Die Römer waren Meister im Mauerbau. Ihre Grenzwälle sind legendär, und selbst die verbliebenen Reste beeindrucken uns noch heute. Nach der verlorenen Schlacht gegen Arminius – ob sie nun im Teutoburger Wald stattgefunden hat oder in Kalkriese im Osnabrücker Land – begannen sie Grenzbefestigungen am Rhein zu errichten. Über 200 Jahre verschanzten sie sich hinter dem obergermanisch-rätischen Limes, der eine Länge von über 500 Kilometern erreichte. Er zog sich vom heutigen Rheinland-Pfalz (Rheinbrohl) bis Niederbayern (Hienheim bei Regensburg). Wachtürme, Laufstraßen, Kasernen und Patrouillen sollten ihn sicher machen. Am Ende rannten ihn alemannische Reiter nieder und etwa 260 n. Chr. wurde er von Rom aufgegeben.

Was wenige wissen:

Das Römische Reich errichtete neben dem obergermanisch-rätischen viele weitere Grenzwälle in halb Eurasien und in Afrika: Den norischen Limes entlang der Donau, auf dem Gebiet der heutigen Bundesländer Ober- und Niederösterreich. Den pannonischen Limes in der Slowakei und Ungarn. Den Hadrianswall, der Schottland von der römischen Provinz Britannia trennte. Die Trajan-Wälle am Schwarzen Meer, errichtet gegen die Steppenreiter. Den Limes Arabicus im heutigen Jordanien und Syrien, der die Perser von den römischen Provinzen fernhalten sollte. Den Limes Mauretaniae in Nordafrika und eine ganze Reihe weiterer Grenzwälle, wie etwa den Lautertal-Limes zwischen der Stadt Köngen am Neckar und dem römischen Kastell bei Donnstetten auf der Schwäbischen Alb.

Varus wußte, dass er in der Falle saß. Mühsam bahnten sich 18.000 Legionäre im strömenden Regen ihren Weg durch den Urwald Germaniens. 20 Kilometer war der Tross lang, und der Feind nutzte dies geschickt aus. Immer wieder brachen Hunderte Barbaren aus dem Dickicht und rieben die Römer auf. Varus war machtlos. Er wurde verraten – ausgerechnet von Arminius, seinem wichtigsten Berater.

Arminius war noch ein kleiner Junge, als er nach Rom gebracht wurde. Er war der Sohn des Cherusker-Fürsten Segimer – und nun eine Geisel, die einen brüchigen Frieden garantieren sollte. So paradox das klingt: Eine Geisel in Rom zu sein, war ein Glücksfall. Die Kinder wurden fürstlich behandelt, besuchten die besten Schulen, erwarben das Bürgerrecht und machten Karriere im Militär. Viele wuchsen so zu echten Römern heran – und blieben für immer. Auch Arminius war fest verwurzelt in der römischen Gesellschaft, und doch würde er die Seiten wechseln.

Das Streben nach Macht!

Als Offizier befehligte der junge Cherusker – auch Hermann genannt – eine Spezialeinheit, die sich aus germanischen Söldnern zusammensetzte und Aufstände niederschlug. Als der Feldherr Varus auf Befehl des Kaisers Augustus aufbrach, um das rechtsrheinische Germanien zu befrieden, war Arminius noch an seiner Seite. Was Varus nicht wusste: Für Arminius war diese Nähe nur ein Mittel zum Zweck. Der junge Fürst trachtete selbst nach dem Thron – und wollte sich zum Häuptling aller Germanen aufschwingen.

Dazu musste er seine Position stärken. Sein Plan: Würde er Varus, den vermeintlich unbesiegbaren Gegner, schlagen, wäre seine Herrschaft nicht zu verhindern. So opferte er alles, verriet Varus – und lockte ihn in eine Falle. Die Schlacht dauerte Tage – am Ende sind die Römer vernichtend geschlagen. Fortan galt Arminius – alias Hermann – als Befreier Germaniens. Rom dagegen gab Germanien nach der Niederlage auf und baute stattdessen eine 550 Kilometer lange Mauer: den Limes.

