Les hongrois ont en plein les bottes depuis que Viktor Orbán veut imposer encore plus l’accès à l’internet. Le premier ministre essaie par tous les moyens de museler son peuple. En s’attaquant à la liberté d’expression, il est en train de réaliser son but : celui d’instaurer un régime autoritaire, une dictature en quelque sorte. Et ceci dans le cadre de l’UE. Ce qu’il fait là ne correspond en aucune manière aux principes européens. Il serait tout à fait légitime que Bruxelles sanctionne une telle attitude. La commission ne se tait pas mais n’agit pas non plus. Je trouve insupportable ce laxisme. Il indique que d’autres autocrates pourraient agir de même sans risquer leur peau. Non, nous n’avons pas le droit d’ignorer ce qui se passe à Budapest. Je suis rassuré qu’une centaine de milliers de manifestants soient descendus dans les rues de la capitale. J’aurais aussi aimé qu’il le fasse pour protester contre la discrimination des minorités dont les gitans et les juifs. La question se pose à quel point l’internet fait partie des outils de la liberté ? Quel est son rôle pour la sauvegarde des droits de l’homme ? C’est un moyen prodigieux pour marquer son avis quant à l’agissement des dirigeants. Viktor Orbán le sait bien et veut s’en prévenir en rendant très cher l’accès à l’internet. L’interdire tout simplement n’est pas une solution. Bien plus s’attaquer au porte-monnaie ! Il a probablement déclenché un processus qui pourrait l’éloigner du pouvoir. L’a-t-il compris ?Peu probable. Cela ne m’étonnerait pas qu’il se serve de la force pour intimider ses concitoyens. Se laisseront-ils provoquer ? Ou lutteront-ils jusqu’au bout pour faire évoluer la situation ? Il serait maintenant temps de soutenir ce mouvement de protestation, de le renforcer même. Non, nous n’avons pas besoin de dictatures en Europe ! Ce serait désavouer nos aspirations et donner de l’élan à des mouvements populistes et d’extrême-droites. Les émeutes de Cologne de samedi dernier devraient nous faire réfléchir. Des milliers de voyous extrémistes ont fait couler du sang. En pénalisant Orbán on ferait le premier pas. Il faut le boycotter à tout prix ! Internet = démocratie ? C’est une formule peut-être un peu simpliste mais elle marque un bon début !

pm

http://www.liberation.fr/monde/2014/10/29/en-hongrie-les-hipsters-refusent-de-boire-la-taxe-de-viktor-orban_1132055

 Pierre Mathias

The Price

The end of capitalism approaches. That´s the opinion of Florian Stahl according to DIE ZEIT. Online shopping in the United States or Germany, for example. As the professor of quantitative marketing recently logged out on the website of a travel provider at the University of Mannheim, then deleted cookies, the same room was suddenly cheaper, when he started his hotel request again, this time anonymously. Because the algorithm could not identify him, it proposed to him a different price. „The price mechanisms are going to change,“ says Steel. We have learned that supply and demand determine the price. An objective determination of the price. Today, in the age of customer cards, they collect data about their owners. The same thing happens online. Welcome to the „beta phase of the third industrial revolution“! Computers synchronize our data and suggest us a personalized price. This runs like that in social networks with the advertisement for years now. The price is adjusted to my personal circumstances. „Having a lot means paying a lot!“. Discriminating against people by the price! Is this juridically in order?! But as we are good customers, we´ll certainly get a discount, don´t we do so?!

Der Preis

Das Ende des Kapitalismus nähert sich. Laut DIE ZEIT sieht Florian Stahl dies so. Online-Einkauf in den USA oder in Deutschland zum Beispiel. Als sich der Professor für quantitatives Marketing kürzlich an der Universität Mannheim bei einem Reiseanbieter ausloggte, die Cookies löschte, dann seine Hotelanfrage noch einmal startete, diesmal anonym, war das gleiche Zimmer plötzlich günstiger. Weil der Algorithmus ihn nicht mehr identifizieren konnte, schlug er ihm einen anderen Preis vor. „Die Preismechanismen sind dabei, sich zu ändern“, sagt Stahl. Wir haben noch gelernt, dass Angebot und Nachfrage den Preis bestimmen. Eine objektive Bestimmung des Preises.

