Wenn Frau so durch die Regale eines Drogeriemarkts streift und verschiedene Produkte wie Parfums, Rasierklingen oder Rasierschaum kaufen möchte, zahlt sie mehr. Und zwar nur dafür, dass die Frauen-Rasierklingen rosa sind statt blau. Das Design ist nämlich der einzige Unterschied zwischen den „weiblichen“ und „männlichen“ Produkten, die Qualität ist dieselbe – wenn nicht schlechter – die Herstellungskosten gleich. Die Produkte sind, bis auf ihre äußerliche Aufmachung, oft sogar identisch. That’s not fair! Gesellschaftlich bedingt brauchen Frauen mehr Beauty-Produkte als Männer, das ist eine Art Naturgesetz.

Da Frauen laut Studien weniger preissensibel sind und bereit, mehr Geld für ihr Äußeres auszugeben als Männer, werden ihnen manche Pflegeprodukte teurer verkauft. In vielen Produktgruppen gibt es zahlreiche preisgleiche Varianten, bei denen weder Frauen noch Männer benachteiligt werden. Aber vor allem für Rasierprodukte und Parfüms müssen Frauen oft erheblich mehr zahlen. Das spiegeln auch die Ergebnisse von Marktchecks zu Frauen- und Männerprodukten wider. Die Höhe der geschlechtsspezifischen Preisunterschiede ist in vielen Fällen nicht zu rechtfertigen – selbst dann nicht, wenn die Inhaltsstoffe variieren, denn sie machen oft nur einen Bruchteil der Herstellungskosten aus.

„Gender Pricing“ und „Pink Tax“ sind die beiden Reizworte für das Phänomen: Frauen zahlen für manche Produkte und Dienstleistungen mehr als Männer – obwohl die Inhalte nahezu identisch sind.

Einem Marktcheck der Verbraucherzentrale Hamburg zufolge unterscheiden sich die Preise für etliche Rasierer nebst Schaum sowie für manche Parfüms nach wie vor deutlich – je nachdem, ob sich die Produkte an Männer oder an Frauen richten. Die Aufschläge betragen zum Teil mehr als 100 Prozent. Die Marktstichprobe wurde zum vierten Mal durchgeführt. „Die Preisdifferenz hat sich wenig verändert“, bilanziert Armin Valet von der Verbraucherzentrale Hamburg (t-online.de 08.03.2019). So erklären Firmen die Preisdifferenzen:

Hersteller und Verkaufsstätten sehen in der unterschiedlichen Preisgestaltung keine Benachteiligung. Sie erklären die unterschiedlichen Verkaufspreise mit Stückzahl, verwendeten Inhaltsstoffen, Zusammensetzung der Rezeptur sowie den Lieferanten, von denen die Produkte bezogen werden.

Rasiergel und die Einwegrasierer etwa, bei denen eine „Pink Tax“ vermutet wird, ähnelten sich zwar auf den ersten Blick, sie seien aber nicht grundsätzlich miteinander gleichzusetzen.

Die Produkte enthielten unter anderem eine höhere Menge pflegender Stoffe, was auf die Preisfindung Einfluss habe. Auch die Verkaufsmenge spiele einer Pressesprecherin eines Drogeriemarkts zufolge bei den Rasierklingen eine Rolle für den Preisunterschied, genauso wie die unterschiedliche Verpackung (t-online.de a.a.O.). Die Männervariante werde in einem 10er-Pack verkauft, die Damenrasierer gibt es hingegen im 5er-Pack zu kaufen.

Verbraucherschützer lassen das jedoch nicht gelten. Der Preis für Inhaltsstoffe spiele nur eine marginale Rolle. Zudem habe die Verbraucherzentrale die angeblich unterschiedlichen Pflegestoffe bei vielen Produkten nicht gefunden. Es seien oft die gleichen Produkte, nur in einer anderen Verpackung. Das Wort „Diskriminierung“ steht hier im Raum. Und zum Argument, dass zum Beispiel Rasierschaum bei Männern mehr Abverkäufe hat und dadurch günstiger angeboten werden kann? Unternehmerisch wäre hier eine Mischkalkulation zu erwarten.

