En cette période de fin de règne, l’Allemagne se rend la vie difficile, lorsqu’il s’agit des rapports entre Berlin et Washington. Comme on le sait le courant ne passe pas entre Donald Trump et la Chancelière. Dans un grand nombre de dossiers les points de vue divergent, que ce soient le climat, le commerce international, l’OTAN ou l’Iran. Les États-Unis exercent de la pression, j’irais jusqu’à dire du chantage pour faire plier Angela Merkel. Lors d’une cérémonie à l’université de Havard, où elle vient de recevoir un doctorat honoris causa, elle n’a pas manqué attaquer Trump, mais sans le nommer expressément. Une attitude peu commune avec la politique pratiquée depuis la fin de la guerre par la République fédérale. C’était celle d’un vassal, qui faisait tout pour ne pas importuner le grand-frère. Une exception néanmoins, le refus de Gerhard Schröder d’envoyer des troupes en Irak. C’est dans le cadre de ces rapports tendus que Mike Pompeo se rend aujourd’hui en Allemagne. Des bruits courent que Washington fait un appel du pied à Téhéran, voulant entamer des négociations secrètes. Dans ce cadre les Allemands pourraient jouer un rôle important, car eux sont en rapport avec les dirigeants iraniens, afin de sauver l’accord nucléaire. Mais une chose est certaine, la situation est précaire pour le gouvernement Merkel. Les revers perçus par son parti et par le SPD lors des élections européennes, ont été une gifle magistrale. Ainsi que les perspectives énoncées au sujet des scrutins cet automne dans trois nouveaux länder qui s’annoncent désastreux pour les partis de la coalition gouvernementale. Weiterlesen
Monat: Mai 2019
Leonardo
Warum hält sich Leonardo da Vinci so hartnäckig als globales Supergenie? Die WELT titelte gar zum 500. Todestag: „Leonardo da Vinci, der Steve Jobs seiner Zeit“ (welt.de 01.05.2019).
Leonardo da Vinci studiert die Natur und den menschlichen Körper, ersinnt Flug- und Kriegsmaschinen: Rastlos stürzt der Visionär, der das Renaissance-Ideal des vielseitig begabten Menschen wie kein anderer verkörpert, von Projekt zu Projekt. Beim Malen aber hält er inne – und schöpft aus seinem universalen Wissen Werke von überzeitlicher Schönheit.
Schon als Kind erforscht Leonardo, 1452 als unehelicher Sohn eines Notars im toskanischen Vinci geboren, die Gesetzmäßigkeiten der Natur: „Beschreibe, wie die Wolken sich bilden und wie sie sich auflösen“, vermerkt er später in einem seiner Notizbücher, „was die Nebel und die Verdichtung der Luft verursacht und warum diese manchmal blauer oder weniger blau erscheint als ein andres Mal“ (geo.de).
Fliegen – davon träumte Leonardo da Vinci wie viele andere Menschen jener Zeit. Der Mann aus Italien beobachtete Vögel und entwickelte Flughilfen, die den Flügeln nachempfunden waren.
Leonardo setzte aber nicht allein auf die Muskeln als Antriebskraft. Er entwickelte unter anderem ein Fluggerät mit Luftschraube, einen Vorläufer des modernen Helikopters. Auch ein Gleitfluggerät entwarf der Tüftler, eine Art Fallschirm. Der Fallschirm ist jedoch nicht rund geformt, sondern läuft spitz zu.
Leonardo war ein Exzentriker, der das Außenstehen zum Prinzip machte. Er hinterfragte alles, vom Lauf des Wassers über die Funktionsweise des menschlichen Körpers bis zum kanonisierten Regelwerk der Malerei. Während es kaum mehr als ein Dutzend Gemälde von ihm gibt, kann man bis heute über 6.000 Zeichnungen aus seiner Hand bestaunen. Darüber, über die Beobachtung, erschließt er sich die Welt (deutschlandfunk.de).
