Theresa May ne semble pas avoir obtenu la majorité absolue à l’heure actuelle. Même si les Conservateurs ont gagné les élections, ils ont perdu des plumes. On est loin de l’avance de 20% sur le Labour de Jeremy Corbyn. Les travaillistes n’ont pas été inhumés comme on le prévoyait, loin de là. Ils ont un nombre de sièges accru à la chambre basse et pourront exercer une certaine pression sur la premier-ministre, à la condition qu’elle ne soit pas remplacée. Ce sont les jeunes, qui dans leur majorité ont voté à gauche, car Madame May semblait être assez insensible aux soucis sociaux qui ébranlent la nation. Son seul argument : avoir une position forte au cours des négociations avec Bruxelles, n’a pas été pour beaucoup pas une motivation. Vient s’ajouter le rôle qu’elle joua lorsqu’elle avait été ministre de l’intérieur. Pour des raisons économiques elle a renvoyé près de 20.000 policiers, ce qui fait aujourd’hui tache en mettant de tels faits en parallèle avec les attentats de ces dernières semaines. Je ne sais pas pourquoi elle n’aborda pas les questions qui inquiètent le peuple dans son ensemble. Elle était tout au long de la campagne glaciale, comme si le désarroi des uns et des autres ne la regardait pas, tout le contraire de Jeremy Corbyn. Ce dernier jouit d’empathie, parce qu’il évoqua les problèmes sociaux sans vouloir les escamoter. Pas de mutisme de sa part. Et vient s’ajouter le Brexit. Je pense que beaucoup de citoyens viennent de prendre conscience ce que cela peut avoir comme tombées sur leur quotidien. La nation toute entière se trouve dans l’expectative et ne sait pas ce que sera son avenir. La stabilité tant escomptée risque de faire les frais. Weiterlesen
Monat: Juni 2017
Rassismus 2.0
„Woher kommst Du?“ ist zur Alltagsfrage geworden. Ob diese Frage eine Form von Rassismus ist oder reine Neugier – darüber kann man streiten. Oftmals ist die Herkunftsfrage nicht nur Bestandteil von Smalltalk. Sie zielt darauf ab, Menschen einordnen zu können.
Stetig – und vielleicht unbewusst – neigen wir dazu, alles und jenes einzuordnen. Ordnung muss sein, sie ist schließlich das „halbe Leben“. Auch Tiere teilen wir ein in Rassen. Wir äußern es in Bezug auf Menschen nicht – aber tun wir es bei unseren Artgenossen nicht auch?!
Der Vorwurf, Rassist zu sein, wiegt schwer. In Deutschland spricht (fast) niemand von „Rassen“ – es sei denn, man redet über Tiere: Pferde- oder Rinderrassen zum Beispiel. Im angelsächsischen Sprachraum wird der Begriff „race“ auch für Menschen verwendet. Als „racist“ will niemand erscheinen.
Zunehmend gewinnen rassistische Vorstellungen in der Politik wieder an Boden. Nicht nur in den USA. Oft verschleiern Politiker ihren Rassismus, wenn aber Gruppen von Menschen aufgrund einer realen (oder fiktiven) gemeinsamen biologischen Abstammung von anderen auf- oder abgewertet werden, ist das letztlich eine Form von Rassismus.
Rassismus ist geeignet, den sozialen Frieden zu zerstören. Rassisten diskriminieren Minderheiten und stellen Völkerrecht und das Grundgesetz infrage. Was ist das eigentlich: Rassismus? Gibt es Menschenrassen? In welcher Form taucht Rassismus in der Politik wieder auf?
Der Genetiker Richard Lewontin verglich Anfang der 1970er Jahre das Erbgut von Schwarzen, Eurasiern, Asiaten und weiteren Gruppen und zeigte: „Ausgehend von zufällig gewählten genetischen Unterschieden sind sich menschliche Rassen und Populationen bemerkenswert ähnlich, der größte Teil der menschlichen Variation rührt von Unterschieden zwischen Individuen her“.