Was also tun, lautet die Frage. Ein Spezialgesetz gegen geschlechtsspezifischer Preisunterschiede wäre eine Lösung, gibt es aber nicht. Lediglich in den US-Bundesstaaten New York und Kalifornien existiert ein solches Verbot, wenn auch nur für Dienstleistungen. Auf EU-Ebene schlicht Fehlanzeige, die einzige politische Maßnahme ist die Sensibilisierung der Konsumentinnen für den Kauf von männlichen Produkten.

Ein anderer Ansatz lautet wie folgt:

Preise aufgrund einer (vermeintlich) geschlechtsbedingt höheren „Preisbereitschaft“ anzuheben verstößt nach Einschätzung der Antidiskriminierungsstelle gegen das Allgemeine Gleichbehandlungsgesetz, das Diskriminierung unter anderem wegen des Geschlechts verbietet (welt.de 20.12.2017).

Ce qui s’était passé après le débarquement en Normandie pendant 75 ans, une entente atlantique, se traduit aujourd’hui que par des dissensions. L’amitié entre l’Europe occidentale et les USA n’est plus que l’ombre d’elle-même. Les dirigeants pourront répéter constamment que cela n’est pas le cas, la vérité est une autre. Donald Trump ,par son hostilité ouverte contre l’UE, a cassé pas mal de porcelaine. Ce qui reste est un amas de débris qu’il serait vain de vouloir recoller. Je ne peux pas m’imaginer que la rencontre entre lui et Emmanuel Macron, qui aura lieu dans quelques heures, puisse apporter grand-chose. Il est évident, même si un jour Donald Trump devait disparaître dans les oubliettes, les rapports ne seront plus jamais les mêmes, ceux d’un vassal qui doit une éternelle reconnaissance au grand frère qui l’a sauvé en quelque sorte. Il n’y aurait rien à redire, si l’UE était dans ce contexte en position de force. C’est de loin pas le cas, la raison pour laquelle le président des États-Unis lui assène un coup de bâton après l’autre. Tout d’abord en brandissant la menace de taxes douanières, puis son soutien immodéré à tous les casseurs de l’Europe, comme un Boris Johnson ou un Nigel Farage en Grande Bretagne, les durs des durs du Brexit. Sans oublier ses sympathies pour Madame Le Pen, Monsieur Salvini et autres. Dans ce cas bien précis il peut tendre la main à Vladimir Poutine. Trump n’a aucun complexe, comme ce qui est aussi le cas du maître du Kremlin, de s’immiscer dans les affaires internes d’autres pays, de démontrer quel mépris il porte à la démocratie. Non, nous ne devons pas jouer son jeu, avoir une attitude identique à celle d’un mouton menacé pas un loup. Nous devons lui faire face, même si cela devait être douloureux. Weiterlesen

Onze djihadistes français ont été condamnés lors d’une procédure – je ne peux pas parler de procès – à mort en Irak. Tout cela a été réglé en une demi-heure, ce qui ne correspond aucunement à l’idée que nous nous faisons de la justice en Europe. Même s’il s’agit de criminels qui n’ont pas hésité à agir d’une manière totalement inhumaine, ils ont droit à une justice équitable. Ce qui s’est passé là est inacceptable. Deuxième point plus que contestable : Peut-on accepter que des ressortissants français ou allemands soient exécutés sans autre? La peine de mort ayant été radiée, il ne peut pas en être question, mêmes si les délits reprochés le justifieraient. Il est inconcevable de vouloir se débarrasser ainsi de concitoyens indésirables. Le gouvernement français, soutenu par d’autres pays, voudrait mettre en place en Irak un tribunal à caractère international, qui se référerait aux lois humanitaires que nous connaissons ici. Je vois mal comment cela pourrait être accepté par Bagdad. Ne serait-ce pas une ingérence étrangère dans la législation irakienne? Ces crimes ont été commis sur le territoire de ce pays. Les victimes ont été pour la plupart des autochtones. Comment donner les arguments nécessaires pour agir ainsi? Les autorités locales prétendront que chaque djihadiste savait parfaitement à quoi il s’exposait en devenant membre de l’EI, qu’il pouvait subir la peine capitale en cas d’arrestation. D’accord mais n’empêche pas que les ressortissants étrangers ne peuvent pas tout seulement être exécutés. L’option d’une extradition est aussi pleines d’embûches. Elle pourrait d’après le droit international qu’être légitime, si les djihadistes étaient poursuivis en métropole pour des méfaits similaires. À part certains liens avec des terroristes ayant commis des attentats en France ou ailleurs en Europe, il n’y a pas à ma connaissance des raisons analogues de les juger ici. Weiterlesen

