Le débat entre Benoît Hamon et Manuel Valls s’est en particulier occupé du revenu universel que prône le vainqueur du premier tour. Comme je l’ai déjà écrit, je me préoccupe de savoir si un tel pas serait vraiment une panacée. Je dois reconnaître que l’idée me plaît assez, car elle écarte d’emblée certaines injustices. Tout le monde serait à la même enseigne, peu importe ses moyens financiers ou son statut social. Cela concernerait les handicapés, les retraités, les chômeurs… tous ceux qui vivent dans la précarité. Je peux très bien m’imaginer ce qui a mené Benoît Hamon à suivre une telle démarche. Je suis de son avis que la nouvelle génération numérique et que l’utilisation de robots dits intelligents pourraient tuer pas mal d’emploi. Je trouve positif qu’il anticipe dans ce domaine, mais ne vois pas comment l’État pourrait financer un tel projet. Tant que nous sommes soumis aux règles actuelles du commerce international, nous devons rester compétitifs. Dans la perspective d’un financement colossal, comme celui du revenu universel, nous serions en état de faiblesse par rapport à nos concurrents. Et puis, il y a encore un point essentiel, celui de la psychologie. Je peux très bien m’imaginer que certains, pas des moindres, préfèrent se reposer sur leurs lauriers au lieu de se battre pour des revenus décents. Ce serait probablement un frein à l’esprit d’entreprise qui devrait animer chacun de nous dans une époque sans pitié pour ceux qui préfèrent rêver. Je le déplore mais c’est la réalité. D’autre part je crois que c’est pour l’instant le faux message à faire passer. Weiterlesen

Le geste de Sigmar Gabriel de quitter la tête du SPD et de donner à Martin Schulz la possibilité de briguer ainsi la tête de liste aux prochaines élections législatives, est un geste appréciable. Il n’a pas voulu mettre le parti dans l’embarras. Avec 20% de voix, cette grande formation populaire est au plus bas dans les sondages. Ce serait un record historique. 15 points de différence avec Madame Merkel ! Et ceci même avec un très bon travail gouvernemental. Sigmar Gabriel, malgré ses qualités, était le mal aimé. Il était assez intelligent pour se rendre compte, qu’avec son nom il entraînerait le parti dans un abîme, où il se remettrait difficilement. Il ne serait pas correct de tirer des parallèles avec ce qui se passe actuellement avec le PS. Certes il y a la question fondamentale du pragmatisme de la gauche en général. Le déplacement idéologique au centre lui cause des problèmes identitaires, d’autan plus que la Chancelière n’est pas si éloignée de la social-démocratie. Elle empiète aussi dans le social, ce qui normalement serait du ressort du SPD. L’électeur a du mal à y voir une ligne de démarcation. Avec la nomination de Martin Schulz, il n’en sera pas différemment, avec la seule différence, qu’il est particulièrement apprécié par les allemands. Son action comme président du parlement européen, a démontré qu’il a du courage et peut saisir le taureau par les cornes. Ce sera sa personnalité qui pourrait faire tilt, non pas le programme de son parti, qui à l’heure actuelle est absolument cohérent. Une fois de plus la preuve que l’homme ou la femme comptent, bien moins les déclarations d’intention. Weiterlesen

Der Brexit hat die Diskriminierung nach Staatsangehörigkeiten salonfähig gemacht. Die EU verhält sich bemerkenswert zurückhaltend

Die Regierung von Premier Theresa May hat in letzter Zeit wissen lassen, dass als Nicht-Brite aufenthaltsberechtigt künftig nur sein wird, wer den Nachweis führt, „den eigenen Lebensunterhalt finanzieren zu können und über umfassenden Krankenversicherungsschutz zu verfügen“. Zu Letzterem genügt nicht, einen Anspruch auf Zugang zum Nationalen Gesundheitsdienst NHS erworben zu haben. Damit hat die Regierung der Tories Bürger der Europäischen Union noch schlechter gestellt als deren Mitgliedstaaten wiederum Nicht-EU-Bürger bei Beantragung eines sogenannten Schengen-Visums.