Lewontin kam zu dem Schluss, die Kategorie Rasse hätte deshalb nahezu keine genetische Bedeutung und sollte abgeschafft werden. Seine Empfehlung war auch politisch motiviert: Er wollte die Kategorie loswerden, weil die Einordnung nach Rassen auf die sozialen und menschlichen Beziehungen eine zerstörerische Wirkung habe. Seitdem vertreten viele Menschen die Meinung, Rassen seien lediglich soziale Konstrukte.
Unter Biologen ist allerdings schon lange von „Lewontins Irrtum“ die Rede. Die Kritiker betonen, man dürfe nicht beliebige Gene miteinander vergleichen, sondern es seien Genvarianten, die Gruppen von Menschen voneinander unterscheidbar machen: Nach der Ausbreitung des Homo sapiens von Afrika aus – wir sind alle Afrikaner! – sind als regionale Anpassungen zum Beispiel verschiedene Hautpigmentierungen entstanden. Europäer haben die Fähigkeit entwickelt, Milchzucker zu konsumieren, Japaner können dafür Meeresalgen verdauen. Es gibt Unterschiede in der Augenform. Und mancherorts ist die Resistenz gegenüber bestimmten Krankheitserregern besonders groß. Das ist Evolution.
Es lassen sich also Merkmale aufzeigen, die eine Zuteilung zu einer Rasse begründen können. Und es ist nicht ausgeschlossen, dass die Genetik in Zukunft weitere Belege dafür findet, dass Gruppen von Menschen sich aufgrund von Genvariationen in ihren Bauplänen, Fähigkeiten und vielleicht sogar in Charaktereigenschaften deutlich unterscheiden. Allerdings nur im Durchschnitt, das bleibt festzuhalten.
Auf der anderen Seite dürfen wir nicht vergessen: Alle Menschen tragen die gleichen Gene, sie unterscheiden sich nur in deren Varianten (Allele). Die Genetik hat bislang also vor allem eines bewiesen: Es gibt genetisch gesehen eine einzige Menschheit.
Ob es Rassen gibt oder nicht, ist auch nicht die zentrale Frage. Vielmehr kommt es darauf an, wie mit der Vorstellung von menschlichen Rassen umgegangen wird. Man kann den Begriff neutral verwenden, ohne Wertung, wie etwa in der Konvention der Vereinten Nationen über die Verhütung und Bestrafung des Völkermordes, in der von „rassischen Gruppen“ die Rede ist. Der Begriff „Genozid“ wird gemeinhin nicht hinterfragt, obwohl es natürlich eine Vorstellung von Völkern birgt, die über gemeinsame Gene (will sagen: Allele) definiert werden.
Rassismus pflegt einen anderen Umgang mit der Vorstellung genetisch unterschiedlicher Gruppen. Der tritt derzeit unter Politikern im Westen wieder zutage – etwa wenn Donald Trump während des Präsidentschaftswahlkampfes die mexikanischen und weitere lateinamerikanische Immigranten als „Kriminelle und Vergewaltiger“ diffamiert. Oder als er einem in Indiana geborenen Richter unterstellte, er (Trump) könne von diesem wegen seiner mexikanischen Vorfahren keinen fairen Prozess erwarten. Rassismus wie aus dem Lehrbuch!
Zwar vermeiden es die Mitglieder der neuen Führungsriege in den USA, rassistische Positionen zu deutlich zu zeigen. Verbindungen zu rassistischen Gruppen wie dem Ku-Klux-Klan werden heruntergespielt; Einige Ziele der Regierung sind implizit rassistisch: Bestimmte Menschen, identifiziert lediglich über ihre Herkunft, sollen nicht in die USA einreisen dürfen oder aus dem Land geschafft werden, weil sie angeblich eine Gefahr für die Amerikaner darstellen.
Et maintenant l’Iran !