Boris Johnson, avec l’appui de son grand-frère Donald Trump, a peut-être l’intention de transformer tout le Royaume-Uni après le Brexit en une sorte d’île Cayman, où les margoulins du monde entier pourront y placer leur agent sale. Le pays serait submergé de sociétés « boîtes à lettres», qui n’auraient qu’un but, celui de laver les sous de la criminalité. Un paradis fiscal pour les milliardaires? Et les autres ? Qu’ils crèvent au plus vite ! Le travail ne serait plus respecté, la pauvreté s’instaurerait dans les classes moyennes, mais tant pis ! L’important serait que l’élite empoche encore plus de fric. Et tout ceci dans le cadre d’une sainte alliance avec le gouvernement Trump, qui entrerait dans le jeu. Lorsque des gangsters sont entre eux, il y a entente. L’occasion pour eux de jouer au golf, d’aller au casino et de faire de tout un pays une machine à sous. L’exemple de Las Vegas remplacerait les idéaux qui jusqu’à présent ont été ceux des Anglais. La monarchie serait utilisée comme alibi de respectabilité. Un modèle pour revenir aux temps glorieux de l’empire, de l’époque coloniale, où les métèques fonctionnaient à coups de pied au cul, où les gens de couleur étaient considérés comme des êtres à peine humains. Et politiquement tout serait fait pour détruire l’Europe et ceci avec la collaboration de traîtres sur place, qui deviendraient en quelques sortes les leviers des clans véreux de la criminalité organisée. Et tout cela orchestré par les États unis, via le Royaume Uni. Une belle perspective qui pourrait devenir réalité. Pour nous les Européens une perspective inadmissible qu’il faudra combattre à tout prix. Quitte à isoler la Grande Bretagne. Weiterlesen

Seit der Antike ist der Glaube verbreitet, im Spiegel sei die wahre Seele der Menschen zu erblicken. Der Aberglauben von gestern ist im Internet von heute Realität geworden: Die Social-Media-Reaktionen auf das Feuer von Notre-Dame spiegeln, was in den Köpfen und Herzen vor sich geht.

Im Internet macht ein neuer Typ Verschwörungstheorie die Runde. Ziel ist nicht das Widerlegen, sondern das Delegitimieren. Attackiert wird gezielt die Glaubwürdigkeit von Menschen und Institutionen mit gesellschaftlich tragenden Rollen – also die freie Presse, Universitäten oder Regierungseinrichtungen.

Notre-Dame brannte noch keine Stunde, und schon fanden sich auf Twitter die ersten Nutzer mit Erklärungsansätzen. Eine Folge der Dacharbeiten, spekulierten einige. Vielleicht ein Kabelbrand, mutmaßten andere. Man müsse eben abwarten, hieß es. Doch während viele über die Ursachen rätselten und gleichzeitig fassungslos zusahen, wie sich die Flammen erbarmungslos durch den Dachstuhl der 800 Jahre alten Kathedrale fraßen, breitete sich in den sozialen Netzwerken etwas anderes mindestens genauso schnell aus wie das Feuer: Verschwörungstheorien und Desinformation über die Brandursache.

Wer die Entwicklung auf Twitter mitverfolgte, konnte beobachten, wie sich in dieser Zeit drei Erzählstränge verbreiteten: zum einen die Behauptung, dass Isis für den Brand verantwortlich sei. Dann ein Narrativ, welches den Brand der Kathedrale mit früheren Kirchenschändungen in Frankreich in Verbindung zu setzen suchte. Zuletzt fand sich immer wieder die Behauptung, dass Muslime in Paris und weltweit die Zerstörung der Kathedrale feierten. Die Urheber dieser Geschichten waren Verschwörungstheoretiker, antimuslimische und rechtsextreme Aktivisten, vor allem aus den USA (nzz.ch). Der Impetus hinter allen drei Narrativen: den Eindruck erwecken, dass Muslime schuld am Brand der Kathedrale seien; Beweise waren aber keine vorhanden.