Das und sein Gegenstück der in der EU lebenden Briten ist wesentlicher Teil des „Rosinenpickens“, das vor Monaten aus Brüssel und Berlin Richtung London zurückgewiesen worden ist. Gemeint ist ein Ausscheiden des Vereinigten Königreichs aus der Union bei gleichzeitiger Verhandlung über ein neues Wirtschaftsabkommen. Ziel eines solchen „Soft-Brexit“ wäre gewesen, weiterhin den freien Verkehr von Waren, Kapital und Dienstleistungen zu gewährleisten, aber ohne Freizügigkeit der Personen.

Es wäre nicht nur eine Umgehung des Wortlautes Europäischer Normen, wonach „jede Diskriminierung aus Gründen der Staatsangehörigkeit verboten“ ist, wie es in Artikel 18 AEUV heißt. Es wäre der direkte Faustschlag gegen den Geist der Europäischen Einigung aus der Präambel der Römischen Verträge von 1957, „einen immer engeren Zusammenschluss der europäischen Völker zu schaffen“.

Ähnlich, was die Schweiz betrifft: Wenngleich nicht Mitglied der EU, ist die Helvetische Konföderation durch bilaterale Abkommen politisch, wirtschaftlich und kulturell eng mit der Union verwoben. Das gilt insbesondere für die gegenseitige Anerkennung des Prinzips der Personenfreizügigkeit. Die Schweizerische Volkspartei (SVP) drängt auf dessen Aufkündigung, seitdem sie das landesweite Migrationsreferendum Anfang 2014 und das im Kanton Tessin zu den italienischen Grenzgängern (September 2016) gewonnen hat. Eine abermalige Volksabstimmung steht jetzt bevor, die genau diesen Aspekt des Verhältnisses zwischen der Schweiz und den Europäischen Institutionen ausloten soll.

Ähnliche Überlegungen gibt es in Österreich und Ungarn. In Großbritannien hat sich die Ambiguität bei der Verwendung des Wortes „Ausländer“ im Brexit in ihrer ganzen Bandbreite manifestiert. Im Vereinigten Königreich hatte sie einen demographischen Ausgangspunkt. Anders als in anderen Europäischen Staaten gibt es hier Geburtenüberschuss. Zusammen mit dem positiven Saldo der Migrationsbewegungen hat das in vergangenen Jahren zu einem Bevölkerungszuwachs von landesweit rund 0,7%/p.a. oder etwa 500.000 Personen/Jahr geführt. Interessant ist die Gegend rund um London mit einem doppelt so hohen Anteil. Die Gruppe mit der höchsten Zuwachsrate bilden dabei die in Polen Geborenen, die von 2001 bis 2015 ihre Präsenz im Vereinigten Königreich mehr als verzehnfacht haben.

Die im letzten Herbst festgestellte Beschäftigungsquote von 74,5%, sowie die der Arbeitslosigkeit von unter 5% zeigen: Die Zugezogenen sind nicht nur erfolgreich in die Arbeitswelt integriert, sondern haben den Wiederaufstieg der Volkswirtschaft seit der Finanz- und Wirtschaftskrise von 2008 maßgeblich mitgestaltet.

Der konservative Thinktank MigrationWatch UK hat daraus eines der Ausgangsmotive für den Brexit gemacht. Das Vereinigte Königreich – speziell England – seien bereits sehr dicht besiedelt (doppelt so dicht wie Deutschland, fast vier Mal so viel wie Frankreich) und litten unter chronischem Wohnraummangel. Bedeutsamer erscheint die Bemerkung, dass „die Nettozuwanderung aus Europa jetzt beinahe so stark ist wie die von außerhalb der EU“. Was etwa in Deutschland und anderen mitteleuropäischen Staaten als abzuweisende Wirtschaftsflucht bezeichnet wird, ist im Vereinigten Königreich erwünscht: Zuwanderer aus Indien, Pakistan, Bangladesch oder Kenia folgen dem Imprint des Commenwealth of Nations genauso wie Personen aus dem arabischen Raum.

Dabei sind es die jeweiligen insbesondere finanziellen, in ihren Ursprungsländern gleichzeitig gesellschaftlichen Eliten, die sich Lebensunterhalt und private Krankenversorgung leisten können. Die Vermutung, dass hier zum Glanz des Finanzplatzes London der Gedanke an eine wieder erstarkende Glorie der britischen Krone eine Rolle spielt, liegt nicht völlig fern.