Heute, im Zeitalter der Kundenkarten, sammelt man Daten über deren Besitzer. Gleiches geschieht online. Willkommen in der „Beta-Phase der dritten industriellen Revolution“! Computer gleichen unsere Daten ab und schlagen uns einen personalisierten Preis vor. Das läuft bei den sozialen Netzwerken mit der Werbung schon seit Jahren so. Der Preis ist meinen persönlichen Verhältnissen angepasst. „Hast Du viel, zahlst Du viel!“. Diskriminierung des Menschen über den Preis! Ist das juristisch in Ordnung?! Aber als gute Kunden bekommen wir bestimmt Rabatt, nicht wahr?!

© Thomas Dietsch

Depuis les événements de la bande de Gaza, Jérusalem-Est est sous tension. Et ceci d’autant plus qu’Israël construit de plus en plus de quartiers réservés à ses ressortissants. La stratégie est claire. On est en train de rendre irréversible le processus colonial, dans l’espoir d’empêcher la création d’un état palestinien. En instituant des enclaves un peu partout on crée des faits accomplis. Je trouve cette manière de faire irrecevable, je la condamne. Le gouvernement n’a pas encore pris conscience qu’il se prend au piège. L’exemple de l’Algérie lors de son indépendance le prouve. Les colons ont dû quitter en catastrophe leurs propriétés. L’armée française n’a pas réussi à inverser la vapeur. Cette politique est très dangereuse. Elle ne prend pas en compte les aspirations de tout un peuple. Plus encore, elle manipule ses propres concitoyens. Il n’est pas à exclure que les minorités juives soient un jour chassées de ces territoires. Ou massacrées ! Le pouvoir à Jérusalem exige d’elles, qu’ells se sacrifient au nom d’un grand Israël. Cette attitude attise la braise et rend caduque toutes initiatives de paix. Les puissances occidentales préconisent bien la solution de deux états indépendants, mais du bout des lèvres. Leur manière de faire est des plus frileuse, ce qui n’arrange guère la situation. Je crains qu’il soit trop tard pour appeler à la raison les protagonistes de cette tragédie. La haine gagne de plus en plus de terrain, ce qui rend aveugle. La raison est éradiquée. Je m’étonne qu’un pays comme Israël planifie à court terme. Sans un compromis historique, la violence prendra de plus en plus d’importance. L’exemple fatal de l’état islamique démontre qu’il y a un grand danger. Malgré le mur qui est en train de s’ériger, il sera difficile de préserver la paix. C’est une nouvelle réalité qui devrait être prise en compte par les dirigeants actuels. Ils devraient avoir la preuve que ni les USA, ni l’UE seront prêts à s’engager d’une manière plus effective dans un tel conflit. Cela devrait faire réfléchir le premier ministre. Mais ce dernier semble croire que son pays sera à tout jamais vainqueur. Une attitude dangereuse. Napoléon a vu où cela pouvait le mener. Tout droit à Waterloo.

pm

http://www.lemonde.fr/proche-orient/article/2014/10/28/quatre-questions-posees-par-les-emeutes-de-jerusalem-est_4513928_3218.html

