Il est positif qu’un grand quotidien comme « Le Monde » prenne position contre le déferlement de haine que la France connaît depuis la révolte des Gilets Jaunes. Une attitude qui est étrangère avec l’idée que nous nous faisons de la démocratie, un système, où les conflits doivent être débattus dans une atmosphère constructive. Cela ne veut en aucun cas dire de vouloir étouffer les revendications, au contraire, mais d’essayer tout au moins de trouver des solutions qui seraient pour tous vivables. Je ne suis pas un partisan de l’harmonie à tout prix, qui masque des situations explosives, qu’il faut désamorcer pendant qu’il est encore temps, mais d’un dialogue constructif même s’il est violent, d’agir en amont, non pas d’attendre la catastrophe sans réagir. Lorsqu’il est question de la précarité, seul le résultat compte en fin de compte. Ce n’est pas la démarche que suit bon nombre de Gilets Jaunes, me semble-t-il. De prendre le désarroi de certains citoyens comme prétexte pour faire la révolution, est à mon humble avis tout à fait illégitime. De prôner la violence et en particulier la haine, une démarche destructive qui n’a qu’un seul but, celui d’ouvrir la porte au totalitarisme. D’attiser l’exclusion, l’antisémitisme ou offrir aux néonazis un forum, un déni de la République. C’est de cela qu’il est avant tout question, pas une attitude solidaire envers les plus démunis. Puis il y a tout ce lot de mensonges sur internet. Cela n’a plus rien de social, c’est de l’injure à l’état pur. Weiterlesen

Je viens de faire un rêve… Plus exactement un cauchemar. J’étais un travailleur de Liverpool, qui adore le foot et est fier du club, qui fait l’histoire de la ville. Fier aussi des joueurs, qui contrairement à moi, ne tirent pas constamment le diable par la queue pour boucler les fins de mois. Je suis employé dans une fabrique qui construit des jeeps. Les exportations jouent un rôle important dans son chiffre d’affaire. Une affaire moyenne, pour qui toutes fluctuations peuvent avoir des conséquences fatales. À quelques jours de la votation à Westminster concernant le Brexit, mes collègues et moi sont de plus en plus nerveux. Le 15 janvier se décidera notre avenir. Que faire si on nous mettait au chômage, ce qui risque d’arriver ? Comme mécanicien il y a belle lurette que je ne peux plus exercer mon métier. Le travail à la chaîne ne correspond pas à mes qualifications, mais que faire ? Mes collègues viennent en général de l’Est de l’Union européenne, des pays comme la Roumaine, la Bulgarie et j’en passe. Et même s’ils devaient revenir au bercail, cela ne voudrait en aucun cas dire qu’il y ait plus de travail. Lorsque il y a du sable dans le moteur, rien ne va plus et cela risque d’être le cas. Je ne suis pas tombé de la dernière pluie. J’ai bien vu comme nos fleurons de l’industrie ont été bradés. Que des multinationales allemandes aient pu reprendre Rolls-Royce ou la Mini, est pour moi le déni complet de notre génie industriel. De vouloir miser sur les brokers de la City, semble aujourd’hui bien compromis. Un grand nombre de banques sont déjà parties des bords de la Tamise, pour se retrouver à Francfort ou ailleurs. Weiterlesen

Au cours de son allocution à la nation du bureau ovale de la Maison Blanche, Donald Trump a à nouveau insisté que la construction du mur entre les USA et le Mexique était une question essentielle pour la sécurité, ce qui a été réfuté séance-tenant par Nancy Pelosi, la patronne démocrate de la Chambre des Représentant, qui lui reproche de faire peur à un grand nombre de citoyens, de leur jeter de la poudre aux yeux. Le président réclame 5,7 milliards de dollars pour ériger un mur, à l’égal de celui de Berlin, dans l’idée de pouvoir ainsi empêcher à de nombreux de migrants d’entrer illégalement sur le territoire national. Il a aussi évoqué le trafic de drogues. Je pense que là il se fourvoie dans des vœux-pieux. Jusqu’à présent de telles barrières n’ont jamais pu enrayer l’importation d’opiacés, au contraire. Ce conflit entre la Chambre des Représentants, à majorité démocrate, et la Maison Blanche a amené un blocage du budget de l’État. Depuis des jours un grand nombre de fonctionnaires ne peuvent plus être payés, de nombreux services sont gelés, ce qui paralyse évidemment le pays. Ce n’est pas un personnage comme Trump qui se laissera intimider par ses adversaires démocrates, qu’il accuse de livrer les États-Unis à des forces occultes, qui n’ont qu’un but, celui de lui porter ombrage. Si les démocrates ne veulent pas se dédire, ils sont eux-aussi forcés de persister. Il n’en va pour eux pas seulement d’une mesure concrète à la frontière Sud, mais plus de s’opposer farouchement à la politique isolationniste du président, de le forcer à faire machine-arrière dans tous les domaines, où il essaie de mettre en pratique de telles visions, comme dans la guerre commerciale qu’il se livre avec la Chine ou qu’il a l’intention de déclencher contre l’UE. Weiterlesen