Mit Wällen und Mauern sicherte Rom seine territorialen Eroberungen ab. Die unterworfenen Völker waren waffentechnisch und organisatorisch unterlegen. Es gab kaum Volksaufstände. Und das, obwohl die Statthalter des Imperiums die Bevölkerung skrupellos auspressten und unterjochten.

Das unerschlossene Germanien mit seinen tiefen Wäldern wurde von den Römern nie dauerhaft erobert. Wäre dies geschehen, hätte es kaum auszudenkende Folgen gehabt. Die Geschichte Deutschlands, Europas und wohl auch Amerikas wäre eine andere gewesen. Denn selbst wenn man den Sieg des Arminius über die Römer nicht bereits als Beginn der Deutschen Geschichte ansehen mag – ohne diesen Sieg hätte wohl eine deutsche Geschichte überhaupt nicht beginnen können.

„Wären die Germanen romanisiert worden, hätte das Römische Reich noch Jahrhunderte bestehen können“ (Alexander Demandt). Die Völkerwanderungsheere wären dem Imperium Romanum vielleicht erspart geblieben und damit die Eroberung seines Zentrums am Tiber durch germanische Völker. Die Römer kamen nicht zu den Germanen, nein, jene kamen zu den Römern.

Einige Wissenschaftler sind sich sicher: Bei einer Niederlage von Arminius wäre die deutsche Sprache untergegangen. Alle hätten irgendwann Latein gesprochen. Und es wären folglich ohne den Sieg des Cheruskers Arminius auch kein Luther und keine deutsche Literatur möglich gewesen.

In jenen Septembertagen des Jahres 9 haben Arminius und seine Mannen Geschichte geschrieben.

Wer weiß, wo und wer wir heute – 2000 Jahre später – bei einem umgekehrten Verlauf der damaligen Schlacht wären …

 

 

Malgré une bonne affluence lors de son meeting au Trocadéro, François Fillon ne peut pas ignorer la réalité. À cause de son attitude personnelle au sujet de l’emploi probablement fictif de sa femme, il n’a guère de chance d’atteindre le second tour s’il se maintenait dans la course à la présidence. Une réalité qu’il semble pour l’instant ne pas vouloir accepter. Donc beaucoup de bruit pour rien ! Il est à mes yeux incompréhensible qu’il puisse ainsi mettre en péril son parti. Je ne supporte guère qu’il se fasse passer pour une victime. Qu’il semble reprocher à la justice d’intervenir à peu de semaines des élections. Du reste la même réaction chez Marine Le Pen est perceptible. Je ne vois pas pourquoi les instances judiciaires devraient se retenir pour ne pas causer du tort à des candidats. S’il y a magouille, il est de son devoir d’intervenir. Il est mieux de le faire avant qu’une personne soit élue. De tels agissements pourraient nuire au poste qu’ils occuperaient en cas de victoire. Il est clair que tout candidat doit s’attendre à un maximum de transparence, qu’il ne se situe pas au-dessus de la loi. Il y a aussi la critique contre le journalisme, qui soi-disant fait tout pour mettre du sable dans l’engrenage. Le rôle de la presse et des médias en général dans une démocratie est vital. Lorsqu’on veut la museler comme c’est le cas en Turquie, il s’ensuit pour chaque citoyen une perte de liberté individuelle. La critique est le seul moyen de donner aux gouvernants une idée de leur situation. Weiterlesen

