen zu einer gefährlichen Eskalation zwischen Syrien und der Türkei führen könnte und mahnte zu Vorsicht im Hinblick auf die Berichte.

Die Region ist ein Pulverfass. Die Zurückhaltung der Mächte USA und Russland und Erdogans Drohung an Syrien sind Beweis für das zunehmend verworrene Schlachtfeld in Nordsyrien – ein Netz von Rivalitäten und Bündnissen zwischen kurdischen Kräften, der syrischen Regierung, Rebellengruppen, der Türkei, den Vereinigten Staaten und Russland.

Im Norden Syriens will der türkische Staatschef Erdogan den Amerikanern zeigen, wer Herr ist in der Region. Für ein Vorgehen gegen die Kurden scheint er sogar einen Krieg gegen US-Truppen in Kauf zu nehmen.

Am Donnerstag besuchte US-Außenminister Rex Tillerson Ankara, empfangen von düsteren Drohungen des NATO-Partners Türkei, den USA in Syrien eine „osmanische Ohrfeige“ zu verpassen. Die stärkste und die zweitstärkste Armee der Nordatlantischen Allianz stehen im Nahen Osten an der Schwelle zum Krieg – nicht gegen Syriens Diktator Assad, nicht gegen den IS, sondern gegeneinander.

Emmanuel Maron veut qu’il soit aussi trouvé un accord en ce qui concerne les questions balistiques de l’Iran. Il est évident que le Président veut faire en sorte que le principal visé d’une attaque de fusées sur un territoire étranger, en l’occurrence Israël, soit protégé par un pacte entre l’Iran et les pays signataires de l’accord sur les armes nucléaires. Téhéran a d’ores et déjà déclaré qu’il ne pouvait pas en être question, d’autant plus qu’il s’agit d’une question touchant de très près à sa défense. L’Iran craint plus que jamais d’être en proie des israéliens qui ont déclaré sans équivoques qu’ils attaqueraient ce pays s’ils se sentaient menacés, ce qui est le cas aujourd’hui. La paix au Proche-Orient est plus éloignée que jamais. On sent que les pays concernés préfèrent faire le bras-de-fer que de se retrouver autour d’une table de conférence. Pour Benjamin Netanyahou, un faucon, il n’est pas question de céder. Il est outré que les pays occidentaux aient accordé un tel crédit à l’Iran du président Hassan Rohani. Même s’il peut être considéré comme un modéré, le premier israélien le considère comme étant un disciple du diable. Il est évident que nous nous trouvons dans une situation plus que délicate qui risque encore de se détériorer si un certain cap était franchi. Ce n’est pas malheureusement l’administration américaine, dans le contexte, où elle se trouve actuellement, qui fera des efforts pour atténuer les tensions. Elle aurait plutôt tendance à jeter du pétrole dans le feu, si on en croit Donald Trump, avec ses attaques incessantes sur Twitter. Weiterlesen

Jai lu dans le Nouvel Observateur la thèse de Stephen Smith, qui prédit la migration de 150 à 200 millions d’Africains qui un jour voudront s’établir en Europe. Depuis 1930 la population s’est multipliée par 15. En comparaison, la France à un quota de 1,7. Cela peut-il expliquer le vent de panique qui s’est déclenché en Europe en 2016 et qui perdure jusqu’à aujourd’hui chez un grand nombre de personnes, de voir notre continent submergé par des populations venant d’ailleurs ? Même si je n’accepte en aucune manière leur façon d’agir, je pense que ce réflexe de rejet est bien plus profond qu’une attitude hostile comme nous la connaissons aujourd’hui. C’est probablement une situation psychologique semblable à celle des États Unis, où la population de couleur, afro-américain et hispaniques confondus, dépassera celle des blancs à partir de 2050. Nous nous acheminons vers une perte de la prédominance de la civilisation d’origine européenne au profit de celles des immigrants. Cela est probablement aussi dû au recule des naissances. Il est avéré que dans une société marquée par un développement intellectuel et technologique hors moyenne, la question d’avoir un enfant ou non, se pose d’une manière plus pragmatique que dans des milieux plus modestes. Les couples essaient d’anticiper ce qui pourrait arriver à leurs enfants au cours de leur vie. Ils ont le sentiment – et les faits le prouvent– qu’ils auront besoin de soutien bien au-delà de leur majorité. Sans une formation adéquate des jeunes, la précarité n’est pas à exclure. Weiterlesen