L’EI a envoyé des kamikazes à Téhéran. Ils ont attaqué le parlement et le mausolée de l’ayatollah Khomeyni. Le bilan : au moins 13 morts et des dizaines de blessés. C’est la première fois que cette organisation terroriste s’attaque directement à son plus grand ennemi qu’est l’Iran. D’une part il y a la haine des chiites qu’ils ne reconnaissent pas théologiquement, d’autre part un de leur plus grand adversaire, qui soutient le régime de Bachar al Assad en Syrie et prend part aux combats sur le terrain. D’un point de vue logique cette attaque aurait dû se passer il y a longtemps. La raison pour laquelle cela n’a pas été le cas jusqu’à présent est assez inexplicable. Et ils ont frappé gros ! Au centre même du pouvoir civil et religieux. Peut-être que la presse va considérer cet attentat comme la suite logique des meurtres de Londres, Manchester, Paris, Nice et Berlin, mais je ne peux pas en tirer la même conclusion. Je pense qu’il y a une autre dimension dans ce cas bien précis. Je la situe dans le cadre de la visite du président Trump à Riyad et de la rupture diplomatique de l’Arabie Saoudite et de ses alliés avec le Qatar. J’attribue une certaine responsabilité de cet acte odieux aussi à ceux qui versent de l’huile dans le feu. Le Moyen-Orient est en train de s’embraser. Les conséquences seront plus graves que le conflit israélo-palestinien. Weiterlesen
Faurisson débouté
Le tribunal de grande instance de Paris a tranché. La journaliste du monde Ariane Chemin peut déclarer que le négationniste Robert Faurisson est « un menteur professionnel, un falsificateur,et un faussaire d’histoire. » Les individus qui refusent de reconnaître le génocide, donnent souvent comme argument, que la liberté de pensée et de parole est aussi valable pour eux. Ils passent outre que ce qu’ils prétendent est historiquement faux. Ce sont des personnes aveuglées par l’idéologie nazie et qui au fonds d’elles-mêmes sont antisémites, même si certaines le nient. Mais une chose est certaine, leurs pseudos thèses ne reposent sur rien. Elles n’ont qu’un but, celui d’amener de l’eau sur le moulin de tous ceux qui voient dans l’exclusion le moyen de donner du punch à l’extrême-droite. C’est un discours qui fait de plus en plus d’émules, comme celui du Pegida à Dresde. Des activistes qui se disent prêts à tout pour sauvegarder les valeurs chrétiennes de l’occident. Puis il y encore une chose chez le professeur Faurisson, c’est son aura académique. Il enseignait à l’université de Lyon. Les gens simples prétendront qu’un intellectuel comme lui ne se trompe pas. Le tribunal a bien vu le danger. Son jugement pourrait faire jurisprudence. Pour moi cela signifie que toutes nouvelles que je propage, doit être à 100% recherchée, que seul l’intuition ne suffit pas. Je pense que beaucoup de journalistes devraient prendre à cœur ce qui a été scellé à Paris, s’ils ne veulent pas être traités comme le négationniste. Ce que Faurisson et ses acolytes font, c’est de semer des fake news dans le but d’attiser de la haine. Weiterlesen
Marshall 47
Es dürfte kaum eine Straße im einstigen West-Berlin geben, die nicht irgendwie mit dem European Recovery Programe ERP verbunden ist. Anders ausgedrückt: Mit dem „Marshall-Plan“, jenem einzigartigen Wiederaufbauprojekt für Europa, das vor 70 Jahren verkündet wurde.
Viele Wohnhäuser und ganze Siedlungen etwa in Schöneberg, im Wedding, Reinickendorf, Zehlendorf, in Spandau oder Tempelhof tragen bis heute die bronzene ERP-Plakette.
