Avoir du succès et être aimé à la fois est une autre paire de manche. J’ai pensé à cela en regardant à la télévision la finale de la Champion League. Une fois de plus c’est le Real Madrid et un ricanant Cristiano Ronaldo qui ont gagné. Ils ont offert un merveilleux spectacle, mais n’ont pas pu me bouleverser. Autrement avec la Juventus Turin. Elle n’a pas bien joué en deuxième mis-temps, mais l’attitude des joueurs avait quelque chose de pathétique, ce qui me toucha. Je me suis demandé par la suite pourquoi ceux qui réussissent ne sont pas automatiquement mes valets de cœur ? Est-ce de la jalousie ? Ou le sentiment de n’avoir jamais pu atteindre une telle apogée dans mes activités, quelles soient professionnelles ou autres. Je fais partie de 99,99 % de l’humanité. Mais il y a un fait, l’homme essaie comme l’âne de saisir le carotte qu’on lui tend, mais il ne peut pas la saisir. Néanmoins il fait tourner la roue, mais qu’en a-t-il à faire ? La plupart d’entre-nous contribuons à faire marcher la machine, mais en vain. Et lorsque nous en avons plein le nez, nous ruons dans les brancards, car nous avons le sentiment d’être blousés. Les « idoles » quant à elles, donnent le sentiment de braver l’humanité toute entière, de vivre dans une certaine arrogance. Ce n’est pas forcément le cas. Lorsque je rencontre des bonnes âmes qui me disent que l’argent ne fait pas le bonheur, mes poils se hérissent. Du bla-bla-bla, rien de plus. Ceux qui vivent dans la précarité peuvent en dire quelque chose ! Mais revenons aux Ronaldos et compagnie. Ils feraient tout pour être aimé, peine perdue. C’est une chose d’être adulé, une autre d’être considéré comme un être cher. Weiterlesen
Monat: Juni 2017
À nouveau Londres
Je voulais écrire un article sur la finale de la Champion League entre la Juventus et le Real Madrid, mais il n’en sera rien, car la nouvelle qu’un attentat a eu à nouveau lieu en Angleterre me rappelle à nouveau à la réalité. Cette fois-ci il a eu lieu à Londres, à 22 heures 08, où une camionnette est entrée dans la foule à la London Bridge et a fait au moins 6 morts. Pas loin de là, au Borough market, des hommes ont essayé de poignarder des passants. Ils ont été abattus. La police pense que c’étaient les mêmes individus qui se trouvaient dans le véhicule. Une fois de plus nous sommes impuissants face au terrorisme. Il est à craindre que le crime de Manchester ait redonné de la vigueur à tous ceux qui ont pour but de détruire notre société. Et ceci au cours du Ramadan qui devrait être une période de paix. Il est évident que Teresa May est visée. La preuve qu’elle n’est pas en mesure d’assurer la sécurité, malgré des mesures draconiennes. Partout des caméras vidéos ont été apposées. Peu de places ou de rues qui ne peuvent pas être observées. Une présence accrue de policiers. Mais rien n’y fait. Lorsque quelqu’un s’est mis en tête de tenter un attentat, personne ne pourra l’arrêter. En Grande Bretagne il y a de grandes disparités sociales qui amènent certains peu privilégiés à agir de manière violente. Probablement l’État fait trop peu, ce qui amène des tensions. Il y a en plus une grande défiance par rapport à la communauté musulmane, ce qui ne facilite pas les choses. Le Brexit n’a-t-il pas été le fait de citoyens ayant peur des étrangers ? De certains racistes qui ne voient que l’avenir des îles dans une espèce d’apartheid ? Il est évidant que la situation du Royaume Uni face aux négociations de divorce n’arrange guère les choses. Weiterlesen
L’apprenti écolo !
