Prenez le temps de regarder la vidéo que je viens de voir sur le site du « Monde ». L’auteur de ce clip, Sébastien Bossi Croci vous donne la recette, comment s’y prendre pour influencer le résultat d’une élection. Je ne reviendrai sur les détails, considérant que ce petit film est très clair. Ce qui m’a tout d’abord ouvert les yeux, c‘est le cercle des personnes qu’il faut atteindre. Ce sont celles qui auraient tendance de ne pas aller voter, malgré certaines préférences. Tout d’abord il faut savoir que la plupart des électeurs ont déjà fait leur choix avant le début de la campagne. Il peut se modifier, mais ce n’est pas une règle absolue. Il sera donc très difficile de faire changer d’avis à ces gens-là, à moins qu’il y ait un événement de taille considérable, qui pourrait les faire basculer dans un autre camp. En France ce serait de 2 à 5 % des électeurs qui le feraient probablement. Le candidat a beau se démener, mais cela ne fera pas grand-chose, de même pour les déclarations de personnes connues dans la vie publique, qui apportent leur soutien à tel ou tel politicien. Ceux qui peuvent éventuellement faire bouger les choses, c’est le cercle des amis. Et c’est là que Facebook peut être utile. Comme tous les paramètres nous concernant sont disséqués, il est aisé de faire de nous un profil qui correspond à nos idées. Je vais me prendre comme exemple. Weiterlesen

Être réélu avec près de 77 % des voix au premier tour, il faut le faire ! Mais c’est relativement simple du fait que le principal opposant a été éliminé d’office, à cause d’un soi-disant vieux jugement d’une affaire qui aurait pu être truquée. Il s’agit d’Alexeï Navalny, qui malgré son appel au boycott n’a pas pu arrêter le raz-de-marée. Il y aurait même eu une augmentation de 4 % de la participation électorale. Dans de telles conditions, même si cela fait mal au ventre, il faut accepter le résultat. Il est le meilleur pour Vladimir Poutine depuis qu’il se présente à des élections. La question qui se pose maintenant pour les occidentaux que nous sommes, comment réagir face à un tel verdict des urnes ? Je pense, que même si cela ne nous plaît pas, nous serons forcés de changer de fusil d’épaule et de revoir toute la question des sanctions contre la Russie, appliquées à cause de la Crimée et de l’Est de l’Ukraine. Elles n’ont pas réussies à briser la popularité du Président, au contraire. Il faudrait revoir d’une manière pragmatique notre politique. Quel serait le meilleur moyen de changer les mentalités ? De donner au peuple russe la possibilité de mieux jouir de la démocratie ? Un peuple fier ne se laissera pas imposer sous contrainte quoi que ce soit. Nous pourrons atteindre quelque chose que si l’initiative vient de lui-même, en aucun cas de l’extérieur. Je pense que l’option que les puissances occidentales avaient prise après l’effondrement du communisme, celle d’atteindre plus de prospérité est la bonne. Je pense qu’il faut reprendre place dans « ce train qui risque de nous échapper ». Je sais, ce que je préconise ici n’a rien à voir avec un point-de-vue moral. Mais en politique, le pragmatisme apporte plus de résultats. Weiterlesen

Parteien wie die AfD kritisieren die angebliche „Lügenpresse“ und die herrschende Fernsehkultur. Staatsfernsehen! Staatsfunk! Diese Begriffe haben in jüngster Zeit Konjunktur – längst nicht nur bei den Sympathisanten obiger Partei. Auch Autoren der „Frankfurter Allgemeinen Zeitung“ schreiben von „Staatssendern“ oder „staatlichem Rundfunk“, wenn sie ARD, ZDF oder Deutschlandradio meinen. Das Problem an den Begriffen? Sie sind nicht richtig!

Der öffentlich-rechtliche Rundfunk wurde nach dem Zweiten Weltkrieg als Gegenentwurf zum Großdeutschen Rundfunk der Nazis etabliert. Die Nationalsozialisten hatten die Medien gleichgeschaltet und den Rundfunk verstaatlicht und zentralisiert – er diente Reichspropagandaminister Joseph Goebbels als Instrument.