Pierre Mathias

Contrairement à la Grande Bretagne qui refuse de payer des contributions supplémentaires à l’UE, la France, sous pression de Bruxelles, sera obligée de corriger à la baisse son budget 2015. 3,6 milliards d’euros seront économisés. Paris espère ainsi éviter un avis négatif de la commission et de payer une amende. C’est le prix exigé pour que la zone euro soit stable. Le déficit ne doit pas dépasser 3% du PIB. Cette limite ne pourra pas être respectée, mais les efforts fournis vont dans la bonne direction. Je suis d’accord tant qu’une telle décision ne freine pas les investissements. Mais ne nous faisons pas d’illusions, elles seront automatiquement réduites. Si l’UE ne met pas sur pied un vigoureux programme de relance, le chômage augmentera car l’économie stagnera ou sera régressive. Peut-être l’Europe devra revoir sa copie et faire tout ce qui est en ses moyens pour revitaliser un continent en perte de vitesse. Si la recherche ne touche pas les subventions nécessaires, nos produits perdront toute attractivité. Il faut qu’on se mette cela en tête. Nous n’avons pas des réserves pétrolifères et minières pouvant nous tirer d’affaire dans des temps difficiles. Le seul atout pour nous est la matière grise, l’originalité et l’efficacité de nos produits. Pour que la France opère une grande réforme, il faut lui laisser le temps. Combler les dettes est une chose, être paralysé une autre. Lorsque j’ai des ennuis de trésorerie je négocie avec la banque, essaie de prolonger les échéances pour assurer le quotidien. Cela me permets de mieux sortir de l’ornière. Une remise de dettes n’a jamais été à l’ordre du jour et quelle banque aurait accepté un tel deal ? Je me suis aperçu que le facteur temps joue un rôle essentiel. En étant trop intransigeant on met le pays au pied du mur. J’aurais trouvé important qu’on mette sur place un plan d’investissements sur pied plus rapidement que c’est le cas. Cela aurait dû se faire à l’orée de la crise. Bien sûr, il n’est jamais trop tard pour bien faire. L‘ Allemagne semble l’avoir compris. Oui aux efforts budgétaires mais à condition de mettre sur pied un autre système de stabilité. Jean-Paul Juncker semble l’avoir compris. Plus de 300 milliards devraient selon ses vœux être consacré à la relance. Attendons de voir !

pm

http://www.lemonde.fr/europe/article/2014/10/27/budget-la-france-devrait-echapper-a-l-avis-negatif-de-la-commission-europeenne_4513282_3214.html

Pierre Mathias

Dilma Rousseff a vaincu son adversaire du centre-droit Aecio Neves sur la ligne d’arrivée. 51,45% contre 48,55% n’est pas un résultat très enthousiasment. Mais je trouve étonnant que la Présidente de gauche ait pu gagner les élections après les émeutes de cette année. La corruption du milieu politique a amené des milliers de citoyens dans la rue. L’inefficacité du système de la santé, scolaire ou des transports ont été les thèmes abordés. Une fois de plus on a de la peine à comprendre qu’une telle candidate ait pu gagner. Est-ce la peur du changement ? Ou la personnalité de Neves qui a inversé l’esprit de réformes ? Il est évident que le Brésil a choisi des options qui le mène dans des difficultés financières. Tout d’abord le championnat du monde de football, puis les jeux olympiques. Si j’en crois les marchés financiers, la situation économique du pays s’est détériorée. L’ambiance euphorique de ces dernières années a laissé place à un certain blues. C’est le problème des pays émergents. En ce qui concerne l’Amazone il y a eu massacre pour des raisons économiques. L’écologie est passée au deuxième plan pour satisfaire l’avidité de certains requins et ceci avec la complicité de Dilma Rousseff. Comme homme de gauche je condamne cette attitude d’autant plus que le peuple n’en a pas profité à sa juste mesure. Les favelas et la pauvreté n’ont pas disparu que je sache. Ce n’est pas avec des promesses qu’on peut se remplir la panse. Mais malgré tout une majorité a élu la présidente sortante. Il est à espérer qu’elle en ait tiré les leçons. La peur que les prestations sociales en pâtissent a été probablement la raison de sa réélection. J’aurais souhaité que le peuple brésilien continue à réclamer plus de justice. Il serait maintenant temps pour Dilma Rousseff de revoir sa copie et d’écouter la voix de ses opposants. Elle ne peut plus certes renvoyer les JO, mais elle devrait se poser la question si les sommes colossales investies en valent la peine. Pour un coup de pub, c’est du délire. Je pense qu’il aurait été préférable d’investir dans les écoles ou dans les hôpitaux, de réformer l’infrastructure en général. La folie des grandeurs a mené plus d’un pays à la ruine. Je crains que le Brésil aura à subir ce fléau et tout ceci pour satisfaire l’orgueil d’une classe dirigeante mégalomane.