Notre-Dame ist bei weitem nicht das einzige Beispiel für solche Attacken auf unsere Wahrnehmung der Realität. Auch nach Amokläufen oder anderen tragischen Ereignissen quillt das Internet regelmäßig mit Desinformationen über. Doch verbindet man die vielen Einzelstücke, zeichnet sich allmählich ein Muster ab (Nancy Rosenblum/Russel Muirhead, Politikwissenschaftler, in „A Lot of People Are Saying“). Man bezeichnet das als „new conspiracism“ (a.a.O.).

Der neue Verschwörungstheorismus zeichnet sich nicht durch aufwendige Präsentation vermeintlicher Beweise oder elaborierter Theorien aus. Stattdessen wird, wenn überhaupt, nur auf einzelne Fundstücke verwiesen und im Übrigen mit suggestiven Aussagen vom Schlage „Es ist kein Geheimnis, dass …“ oder „Da kann man sich schon fragen …“ gearbeitet (nzz.ch).

Der russische Propagandasender Russia Today verbreitete über den Kirchenbrand in Paris schließlich über Twitter und Facebook die These, dass der Brand nur eine Fortsetzung einer Reihe von Angriffen auf christliche Kirchen in Frankreich sei. Der Sender nutzt den Brand aus, um seine Grundthese vom Verfall des guten Lebens in Europa zu untermauern (welt.de). All diese Behauptungen entbehren jeder Faktengrundlage – doch reichen aus, um eine Stimmung der Unsicherheit zu schüren, nicht zuletzt da sie von rechten Populisten fleißig weiter verbreitet werden.

Das nachträgliche Blocken solcher Beiträge hilft nur bedingt. Denn ihr Zielpublikum erreichen sie bereits innerhalb der ersten zehn oder zwanzig Minuten nach der Publikation. Helfen können nur automatische Vorabfilter – doch die wiederum liegen aktuell noch, siehe YouTube, schlicht daneben.

Die Rezeption diverser Internet-Seiten sagt über sie, ihre Inhalte „fragwürdig“, „rechtsextrem“ oder „verschwörungstheoretisch“, größtenteils historisch unhaltbar sind.

Deshalb sei davor gewarnt, voreilige Schlüsse zu ziehen. Beim World Trade Center wurde behauptet, es wäre ein Experiment (kenfm.de) gewesen. Vielleicht kommt man ja auf die Idee, dass der Brand von Notre-Dame dann auch ein solches Experiment war. So lang nichts bestätigt ist, sollte man Ruhe bewahren. Nur mit kühlem Kopf kann man Fake News und anderen Nonsens erkennen.

Aber Verschwörungstheorien zu Notre-Dame gibt es auch in andere Richtungen. Am Ende gilt wirklich: Warten wir auf bestätigte Meldungen und prüfen Sachverhalte, bevor wir irgendwas in die Runde hauen, was sich nicht beweisen lässt.

Aber dafür hätte es dieses Großbrandes nicht bedurft, oder?!

Cela a ressemblé à un carnage ce qui s’est passé avec Andrea Nahles, la présidente du SPD. Elle a été littéralement obligée de jeter l’éponge. Les critiques envers elle ont été d’une rare cruauté. Je n’étais pas un de ses partisans inconditionnels, la trouvant, malgré ses grandes qualités intellectuelles, parfois un peu déplacée dans ses interventions. Elle n’a pas su donner un nouvel élan à son parti, n’a pas eu le courage de jeter par dessus bord des slogans du passé, qui n’attirent plus personne aujourd’hui. Elle a été le capitaine d’un bateau ivre qui n’avait plus accès à un port. Malgré un naturel plutôt volontariste, elle a butté contre les dogmes du SPD, qui le paralysent au lieu de lui donner une structure. Une fois de plus on s’en est pris aux personnes au lieu de faire un examen de conscience en ce qui concerne les objectifs à atteindre. Comme je l’avais prédit à maintes reprises, je pense que le destin du SPD sera identique, à celui du PS en France. Cela ne m’étonnerait pas, que s’il continue sur cette lancée, il atteigne un jour 6 % des voix. Quelle en est la cause ? Comme ce serait le cas pour un moulin à prière, les thèses évoquées ont fait leur temps. De même que la CDU qui subira le sort des Républicains. La politique allemande traditionnelle est entrain de s’effilocher, car à part les Verts, tout est assez ringard. Qui ne met pas le climat en première place de ses objectifs, est soit aveugle ou réfractaire à la réalité. Il ne sert à rien de jeter l’anathème sur Donald Trump, si on n’est pas en mesure de procéder à une réforme complète de la manière de gérer l’environnement. Andrea Nahles a aussi fait le jeu du lobby de l’automobile en ce qui concerne le diesel et de ses nuisances ou en acceptant sans broncher les normes du CO2 imposées par Angela Merkel à Bruxelles. Il y a certes un lien entre la situation sociale et des mesures environnementales, qui peuvent éliminer des emplois, un problème de taille qui n’a pas été résolu jusqu’à présent, mais il aurait été bon que le SPD ait été plus novateur dans ce domaine. Weiterlesen

