Le plan pour une énergie propre que Barack Obama avait promulgué en 2015, sera abrogé par son successeur, Monsieur Trump. Il s’agissait avant tout de fermer des centrales fonctionnant au charbon qui étaient vétustes. Une promesse électorale que le locataire de la Maison Blanche veut tenir. Une décision absurde à plusieurs niveaux. Que le président le veuille ou pas, le réchauffement de notre planète est dû en partie à l’utilisation des matières fossiles pour faire de l’électricité ou se chauffer. Le CO2, que de telles installations émettent, ont déjà entraîné des mutations climatiques dont les Antilles et le Sud des États-Unis ont fait les frais. Des tornades et des pluies diluviennes ont dévasté des régions entières, arraché des toits, inondé des villes. Donald Trump a eu l’occasion de voir les dégâts, mais il n’a strictement rien compris. L’autre élément inquiétant venant de la part d’un homme qui se dit au courant des affaires, est le fait qu’il freine ainsi la rénovation du parc américain des centrales électriques. Ce seraient des investissements de premières importances qui pourraient être faites-là et profiteraient finalement aux populations locales. Mais c’est le contraire qui se passe. Le Président ne tient pas compte de toutes les personnes atteintes de maladies respiratoires ou qui ont un cancer des poumons. Il s’en fiche complètement pourvu que le que les patrons « vieux-jeu » de ces unités soient satisfaits. Il suffit de déclarer haut et fort qu’il n’y a aucun danger ! Prétendre le contraire est le fait de vilains activistes de type gauchiste, des traîtres par rapport aux valeurs de la nation. Tout ce qui découle de Donald Trump est au plus haut point primitif. Il essaie de freiner l’évolution, mais en fin de compte il sera balayé par elle et par le progrès. Weiterlesen

Quand mon petit-fils a entendu la bonne nouvelle du nouveau messie des USA, il a sauté de joie. « Tu vois Nonno, ce Trump est au moins fou. Il me fait rire ! » Il se décida sur le champ d’aller acheter un masque à gaz, une bouée de sauvetage et des cornets de glace pour nourrir les ours blancs. « Ne vaut-il pas mieux tout détruire ? Des arbres en plastique sont au moins plus facile à soigner. Il n’y a pas de feuilles mortes à balayer. » Le syndicat des jardiniers était d’un autre avis, mais il ne pesait par lourd à la Maison Blanche. Le restera-t-elle longtemps avec l’air vicié ? Peut-être qu’on la rebaptisera « Maison Brune ». Et les droits d’auteurs ? Il y en avait certes une, mais à Munich… Passons ! Je ne vais pas continuer à me laisser entraîner dans de telles discussions. Peine perdue ! Si Monsieur Donald veut mener son pays à sa perte, c’est son affaire. Le retrait des États-Unis de l’accord de Paris est une gifle contre ses concitoyens. A-t-il oublié le raz-de-marée qui a balayé la Nouvelle Orléans ? Cette fois-ci ce n’est pas la faute des noirs, mais d’une politique irresponsable menée par les pays industriels. « Tu veux dire que le Président fait partie des nuisances dont la nature doit souffrir ? » « Exact, il faudrait l’arrêter sur le champ ! » Mon petit-fils devint soucieux. Il se rendait bien compte qu’il s’agissait là de son avenir. Il m’entraîna sous un chêne qui jura comme un possédé. Il n’en pouvait plus, car la chaleur devint de plus en plus torride. Et pas d’eau pour étancher sa soif. « Tu n’as qu’à acheter de l’eau minérale ! » Cut ! Je m’attendais pas à une autre déclaration de cet ignare qui croit tout savoir. Lorsqu’on sait que l’industrie voltaïque a pu créer un grands nombre d’emplois et pourrait donner du travail à plus de gens encore, je ne comprends pas une telle décision, d’autant plus que les mines de charbons emploient moins d’ouvriers. Weiterlesen

Lorsque j’ai Trump en tête, je dois penser à un fossile, tellement sa politique est rétrograde. En voulant démonter les gardes-fous climatiques que Barak Obama avait monté pour freiner le réchauffement de la planète, il agit comme l’autruche qui plonge sa tête dans le sable afin d’ignorer la réalité. L’acte d’un vieil homme têtu, qui croit qu’en signant des décrets il changera le monde. Dans un premier temps en misant sur le charbon il pourrait stabiliser des États proche de l’infarctus économique. Mais ce qu’il fait là pourrait être comparé à un coureur qui voudrait gagner la formule 1 avec un bulldozer. Au lieu d’inciter l’industrie à faire de la recherche pour créer de nouveaux produits compatibles avec l’écologie, il regarde une fois de plus dans le passé. Un être qui par ses grimaces croit pouvoir défier l’humanité. Il faudra que tous ceux qui ont encore un peu de jugement, se décident à faire de la résistance. Ils peuvent le faire en combattant projets après projets, telle que la réouverture des mines de charbon. La difficulté sera de trouver de bons arguments prenant en compte les incidences sur le marché du travail. Pas une mince affaire ! Il s’agira avant tout de proposer des alternatives telles que le développement des éoliennes ou des parcs photovoltaïque. Mais cela ne suffira pas à compenser un grand nombre d’emplois, qui pourraient être créés à la suite de la décision présidentielle. L’investissement dans des projets écologiques est de longue durée et ne peu que démarrer au ralenti car il y a tout à faire. Des lois rendant obligatoire l’isolation des maisons pourraient être un premier pas. Ainsi l’incitation de créer des produits ayant besoin de peu d’énergie pour fonctionner. Certes des initiatives qui à l’avenir pourraient avoir des retombées positives pour l’économie. Weiterlesen