Dans un article du Nouvel Observateur, j’ai lu hier soir les critiques que des économistes ont porté contre Emmanuel Macron. Je vais essayer de décortiquer point par point ce qui a été écrit en espérant pouvoir apporter le point de vue d’une personne qui habite tout aussi bien en France qu’en Allemagne. Peut-être la possibilité d’y voir plus clair. Ils parlent d’un programme néo-libéral. Pour l’instant je ne suis pas en mesure de pouvoir approuver cette thèse. Pourquoi ? Parce que Macron part de la réalité des faits en Europe. Il sait parfaitement que l’influence des gouvernements est limitée lorsque les caisses sont pour ainsi dire vides. Seule la République Fédérale par l’Agenda 2010 du Chancelier Schröder du SPD, vit dans une expansion exceptionnelle. Mais ceci au dépend de millions de salariés ou de chômeurs qui vivent d’un minimum. Les sacrifices ont été énormes. La raison pour laquelle Martin Schulz propose plus de justice sociale. L’austérité que Madame Merkel a imposé à l’UE trouve bien des adhérents en dehors de son parti. Elle veut éviter que son peuple paie unilatéralement la facture. Il est vrai que des bureaucrates essaient de mettre en œuvre cette politique comme nous l’avons vu sur le pourtour méditerranéen. Personnellement je ne la salue pas étant d’avis qu’il faut investir. Quant à une harmonisation des impôts et des dépenses sociales, je pense que c’est une bonne chose à long terme, même si au début certains ne seront pas avantagés. Une politique économique doit partir sur des bases solides, qui n’existent pas actuellement en Europe. Emmanuel Macron est assez réaliste pour savoir que des initiatives en ce qui concerne la relance et l’emploi, ne pourront se faire que dans une coopération étroite avec les autres pays de l’UE. Attendons ! Weiterlesen

Donald Tusk occupe depuis la fin de l’année le poste de président du conseil européen. Il a été reconduit dans cette fonction par 27 voix contre une, celle de son pays la Pologne. Cette décision a plongé la cheffe du gouvernement de Varsovie, Beata Szydlo, dans une grande colère. Elle a menacé le conseil de partir sur le champ de Bruxelles, ce qu’elle n’a pas fait. Mais aujourd’hui elle se réservera le droit de dire non aux autres résolutions en préparation. Et tout ceci parce que Donald Tusk est issu de l’opposition. Il ne fallait rien attendre de mieux de ces têtes de béton qui occupent les rennes du pouvoir en Pologne. En majorité des gens qui aimeraient enterrer l’Europe, des chauvins conservateurs qui essaient de faire régner l’intolérance. Je trouve bon que les autre membres du Conseil Européen ne se soient pas laisser mener par le bout du nez, parmi eux aussi ceux des pays de l’Est, qui jusqu’alors étaient d’une tendance assez proche de celle des dirigeants polonais. Même un Viktor Orbán a voter oui. Il est clair qu’un tel événement terni un peu l’aspect festif qu’on voulait donner au sommet, mais je trouve bien qu’on ait mis les points sur les i en prétendant qu’il en allait de l’intérêt de toute l’UE, pas d’un seul pays. Oui, c’est une démonstration de force nécessaire. J’espère qu’après le passage de quelques perturbations, la quiétude reviendra. L’Europe en a le plus grand besoin. Il s’agira de montrer de l’énergie contre les plans nationalistes d’un Trump. Cela sera notre attitude en ce qui concerne le commerce international ou la construction d’une armée commune. Cette nuit la Pologne a freiné toutes les décisions. Madame Szydlo a répondu qu’elle voulait lutter contre la mainmise de l’Allemagne sur les institutions. Weiterlesen

Hier kennt man das Phänomen, von Enthüllungen über Aktivitäten der amerikanischen Geheimdienste in Verlegenheit gebracht zu werden. Im Jahr 2013 geriet die Technologieindustrie in Erklärungsnot, als der frühere Geheimdienstmitarbeiter Edward Snowden Spionageinstrumente der Regierungsbehörde NSA ans Licht brachte. Branchengiganten wie Microsoft, Apple und Google fanden sich zum Beispiel auf einer Liste von Unternehmen wieder, die in das Spähprogramm „Prism“ eingebunden gewesen sein sollen.