 pm

http://www.liberation.fr/monde/2014/10/26/dilma-rousseff-reelue-presidente-du-bresil-avec-5145-des-voix_1130252

Pierre Mathias

Discepoli del Terrore

Cosa c’è di interessante con il gruppo terroristico „Stato islamico“, in breve: IS? Essi rappresentano una teocrazia presunta. Nella qual cosa io dubito se sanno affatto come questo è definito. Una teocrazia è una „forma di governo in cui il potere dello Stato solo è legittimato in modo religioso e che è esercitato di una persona divinamente prescelto (dio nominato profeta, dio dotato re, ecc), un sacerdozio (clero) o istituzione religiosa sulla base di principi religiosi“ (Wikipedia). Principi religiosi? Il Corano non dice „discrimina le minoranze o le donne!“, „Uccidete le altre fedi“!, o simili. Il libro sacro è abusato qui! Abusato come giustificazione per il potere assoluto, che prendono pochi su molti, o addirittura il mondo. E la seduzione qui è la fede o l’apparente prospettiva di un paese di fiaba nel modo di „Mille e una notte“. Ci sono di nuovo seduttore che stanno facendo strada, bisogna guardarsi! In questo mondo complesso e caotico, il miraggio di una vita semplice nella prosperità e la pace è grande. Ma chi non semina non raccoglie; non dimenticate questo!

Jünger des Terrors

Was ist so interessant an der Terrorgruppe „Islamischer Staat“, kurz: IS? Sie stehen für einen angeblichen Gottesstaat. Wobei ich bezweifele, ob diese überhaupt wissen, wie sich dieser definiert. Ein Gottesstaat ist eine „Herrschaftsform, bei der die Staatsgewalt allein religiös legitimiert und von einer göttlich erwählten Person (gottberufener Prophet, gottbegnadeter König usw.), einer Priesterschaft (Klerus) oder sakralen Institution auf der Grundlage religiöser Prinzipien ausgeübt wird“ (Wikipedia). Religiöse Prinzipien? Im Koran steht nicht: „Diskriminiere Minderheiten oder Frauen“!, „Töte den Andersgläubigen“!, oder ähnliches. Das heilige Buch wird hier missbraucht! Missbraucht als Legitimation für absolute Macht, die einige wenige über viele, oder gar die Welt, beanspruchen. Und die Verlockung hierin ist der Glaube oder die vermeintliche Aussicht auf ein Märchenland nach dem Motto „Tausend und eine Nacht“. Es sind wieder Verführer unterwegs, man muss sich hüten! In dieser komplexen und chaotischen Welt ist die Verlockung auf ein einfaches Leben in Wohlstand und Ruhe groß. Aber vor dem Wohlstand steht bekanntlich der Fleiß; vergesst das nicht!

 