„Malerei war für ihn praktische Philosophie. Er musste malen um zu erkennen.“
Das Handwerk dazu erlernte er in der Florentiner Werkstatt Andrea del Verrocchios. Nach den Jugendjahren in Florenz versuchte er sein Glück am Mailänder Hof von Ludovico Sforza, der wie andere Machthaber auch, die Kunst für seine Propagandazwecke brauchte. Leonardo pries sich an – allerdings nicht als Maler.
Im 19. Jahrhundert brach ein regelrechter Kult um ein Bild aus (die Italiener tauften es Monna Lisa – Frau Lisa – oder La Gioconda).
Man mochte nicht glauben, dass die Dame mit dem seltsam verschleierten Blick nur eine langweilige Kaufmannsfrau war, begann ihr unergründliches Lächeln und den sublimen Zauber ihrer Erscheinung psychologisch zu analysieren. So pendelte die Interpretation der Mona Lisa zwischen Heiliger und Hure. Selbst die spärlich angedeutete Landschaft im Hintergrund erschien einem deutschen Kunsthistoriker „traumhaft wie in gewitterschwüler Sinnlichkeit zitternd“ (Richard Muther 1909).
Ein stehendes Lächeln auf langgezogenen, geschwungenen Lippen; es ist für ihn charakteristisch geworden und wird vorzugsweise „leonardesk“ (SPON) genannt. In dem fremdartig schönen Antlitz der Florentinerin Mona Lisa del Giocondo hat es die Beschauer am stärksten ergriffen und in Verwirrung gebracht.
Dem Erfinder Leonardo da Vinci waren die Defizite seiner Ideen sehr wohl bewusst (swr.de). Wir machen heute den Fehler, ihn zum Universalgenie zu stilisieren, das alles konnte. Er selbst sah das anders, verstand sich nicht unbedingt als großer Erfinder, sondern als Neugieriger, der sich für alles interessiert. Und so interessierte er sich eben auch für Maschinen, die viele schon vor ihm entworfen hatten. Leonardos originäre Leistung bestand darin, die schlechten Zeichnungen der Maschinen seiner Vorgänger zu perfektionieren; seine Zeichnungen waren so perfekt, dass sie suggerierten, seine Maschinen würden funktionieren.
Am 2. Mai 1519 starb der Universalgelehrte in Amboise. Heute – 500 Jahre danach – ist er uns präsenter denn je. Ein „Uomo universale“ wollte er sein, die Malerei galt ihm zwar als die höchste aller Künste, was ihn aber nicht abhielt, mit fantastischen Erfindungen weit in die Zukunft zu greifen.
Stress à la maternelle
Non, je ne comprends pas la politique de l’école en France. La nouvelle circulaire au sujet de la maternelle démontre à mes yeux, que l’esprit de performance se retrouve au premier plan et ceci avec des enfants entre 3 et 6 ans. Faire du stress est à mon avis peu productif. Vouloir faire passer des examens hors propos. C’est méconnaître la psychologie de la petite-enfance, qui démontre que la seule chose qui compte est la motivation, de donner envie d’apprendre sans en faire un challenge. Pourquoi faire des gosses des singes-savants ? Lorsqu’il s’agit d’apprendre à s’exprimer plus correctement ou de compter jusqu’à cent, il suffit de faire cet apprentissage par le jeu, ceci sans s’imposer des limites, sachant que chaque enfant a son propre rythme. Ne paniquez pas, le tout peut être atteint sans contraintes. Il est prouvé que les élèves se motivent entre eux. Il n’est pas nécessaire de faire passer des épreuves ou de s’imposer un agenda. L’apprentissage élémentaire doit se faire dans la sérénité et ceci jusqu’à 10 ans. En ne mettant pas l’enseignement dans un carcan de directives, il est possible d’obtenir de meilleurs résultats. Et ceci en tenant compte du métabolisme de chacun et de chacune. Weiterlesen
De l’eau dans du gaz !