Quels sont les liens qui unissent Donald Trump à Vladimir Poutine ? Après la révélation tardive que son ministre de la justice, Jeff Sessions, a rencontré lors de la campagne électorale l’ambassadeur russe, le président se trouve de plus en plus acculé dans une situation glauque. Une fois de plus un haut dignitaire a menti devant la commission du congrès qui devait entériner sa nomination. Il a aussi l’imbrication de son gendre dans ces manœuvres secrètes. Tout cela n’aurait pas pu se dérouler sans la bénédiction du locataire de la Maison Blanche. Je pense que tout cela est dû à une certaine fascination que le maître du Kremlin exerce sur l’homme d’affaire new-yorkais. Tout d’abord la soif de pouvoir, puis la poigne avec laquelle il mène son peuple. Un autocrate qui agit à sa guise. Mais une telle forme de gouvernance est impossible aux USA, où le premier citoyen du pays doit se soumettre au contrôle très stricte des représentants du peuple. Les services secrets sont d’avis qu’il y a eu ingérence en ce qui concerne le processus électoral, ce qui est le moins qu’on puisse dire incorrecte. Il est évident que de telles suppositions enveniment les relations entre les deux pays, qui sont depuis des années exécrables. Il est évident que je saluerais toute ouverture afin de faire baisser la tension. Pas que j’approuve ce qui se passe à l’Est de l’Ukraine ou l’occupation de la Crimée, je serais néanmoins d’avis qu’on entame des négociations afin de ne pas rompre les fils encore existants. Mais l’ouverture que Donald Trump voulait indéniablement encourager, semble être des plus compromises. L’épisode russe pourrait envenimer tout son mandat. Se rend-t-il compte de ce qu’il a provoqué ? Que les intrigues auxquelles il a participé, pourraient être considérées comme une atteinte aux intérêts vitaux de la nation ? Il est tout à fait inédit pour les États-Unis que Moscou prenne clandestinement part à la politique intérieure de Washington. Weiterlesen

Et si François Fillon devait jeter l’éponge ? Il fait pour l’instant de la résistance et dit vouloir tenir jusqu’au bout malgré une mise à garde à vue probable. Il est soumis à des coups de boutoirs terribles de la part de ses amis politiques qui considèrent que sa détermination leur cause un tort irréparable. Il y a de plus de défections dans ses propres rangs. Avec le départ de son directeur de campagne, il serait normal qu’il réfléchisse à son avenir direct. Mais de plus en plus se dessine pour lui l’irrémédiable, c’est à dire sa démission. Un pas des plus douloureux mais nécessaire si on se place dans la logique électorale. Si cela devait arriver, Alain Juppé devrait se lancer dans le ring. Cela changerait toutes les donnes au niveau national. Fillon doit se contenter de 19% et se trouve à la troisième place au premier tour. Le PR serait ainsi éliminé. Avec Juppé il en serait autrement. Il se trouverait quasiment à égalité avec Emmanuel Macron. Les deux battraient Marine Le Pen. Mais comme tout se joue dans un mouchoir de poche, il est difficile de faire des pronostics exactes. Mais il y a un fait : « En marche ! » devrait mettre les bouchées doubles. Dans ce cas-là cela serait l’establishment contre la jeunesse. Il est indéniable qu’Alain Juppé aurait toutes les compétences. Tout d’abord une grande pratique sur le terrain, qui a été interrompue par l’affaire de la mairie de Paris. Lui non plus n’a pas une veste parfaitement immaculée. Mais il faudra compter sur lui. Weiterlesen

J’ai suivi hier pendant plus de deux heures la conférence d’Emmanuel Macron. Il a présenté son programme qui était déjà connu par bien des points. J’avais fait sur Facebook une analyse des différentes idées évoquées sur un site mis en place par des jeunes sur internet. Je ne reviendrai pas dans le détail sur le contenu, mais je voudrais bien plus évoquer l’impression qu’il m’a laissé. Il y a tout d’abord le personnage. Il a évoqué avec beaucoup de clarté ses thèses. Il ne s’est pas laissé entraîner dans des critiques de la situation actuelle. Il a eu la décence de dire qu’il ne serait pas correct de vouloir tout balayer sur son passage. Dans toute gouvernance il y a du bon et du mauvais, des idées qui n’ont pas pu être concrétisées, d’autres qui ont abouti dans un cul-de-sac. Il en a été du même du quinquennat de François Hollande. Il a indiqué qu’il a quitté toutes ses fonctions parce qu’il ne croyait pas qu’une continuité puisse servir le pays. Il ne veut pas transformer mais carrément changer beaucoup de choses. Ne pas faire du réchauffé. Donc il devait se démarquer de l’équipe dont il était membre à l’Élysée, puis ensuite comme ministre dans le gouvernement Valls. Au passage il a fait remarquer qu’il était le seul candidat à avoir abandonné toutes ses fonctions et ne plus avoir momentanément de revenus. Le tout pour pouvoir en toute liberté forger un nouvel outil. C’est bien ce qu’il veut faire afin de réformer le pays et le mener enfin dans le 21ème siècle, Pour y arriver il faut se débarrasser de tous les tabous, ne pas lorgner vers le passé, ne pas faire de la politique politicarde. Weiterlesen

Kaum jemand weiß, dass die USA keine eigene gesetzlich festgelegte Amtssprache haben.