Nach dem Krieg wurde der öffentlich-rechtliche Rundfunk unter Aufsicht der Alliierten föderal neu aufgebaut: Nach Vorbild der britischen BBC sollten die Rundfunkanstalten unabhängig vom Staat sein.

Der Staat darf nicht diktieren, wie das Programm der öffentlich-rechtlichen Sender aussieht. Maßgeblich für die Entwicklung dieses staatsfernen Verständnisses des öffentlich-rechtlichen Rundfunks war und ist das Bundesverfassungsgericht. Die Karlsruher Richter haben in ihren Fernsehurteilen immer klargemacht: In Deutschland darf es keinen Staatsfunk geben!

Das bekam seinerzeit auch Bundeskanzler Konrad Adenauer Anfang der 1960er-Jahre zu spüren. Der Kanzler plante ein privatrechtliches Deutschland-Fernsehen. Der Bund sollte 51 Prozent an der GmbH halten, die Länder 49 Prozent. Die Bundesregierung hätte bis zu zehn der maximal 15 Mitglieder des Aufsichtsrates bestimmt und sich somit einen dominierenden Einfluss auf den Fernsehsender gesichert.

Doch Adenauers Deutschland-Fernsehen scheiterte am Bundesverfassungsgericht. Rundfunk sei erstens Ländersache, urteilten die Richter. Außerdem hätte ein Deutschland-Fernsehen nach Adenauers Vorstellungen gegen einen wichtigen Grundsatz verstoßen: Es wäre nicht staatsfern gewesen, die Bundesregierung hätte einen zu starken Einfluss auf das Fernsehprogramm gehabt.

Staatsferne ist also die verfassungsrechtliche Maßgabe, bedeutet allerdings nicht völlige Staatsfreiheit (Gostomzyk, Medienrechtler). In den Aufsichtsgremien, die ARD und ZDF kontrollieren, sitzen „gesellschaftlich relevante Gruppen“. Dazu gehören Kirchenvertreter, Gewerkschafter, aber auch Vertreter von Parteien und Landesregierungen. Staatliche Akteure dürften in den Rundfunk- und Verwaltungsräten allerdings keinen maßgeblichen Einfluss bekommen, so obiger Medienrechtler.

Das gelang nicht immer. In 2014 erklärte das Bundesverfassungsgericht den ZDF-Staatsvertrag in Teilen für verfassungswidrig, weil zu viele Vertreter von Bund, Ländern und Parteien in den Aufsichtsgremien saßen.

Nach dem neuen ZDF-Staatsvertrag darf maximal noch ein Drittel staatsnah sein. Damit solle der Einfluss der Staatsbank auf das öffentlich-rechtliche Programm begrenzt werden (Thomaß, Medienwissenschaftlerin).

Für mehr Unabhängigkeit soll in Deutschland auch die Finanzierung sorgen. Im Gegensatz zu anderen Staaten werden ARD, ZDF und Deutschlandradio nicht aus dem Staatshaushalt finanziert, sondern über den Rundfunkbeitrag, welchen jeder Haushalt in Deutschland zahlen muss.

Wird der Rundfunk dagegen direkt aus dem Staatshaushalt finanziert, öffnet das Tür und Tor für politische Einflussnahme. Wechselnde politische Mehrheiten könnten dann darüber entscheiden, ob und in welchem Umfang die Sender weiter finanziert werden.

Die Deutsche Welle ist ein Ausnahmefall und die einzige Rundfunkanstalt nach Bundesrecht. Laut DW-Gesetz ist das Ziel des Senders, Deutschland im Ausland verständlich zu machen und „den Austausch der Kulturen und Völker zu fördern“. Anders als ARD-Landesrundfunkanstalten, ZDF und Deutschlandradio, wird die Deutsche Welle aus Steuermitteln finanziert. Zuständig ist der jeweilige Beauftragte der Bundesregierung für Kultur und Medien (BKM), zur Zeit Staatsministerin Monika Grütters.