Man mag es kaum glauben: Aber das 21. Jahrhundert begann in Deutschland mit den zuversichtlichsten Hoffnungen, und die verbanden sich damals tatsächlich mit der Sozialdemokratie.

Im Übergang von 1999 in das Jahr 2000 war der sonst übliche Pessimismus der Deutschen so gut wie verschwunden. Nur noch zehn Prozent der Bürger schauten düster gestimmt in die Zukunft (zeit.de). Warum hat sich das in zwanzig Jahren so hanebüchen verändert? Wo liegen die Gründe?

Die SPD ist von einer sozialdemokratischen Partei – gar Deutschlands – unterwegs in Richtung einer neosozialistischen Vereinigung ohne Programm und Koordinatenkreuz, aber mit einer unendlichen Fülle von Ideen und Ideologismen, die keinem auch nur halbwegs geschlossenen System zuzuordnen sind. Die Sozialdemokratie ist zu einem hohlen Sozialdemokratismus geworden, der nicht ganz ungefährlich ist. Die SPD, eine Partei, von der viele Bürger – Anhänger wie Kontrahenten – immer noch irrig annehmen, dass sie ein ruhender Pol im politischen Spiel sei, wird zu einer Gefahr für die Gesellschaft, wenn sie nur noch zufallsgesteuert und situativ (irgendwelche sogenannten politischen Ziele verfolgend, die irgendwelche Parteifürsten intern aus ihrer politischen Interessenlage heraus formuliert haben) Politik macht.

Das Herz und der Verstand sind der SPD abhandengekommen (wiwo.de). Die SPD handelt permanent populistisch bis zum Anschlag und dazu passt auch, dass sie ihrerseits mit dem Populismusvorwurf auf alles, von der Mitte bis zur konservativen Seite, drauf haut. Auch die CDU ist für die heutige SPD in Wahrheit Populistenpack. Das alles verschweigen die „Sozibonzen“ sogar vor sich selbst, denn sie wollen unter Merkel mitregieren.

Die SPD-Wähler sind dagegen mehrheitlich nach wie vor sozialkonservativ eingestellte Traditionalisten, die mit einer erstaunlichen Beharrlichkeit ignorieren, dass es ihre gute alte SPD schon lange nicht mehr gibt. Der ehemalige französische Präsident, Francois Hollande, ist ein symptomatisches Beispiel für den unverständlichen, aber leider unaufhaltsam erscheinenden geistig politischen Niedergang der europäischen Sozialdemokratie. Hollande wurde von einer Mehrheit der Franzosen gewählt, obwohl im Vorwege feststand, dass er die Grande Nation in ein kleines Chaos stürzen würde. Und dessen Konsequenzen sind noch nicht absehbar. Die Probleme der Sozialdemokraten kann man wie folgt beschreiben: Sie haben vergessen und verlernt, was Sozialdemokratie ist, und verlernt Sozialdemokraten zu sein.

Zwischenzeitlich sah es so aus, als ob Andrea Nahles die Kritiker in den eigenen Reihen zurück ins Glied drängen kann. Doch die kritischen Stimmen verstummten nicht. Das einzige, was sie möglicherweise noch zurückhielt, war die Sorge, dass mit der Parteichefin auch die Große Koalition Vergangenheit sein könnte. Genau dieses Szenario hängt nun über dem politischen Berlin.

Nach dem Scheitern von Jamaika im Bund Ende 2017 und bereits wochenlangen Verhandlungen zwischen den verschiedenen Partnern ließ sich die SPD erneut auf die GroKo ein. Leidenschaftlich warb Nahles in Bonn um die Zustimmung der Delegierten und bekam sie dann auch. Vielleicht hoffte sie, sie könnte das Kunststück von Willy Brandt wiederholen. Der war 1969 gestärkt aus der Großen Koalition mit der Union hervorgegangen und schließlich Bundeskanzler geworden. 2019 sieht es anders aus.