Emmanuel Macron n’était pas un fanatique de l’écologie lors de la campagne présidentielle. Il craignait qu’elle puisse être une entrave à l’expansion économique. Était-ce vraiment le cas ? Lorsqu’il a fait nommer Nicolas Hulot comme ministre, il a fait un énorme pas en avant. Contrairement à un Trump, il a vu le potentiel qu’il pouvait tirer en misant sur l’énergie renouvelable, mais aussi en réduisant la consommation de courant. Pour y arriver il faut isoler les maisons pour les chauffer plus économiquement. Cette mesure peut donner un sacré coup de pouce aux entreprises du bâtiment. L’argent économisé par les propriétaires et les locataires peut être placé ailleurs. Les effets secondaires sont très rémunérateurs. Mais aussi en fermant une à une des centrales nucléaires vétustes, il faudra avoir de l’imagination pour remplacer l’électricité manquante. Cela part des éoliennes en passant pas les panneaux voltaïques pour arriver à capter la force des marées. Il en faut de la matière grise, du savoir-faire. Il y aura de ce fait un grand nombre d’emplois nouveau. Et puis il y le démantèlement des réacteurs nucléaires. Il faudra bien trouver des solutions pour dépolluer les sites existants. Peut-être même qu’on trouvera d’autres sources d’énergie propre ! Il devra être fait de même avec le parc automobile.Ne nous faisons pas d’illusions, les réserves pétrolifères et fossiles ne sont pas éternelles. Il s’agira de suivre d’autres options, qui demandent un esprit d’invention que bien des Français possèdent. L’art du bricolage, une qualité que beaucoup d’autres n’ont pas. Tous ces facteurs afin de construire une Europe moderne, où il fera mieux vivre, j’en suis certain. Weiterlesen
Wanted : Donald Trump
Quand mon petit-fils a entendu la bonne nouvelle du nouveau messie des USA, il a sauté de joie. « Tu vois Nonno, ce Trump est au moins fou. Il me fait rire ! » Il se décida sur le champ d’aller acheter un masque à gaz, une bouée de sauvetage et des cornets de glace pour nourrir les ours blancs. « Ne vaut-il pas mieux tout détruire ? Des arbres en plastique sont au moins plus facile à soigner. Il n’y a pas de feuilles mortes à balayer. » Le syndicat des jardiniers était d’un autre avis, mais il ne pesait par lourd à la Maison Blanche. Le restera-t-elle longtemps avec l’air vicié ? Peut-être qu’on la rebaptisera « Maison Brune ». Et les droits d’auteurs ? Il y en avait certes une, mais à Munich… Passons ! Je ne vais pas continuer à me laisser entraîner dans de telles discussions. Peine perdue ! Si Monsieur Donald veut mener son pays à sa perte, c’est son affaire. Le retrait des États-Unis de l’accord de Paris est une gifle contre ses concitoyens. A-t-il oublié le raz-de-marée qui a balayé la Nouvelle Orléans ? Cette fois-ci ce n’est pas la faute des noirs, mais d’une politique irresponsable menée par les pays industriels. « Tu veux dire que le Président fait partie des nuisances dont la nature doit souffrir ? » « Exact, il faudrait l’arrêter sur le champ ! » Mon petit-fils devint soucieux. Il se rendait bien compte qu’il s’agissait là de son avenir. Il m’entraîna sous un chêne qui jura comme un possédé. Il n’en pouvait plus, car la chaleur devint de plus en plus torride. Et pas d’eau pour étancher sa soif. « Tu n’as qu’à acheter de l’eau minérale ! » Cut ! Je m’attendais pas à une autre déclaration de cet ignare qui croit tout savoir. Lorsqu’on sait que l’industrie voltaïque a pu créer un grands nombre d’emplois et pourrait donner du travail à plus de gens encore, je ne comprends pas une telle décision, d’autant plus que les mines de charbons emploient moins d’ouvriers. Weiterlesen
Titanic der Lüfte
Das traurige Ereignis jährte sich eigentlich schon Anfang Mai diesen Jahres. Sie galt als „Titanic der Lüfte“, teilte sie doch am Ende auch deren Schicksal. Wir blicken 80 Jahre zurück. Bis heute ist die „Hindenburg“ das größte Luftschiff, das je gebaut wurde und geflogen ist, ein Prestigeobjekt deutscher Ingenieurskunst. Am 6. Mai 1937 verunglückte die „Hindenburg“ bei der Landung in den USA – und die Ära der Luftschiffe war jäh beendet.
Die Katastrophe wurde – über das damalige Massenmedium – live im Radio übertragen. Reporter Herbert Morrison berichtete am Abend des 6. Mai 1937 von der geplanten Landung des Luftschiffs „Hindenburg“ in Lakehurst im US-Bundesstaat New Jersey, in der Nähe von New York. Die „Hindenburg“ hatte schon über 60 Fahrten hinter sich, auch jene war bislang normal verlaufen. Doch dann schossen plötzlich Flammen aus dem Heck.
Über 30 Menschen fanden den Tod. „Es brennt. Es brennt und es stürzt ab“, schrie der Radioreporter ins Mikrofon. Innerhalb von Sekunden ging das gewaltige Luftschiff komplett in Flammen auf und Morrison wurde live vor dem Mikrofon von seinen Gefühlen überwältigt.
„Das ist so furchtbar, die schlimmste Katastrophe der Welt“, schluchzt er. „Oh, the humanity!“. 36 Menschen starben, darunter 13 Passagiere, 22 Crewmitglieder und ein Mitglied der Bodenmannschaft. Die LZ 129 „Hindenburg“ wurde komplett zerstört.