Die meistgesprochene Sprache in den USA ist das amerikanische Englisch, gefolgt von Spanisch.

Zur Zeit ist Englisch die offizielle Sprache in 27 der 50 Bundesstaaten der USA.

Dazu gehören: Alabama, Alaska, Arizona, Arkansas, Kalifornien, Colorado, Florida, Georgia, Idaho, Illinois, Indiana, Iowa, Kansas, Kentucky, Mississippi, Missouri, Montana, Nebraska, New Hampshire, North Carolina, North Dakota, South Carolina, South Dakota, Tennessee, Utah, Virginia und Wyoming.

Alle anderen Staaten haben keine offizielle Sprache, außer Hawaii, wo Englisch und Hawaiianisch die beiden offiziellen Sprachen sind.

Mit „Amerika“ sind die Vereinigten Staaten gemeint und nicht etwa der gesamte amerikanische oder auch nur der nordamerikanische Kontinent. Englisch war die Sprache der wichtigsten Siedlerkolonien an der nordöstlichen Atlantikküste, aus denen die spätere USA hervorging, und wurde nach dem Unabhängigkeitskrieg 1775-1783 zur Sprache der neu gegründeten Republik. Zwar gab es zu Beginn Überlegungen, eine andere Sprache als Englisch als Landessprache der USA einzuführen, um sich von der einstigen Kolonialmacht England abzusetzen. Deutsch, aber auch Hebräisch, Griechisch, Latein oder eine Mischsprache mehrerer Indianersprachen wurden diskutiert, waren aber keine ernsthaften Alternativen. Das amerikanische Englisch ist ferner vom britischen Englisch zu unterscheiden und weist selbst verschiedene regionale, kulturelle und soziale Varianten auf. Auch heute ist die Sprachsituation in einem ständigen Wandel. Eine wachsende Zahl von Menschen in den Vereinigten Staaten spricht heute nicht mehr Englisch als Muttersprache. Vor allem Spanisch macht dem Englischen Konkurrenz, aber es gibt aufgrund des hohen Migrationsfaktors auch andere, beispielsweise asiatische Sprachgruppen, die sich in der neuen Welt behaupten. Aufgrund der Globalisierung gewinnt das Englische als internationale Verkehrssprache („lingua franca“) der Wirtschaft, Wissenschaft, Technik, der Jugend-, Pop-, und Massenkultur allerdings – transnational gesehen – verstärkte Bedeutung und erfährt dadurch erneute Veränderungen, die wiederum auf die USA zurückwirken.

Wie auch in anderen Ländern gibt es in den USA viele verschiedene Dialekte. So kann sich jemand aus Neuengland schwertun, wenn er Louisiana besucht.

Der amerikanische Akzent, den die meisten Nichtmuttersprachler erlernen, ist nur einer von vielen, die man tagtäglich in den Vereinigten Staaten hört. Der als allgemeines Amerikanisch (General American – GenAm) bekannte Akzent wird üblicherweise auch in den Nachrichtensendungen der großen Fernsehsender, in nationalen Radiosendungen, Filmen und anderen Medien verwendet, in denen die Sprecher nicht auf ihre Herkunft verweisen wollen.

GenAm hat seine Wurzeln in Pennsylvania, Ohio und anderen Regionen des sogenannten „Rostgürtels“ (das Hochdeutsche kommt beispielsweise aus Hannover). Die Siedler brachten ihn über den Mittleren Westen nach Kalifornien und in den Nordwesten des Landes entlang der Pazifikküste. Das Aufkommen von Radio und Fernsehen Mitte des 20. Jahrhunderts veranlasste die Medienorganisationen zu untersuchen, welcher amerikanische Akzent als „neutralster“ empfunden und deshalb vom größten Publikum verstanden wurde.

Die meisten Amerikaner erkennen beispielsweise problemlos einen Akzent aus den Südstaaten oder Neuengland, aber GenAm wurde zum nationalen Standard, obwohl er ursprünglich nur in einem kleinen Gebiet im Mittleren Westen gesprochen wurde.

