Je dois tout d’abord faire mon mea culpa. Je ne peux pas faire autrement que de dire, que j’aime faire de la vitesse, lorsque je suis sur les tronçons, où la vitesse n’est pas limitée sur les autoroutes allemandes. Souvent je ne m’aperçois pas à quelle vitesse je conduis. Parfois du 180 à 200 kilomètres à l’heure. Pour cela je reçois un savon par mes amis, qui trouvent mon attitude insensée, irresponsable du point de vue sécuritaire et écologique. Je fais évidemment amende-honorable, m’efforce d’avoir mauvaise conscience, mais n’y arrive pas tellement. Je sais ce qu’une limitation de vitesse peut représenter. Chaque fois que je me rends dans notre domicile en France, je passe par la Suisse, où sur les autoroutes, où la vitesse maximale est limitée à 120 km/h, j’ai l’impression d’être un escargot et commence vite à m’ennuyer, connaissant comme ma poche, le parcours que je prends dix à douze fois pas ans. Une vitesse désagréable, qui donne l’impression, qu’elle n’est pas organique. Par contre les 130 sont pour moi plus acceptables. Weiterlesen