Lieber Pierre,

Selbstreflexion ist dringend von Nöten und manchmal hilft das auch. Um mich herum sind viele Menschen mit diversen Auffälligkeiten. Dem einen machen sie zu schaffen, der andere merkt es gar nicht und denkt, er sei völlig normal. Was immer wir tun im Leben, wir sind angewiesen auf eine harmonische Balance zwischen unserem Seelenleben (der Psyche) und der körperlichen bzw. geistigen Funktionalität. Ob es nun Sinnesfindung, Esoterik, Schamanismus, Yoga oder Selbstfindungs-Workshops sind oder der geschulte Psychologe, spielt keine Rolle, denn jeder muss seinen eigenen Weg finden, um mich sich selbst im Einklang zu sein. Ich halte weder etwas von Schamanismus und Globuli, noch von esoterischen Dingen und eigentlich auch wenig von Psychologen. Wenn jemand etwas ändern und bewegen kann, dann zweifellos immer nur der Mensch selbst. Dazu bedarf es einer kritischen Fokussierung auf das, was, wie und warum man so oder so ist. Man muss einen Schritt zurücktreten und versuchen, sich objektiv zu betrachten. Das fällt den meisten Menschen wirklich schwer, obwohl ein Außenstehender mit einer Portion Menschenkenntnis und Empathie den Knackpunkt schon längst erkannt hat. In deinem Fall, lieber Pierre – und ich möchte dir wahrhaftig nicht zu nahe treten, aber ich kenne dich nun viele, viele Jahre – steht an erster Stelle stets dein „Ich“. Jeder Satz beginnt mit „ich“ und jede Zeile beginnt mit „ich“. Und weil das „Ich“ wohl kaum wahrgenommen wird, setzt du hinter jede deiner Aussagen ein Ausrufezeichen, so als ob deine Worte keinerlei Gewichtung hätten. Dabei bist du ein ausgezeichneter Unterhalter, ein kluger Mann und ein hilfsbereiter Mensch, dem es nicht an Einfühlungsvermögen und Wissen fehlt. Doch du spürst dich nicht. Du spürst dich nur, wenn du Leistung bringst und nur dann, wenn du einen sichtbaren Output hervorbringst. Bist du als Mann tatsächlich nur anerkannt, wenn du etwas Kluges tust und leistest?

Es ist nicht neu, aber die Lösung liegt im Verstehen, sich fühlen, entspannen, loslassen, sich Fehler eingestehen, einmal nichts tun und auch um Hilfe bitten. Ich fühle mich nicht unbrauchbar, wenn ich einen freien Tag im Bett verbringe und Musik höre. Und wenn es mal einen Tag gibt, an dem ich nicht besonders produktiv war, dann ist es eben der nächste, na und? Es ist der „Flow“, den man zulassen muss und alles Erzwungene lässt den Menschen scheitern.

Sicherlich kommen mehrere Faktoren zusammen. Depressionen oder psychische Erkrankungen kommen häufiger innerhalb des familiären Umfelds vor, das ist erwiesen. Kommt es jedoch zu ernsthaften psychosomatischen Störungen – wie in deinem Fall – werden die Ärzte nichts Organisches finden können, denn es ist in der Tat psychisch bedingt und liegt mit seiner Wurzel sehr lange zurück.

Was soll ich dir raten? Ich lebe nach dem Prinzip „Think positive“ und nutze die Kraft der positiven Gedanken. Das heißt, du musst etwas verinnerlichen und wirklich fühlen, sonst klappt es nicht. Niemals konzentrieren auf das, was Angst macht oder blockiert, das steht fest. Eine gesunde Abwägung ist ok…aber alles Negative macht krank. Lieber Pierre, ich kann dir leider ebenso wenig helfen wie alle Ärzte, die du in den vergangenen Jahren besucht hast. Das Problem liegt in deinem Kopf und so lange du dich sträubst, das „Ich“ mehr in den Hintergrund zu rücken, also der narzisstischen Auffälligkeit entgegenzuwirken, wird es weitergehen. Zudem bedeutet „loslassen“ echte Entspannung und auch tatsächlich loslassen. Das sind keine Worte, es sind Gefühle, die befreiend sind und Raum für Selbstreflexion bzw. „sich-selbst-Gutes-tun“ zulassen. So lange solche besprochenen Dinge aber nicht emotional nachgefühlt werden können, ist es schwierig.