Es war weder das erste, noch das schwerste Unglück der Luftschifffahrt – aber das Ende einer Ära. Die Ursache ist bis heute nicht vollständig geklärt. Die meisten Experten gehen von einer elektrostatischen Entladung aus, die das Gas entzündete.
Die „Hindenburg“ – benannt nach dem deutschen Reichspräsidenten Paul von Hindenburg (1847-1934), der Adolf Hitler zum Reichskanzler ernannte, galt als das größte und schönste Luftschiff der Welt. Graf Ferdinand von Zeppelin, Mitte des 19. Jahrhunderts in Konstanz geboren, hatte Luftschiffe marktreif gemacht, sie galten als deutsche Spezialität, weltweit bewundert.
Großzügig gestaltete Räume, festlich gedeckte Tische, bequeme Polsterstühle, Piano und Rauchersalon. Und natürlich Fenster mit einzigartigem Panoramablick, kurz: eine Fahrt mit der „Hindenburg“ war Luxus erster Klasse. Das Luftschiff konnte bis zu 131 Kilometer pro Stunde zurücklegen, war mit 235 Metern fast so lang wie ein Ozeandampfer und konnte 72 Passagiere aufnehmen. Als Traggas wurde Wasserstoff verwendet, Helium wollten die Vereinigten Staaten nicht an das Dritte Reich liefern.
Ab dem ersten Probeflug im März 1936 legte die „Hindenburg“ auf 63 Fahrten insgesamt 337.129 Kilometer zurück, beförderte 7.305 Menschen, 9.758 Kilogramm Fracht und 8.869 Kilogramm Post. Sie fuhr achtmal nach Süd– und elfmal nach Nordamerika.
Das Ende der „Hindenburg“ wird gleichzeitig zum Ende der Ära der Luftschiffe. Erst 1997, mehr als 60 Jahre später, stieg über dem Bodensee wieder ein Zeppelin auf, der „Zeppelin NT“ (Neuer Technologie). Diese neuen Luftschiffe waren allerdings mit 800 Kubikmeter deutlich kleiner als ihre 200.000 Kubikmeter umfassenden Vorgänger, und waren anstelle von Wasserstoff mit nicht brennbarem Helium gefüllt.
2014 starb mit Werner Franz der letzte Überlebende der Crew. Als 14-Jähriger hatte er im Zeppelin als Kabinenjunge gearbeitet. Als das Feuer ausbricht, spürt er einen heftigen Ruck, sieht Flammen, springt und rennt.
In Lakehurst in New Jersey wird mit einem Denkmal an die „Hindenburg-Katastrophe“ erinnert.
Je suis Dieu le père !
Donald Trump se regarde dans le miroir et dit à sa femme, « Mon chéri, je suis Dieu le père ! ». Satisfait il réajuste son nœud de cravate avant d’envoyer un tweed, Je ne peux que supposer ce qu’il va écrire : « Njet à l’accord de Paris sur le climat ! », Il ne va pas prendre sa chaussure pour taper sur la table comme l’avait fait Nikita Khrouchtchev à l’ONU, pour la bonne raison que Dieu ne porte pas de souliers. Basta ! Mesdames et Messieurs les chef d’États, il sait ce qu’il dit. L’écologie et l’envoi dans les airs du CO2, c’est du pipeau. Comme Donald emploie toujours des mots choisis, il ne dira pas que c’est de la couille de bouc ! Que la Chine, le Canada et l’UE rejettent ses bonnes paroles, est un sacrilège, des propos lès-majesté. Et tout cela pour continuer à brûler du charbon dans les centrales électriques. Mon petit-fils dirait : « Ton bon Dieu est complètement ringard, d’autant plus que la houille est une denrée de plus en plus rare. » Et l’avenir ? Il s’en fiche royalement, pourvu qu’on l’adule. Un homme qui veut baisser les subventions accordées à la recherche ne peut avoir qu’un cerveau de moineau et ceci, même s’il est Dieu ! Au lieu de saisir la chance que lui accorderait une réduction massive de l’effet de serre, il s’enferre dans des reliques du passé. L’Amérique aurait le potentiel intellectuel nécessaire de relever le défi en cherchant à développer des énergies renouvelables. Ce sera un marché énorme qui procurera beaucoup d’emplois. La Chine l’a bien compris. Ce n’est pas sans raison qu’elle exerce un leadership en ce qui concerne les panneaux solaires. Mais comme Dieu le père est têtu, il ne veut pas entendre raison, même si Ivanka, sa chère fille et son mari, sont d’un autre avis que lui. Il n’a certes pas encore donné son dernier mot, mais d’après ce qu’il fait entendre de lui, il n’hésitera probablement pas à se prononcer pour le massacre de la nature. Weiterlesen