Der frühere SPD-Vorsitzende und Ex-Kanzlerkandidat Martin Schulz sprach sich hingegen unmittelbar vor dem Nahles-Rücktritt in der Welt am Sonntag dafür aus, die Große Koalition jetzt gerade fortzusetzen. Sein Argument: Kanzlerin Angela Merkel sei am Ende ihrer vierten und letzten Amtszeit „ausgebrannt“. So ergebe sich für die Sozialdemokraten die Chance, jetzt „die Initiative zu ergreifen und weiterzukommen bei Mindestlohn, Digitalsteuer, Umweltpolitik und Handelsverträgen mit ambitionierten Klimazielen“. Aber gerade hierzu hat die SPD derzeit wenig bis nichts zu bieten.

Die ausgebrannte Kanzlerin steht nun neben einer führungs- und wählerlosen SPD. Die wiederum kann ihr Heil nun im Bruch der Großen Koalition suchen oder erst recht im Festhalten daran. Es ist die Wahl zwischen Pest und Cholera (n-tv.de).

Die zwölfte Kippe. Inmitten eines stinkenden Haufens leerer Flaschen und Müllsäcke. War mal wieder ´ne beschissene Nacht, was soll´s? Ist doch ganz egal wie du dein Leben lebst, kümmert eh keinen da draußen. Außer vielleicht den Bestatter, der am Ende für das Zerfleddern und unter-die-Erde-Bringen deines Kadavers noch die Hand aufhält. Wehe, du hast Kinder in die Welt gesetzt! Die blechen dann zur Strafe für dein Versagen. Heute Abend geht´s wieder los… alten, aufgegeilten Deppen den Rest ihrer Libido rausquetschen. Finger waschen nicht vergessen. Doch deine Seele ist bereits verschmutzt. Egal. Gefühle gibt es nicht, also aufraffen und durch. Im Geiste siehst du noch den Knebel, der einst deinem Bären nachts die Schnauze stopfte. Nachts, wenn die Sonne den Tag verließ, ihre Wärme langsam verblasste und sie längst untergegangen war. Hier an deinem Arm – da hast du was, da ist etwas, was da nicht hingehört und du hast keine Krankenkarte. Vielleicht musst du jemandem mal eine klauen. Geldbörse und so. Ist ganz einfach. Auf der Rolltreppe und im Getümmel, wenn sie kaufsüchtig in die gleißenden Schaufenster blicken. Dann, dann schlägst du zu, bist flink wie ein Gepard – sofort von null auf hundert mitten durch die Passanten-Menge.

Kippe Nummer 13, die vierte Tasse Kaffee schwarz und dein abgebrochener Nagel. Deine Haut sieht in der Sonne aus wie ein altes Blatt. Trocken, faltig, etwas vergilbt. Das Leben sieht ein wenig anders aus. Es war die Überholspur, die du vor langen Jahren nutzen wolltest um schneller dein Leben zu erleben. Voller, lauter, wacher, stets selbstbewusst. Du warst besser als die anderen, dachtest du. Dir kann nichts passieren, du hast die Kontrolle – dachtest du. Du dachtest, du seiest schlauer und gehst Wege, die kein anderer vor dir gegangen ist. Ohne zu wissen, dass die Überholspur deine Sackgasse werden würde. Bunte Lichter, schrille Töne, die Nacht zum Tag gemacht, exzessives Fühlen. Wow! Die Belohnung saß in deinem Kopf, stets auf der Suche nach noch mehr. Vielleicht bist du an deinem Crash vorbeigeschlittert und wäre er gekommen, wäre es so sicher nicht gekommen. Es gibt keine Spirale, die sich nur nach oben schraubt und es gibt kein unermüdliches Aufwärts ohne Haken. Deine Wahl war die Reise in ein Leben, bei dem du mindestens die Hälfte an dir vorbeigelebt hast. Nicht wahrgenommen, dass dein Bär schon lange vor dir wusste, dass man Lebewesen nicht einfach ungestraft knebeln darf.

 

© Petra M. Jansen

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