Ein auffälliger Unterschied ist das breit ausgesprochen „A“ im Amerikanischen, sodass das Wort dance nicht wie dahnce klingt. Der vielleicht am leichtesten erkennbare Unterschied zwischen RP (Received Pronunciation, sie wurde in Großbritannien für die BBC und andere nationale Nachrichtensender eingeführt. Wer britisches Englisch lernt, lernt höchstwahrscheinlich RP, den Akzent, der sich im 18. und 19. Jahrhundert von Südengland aus in der Oberschicht verbreitete) und GenAm ist die Aussprache des Buchstaben „R“ in einigen Wörtern, von Phonetikern Rhotazismus genannt. Ein amerikanischer Nachrichtensprecher würde beispielsweise das „R“ in hard aussprechen, während das Wort in den britischen Medien mehr wie hahd klingen würde.

Einige Amerikaner, beispielsweise im Süden, in Neuengland und New York, wo die Hafenstädte weiter enge Verbindungen zu England unterhielten, lassen den R-Laut wie die Briten wegfallen. Die Amerikaner des 18. und 19. Jahrhunderts allerdings, die weiter von der Küste entfernt im Landesinneren lebten und zum Teil aus Schottland, Irland oder Nordengland eingewandert waren, wo das „R“ ausgesprochen wird, haben den rhotischen Akzent bewahrt.

Ein Hoch auf die Dialekte!

 

La justice semble vouloir mettre François Fillon en examen à cause du Penelope-Gate. Elle ne fait que son travail. Lorsque le prévenu parle d’un assassinat politique, il la salit. Je peux comprendre sa colère, mais il ne peut que s’en prendre à lui-même. En voulant passer pour Monsieur Propre, il s’est mis dans une situation précaire à cause de son avidité. Lorsque nombre de Français ne savent pas comment boucler leurs fins de mois, un tel comportement ne peut pas susciter de la joie. Ce n’est pas en remettant en cause l’état-de-droit qu’il se forge une légitimité en ce qui concerne la présidence. La liberté de la justice fait partie intégrante de la démocratie. Même si ses décisions peuvent faire mal, il faut la respecter. Je peux bien comprendre son désarroi. Être attrapé ainsi la main dans le sac est douloureux. Mais il n’y a pas lieu de fustiger de telles actions en prétendant que les juges veulent influencer les élections. C’est le même langage que Marine Le Pen. Dans de telles conditions je me demande si son volontarisme de vouloir continuer sa campagne n’est pas un suicide ? Peut-être que je m’agripperais aussi, mais est-ce dans l’intérêt de la nation ? Ce qui est humainement compréhensible ne l’est pas forcément au niveau de la gouvernance d’un État. Le pardon en politique est une opération de longue haleine. Alain Juppé peut en dire un mot. Weiterlesen

Rien de vraiment nouveau dans le discours que vient de tenir Donald Trump devant les membres du congrès américain. Contrairement aux déclarations incendiaires contre l’OTAN, il a déclaré qu’il lui resterait fidèle. Mais à conditions que les autres pays membres puisent de l’argent dans leurs poches. Il a du se rendre compte que le fait de saborder cette organisation ne pourrait qu’avoir des effets négatifs concernant l’hégémonie des USA. Je pense qu’ils nous considère comme ses vassaux qui doivent être menés à la baguette. Une raison pour nous de montrer un peu moins d’allégeance par rapport à Big Brother. Puis il parla de l’immigration en assurant que tous ceux qui seraient reçus jouiraient du soutien de l’État. Une fois de plus il réclama que les lois régissant les sans-papiers soient appliquées dans toute leur rigueur à l’avenir. Dans une nouvelle émanant de la Maison Blanche, il n’était plus question d’expulser tous ceux qui vivent honnêtement et paient leurs impôts. Aussi dans cette question épineuse un revirement de taille. Il a du se rendre compte des effets désastreux au niveau de l’économie s’il continuait à être aussi intransigeant. Il n’a probablement pas fait ce pas par amour du prochain mais pour des questions pragmatiques. Pour lui le mur qui devrait être érigé entre le Mexique et les États-Unis n’aurait comme but que d’empêcher les criminels de passer la frontière. Une utopie ! Weiterlesen