Luigi di Maio, le leader du mouvement 5 Étoiles en Italie, le ministre du travail, qui est en coalition avec le néofasciste Matteo Salvini en Italie, a fait avec son collègue de l’intérieur de la récupération en ce qui concerne les Gilets jaunes. Pour toutes personnes un tant peu soient censées, la preuve de la véritable de la connotation à donner à ce mouvement revendicatif. C’est un déni absolu par rapport aux déclarations prétendant que les « Jaunes » ne soient rattachés à aucune idéologie, à aucune formation. Sans vouloir traiter la grande masse des manifestants de fachos, il faut reconnaître que certains de ses dirigeants, sont tentés de faire une expérience qui les mènerait à l’extrême-droite. Pour tous républicains, une option indigeste. Si c’était le cas, il y aurait vraiment un danger de guerre-civile, qu’on se le dise. Vouloir jouer ainsi avec le feu, est une ouverture à toutes formes de violences, au racisme, à l’exclusion, comme le prouve l’Italie en ce moment. Personne ne peut ignorer la chasse à courre, dont sont victimes certains migrants. Que tous ceux qui sont basanés soient considérés comme des sous-hommes. Une situation que ce pays qui était dans le passé tolérant est devenue d’une cruauté absolue. Voulons-nous à nouveau la guerre des banlieues ? La mise au pilori des plus faibles, car c’est de cela dont il est question ! Une pratique qui a vu son apogée au 3ème Reich. Weiterlesen

La traite des êtres humains reste impunie, ce qui est plus que déconcertant. De retour hier de Berlin, où j’ai vécu personnellement de tels drames lors de mes reportages, a aujourd’hui à une réputation mondiale de libéralisme. Il y a des milliers d’enfants qui vivent actuellement dans la rue, qui cherchent à se maintenir en vie grâce à la prostitution. Ce n’est pas seulement dérangeant, c’est une honte. Il s’agit pour moi pas de statistiques, j’ai rencontré des petits de neuf, dix ans ou plus faire le trottoir. Et la police ? Lorsque j’ai tourné elle ne bougeait pas, avouait qu’elle était complètement dépassée. Le rapport qui vient d’être publié par l’ONU ne fera pas long feu. Quelques bons bourgeois s’en offusqueront, mais cela sera vite oublié et plus personne n’en parlera. Plus de 8000 sans abris à Berlin, dont un grand nombre de mineurs. Lorsque vous en parlez, rien que de l’indifférence. Il est plus aisé de parler des gangs arabes de la ville, que d’un trafic qui se passe en collaboration étroite avec le milieu allemand. Cela est hautement désagréable, nuit à l’image de marque de la métropole qu’est Berlin. Je n’affirmerai pas que des politiciens, que la police et la justice soient mêlés à ce trafic, mais un arrière-goût amère se dégage en moi. Il y a un relent de corruption dans l’air, sans que je sois en mesure de le prouver actuellement. Je me suis exprimé il y a peu dans une séance locale du SPD et eus l’impression que je touchais à un sujet tabou qu’il était inconvenant d’aborder. Mes « camarades » ont fait la sourde oreille, comme si cela ne les concernait pas. Il en allait que de leur sécurité, de leurs rapports avec des étrangers qui leur faisaient peur. Une attitude plus qu’humaine mais qui éveille en moi que du mépris. N’oubliez pas que la ville est régit par une coalition de gauche, qui devrait avoir comme priorité le soutien des plus démunis. Ce sont les enfants, que l’on veuille ou pas. Ces derniers ne viennent pas seulement, loin s’en faut, de milieux seulement démunis, comme les enfants roumains ou bulgares par exemple. Certains d’entre eux ont quitté leurs familles, des familles allemandes comme il faut ! Des gosses en fugues que les parents ont rejeté, dont ils veulent ignorer ce qui se passe vraiment. Une assistante-sociale m’avait dit à l’époque, que certains des géniteurs s’en lavaient les mains. Weiterlesen

Ein drittes Geschlecht soll Personen bezeichnen, die sich in das heteronormale Geschlechtssystem („Frau“ oder „Mann“) nicht einordnen lassen (wollen) (Wikipedia).