Benannt wurde das Projekt nach dem General und Außenminister, der an jenem 5. Juni 1947 vor Absolventen der Universität Harvard jene Rede hielt, die Weltgeschichte schrieb: Die USA, so Marshall, seien bereit, mit Krediten und Hilfslieferungen für Landwirtschaft, Industrie, Straßen- und Wohnungsbau die europäische Wirtschaft wieder in Gang zu bringen. Auch die Vereinigten Staaten profitierten.
In seinen Ausführungen auf vier Seiten skizzierte der amerikanische Außenminister die Grundzüge eines Unterstützungsprogramms für das kriegsversehrte Europa. Marshall deutete an, dass die USA willens wären, sich an der Ausarbeitung und Finanzierung eines Aufbauprogramms zu beteiligen, wobei die Initiative von den europäischen Nationen ausgehen müsse. Es war die Geburtsstunde des European Recovery Program – besser bekannt als „Marshall-Plan“.
Der „Marshall-Plan“ gilt bis heute als das bisher erfolgreichste Entwicklungsprogramm der USA. Wenn irgendwo eine konzertierte Unterstützung für eine Region als notwendig erachtet wird, ertönt der Ruf nach einem neuen „Marshall-Plan“. Ganz offenkundig weckt der Plan noch immer positive Assoziationen. Das gilt namentlich für Deutschland, wo sich der Plan tief ins kollektive Gedächtnis gebrannt hat. Der deutsche Außenminister Sigmar Gabriel unterstrich vor zwei Wochen in einer Rede in Washington, der Plan stehe für die „helfende Hand“, die Deutschland von den USA angeboten erhalten habe.
An die Stelle von Reparationsforderungen, mit denen Deutschland nach dem Ersten Weltkrieg konfrontiert wurde, trat 1947 die wirtschaftliche Unterstützung, was Marshall 1953 den Friedensnobelpreis einbrachte. Das nach seiner Rede ausgearbeitete Programm sah für 1948 bis 1952 ein 13,3 Mrd. $ schweres Hilfspaket vor. Allein die 1949 ausbezahlten Mittel entsprachen dabei rund 12% des amerikanischen Haushalts. Umgerechnet in die heutige Zeit entspräche das Gewicht des Plans gegen 130 Mrd. $. Ausbezahlt wurde die Hilfe vor allem in Form von Zuschüssen an 16 europäische Staaten, und zwar nach ungefährer Maßgabe der Bevölkerungszahl. Am meisten Hilfe erhielt dabei Großbritannien, vor Frankreich und Westdeutschland.
Europa lag nach dem Zweiten Weltkrieg in Trümmern. Landwirtschaft, Industrie und öffentliche Infrastruktur waren in einem desolaten Zustand. Das Kapital für die benötigten Investitionen fehlte, und die USA waren die einzige Wirtschaftsmacht, die dieses bereitstellen konnte, da sie den Krieg ohne größere Verwüstungen überstanden hatte. Der „Marshall-Plan“ sollte in Europa drei Ziele erreichen: die Ankurbelung der Agrar- und Industrieproduktion, die Wiederherstellung einer halbwegs soliden Finanz- und Währungspolitik in den Staaten und die Stimulierung des Handels sowohl innerhalb Europas als auch zwischen Europa und der Welt.
Mit Altruismus hatte all das wenig zu tun. Die USA verfolgten handfeste Eigeninteressen. Politisch galt es, die Ausbreitung des Kommunismus zu verhindern. Diesem Vorhaben lag die Einschätzung zugrunde, dass in wirtschaftlich prekären Verhältnissen kommunistische Ideen besonders rasch gedeihen. Hohes Gewicht erhielt die Unterstützung der Türkei und Griechenlands, die im Kampf gegen den Kommunismus als Frontlinie betrachtet wurden. Wirtschaftlich galt es zudem, den Staaten Europas, die nach dem Krieg kaum noch über Devisenreserven verfügten, wieder zu Dollars zu verhelfen. Ohne diese konnten sie keine amerikanischen Güter kaufen. Insofern zielte der Plan auch darauf ab, einen für die US-Wirtschaft wichtigen Absatzmarkt wiederaufzubauen.