Sie mussten sich gegen den Verdacht wehren, willige Komplizen von Geheimdiensten zu sein. Sie beteuerten, sie würden der Regierung keinen direkten Zugang zu ihren Computersystemen geben, sondern ihr nur auf richterliche Anordnung Daten zur Verfügung zu stellen. Sie sind auf Konfrontationskurs mit der Regierung gegangen und haben Klagen eingereicht. Jetzt bekanntgewordenen Spionageaktivitäten des Geheimdienstes CIA belasten das Verhältnis zwischen dem Silicon Valley und der Regierung aufs Neue.

Wieder hat die Enthüllungsplattform Wikileaks Dokumente veröffentlicht, aus denen hervorgeht, dass die Behörde systematisch Instrumente entwickelt haben soll, um Smartphones, Computer und Fernseher zu knacken. Nach Angaben in den Dokumenten, deren Authentizität von der Regierung bislang nicht bestätigt wurde, sind einige der populärsten elektronischen Produkte betroffen: iPhones von Apple, Smartphones mit der Android-Software von Google, Computer mit dem Betriebssystem Windows und internetfähige Fernseher von Samsung.

Innnerhalb des Geheimdienstes soll es eine Gruppe geben, die allein darauf spezialisiert ist, Schadsoftware zu entwickeln, welche es ermöglicht, sich Zugang zu Daten auf Apple-Produkten wie iPhones und iPads zu verschaffen. Infizierte Smartphones sollen in der Lage sein, ihre Kameras und Mikrofone von selbst zu aktivieren und Informationen wie den Standort ihrer Nutzer an die Regierung zu übermitteln.

Die CIA soll dabei auch in der Lage sein, Verschlüsselungsmechanismen zu umgehen, wie sie zum Beispiel der Kurzmitteilungsdienst Whatsapp hat. Insgesamt soll der Geheimdienst 14 Sicherheitslücken im Apple-Betriebssystem und 24 Schwachstellen in der Android-Software entdeckt und ausgenutzt haben. Auch für die Android-Produkte soll es in der CIA eine andere Spezialtruppe geben. Apple teilte mit, viele der beschriebenen Sicherheitslücken seien in der jüngsten Version seines Betriebssystems behoben worden, und das Unternehmen werde versuchen, etwaige andere Schwachstellen zu beseitigen. Den Kunden wurde nahegelegt, immer die neueste Software herunterzuladen.

Google und Microsoft verkündeten ebenso, man werde sich mit der Angelegenheit befassen. In den Wikileaks-Dokumenten gibt es keine Anhaltspunkte dafür, dass die Technologiekonzerne mit den Geheimdiensten bei der Suche nach Sicherheitslücken zusammenarbeiten. Unangenehm sind die Enthüllungen für die Branche insofern, dass die Aktion des Geheimdienstes suggeriert, dass populärste Produkte von Geheimdiensten in Spionagevehikel verwandelt werden können. Sie fallen außerdem in eine Zeit, in der sich das politische Umfeld völlig verändert hat. Mit dem früheren amerikanischen Präsidenten Barack Obama pflegte das Silicon Valley ein recht freundliches Verhältnis.

Zwischenzeitlich wurde dies durch die Snowden-Affäre empfindlich gestört, Apple zum Beispiel lieferte sich 2016 einen vielbeachteten Streit mit der Bundespolizei FBI um die Entschlüsselung des Smartphones eines Attentäters. Aber insgesamt kamen beide Seiten gut miteinander aus. Unter dem neuen Präsidenten Donald Trump könnte das anders sein. Dieser hat in der Vergangenheit nicht allzu viel Verständnis für die Befindlichkeiten der Branche mit Blick auf den Datenschutz gezeigt.

Im Wahlkampf kritisierte Trump Apple scharf für seine Position im Streit mit dem FBI und forderte Amerikaner auf, keine Produkte des Unternehmens mehr zu kaufen. Allgemein ist das Verhältnis zwischen Trump und dem Silicon Valley bislang sehr distanziert. Die meisten prominenten Vertreter der Technologiebranche haben sich vor der Wahl öffentlich auf die Seite von Trumps Rivalin Hillary Clinton geschlagen.

Zwar gab es im Dezember letzten Jahres ein Treffen Trumps mit ranghohen Managern amerikanischer Technologiegiganten, das als produktiv beschrieben wurde. Aber seit seinem Amtsantritt als Präsident im Januar hat Trump seinen Schwerpunkt klar auf traditionelle Branchen gelegt, vor allem klassische verarbeitende Industrie und Dienstleister wie Einzelhändler und Versicherer.