Selten hat ein Gerichtsurteil so gegensätzliche Bewertungen ausgelöst wie die Entscheidung des Bundesverfassungsgerichts vom 13. November 2017 zur Einführung eines dritten Geschlechts in deutsche Geburtsregister. Wenn nun ab Januar diesen Jahres neben „männlich“ und „weiblich“ auch doe Auswahl „divers“ auf Behördenformularen erscheint, sind sich Gegner und Befürworter zumindest in einer Sache einig: Es ist eine Zäsur, deren Wirkung nicht nur Intersexuelle in Deutschland betrifft. Von der „beklopptesten Idee aller Zeiten“, schrieb die Berliner AfD. Eine „historische Entscheidung“, meldete hingegen die Antidiskriminierungsstelle des Bundes (zeit.de). Unrecht haben beide.

Die Neuerung zielt auf intersexuelle Menschen, deren Körper weibliche und männliche Merkmale aufweisen. Auch „ohne Angaben“ kann weiterhin ausgewählt werden.

Wenn ein Kind nach der Geburt weder eindeutig männlich noch eindeutig weiblich ist, kann der Eintrag im Geburtenregister zu einem späteren Zeitpunkt beim Standesamt geändert werden. Das gilt auch in Fällen, in denen nach der Geburt ein falsches Geschlecht gewählt wurde. In diesen Fällen wird es auch möglich sein, den Vornamen des Betroffenen zu ändern.

Für diese späteren Änderungen muss dann eine ärztliche Bescheinigung vorgelegt werden, um nachzuweisen, dass eine „Variante der Geschlechtsentwicklung“ vorliegt, wie es im Gesetz heißt. Eine Ausnahme gilt für Personen, deren Geschlechtsvariante nach einer früheren medizinischen Behandlung nicht mehr oder nur durch eine unzumutbare Untersuchung nachgewiesen werden kann. In diesen Fällen reicht eine eidesstattliche Versicherung.

Vanja heißt der 26-jährige Mensch, der sich bis zum Bundesverfassungsgericht nach Karlsruhe hochklagte, um sich und den bis zu 120.000 anderen Intersexuellen in Deutschland zu einer juristischen Kategorie jenseits von Mann und Frau zu verhelfen. Mit gesellschaftlichen Geschlechterrollen hat das auf den ersten Blick nichts zu tun – schließlich gilt Vanja mit nur einem einzelnen X-Chromosom auch biologisch weder als männlich noch weiblich.

Was machen wir mit den durchschnittlich 150 Babys je Jahr, bei denen Ärzte nicht eindeutig sagen können, ob sie männlich oder weiblich sind? Lange Zeit lautete die Antwort: Mit dem Kind stimmt etwas nicht. Der Fachbegriff: „Störung der Geschlechtsentwicklung“. Die Karlsruher Richter sahen das anders: Mit dem Kind ist alles in Ordnung, aber mit unserem gesellschaftlichen Umgang stimmt etwas nicht. Folge: die Einführung eines dritten Geschlechts für Intersexuelle!

Hinter dem Kästchen „divers“ verbirgt sich nicht eine biologische Wirklichkeit, sondern Dutzende.

Im Fall des dritten Geschlechts lassen sich Gender und Sex nicht problemlos trennen. In der Karlsruher Urteilsbegründung steht zu lesen, dass auch „nach eigenem Empfinden ein Geschlecht jenseits von männlich oder weiblich“ möglich ist“. Es zeigt sich, dass nach der höchstrichterlichen Entscheidung nicht nur Chromosomen, sondern auch die Selbstwahrnehmung bei Intersexuellen eine Rolle spielt.

Das Geschlecht wird „von sozialen und psychischen Faktoren mitbestimmt“ (bundesverfassungsgericht.de). Anders ausgedrückt: das Geschlecht ist mehr als reine Biologie!

Wie sieht das zukünftig in den Betrieben aus?

Stellenausschreibungen müssen verstärkt „geschlechterinklusiv“ ausgeschrieben werden. Beispielsweise stehen in den Jobanzeigen dann die Angaben „m“ für männlich, „w“ für weiblich und „d“ für divers. Auch die Benutzung von Unterstrichen und Gender-Sternchen dürfte im Sprachgebrauch der Arbeitswelt zunehmen. Zudem könnte es in bestimmten Berufen Auswirkungen auf die Dienstbekleidung geben. Denn ein Arbeitgeber kann einen intersexuellen Mitarbeiter nicht von vornherein auf das Tragen von Krawatte oder Rock verpflichten.