Angela Merkel et Emmanuel Macron ont pour l’instant des rapports un peu tendus. En ce qui concerne particulièrement la présidence de la Commission européenne, leurs avis divergent. La Chancelière soutient Manfred Weber, le chef du groupe parlementaire des chrétiens-démocrates, qui a remporté la victoire dimanche dernier, mais en y laissant pas mal de plumes. Le président quant à lui soutient la commissaire européenne à la Concurrence. Margrethe Vestager. Où le bât blesse, c’est en particulier la personnalité du Bavarois Manfred Weber. Il est intègre, sympathique, mais fait-il le poids ? Je l’ai vu dans un débat télévisé qu’il mena face au néerlandais Frans Timmermans. Il connaît indéniablement les dossiers, mais il me semble un peu frêle pour aborder les problèmes qui se posent à la Commission. D’une part à l’intérieur, où ce n’est pas une mince affaire de s’imposer par rapport aux 27 chefs d’États ou de gouvernement. (Je pars du principe que le Brexit sera consommé d’ici là !) Tant que la majorité absolue sera encore exigée, comme c’est le cas pour les lois budgétaires, il faut avoir une bonne colonne vertébrale. Parallèlement le future chef de la Commission sera soumis à de plus en plus de pressions dans le contexte international. J’en veux pour preuve la guerre commerciale qui pourrait ternir les rapports diplomatiques avec les USA, le défit industriel par rapport à la Chine. Margrethe Vestager et Frans Timmermans semblent avoir un autre calibre. Angela Merkel le sait, mais elle est pour l’instant obligée d’apporter son soutien au poulain du parti-frère qu’est la CSU. Mais la connaissant bien, je suis sûr qu’elle pourrait le faire tomber si elle en voit l’opportunité. Weiterlesen
Le spectre de l’ordre-nouveau !
Matteo Salvini a remporté avec sa Ligue 34 % des voix au Européennes en Italie. Il est largement en tête. Il a devancé le mouvement des Cinq étoiles de près de 17 %, qui se retrouve en 3ème place, derrière les sociaux-démocrates qui sont crédités d’environ 22 % des voix. Au lieu de m’offusquer de ces résultats, qui me bouleversent évidemment, je veux essayer de mieux comprendre ce phénomène qui secoue la péninsule. Quelles sont les raisons pour lesquelles la population de ce pays a voté pour un parti qui veut imposer une ordre-nouveau, un régime musclé qui défie la démocratie comme nous la connaissons en Europe depuis la fin de la guerre ? Est-ce un déni contre une certaine manière de vivre ? Contre l’empathie, qui est une des qualités essentielles des Italiens ? Il est un fait que les gens vivent dans une atmosphère que je qualifierais d’improvisée. Les uns et les autres peuvent survivre que grâce à la bricole. Ce qui revient à dire, qu’ils ne peuvent pas prévoir à l’avance, que chaque jour apporte ses incertitudes. Comme nous le savons ils sont passés maîtres dans la manière d’éviter le naufrage. L’industrie italienne est une des plus imaginative dans le monde. La mode en est l’expression. Pour se maintenir à flot, beaucoup de gens ont recours à l’économie parallèle, celle du noir, qui est illégale. Sans elle le pays aurait sombré depuis des décennie dans la faillite. Malgré un bilan très défavorable en ce qui concerne les dettes, il est étonnant que l’Italie est pour l’instant à même de survivre. Je pense que pour beaucoup cette situation, qui me rappelle celle d’un équilibriste devant traverser à cinq mètres du sol le manège d’un cirque, est déconcertante. À chaque pas il vacille mais arrive toujours à se rattraper. Mais qui sait, à la moindre brise la chute pourrait figurer au programme. Il est probable que cette situation amène un ras-le-bol général, que les Italiens aspirent à plus de sécurité. Weiterlesen
Karthago
Sie tun es, keiner weiß warum.
Verhalten sich, wie verlangt.
Vom freien Denken bleibt nur:
„Die Gedanken sind frei!“,
aber alles bitte im Gehege.
Alle spielen das Spiel,
ein Andrer macht die Regeln.
Die Gemeinschaft der Zocker,
gefangen im Spiel der Freiheit.
Schlafwandler sind sie alle!
Karthago brennt lichterloh,
ein Nero wird es angezündet haben.