Die erneute Affäre zeigt ein weiteres Mal, dass das Vertrauen der Regierung in die eigene Bevölkerung – ja, ihre Wähler – nicht allzu hoch ist. Bedauernswert!

WikiLeaks a révélé les méthodes qu’utilise la CIA pour s’introduire dans notre sphère personnelle. Au point de vue technique c’est possible, mais quel est le but qu’on peut attendre d’une telle pratique ? Il est intéressant de constater que les services secrets anticipent, mais que le résultat final est aussi bancal qu’avant. Je peux citer en exemple le Stasi, qui a récolté des informations sur chaque citoyen, qu’il a emmagasiné ensuite dans ses archives. Cela a bien mené à des arrestations, à un chantage ininterrompu qui a souillé le quotidien, mais en fin de compte ses agents n’ont pas été en mesure d’empêcher l’effondrement du régime. De même pour la CIA qui a souvent mené la politique dans l’ornière. Trop de connaissances peuvent être nuisibles. Les preuves sont là, mais qu’en faire ? Il est symptomatique de constater que les analyses ont été erronées. Peut-être parce qu’il ne fallait pas indisposer le client qu’est l’État ? C’est dans le domaine du terrorisme islamiste qu’il est possible de constater qu’une organisation comme l’EI réussit toujours à déjouer l’action des forces de l’ordre. Il s’avère qu’elles n’ont pas été informées à temps d’un danger imminent. L’information ne sert pas à grand chose si on n’est pas en mesure d’en tirer des conclusions. La tactique employée par les terroristes est plus que subtile. En individualisant la lutte, les organisations rendent très difficile le combat contre elles. Ce sont souvent des initiatives spontanées prises sans l’appoint d’une infrastructure. L’organigramme d’une action violente n’existe plus. Les structures hiérarchiques ont été éliminées. Chaque meurtrier est livré à lui-même, peut agir à sa guise sans se référer à un QG. Weiterlesen

François Fillon met l’UDI dans l’embarras en maintenant sa candidature pour la présidentielle. Son ancrage à droite du parti LR ne présage rien de bon en ce qui concerne sa représentation au centre. Le spectre de Marine Le Pen a conduit cette formation à faire du clientélisme chez tous ceux qui menacent de faire le saut et s’allier au FN. C’est-ce qui a probablement amené la direction à se ranger derrière Fillon. Après la défection d’Alain Juppé, il ne lui restait rien d’autre à faire. L’ancien premier ministre a eu la lucidité de voir, où un engagement personnel pouvait mener. Il est humain qu’à son âge il ne veuille pas jouer au kamikaze. Puis il n’était pas sûr que s’il se lançait dans la bataille il pourrait ramener au bercail un résultat honorable au premier tour. Cela aurait été un sauve-qui-peut. Mais il est permis de se poser la question, si par fidélité à ses valeurs, il n’aurait pas dû sauter dans le brèche ? Ce qui se passe actuellement au LR reflète le malaise dans lequel il se trouve. Il provoque immanquablement une paralyse. Les dirigeants ont sûrement réfléchi par deux fois au sujet de l’attitude à adopter. Ils savent qu’avec le maintien à la candidature du gagnant de la primaire, ils se dirigent vers une Bérésina. Comment gagner le terrain perdu ? Cela semble être une opération des plus ardues. Seul l’intéressé lui-même aurait pu sortir ses amis de l’embarras en se retirant de lui-même, mais il ne l’a pas fait. Est-ce par orgueil ? Où parce qu’il ne se sent nullement responsable des faits qu’on lui reproche ? En principe j’aime assez les gens qui nagent à contre-courant, mais dans son cas je me demande pourquoi il prend le risque d’être nommé le fossoyeur de la droite modérée? Weiterlesen

Der türkische Präsident Erdoğan dachte vor rund sieben Monaten offen darüber nach, die Todesstrafe wieder einzuführen. In Deutschland sorgte das für verstörte Gesichter.

Der Gouverneur von Arkansas/USA, Asa Hutchinson, genehmigte Ende Februar vier Doppelhinrichtungen mit der Giftspritze, die noch im April vollzogen werden sollen. Seit 2005 wurden in dem Bundesstaat keine Hinrichtungen mehr durchgeführt.