Alle unterstützten Staaten verfügten nach vier Jahren wieder über eine Wirtschaftskraft, die das Vorkriegsniveau übertraf. Die Industrieproduktion lag dabei um 41% über dem Niveau von 1938 und gar um 64% über dem Stand von 1947, die Erholung der Landwirtschaftsproduktion lag 1951 um 9% über dem Vorkriegsniveau.
Inwieweit das Projekt ursächlich war für den Aufschwung der Industrieproduktion, bleibt umstritten. Zweifellos hat das Programm die Erholung gestützt. Ob es die Entwicklung aber initiiert hat, erscheint fraglich. So wurden viele Initiativen, die maßgeblich zur wirtschaftlichen Erholung beitrugen, unabhängig von diesem Plan angestoßen, etwa die deutsche Währungsreform im Jahr 1948 und die damit verbundene Aufhebung staatlicher Rationierungen und Preiskontrollen. Skeptiker betonen zudem, dass die Unterstützung in keinem Empfängerland höher ausfiel als 3% der Wirtschaftskraft, womit die Hilfe kaum jene kritische Masse gehabt habe, um einen Aufschwung auszulösen.
Nichts gegen Natur
Natur, der Segen der Natur. Inmitten von Hektik, Schnelllebigkeit und Stress sehnen wir uns nach der Ruhe der Natur. Ach Natur, du wundervolle Schönheit, die uns Luft zum Atmen gibt. Die uns Kraft zum Tanken gibt und die uns beflügelt in ihrem Glanz von Tau, Sonnenstrahl und Eiskristall. Aber wehe, wenn… du nur noch Natur siehst und vielleicht gar kein echtes Naturkind bist. Zu viel Natur und dir stockt der Atem. Zu viel Natur kann unerträglich sein und zu viel Stille ist zu viel des Guten. Geht das überhaupt? Ja, es geht. Wenn du nichts anderes mehr siehst als Gräser, die sich im Winde biegen, Insekten, die sich im Flug begatten und Baumwipfel, in denen die Amselpärchen ihre Nester bauen, dann zweifelst du irgendwann, ob das der richtige Ort für einen lebendigen Menschen ist. Dauerhaft! Es geht nicht um einen Spaziergang und es geht nicht um ein Picknick am Waldesrand und einen Ausflug am Bach entlang, an dem du Kieselsteine mit den Zehenspitzen umdrehst. Es geht darum, wie viel Natur tatsächlich auszuhalten ist, wenn man genau mittendrin wohnt. Wenn es abends stockdunkel ist, du die Brunftzeit mithören kannst, du das Kacken des Habichts hörst und den Furz einer Schnecke. Dein Umfeld ist das Zwitschern und der Wind, ab und an ein verirrtes Flugzeug eines Sportfliegers und ganz weit, weit in der Ferne kannst du die Zivilisation erahnen. Ist das der Ort, an den du dich gesehnt hast? Menschen sind hier nirgends, der nächste Nachbar nächstens in 400 m Abstand, versteckt hinter hohen Hecken, die Jalousien stets geschlossen und du wunderst dich, welch Geisterhand über Nacht die Mülltonnen an die Straße gestellt hat. Kinder? Ja, irgendwo müssten sie sein, aber wo? Leben? Irgendwo ja, das menschliche zumindest. Das Tierische kannst du bis zum Erbrechen beobachten und kennst die Balzzeiten sowie die Eierlegezeiten mittlerweile auswendig. Führst Selbstgespräche… oder solltest du besser den Baumstamm umarmen und ihm zurufen: „Himmel, schenke mir einen Adam (eine Eva), damit ich weiß, dass ich nicht der einzige Überlebende bin.“ Ja, zu viel Natur, das kann´s tatsächlich geben. Du glaubst es nicht? Dann probiere es aus, als ehemaliger Großstadtmensch oder einfach nur als ein noch lebender Mensch mit ganz normalen Bedürfnissen nach Mitmenschen, nach Freunden, nach jemandem, mit dem du reden kannst. Inmitten der wundervollen Natur redet die Natur. Und sie tut es gut, sofern man Muße hat, ihr dauerhaft zuzuhören, ein Eremiten-Dasein frei gewählt hat oder sich zum Sterben zurückziehen möchte. Ein Geschenk, aber nur, wenn du frei wählen kannst, wie lange du Entspannung und Ruhe brauchst. Die langweiligste Form des Lebens, wenn du nichts anderes mehr siehst als grüne Wiesen, Hummeln und Schmetterlinge und du nicht mal weißt, ob der Postbote noch kommt oder ob man dich bereits abgeschrieben hat. Guten Tag, Zivilisation ich komme!