Der kosovarische Präsident Thaci bezeichnete die Unabhängigkeitserklärung durch das Parlament als „glücklichsten Moment“ für das gesamte Volk. Regierungschef Haradinaj sagte bei einer Kabinettssitzung, das Kosovo verkörpere den Wunsch der Menschen, „in Freiheit zu leben“. Er räumte sehr wohl ein, dass der Aufbau eines modernen Staates noch nicht abgeschlossen sei.

Das mehrheitlich von ethnischen Albanern bewohnte Kosovo war nach dem Kosovokrieg mit 13.000 Toten und dem Ende der Nato-Luftangriffe im Jahr 1999 unter internationale Verwaltung gestellt worden. Am 17. Februar 2008 erklärte sich die frühere serbische Provinz einseitig für unabhängig. Mehr als 110 Länder weltweit, darunter die meisten EU-Staaten, erkannten die Unabhängigkeit an. Die Regierung in Belgrad betrachtet das Kosovo dagegen weiter als abtrünnige Provinz.

2011 waren unter EU-Vermittlung Verhandlungen über die Normalisierung der Beziehungen zwischen Serbien und dem Kosovo begonnen worden. Sie kamen in den vergangenen zwei Jahren aber nicht mehr voran. Serbiens Außenminister Dacic meint, Belgrad sei noch weit davon entfernt, das Kosovo anzuerkennen. Ohne ein Abkommen mit dem Kosovo könne diese Frage nicht gelöst werden.

Der Kleinstaat zählt zu den ärmsten Ländern Europas, rund 40 Prozent der 1,8 Millionen Einwohner leben in Armut. Die Arbeitslosigkeit liegt bei ca. 30 Prozent, bei der Jugend sogar bei 50 Prozent.

Zusammen mit mangelnden Fortschritten bei der Demokratisierung und Korruptionsbekämpfung führt dies dazu, dass Kosovo bei der Annäherung an die EU inzwischen weit abgehängt ist. Dies hat Brüssel jüngst bei der Präsentation der Erweiterungsstrategie für den Westbalkan deutlich gemacht. Die jungen Kosovaren sitzen so im Land fest. Mafiosen Führungsfiguren mag dies egal sein – sie haben mithilfe ihrer Seilschaften aus dem Krieg lukrative Privat-Imperien geschaffen und sind wenig interessiert an Liberalisierungsschritten, die diese gefährden könnten. Sie sind verantwortlich dafür, dass Kosovo das korrupteste Land auf dem Balkan mit der zweithöchsten Arbeitslosigkeit ist.

Die Unzufriedenheit darüber beschert der Opposition wachsenden Zulauf, die zudem mit nationalistischem Pathos die Abhängigkeit der Herrschenden von ihren westlichen Protektoren anprangert. Da die Kriegsherren nicht über Korruption reden wollen, wetteifern sie mit der Opposition um das schärfste nationalistische Profil. Das ist fatal, denn die Probleme des Landes sind komplex und werden immer drängender. Kosovo brauchte eine Politikerkaste, die diese endlich ernst nimmt.

Die größten Baustellen bestehen bei den schlechten Beziehungen zu den Nachbarn. Pristina muss das Abkommen mit Serbien vorantreiben, das zwar souveränitätspolitisch problematisch ist, aber Klarheit endlich bringen würde. Zudem erhöhte dessen Umsetzung den Druck auf jene Staaten, die Kosovo nicht anerkennen. Doch nicht alle Lösungen liegen in den Händen von Kosovos Politikern. Sie handeln innerhalb des Rahmens, den ihnen die Weltpolitik zugesteht und der das Land in seiner Zwitterstellung zwischen Souveränität und Abhängigkeit gefangen hält. Zehn Jahre nach der Unabhängigkeit ist deshalb der Moment für den Westen gekommen, Bilanz zu ziehen über den Leistungsausweis seiner militärischen und rechtsstaatlichen Präsenz in Kosovo.