Die acht Todeskandidaten, alles verurteilte Mörder, hätten die juristischen Mittel, um die Tötung noch abzuwenden, voll ausgeschöpft. Hutchinson erklärte in einem Statement: „Diese Exekutionen sind absolut notwendig, um die Auflagen, die uns die Gesetze geben, zu erfüllen“.

Warum so viele Hinrichtungen in so kurzer Zeit?

Hutchinson spricht laut ArkansasOnline von einem „Rückstau“ bei Hinrichtungen, weil wegen der juristischen Anfechtung der Todesurteile diese über Jahre hinweg nicht vollzogen werden konnten. Zudem läuft die Haltbarkeit eines der Mittel für die Todesspritze aus. So die Vermutung der gemeinnützigen Organisation Death Penalty Information Center, die für ein Ende der Todesstrafe kämpft. Bei dem Mittel handelt es sich um Midazolam. Es ist die erste von drei Substanzen, die einem Todeskandidaten in Arkansas gespritzt werden. Es soll dazu dienen, den Verurteilten bewusstlos zu machen. Das zweite Mittel, Vecuroniumbromid, paralysiert den Todeskandidaten, das letzte, Kaliumchlorid, sorgt für den Herzstillstand.

Auch hier hat Arkansas ein Problem mit der Haltbarkeit, die Vorräte können seit Januar nicht mehr benutzt werden. Doch Hutchinson geht davon aus, dass bis zum April neue Bestände vorhanden sind. Bei Midazolam ist eine Neu-Beschaffung problematischer, es ist nicht sicher, ob es zeitnah nachgeliefert werden kann.

In den vergangenen Jahren haben immer mehr Pharmakonzerne die Lieferung für Substanzen für die Giftcocktails eingestellt, weil sie damit nicht in Verbindung gebracht werden wollen. 2011 hat die EU ein Exportverbot unter anderem für das Betäubungsmittel Pentobarbital verhängt, vor allem seitdem wird immer häufiger Midazolam als Alternative genutzt.

Den Rekord bei Hinrichtungen in kurzer Zeit hält nach wie vor Texas, das im Mai und Juni 1977 – ein Jahr nach der Wiedereinführung der Todesstrafe in den USA – ebenfalls acht Personen hingerichtet hat – innerhalb eines Monats!

Die Todesstrafe gibt es schon sehr lange. Das hat einen einfachen Grund: Wer die Macht hat, der zeigt das am einfachsten, indem er über Dinge bestimmt, die nur er entscheiden kann. Zum Beispiel über Leben und Tod.

Es war normal, dass König, Kaiser oder auch die Kirche ihre Macht demonstrierten, indem sie die Bürger einen Kopf kürzer machten. Im Mittelalter und der frühen Neuzeit reichte dafür schon wenig aus. Für Mord und Totschlag ging man zum Henker, auch der Vorwurf der Zauberei, einer Abtreibung oder Gotteslästerung endeten auf dem Schafott.

Dort ging es laut zu. Hinrichtungen waren bis ins 19. Jahrhundert hinein regelrechte Volksfeste. Es gab kein Fernsehen, kein Internet. So ist überliefert, dass noch in den 1860er Jahren in Leipzig an Exekutionstagen schulfrei war. Der Grund: Es wäre sowieso keiner gekommen, weil alle bei der Hinrichtung waren.

Die Täter zu köpfen, zu hängen, zu vierteilen oder zu rädern übernahmen sogenannte Scharfrichter, die durchs Land reisten, um die Hinrichtungen zu vollziehen. Sie tauschten irgendwann die Gesichtsmaske gegen einen schwarzen Zylinder und die Methoden wurden humaner. Scharfrichter waren staatlich anerkannte Henker.

Im Geiste der Aufklärung regte sich Widerstand gegen das unzivilisierte Umbringen im Namen des Gesetzes. Bereits im ersten deutschen Grundrechtekatalog, in der Paulskirchenverfassung von 1849, wurde die Todesstrafe abgeschafft. Diese Verfassung kam nie zum Einsatz und so wurde auch im 19. Jahrhundert und während des deutschen Kaiserreichs weiterexekutiert. Erst in der Weimarer Republik waren es deutlich weniger Todesurteile.

Doch dann erlebte die Todesstrafe in Deutschland ihren traurigen Höhepunkt. In der Nazizeit sprachen die Gerichte – neben dem millionenfachen Morden in den Konzentrationslagern – insgesamt über 32.000 Todesurteile aus.