© Petra M. Jansen
Désaccords d’entreprises
Tout irait plus facilement en France, si les patrons et leurs employés n’étaient pas dans bien des cas à couteaux tirés. Comme ancien syndicaliste, je suis un partisan du contrat d’entreprise, une démarche pratiquée en Allemagne depuis longtemps. Mais il y a aussi des négociations au niveau des branches qui donnent une ligne générale, que ce soit au niveau des salaires, des conditions de travail ou des indemnités en tous genres. Mais cela nous a pas empêché d’adapter ces directives, qui ont été souvent négociées dans la douleur par les partenaires sociaux, aux conditions particulières de notre entreprise. Souvent il a fallu faire grève. Il y a bien eu de la grogne, mais pas au point de ne plus pouvoir nous asseoir autour d’une table. Une fois de plus je regrette qu’il ne semble pas être question de participation. Je pense qu’il est possible de réclamer de tout le monde des sacrifices, mais il faut les compenser avec la certitude que si les affaires marches bien, les employés et les travailleurs en tireront avantages. Les décisions ne peuvent pas être prises unilatéralement. Elles dépassent de loin le cadre salarial et social. Si les entrées d’argent s’amenuisent, les lésés se trouvent le plus souvent du côté du personnel. Weiterlesen
Klimakiller
US-Präsident Donald Trump will aus dem Pariser Klima-Abkommen aussteigen, weil es angeblich Arbeitsplätze kostet. „2,7 Millionen Jobs könnten bis 2025 in den USA verloren gehen”, sagte Trump in seiner Rede am 1. Juni 2017 im Garten des Weißen Hauses. Stimmt diese These?
Präsident Trump bezieht sich auf eine Studie von NERA Consulting, einer Beraterfirma, die in ihren Studien gegen staatliche Regulierungen der Wirtschaft eintritt. Gesponsert ist die Studie vom wirtschaftsnahen Institut American Council for Capital Formation, das seit Jahrzehnten für niedrige Steuern und geringe Auflagen für Firmen eintritt, und der US-amerikanischen Handelskammer, die ebenfalls seit Jahren gegen jegliche Klima-Abkommen kämpft.
In der Studie heißt es unter anderem, dass die Verpflichtungen des Pariser Abkommens bis 2025 rund 2,7 Millionen und bis 2040 sogar rund 27 Millionen Jobs in der Industrie kosten würden (derStandard.at). Rund 21 Prozent der Stellen gingen in der Zementindustrie verloren, dicht gefolgt von der Erdöl- und Eisenbranche.
Man stellt hier folgende Berechnung auf: Weil die Reduktion von klimaschädlichen Gasen Strom und Energie insgesamt verteuern wird, müssen Firmen mehr für ihre Produktion bezahlen. Die Studie hat zwei offensichtliche Fehler: Erstens setzen die Wissenschaftler voraus, dass fossile Energie nur in den Vereinigten Staaten teurer wird und dass die USA das einzige Land der Welt sind, das sich an das Pariser Abkommen halten würde. Deshalb würden die amerikanischen Produkte teurer als in anderen Ländern.