Möglicherweise war es fatal, dass das viele Geld und die politischen Vorgaben von außen oft verhindert haben, dass die Kosovaren selbst Verantwortung übernahmen.

Die Zeit ist deshalb reif dafür, dass der Westen sein Engagement zurückfährt und so auch Raum schafft für eine Erneuerung der verkrusteten Politik. Das ist nicht ohne Risiko, doch es ist der jüngsten Nation Europas zuzumuten. Ohne Demokratisierung von innen gibt es keine Impulse für die Zukunft des Landes. Die gegenwärtigen Strukturen stehen jenen im Weg, die das Land aufbauen wollen – und entmutigen die talentierten Mitglieder in der Diaspora, die gerne zurückkehren und dabei helfen würden.

Nichtsdestotrotz: Herzlichen Glückwunsch zum Zehnten und alles Gute für die Zukunft!

En cette fin de semaine a eu lieu à Munich la 54. Conférence sur la sécurité. Le thème de cette réunion est d’aborder tous les problèmes vitaux de notre humanité. Mais c’est aussi l’occasion de parler des faits marquants qui dérangent, comme la loi très controversée sur la mémoire de la Shoah en Pologne. Mateusz Morawiecki, le premier ministre, qui était présent, dut répondre à une question posée par un journaliste israélien, Ronen Bergman, au sujet des mesures prises à Varsovie. L’attitude du PiS, le parti au pouvoir en Pologne, est d’un nationalisme absolu, qui voudrait que les tortionnaires polonais des camps de la mort nazi, soient mis à l’écart de la critique. C’est du point de vue historique une hérésie. Bien sûr il y a aussi eu dans ce pays des dénonciateurs et des kapos qui travaillaient pour l’envahisseur nazi. Cette loi ne rime vraiment à rien. Elle ne fait qu’attiser les ressentiments et provoque de la grogne. Lorsque Ronen Bergman a demandé à Mateusz Morawiecki, si comme fils de rescapés de la Shoah, il aurait des ennuis avec la justice polonaise s’il parlait de ses parents, il y eut un tonnerre d’applaudissements dans la salle. Les réponses floues du premier ministre ne furent pas très convaincantes. Je prends cet exemple afin de démontrer que des faits vieux de plus de 71 ans peuvent déclencher de graves tensions. Nous nous trouvons dans un monde très sensible, où la moindre dérogation à la normale doit être prise très au sérieux, comme le prouve cette intervention. Weiterlesen

Le journaliste allemand, Deniz Yücel, qui possède aussi un passeport turc, a quitté hier la prison de Silivri située à 70 kilomètres d’Istanbul. Il a regagné le soir même l’Allemagne dans un avion privé mis à sa disposition. Le journaliste de 44 ans du quotidien « Die Welt » est ainsi remis en liberté conditionnelle. Il encourt une peine de prison entre 4 et 18 ans. Il est accusé de « propagande pour le compte d’une organisation terroriste » et « incitation à la haine ». Yücel avait été arrêté le 14 février 2017 à la suite de rafles opérées contre des membres de la presse. C’est sur l’intervention de Sigmar Gabriel, le ministre des affaires étrangères et de la Chancelière, qui avait reçu le premier ministre turc Binali Yildirim il y a deux jours à Berlin, que cette libération a été négociée. Yücel a eu beaucoup de chance. Ses compagnons d’infortune Ahmet Altan, ancien rédacteur en chef du quotidien Taraf, et les journalistes Mehmet Altan, Nazli Ilicak, Fevzi Yazici, Sukru Tugrul Ozsengül et Iakup Simsek, incarcérés depuis 2016, ont été condamnés à prison à vie pour avoir soi-disant participé au putsch manqué du 15 juillet 2016 contre Recep Tayyip Erdoğan. Un signe que la Turquie passe en ce moment le cap de la dictature. Comme un de mes amis l’a fait remarqué sur Facebook, la libération de Deniz Yücel ne doit pas faire oublier que de très nombreux journalistes sont encore emprisonnés et le resteront probablement pour longtemps dans les pénitenciers du régime. Weiterlesen