Die Zündler sind unter uns,
der Kick, die lebendige Flamme,
entzückt tote Seelen.
Alles weiß, wie die Seiten
im Buch des Schicksals.
Der Strom fließt, reißt sie mit,
auf dem Weg zum großen Fall.
Kaffeefahrt des Lebens!
Willkommen auf der Arche,
sind wir alle davongekommen?!
Zück Deinen Bleistift, schreibe!
Fülle die weißen Blätter
mit dem Sinn Deines Daseins.
Hinter der nächsten Flussbiegung,
gehe an Land, betrete trocknen Boden!
Suche sicheren Tritt,
bestimme Dein Leben,
bevor es der anderer tut.
Reiß die Fäden durch,
an denen Du hängst, Du Marionette!
Wir bewegen uns alle,
er zieht mal hier, mal da!
Leben, hängend am seidenen Faden.
Freiheit vom Puppenspieler,
weg mit den Fesseln des Geistes,
ein „Schnipp“ mit der Schere,
und alles wäre anders.
Wie viel besser, wer weiß …
Ja, das Boot treibt weiter,
es rauscht der Wasserfall.
Seule l’union fait la force !
La démocratie se trouve renforcée après le scrutin de hier. Les Européens se sont déclarés pour plus de diversité. Parfois pas dans le sens que je souhaite comme en Italie, en Hongrie ou en France, ce qui me donne de quoi réfléchir. S’il en est ainsi, il faudra que la droite modérée, le centre et la gauche démocratique se posent la question comment il a été possible d’en arriver là, et ceci sans polémique. Il est inutile de casser du sucre sur les chantres du nationalisme, des anti-UE, mais plutôt de les contrer par des faits. Je pense que le nouveau parlement européen a les armes de le faire. Il y aura automatiquement plus de débats, que se soit à Strasbourg ou à Bruxelles, plus de controverses, ce qui n’est pas une mauvaise affaire. Il faudra tout d’abord trouver une coalition, car aucune des formations qui siégeront à l’avenir dans l’hémicycle a une majorité. La coalition entre les chrétiens-démocrates et les socialistes ne pourra pas être reconduite. Il faudra trouver d’autres alliés, que ce soient les verts ou les libéraux. Il est exact que je m’oppose aux populistes – je trouve cette dénomination pas injurieuse loin s’en faut -, mais j’aimerais employer plutôt des arguments politiques au lieu de me lancer dans des diatribes qui en fin de compte ne servent à rien. La première consiste à dire haut et fort, que de faire cavalier-seul comme le préconisent les partis d’extrême-droites, ne ferait qu’affaiblir les pays concernés. Que seule l’union fait la force. Il serait aussi souhaitable que le peuple se rende compte des enjeux internationaux. Nous ne sommes pas entourés par des gouvernements qui ont un amour immodéré pour l’Europe, au contraire. Des régimes qui voudraient nous affaiblir pour faire de nous des vassaux. Weiterlesen
Fridays for Future
Fridays for Future (FFF) ist eine globale Schüler- und Studierendenbewegung, die sich für den Klimaschutz einsetzt. Nach dem Vorbild der Initiatorin Greta Thunberg, auf das sich die meisten Klimastreiker berufen (darunter alle, die sich selbst als FFF-Anhänger etikettieren), gehen Schülerinnen und Schüler freitags während der Unterrichtszeit auf die Straßen und demonstrieren. Der Protest findet weltweit statt und wird von den Schülern und Studierenden selbst organisiert.
Zwei Tage vor der heutigen Europawahl haben deutschlandweit erneut Zehntausende überwiegend junge Menschen für eine bessere Klimapolitik demonstriert. Allein in Hamburg waren beim zweiten Klimastreik der FFF-Bewegung bis zu 17.000 Demonstranten in der Innenstadt unterwegs. „Wir sind hier, wir sind laut, weil ihr uns die Zukunft klaut!“, so die Parolen (zeit.de). Die Organisatoren waren ursprünglich von etwa 10.000 Teilnehmerinnen und Teilnehmern ausgegangen.