Das ist aus zwei Gründen unrealistisch: Erstens gilt der Vertrag global. Und zweitens gehen die Autoren von NERA-Consulting mit keinem Wort darauf ein, welche neuen Jobs in der Wind- und Sonnenenergie zeitgleich geschaffen werden können.
Die Studie wurde von mehreren Wissenschaftlern als mangelhaft kritisiert, etwa von der London School of Economics. Sie gehe von zu vielen extremen Annahmen aus. Das mache sie in sich schon widersprüchlich und obsolet.
Unabhängig von dieser mangelhaften Studie: Schafft das Klima-Abkommen Jobs in den USA – oder zerstört es sie? Verlieren also mehr Amerikaner in der Öl-und Autoindustrie ihre Jobs, als dass sie neue Stellen in umweltfreundlicheren Branchen finden könnten?
Die Frage ist nicht exakt zu beantworten, aber es gibt Hinweise: Bereits jetzt – ohne dass die USA nach dem Pariser Vertrag die Branche sanktioniert hätten – sinkt die Zahl der Beschäftigten in der Öl- und Kohle-Branche und ihre Zahl steigt bei den erneuerbaren Energien. Nach einem Bericht des amerikanischen Energieministeriums arbeiten zwar immer noch rund eine Millionen Menschen in der klimafeindlichen Brennstoff-Industrie. In den detaillierteren Zahlen ist aber ein klarer Trend abzusehen: Allein im vergangenen Jahr hat die Bergbau-Industrie 24 Prozent weniger Menschen beschäftigt und ist heute bei rund 57.000 Beschäftigten. Firmen, die Windenergie entwickeln, haben innerhalb eines Jahres 32 Prozent an Beschäftigung zugelegt.
Hinzu kommen derzeit 2,2 Millionen Menschen, die für Produkte und Dienstleister arbeiten, die die Energieeffizienz erhöhen. Für Produkte also, die als klimafreundlich gelten und die erfunden wurden, um die Kohlendioxid-Emissionen zu senken und damit dem Klima-Abkommen entsprechen. Die Zahl der dort Beschäftigten hat 2016 um rund sieben Prozent zugenommen und wird laut Prognosen der Branche in diesem Jahr um weitere neun Prozent zunehmen.
Alles in allem: die erneuerbaren Energien und energieeffiziente Technologien gehören zu den größten Wachstumsbranchen. So prognostiziert man Staaten wie Kalifornien, sie gewännen „dramatisch viele Jobs mit Wind und Sonnen-Energie” – und hätten einige Jobs verloren, weil der Öl-Preis gesunken ist. Die Job-Verluste sind also nicht dem Klima-Abkommen geschuldet, sondern im Gegenteil einem Überfluss an Öl. Der kommt vor allem durch Fracking (Schieferölförderung) zustande, das das weltweite Angebot erhöht und damit die Preise hat sinken lassen. Deshalb gingen laut dem Ministeriums-Bericht in kohleabhängigen US-Staaten wie Wyoming viele Arbeitsstellen verloren. Erneuerbare Energien und neuen Technologien beleben also den US-Arbeitsmarkt!
Selbst Erdölfirmen wie Chevron und ExxonMobil haben sich für den Bestand des Klimaabkommens ausgesprochen. Man ahnt: Die Staatengemeinschaft könnte sich für den einseitigen Rückzug rächen. Kurz nach Trumps Wahl im vergangenen November berieten die Staaten auf der UN-Konferenz in Marokko über eine Karbon-Steuer, die auf amerikanische Güter erhoben werden könnte, sollte sich die USA nicht an den Pariser Vertrag halten.
Conclusio: Trumps Behauptung, das Klima-Abkommen koste Jobs, überzeugt nicht. Zwar verlieren klimaschädliche Branchen schon jetzt Arbeitsplätze, aber Firmen im Bereich erneuerbare Energien gewinnen Mitarbeiter hinzu.