Muss es überall neben Damen- und Herren-WC eine dritte Toilette geben?

Nein. Es reicht die Klarstellung, dass eine von mehreren vorhandenen Toiletten allen zur Verfügung steht somit besteht kein Zwang, in Betrieben eine dritte Toilette einzurichten.

« Je n’aime pas les femmes noires. Je ne voudrais pas coucher avec elles ! Mais ne croît surtout pas que je sois un raciste ! » Ce sont les déclarations d’un ami, qui m’ont donné un goût amer et que je condamne évidement. Il m’a dit, que cela ne concernait que la sexualité, non pas son estime pour des gens qu’il respectait, Puis il a parlé de son sens du perfectionnisme, qui l’incitait à avoir de telles appréciations. « Tu sais que je me casse la tête lorsqu’il s’agit d’objets comme une table, qui doit avoir les bonnes dimensions, où la perfection détermine sa valeur. Il a ainsi tout réfuté ce qu’il avait déclaré avant, lorsqu’il s’élevait contre l’exclusion et prônait l’égalité des ethnies. Et tout cela d’un homme d’une gentillesse absolue, d’un être qui ne ferait du mal à une mouche. Il est toujours là lorsqu’on a besoin de lui, a des amis venant des quatre coins du monde, ce qui rend encore plus suspect de telles remarques. J’ai essayé de lui dire, que tout ce qu’il disait ne reposait pas sur grand-chose, lorsqu’on se donne la peine de prendre la vie sous la loupe. L’amour jette son dévolu souvent sur des personnes, dont « il n’était pas question ! » « Et que ferais-tu si tu tombais sur une black pour laquelle tu ressens plus que de la sympathie ? Laisse donc faire la destinée ! » Je ne voulais pas entrer dans un débat, dont je savais, où il mènerait, c’est à dire dans le néant, mais plutôt lui faire comprendre, qu’il ne faut jamais généraliser, que la vie est faite d’imprévus. En parallèle à tout cela, la lettre de menace de mort que le député noir du LRM ,Jean-François Mbaye vient de recevoir. On lui promet de lui envoyer une balle dans la tête, de l’exécuter. Paroles de Gilets jaunes, qui se sont égarés sur la mauvaise voie. Inutile de me répéter que je suis sûr qu’une grande majorité de jaunistes rejettent de tels propos ! Weiterlesen

Ce n’est pas avec joie que j’écris ces lignes comme je le fais d’habitude. J’ai viscéralement mal lorsque j’entends des Gilets jaunes dire qu’il faut passer de la violence à la haine, qu’il faille exécuter Emmanuel Macron et éliminer la République, comme je l’ai lu sur Facebook. Je trouve de telles diatribes pas dignes d’un mouvement social, dont le soutien aux plus pauvres d’entre-nous est ce qui devrait les guider avant tout. Je n’admets pas qu’on puisse pousser la France dans la haine, comme le font les adeptes d’Éric Drouet. Même si je pense que le Président doit s’ouvrir plus aux pauvres, je condamne un tel comportement. Je conçois parfaitement qu’on puisse lutter pour une cause, mais sans remettre l’unité de la nation en question. Je suis le dernier, en tant que syndicaliste, à remettre en faute le droit de grève, un droit fondamental, pour obliger les détenteurs du capital à fléchir. Mais en fin de compte, il s’agit de tout faire pour que des rapprochements aient lieu à la table des négociations. Après la tempête l’accalmie. Au fond de moi j’ai un tel amour pour la France, que je ne peux pas admettre que la haine prenne le dessus. J’ai fait mon choix, celui de faire passer le pays avant toute autre chose. Je pense que le mot haine devrait être définitivement rayé du vocabulaire. Ce mot est l’antithèse des droits de l’homme, sur lequel toute notre philosophie s’appuie, celle des siècles des lumières. Tout ce qui pourrait scinder le pays en deux, je le rejette ! Le président de la République a fait amende honorable, qu’exiger encore de lui ? Qu’il aille en pénitent à pieds-nus à Rome ? Je trouve abject que des activistes puissent ressortir des paroles antisémites dignes de ce torchon qu’a été « Je suis partout ! » De faire le salut hitlérien, même s’il est à l’envers, qui est un appel à l’exclusion des Juifs de la nation. Weiterlesen