In Westdeutschland wurde noch bis 1949 offiziell hingerichtet. Der letzte Straftäter, der seinen Kopf verlor, war der 24-jährige Raubmörder Richard Schuh.

Von alliierten Gerichten verurteilte deutsche Kriegsverbrecher landeten bis 1951 am Galgen. Ironischerweise war das auch der Grund, warum in unserem Grundgesetz die Todesstrafe in Artikel 102 abgeschafft wurde. Das geschah nicht aus Menschenliebe, sondern, um ehemalige Nazi-Verbrecher vor der Todesstrafe zu schützen (Richard Evans).

In der DDR wurde der Stasi-Offizier Werner Teske wegen angeblicher Spionage im Jahr 1981 erschossen. Das ist gerade mal 36 Jahre her.

 

Qu’un homme de gauche comme moi ne pavoise pas en observant ce qui se passe chez Les Républicains peut étonner plus d’un. Non je trouve négatif que les structures de la droite et de la gauche démocratique soient à ce point laminées, ce qui me fait craindre le pire. C’est de l’eau amenée sur les moulins de l’extrême-droite. Je ne me souviens pas d’une telle situation depuis la présidentielle ratée de Gaston Defferre en 1969, où il ne réussit qu’à rassembler 5% sur son nom. C’était le plus mauvais score du parti socialiste. Une chose est certaine, la polarisation des extrêmes n’est pas un bienfait pour la démocratie. Et c’est justement à une époque où il y a de grands problèmes à régler que les gens devraient se rapprocher. Le système majoritaire à la française est une entrave au compromis, qui est plus urgent que jamais. Le Général de Gaulle en créant la 5ême République voulut ainsi apporter une stabilité en permettant à une majorité claire de gouverner le pays. C’était efficace mais peu démocratique, car une forte minorité de la population n’est pas représentée au parlement. C’est sûrement une des causes de la grogne que nous vivons actuellement. Cela rend agressif, que nous le voulions ou non. Un phénomène inquiétant lorsque les partis traditionnels s’essoufflent. Ce qui me paraît plus clair que jamais est le fait, qu’il faut revoir toute la politique française de fond en comble. La première question qui doit être posée est de savoir dans quelle sorte de société nous voulons vivre, quels seraient les idéaux que nous voulons promouvoir ? C’est une question d’identité. Weiterlesen

Es ist zu wenig, was du gibst.

Du gibst viel,

gibst dich,

doch,

es ist nichts,

was du gibst.

 

Verloren in deinen Armen,

alleine mit den Gedanken,

so alleine,

einsam, traurig und alleine.

 

Es ist zu wenig, was du zeigst.

Angst vor dir selbst?

Haltlos falle ich hinunter,

auf den kalten Boden,

erschaffen von der Tatsache, das.

 

Bin gewohnt, dass man mir gibt,

gewohnt, das man mich liebt,

doch,

es ist zu wenig, was du gibst,

viel zu wenig,

wie du liebst.

 

Vor was hast du Angst Mylord?

Wo liegt deine Furcht?

Aufzugeben, was du niemals hattest?

Versunken sein in tiefer Liebe?

Ich frier´ an deiner Seite,

die so golden glänzt wie die Sonne,

einen Blick in deine Wärme,

hab´ ich nie bei dir geseh´ n.

 

Es ist zu wenig, was du gibst.

Du gibst alles.

Mehr als das,

hast du nicht zu geben.

D a s ist nicht mein Leben,

ich verdurste ohne Wasser,

ich verhungere im Paradies.

 

Es ist zu wenig, was du gibst.

Und du sagst, du liebst?

Aber du liebst dich selbst zu sehr,

Helden lieben nur die Jagd.

 

Es gibt keinen Grund für MEHR,

sag´ mir eins, mein Herr?!

Warum hast du nichts zu sagen?

Weshalb willst du was von uns´ rem Leben?

Wofür tun wir das denn hier?

 

Es ist zu wenig, was du gibst.

Ich geb´ dir alles, was ich habe,

nimm es,

nimm es mit dir fort!

Meine Wärme wird dich begleiten,

du bist frei,

die Steppe wartet schon.

 

Es ist zu wenig, was du gibst.

Es reicht nicht,

es reicht nur für dich.

Und es ist viel zu wenig,

w i e du liebst.

 

© Petra M. Jansen

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