Schau dir einen Drogensüchtigen an, der genau weiß, welchen Raubbau er mit seiner Gesundheit betreibt und sich bewusst in den Zustand des sich-zugrunde-Richtens gebracht hat. Wir wissen, dass hinter nahezu 90% der Fälle ein mangelndes Selbstwertgefühl steckt und eine starke Tendenz sich schlecht zu behandeln (unterbewusst). Aber jeder Mensch hat es verdient, dass er gut mit sich selbst umgehen kann und sich auch den nötigen Freiraum verschaffen darf, einmal „Nein“ zu sagen oder sich zurückzuziehen bzw. einfach mal nichts zu tun. Lass los, lieber Pierre und fühle deine eigene Wertigkeit, die man dir vielleicht vor vielen Jahren unbeabsichtigt genommen oder auch nie gegeben hat. Traue dir zu, dass du weiterlebst und gemocht wirst, auch wenn du nicht funktionierst wie sie es alle gewohnt sind. Nimm dir Zeit, in dich zu fühlen und das genau in dem Moment, an dem du rein gar nichts tust. Fühlt sich das schlecht an? Bringt es dich durcheinander und hast du das Gefühl, du musst sofort in blinden Aktivismus verfallen? Das hatten wir schon, du erinnerst dich? Blinder Aktivismus als Kompensation, um sich nicht ehrlich fühlen zu müssen. Wenn du dort ansetzt und mehr an dem „Du“ interessiert bist als an dem „Ich“, dann glaube ich – ohne ein Psychologe zu sein – dass du auf dem besseren Weg bist.

Siehst du meine gedrückten Daumen?

 

Herzliche Grüße

Petra

 

© Petra M. Jansen

http://literatourpoetictext.blogspot.com/

De plus en plus de malades, de moins en moins de médecins, une pénurie endémique de très bons praticiens. Nous sommes livrés à eux et ne pouvons pas nous défendre, car comme il se doit, nous sommes des ignorants ! Voilà pour le cliché, qui comme tous clichés a sa part de vérité. Le sens humain manque malheureusement parfois chez ceux qui se croient « appelés » à exercer ! Est-ce pour eux une question de statut social, d’avoir choisi une profession, qui pour être efficace, devrait être considérée comme un sacerdoce ? Puis il y a une qualité qui ne s’apprend pas, c’est celle d’aimer son prochain, notamment quand il est dans le besoin. Je pense qu’il y a souvent à la base de tout cela un faux casting. Certes les capacités intellectuelles sont indispensables, mais plus encore le doigté en ce qui concerne l’approche des patients, la curiosité, l’esprit de solidarité. Les malades ne sont pas des voitures en panne. Ils ont une âme. Je serais d’avis qu’il faut attaché bien plus d’importance aux capacités sociales des futurs médecins, je veux parler de l’empathie, qui est un élément essentiel dans les thérapies. Certes le numerus clausus est appliqué, mais si la sélection se fait qu’au vu des notes, je ne peux qu’émettre des doutes. Je n’aurais aucune objection que chaque aspirant fasse au préalable un apprentissage d’aide-soignant, afin qu’il puisse bien jauger si humainement il peut assumer une telle profession. C’est à dire d’accepter que le bien des patients est une priorité absolue. Ces semestres de formation devraient être à mon avis inclus dans le cursus universitaire. Weiterlesen

Être transgenre ou homosexuel est dans notre « société si vertueuse » encore une tare. On considère un tel fait comme une maladie honteuse, ce qui est des plus discriminatoires. Ce qui est inné ne devrait pas être remis en question, ni même un comportement qui dépasse les normes fixées par des citoyens, se croyant obligés de d’imposer des comportements partant de leur subjectivisme. Une attitude pour le moins inacceptable, lorsqu’on fait référence à la nature, qui elle, est faite d’espèces différentes. « Non binaire, dans mon cas, cela signifie que je ne me reconnais ni comme fille ni comme garçon. Mais je suis aussi, actuellement, dans une parenthèse agenre, donc sans genre du tout », explique Yane, un jeune n’étant pas comme les autres. Je ne vois pas pour quelle raison la société n’accepterait pas une telle situation. La discrimination semble être un phénomène profondément ancré chez tous les êtres vivants. Je veux aussi parler de certains animaux, qui ne sont pas dépourvus de cette tare. Est-ce la peur que de tels mutations puisse mettre en danger l’évolution de l’homme ? Est-ce une défense contre certains caprices de la nature ? Le fait est qu’un quotidien hors-normes est très difficile à assumer. Qu’il exige de ceux qui sont autrement, de redevenir « normal » même si génétiquement ils ne le sont pas. A-t-on pris conscience quelles souffrances cela peut engendrer ? Que cela blesse élémentairement les droits de l’homme ? Tout cela, même s’il n’y a pas de harcèlement, que le comportement des un et des autres n’appelle pas de récriminations. C’est de l’exclusion la plus vile qui soit, que rien ne saurait excuser. « En 3e, je faisais tout pour me comporter en “vraie fille”, m’intéresser aux mêmes choses que les autres, c’était assez épuisant. J’avais cette idée que, si les gens voyaient ce que j’étais réellement, ils ne m’aimeraient pas. J’avais été beaucoup rejeté avant, je ne voulais plus sortir du lot », dit Yane. Il ne voit pas la raison pour laquelle il serait en marge. Non, il n’est pas un handicapé, une erreur de la nature. Weiterlesen