Als Beispiel: In Spanien wird Radiotelevisión Española (RTVE) zum großen Teil aus der Staatskasse finanziert. Als Sparmaßnahmen in der Euro-Krise reduzierte die konservative Regierung den staatlichen Zuschuss für RTVE. Hängen Sender von der Gunst der Regierung ab, könnten sie gehemmt sein, kritisch zu berichten. In der Katalonienkrise meldeten sich mehrere RTVE-Journalisten auf Twitter zu Wort. Sie fanden, dass der eigene Sender zu unkritisch über die Polizeieinsätze berichtete.

Staatsfunk heißt schlussendlich: Er wird im Auftrag des Staates gesendet. Beispiel hierfür ist Nordkorea. Dort dienen Staatsmedien der Propaganda. China hat im Bereich Fiktion einen freien Markt, geht es aber um Nachrichten und Information, berichtet der Staatsfunk.

Polen oder Ungarn hatten nach dem Zusammenbruch der Sowjetunion einen öffentlich-rechtlichen Rundfunk eingeführt. Jetzt spreche man dort wieder von „Staatsfunk“ (Thomaß).

Man sendet, was die Regierung haben möchte …

 

C’est un scandale sans précédent ! Le fait que VW ait pu mettre au point un logiciel donnant des données erronées en ce qui concerne les émissions nocives des moteurs Diesel aux USA, est un acte criminel. Il n’y a pas d’autres dénomination pour décrire ce qui s’est passé depuis des années. Les autorités chargées de contrôler la pollution ont été bafouées. Les Allemands digèrent très mal ce genre de vilenie, qu’ils considèrent comme une atteinte à leur éthique. En agissant ainsi, VW a nuit à toute l’industrie d’un pays. Il est à prévoir que le « made in Germany » en prendra « plein la gueule ! ». Ce qui me sidère, c’est le fait que les manipulateurs se croient à l’abri de toutes découvertes. Ils devraient savoir que rien ne se cache à long terme. Il est à prévoir que la compagnie aura à payer une amende allant jusqu’à 15 milliards de dollars. Les réserves en cas de pépin étant de 25 milliards d’euros, cette somme incroyable pourra être payée. Qu’en est-il de la réputation et l’image de cette entreprise ? Le dommage occasionné dépassera de loin les effets actuels. Je crains qu’il sera difficile que VW retrouve son intégrité. Il y aura toujours une suspicion et cela risque de faire encore plus mal. Si les ventes diminuaient drastiquement, cela aurait des incidences. Mais d’après certains médias, ce ne serait que le sommet de l’iceberg. Ils parlent de manipulation en Chine et en Europe. Nous verrons plus clair ces prochains jours. Il y a aussi la concurrence, qui évite de se faire entendre trop. Serait-elle aussi dans le collimateur ? Pour l’instant que des spéculations ! Il est à prévoir que des têtes tomberont à Wolfsbourg, le siège de cette multinationale. Martin Winterkorn, le PDG, en fera probablement les frais, même s’il n’avait pas été au courant. Si c’était vraiment le cas, on lui reprochera d’avoir failli à ses obligations. N’aurait-il pas dû empêcher de telles malversations ? Même si cela était injuste, il devra assumer ses responsabilités « politiques » et prendre son chapeau. Comme Willy Brandt après l’affaire Guillaume, l’espion de la RDA, qui était à ses côtés à la chancellerie. Le fera-t-il ? Weiterlesen

Najat Vallaud-Belkacem, ministre de l’éducation nationale, a apporté son soutien à une école niçoise pour avoir fait convoquer le petit Ahmed, 8 ans, au commissariat. Il a fait l’apologie des meurtriers de « Charly hebdo ». Tout d’abord j’ai été déconcerté, mais en y réfléchissant bien, je trouve cette initiative justifiée. Vous me direz que de traiter ainsi un petit garçon est exagéré. Mais lorsque le mouvement islamiste Boko Haram utilise une fille de dix ans comme bombe vivante au Nigeria, il y a de quoi réfléchir. C’est la preuve que les terroristes ne reculent devant rien. Elle ne savait probablement pas exactement ce qu’elle faisait, mais avec le lavage de cerveau qu’on lui avait prodigué, elle ne pouvait probablement pas faire autrement. Elle a entraîné dans la mort un grand nombre d’innocents. Weiterlesen