Die Proteste in Deutschland waren eingebettet in einen globalen Streik, der in rund 1.600 Städten in weit mehr als hundert Ländern stattfinden sollte. Schon im März hatte es einen solchen globalen Aktionstag gegeben (tagesschau.de).
Kurz vor der Europawahl wollte die Bewegung das Thema noch einmal in den Fokus rücken. Viele der Teilnehmer dürfen noch nicht wählen und ihre Interessen daher nicht an den Wahlurnen zum Ausdruck bringen. Die Aktionen standen daher unter dem Motto #voteclimate.
Statt weiter auf dem Vorwurf des Schwänzens und der absurden Forderung, wahre Klimaschützer müssten wie Steinzeitmenschen leben, herumzureiten, sollten sich die Erwachsenen bedanken, dass es „FFF“ gibt. Die junge, angeblich so unpolitische Generation hat es geschafft, ein im wahrsten Sinne des Wortes existentielles Thema so weit nach oben auf die Tagesordnung zu bringen, dass es nun als mitentscheidend für die Europawahl gilt.
Greta Thunberg hatte unter anderem schon einen Auftritt im Europäischen Parlament, beim UNO-Klima-Gipfel und sogar in Davos hinter sich und wurde sogar auf den Friedensnobelpreis nominiert.
Die Ziele der Bewegung scheinen ja zweifellos etwas Gutes zu bezwecken. Doch eine Frage sei erlaubt: Konnte das kleine Mädchen ernsthaft das Ganze allein in Gang setzen? Und: Wie werden diese Riesenprotestbewegungen organisiert?
Wenn man den deutschen Protest der FFF-Bewegung etwas näher betrachtet, erkennt man nicht ganz durchsichtige, aber sehr gut organisierte Strukturen, die sehr gut und reibungslos funktionieren – und die Protestbewegung mit Daten unterstützen und das Funktionieren der Aktionen gewährleisten (sputniknews.com).
FFF-Aktivisten sind in allen bekannten sozialen Netzwerken präsent – die ökologische Bewegung gibt es auf Facebook, Instagram, Youtube, Spotify und Twitter. Allein in Deutschland sollen es über 155 Internet-Gruppen sein.
Die neue Bewegung wurde in Deutschland weitgehend positiv eingestuft, obwohl es in der Politik in den ersten Monaten auch kritische Stimmen gegeben hat.
So werden Youtube-Videos auf Englisch weiterverbreitet, in denen am Ende ebenso aufgerufen wird: „Everyone has a choice, but not everyone has a vote. Make the European election about climate“.
Danach wird den Kindern gesagt, dass sie „eine besondere Verantwortung tragen“. Dafür sollten sie das Werbevideo anschauen, sich auf der Webseite der Bewegung „informieren“ und eine Briefwahl beantragen – und natürlich für das Klima streiken sowie die Nachricht an alle weiterverbreiten.
Eine so genannte virale Verbreitungstaktik also. Die Schüler werden gelobt und direkt instruiert, wie sie weiter vorgehen sollen.
Zwar werden keine konkreten Parteien benannt, die man unbedingt bei der Wahl unterstützen sollte, doch es wird wohl keine allzu fantastische Vermutung sein, dass eben die Partei, bei der Ökologie in ihrer Ideologie einen ganz besonderen Platz einnimmt, der zukünftige Nutznießer dieser Werbung bei der kommenden Europawahl sein könnte: Die Grünen!
Instrumentalisierung von noch nicht wahlberechtigten jungen Menschen?! Ja, aber hat uns nicht unsere klassische Schulausbildung in den letzten 200 Jahren genau dahin gebracht, wo wir jetzt sind?! Die Gegenfrage muss doch lauten: Instrumentalisieren unsere Schulen nicht die jungen Menschen zu einem klimaschädlichen, klassisch wirtschaftlichen Verhalten?!
Es ist die Zukunft der jungen Generation, sie hat nicht die Wahl über die Urne. Also stimmt sie mit Füßen über ihre Zukunft ab.