© Thomas Dietsch

Les politiciens en Ukraine savent bien que sans un système démocratique ils n’auraient aucune chance vis-à-vis de l’UE. Plus que jamais ils sont dépendant de Bruxelles. La situation économique est désastreuse. Le PIB pourrait baisser de 8%, la monnaie nationale a été dévaluée de 11%. La cause ? Évidemment la guerre et la perte momentanée du Donbass, le plus grand centre industriel et énergétique du pays. Le président Petro Porochenko, comme homme d’affaires, sait parfaitement bien que l’Ukraine se trouve au bord du gouffre. Sans un miracle l’effondrement économique est programmé. Il y a aussi la dette envers la Russie concernant les livraisons de gaz naturel. Elle s’élève à des milliards. Pour tout investisseur ce pays est, dans les conditions actuelles, un puits sans fond. Il n’aurait qu’à perdre. Seule une intervention des états européens et des USA pourrait éventuellement créer un équilibre. Dans la situation actuelle de l’UE je ne pense pas que cette option est réaliste. Tout au moins dans les dimensions nécessaires. Dans un tel contexte il ne faut pas oublier le rôle de la géopolitique. Toute aide attirerait les foudres du Kremlin. Je doute fort que les chancelleries soient disposées à prendre de tels risques. Il faudrait tout d’abord mettre en route les revendications du Maïdan : lutter contre la corruption et les fraudes électorales. On en est loin. Cela n’empêche pas le peuple ukrainien de rêver. Il croit encore à une aide substantielle de l’occident. Il n’a pas compris que les décisions politiques ne se prennent pas sur un coup de cœur. La politique est plus que jamais une affaire de troc. Je te donne et tu me donnes. Et c’est là que le bât blesse. L’enjeu de l’Ukraine ne vaut pas, économiquement parlant, un Kopeck. Cette thèse peut paraître choquante, mais qui prétend le contraire est un fieffé menteur. Aussi douloureux que cela puisse paraître, Petro Porochenko devra s’arranger avec Vladimir Poutine. Du point de vue stratégique il n’y a pas d’autres solutions. Une option terrible lorsqu’on sait que la Russie est en train de dépecer l’Ukraine. Seul le pragmatisme peut faire avancer les choses. Le sentimentalisme serait destructeur. Allez expliquer cela au peuple !

pm

http://www.lemonde.fr/europe/article/2014/10/24/ukraine-les-elections-en-six-points_4512127_3214.html

Pierre Mathias

Vote buying

The people has a voice, namely at the election of its representative! So it is provided by democracy. Elections shall be secret and unaffected. So much for theory! We received news of vote buying from Ukraine. They come into the houses, promise you prices if you made the cross in the right place at the election. One only needs to photograph the completed ballot paper with the mobile phone and send the image via SMS to the „center“. Then you are already about to win. Among us: For the prize you will wait in vain! Even in Soviet times in the USSR before the elections all work collectives had been „rounded up“ and were brought on track. If you vote for the wrong one, there would be no money for public services such as road construction, pension, etc. Only the right candidate could obtain this. Straight out: this is manipulation of the election and monitoring of citizens. As for the elections, the Ukraine is closer to the old Soviet Union than to modern Europe. But as Walter Ulbricht already said: „It has to look democratic, but we need to have everything in hand.“ No, nothing has changed!

Stimmenkauf

Das Volk hat eine Stimme: nämlich bei der Wahl seiner Vertreter! So sieht es die Demokratie vor. Wahlen sind geheim und unbeeinflusst. Soviel zur Theorie! Aus der Ukraine kommen Nachrichten über Stimmenkauf. Sie kommen in die Häuser, versprechen dir Gewinne, wenn du bei der Wahl das Kreuz an der richtigen Stelle gemacht hast. Man braucht nur den ausgefüllten Wahlzettel mit dem Handy zu fotografieren und das Bild per SMS an die „Zentrale“ weiterschicken. Schon kann man gewinnen. Unter uns: auf den Gewinn wird man lange warten! Schon zu Sowjetzeiten in der UdSSR wurde ganze Arbeitskollektive vor den Wahlen „zusammengetrieben“ und auf Spur gebracht. Wenn man den Falschen wählt, gäbe es keine Geld für die staatlichen Leistungen wie Straßenbau, Rente, usw. Nur der richtige Kandidat könne dies erwirken. Ohne Umschweife: das ist Wahlmanipulation und Überwachung des Bürgers. Was die Wahlen angeht, ist die Ukraine noch näher an der alten Sowjetunion als am modernen Europa. Aber wie sagte Walter Ulbricht einmal: „Es muss demokratisch aussehen, aber wir müssen alles in der Hand haben.“. Nein, es hat sich nichts verändert!

 

© Thomas Dietsch