Non, je ne comprends pas la politique de l’école en France. La nouvelle circulaire au sujet de la maternelle démontre à mes yeux, que l’esprit de performance se retrouve au premier plan et ceci avec des enfants entre 3 et 6 ans. Faire du stress est à mon avis peu productif. Vouloir faire passer des examens hors propos. C’est méconnaître la psychologie de la petite-enfance, qui démontre que la seule chose qui compte est la motivation, de donner envie d’apprendre sans en faire un challenge. Pourquoi faire des gosses des singes-savants ? Lorsqu’il s’agit d’apprendre à s’exprimer plus correctement ou de compter jusqu’à cent, il suffit de faire cet apprentissage par le jeu, ceci sans s’imposer des limites, sachant que chaque enfant a son propre rythme. Ne paniquez pas, le tout peut être atteint sans contraintes. Il est prouvé que les élèves se motivent entre eux. Il n’est pas nécessaire de faire passer des épreuves ou de s’imposer un agenda. L’apprentissage élémentaire doit se faire dans la sérénité et ceci jusqu’à 10 ans. En ne mettant pas l’enseignement dans un carcan de directives, il est possible d’obtenir de meilleurs résultats. Et ceci en tenant compte du métabolisme de chacun et de chacune. Weiterlesen

La ministre de la santé, Agnès Buzyn a annoncé vouloir débloquer 40 millions d’euros annuellement, pour financer la formation des étudiants dans le domaine de la psychiatrie, pour la prévention du suicide et le développement de la pédopsychiatrie. Vraiment qu’une demi goutte d’eau sur une pierre chauffée à bloc ! Vous me direz que c’est mieux que rien, lorsque viennent s’ajouter à cela d’autres sommes. On arriverait ainsi à cent millions. Ce qui se passe ici est à nouveau la preuve qu’on met une fois de plus la charrue devant les bœufs. Tout le monde sait aujourd’hui, que la recrudescence des maladies psycho-somatiques n’est pas le fruit du hasard des statistiques, mais une réalité, dont il serait urgent de prendre en compte le plus rapidement possible. Cela consisterait à revoir tout le système de la santé. Il est évident que bien des maladies ont leur origine dans les contraintes psychiques, que beaucoup d’entre-nous subissent. Il en va tout d’abord de l’état mental des patients, qui laisse à désirer. Ce que je préconise, remet en question tout le système, car je suis d’avis qu’on s’attaque enfin aux causes, avant de s’en prendre aux effets. C’est en pédiatrie que les premiers pas préventifs devraient être faits. Il en va avant tout de stabiliser l’état nerveux des enfants, de savoir mieux gérer les problèmes qui se présentent à eux. Ce suivit devrait se prolonger au cours de toute une vie. La psychiatrie s’en trouverait enfin revalorisée et pourrait agir en amont, au lieu de devoir intervenir lorsqu’il est déjà trop tard. Il serait indispensable de constater, dès qu’il y a anamnèse, si les causes des maux ne sont pas d’ordre psychologique. Si oui il faudrait que la feuille de route inclue aussi des séances d’analyse, afin de cerner l’étendue des problèmes dont souffre le patient. Avant de mettre en branle les appareils comme l’IRM ou autre, il faudrait consacrer les premières séances au dialogue entre les médecins, les psychologues et les patients, ceci afin de définir le programme de thérapie. Ceci au cas, où tout se passe normalement. Weiterlesen

Prenez le temps de regarder la vidéo que je viens de voir sur le site du « Monde ». L’auteur de ce clip, Sébastien Bossi Croci vous donne la recette, comment s’y prendre pour influencer le résultat d’une élection. Je ne reviendrai sur les détails, considérant que ce petit film est très clair. Ce qui m’a tout d’abord ouvert les yeux, c‘est le cercle des personnes qu’il faut atteindre. Ce sont celles qui auraient tendance de ne pas aller voter, malgré certaines préférences. Tout d’abord il faut savoir que la plupart des électeurs ont déjà fait leur choix avant le début de la campagne. Il peut se modifier, mais ce n’est pas une règle absolue. Il sera donc très difficile de faire changer d’avis à ces gens-là, à moins qu’il y ait un événement de taille considérable, qui pourrait les faire basculer dans un autre camp. En France ce serait de 2 à 5 % des électeurs qui le feraient probablement. Le candidat a beau se démener, mais cela ne fera pas grand-chose, de même pour les déclarations de personnes connues dans la vie publique, qui apportent leur soutien à tel ou tel politicien. Ceux qui peuvent éventuellement faire bouger les choses, c’est le cercle des amis. Et c’est là que Facebook peut être utile. Comme tous les paramètres nous concernant sont disséqués, il est aisé de faire de nous un profil qui correspond à nos idées. Je vais me prendre comme exemple. Weiterlesen