Die Abschaffung der Schlagbäume an innereuropäischen Grenzen als Vollzug der Schengener Abkommen ist über den Rechtsrahmen hinaus ein Akt mit großer Symbolkraft gewesen. Das Europa der geschlossenen und bewachten Grenzen ist eine historische Anomalie, die mit dem Ersten Weltkrieg einsetzte.

So polyvalent „Ausländer“ als Politikum ist, so verhält es sich mit den Grenzanlagen. Beispiel: Die Abwehranlagen am Eingang des Eurotunnels in Calais. Gedacht als Maßnahme gegen die Flüchtlinge, die das Vereinigte Königreich erreichen wollten, richten sie sich heute auch gegen EU-Angehörige. Symbolisch ein actus contrarius, statt eines Reiseterminals eine neue Maginot-Linie.

Die derzeitige Zusammensetzung der EU-Institutionen lässt nicht erwarten, dass zugunsten der Personenfreizügigkeit klare Signale gesetzt werden. Nach der Kommission ist auch das Europäische Parlament mittlerweile fest in konservativer bis europaskeptischer Hand.

Qui n’est pas même fichu d’organiser une primaire, ne peut que faillir lorsqu’il s’agit de la gouvernance d’un État. Je ne vais pas entrer dans des spéculations douteuses, mais je suis scandalisé qu’on est éventuellement pu manipuler le chiffre des personnes qui se sont rendues aux urnes. Rien n’est confirmé pour l’instant, mais le doute me net terriblement mal à l’aise. J’ai cru pendant des décennies que mes convictions de gauche – que j’ai toujours – étaient étroitement liées à l’éthique et même si cela peut sembler ringard, à la morale. Le seul fait que de tels bruits face le tour de l’hexagone remet en question tout ce qui était mon idéal. Je ne suis pas si naïf de croire que le monde politique se compose d’agneaux se comportant comme des enfants de chœur. Loin de là ! Mais si je me permets de critiquer mes adversaire, je dois être en mesure de le faire pour mon propre camp. Si c’était une farce, je me permettrais de rire. Mais ce qui se dessine-là serait un drame. C’était l’événement qui ne devait pas arriver. Je ne sais pas si dans de telles conditions il ne serait pas mieux de décider de refaire voter dimanche prochain toute la liste en décidant que le candidat le mieux placé serait nommé. Une majorité simple suffirait. Partir sur de la suspicion serait du poison et rendrait peu crédible toute cette primaire. Mais je ne pense pas que les dirigeants du PS auraient le courage de courir un tel risque. Cela serait reconnaître qu’il y a des erreurs de faites. Je pense qu’en ne réagissant pas, le PS creuse sa propre tombe, aussi pour l*avenir. Tout cela me rappelle le Labour lorsqu’il s’entre-dévorait peu avant l’avènement de Tony Blair. Weiterlesen

Unersättlich ist die Gier, du willst mehr und alles. Alles auf einmal und schneller als sofort. Doch stehst du dir im Weg und glaubst kein Wort, das du gerne glauben möchtest. Kaputte Seele, drauf geschissen auf den Müll vergangener Tage. Scheiterst an deinem Begier und Herzenswunsch, weil dein Zug abgefahren ist. Depression? Altersweisheit? Spielt keine Rolle, du haderst mit dir selbst. Ständig. Wo bitte ist der Ausgang aus dem Irrgarten deiner selbst? Das kann niemand richten, du bist verrottet in deinem Herzen, zerquetscht von Irgendwas, was dich tief berührt hat. Und du erkennst, dass es das nie wieder geben wird, egal was du versuchst. Es war der Moment, an dem die Zahl „100 Prozent“ Realität war und in dem du nicht erkannt hast, zurückzustecken. Einfach mal den Mund zu halten und den anderem die Chance für Freiheit zu geben. Verdammter Mist! Es ist so niederschmetternd, wenn du kriechst wie ein Wurm, der nach außen Coolness zeigen muss. Und innerlich bitterlich weint um etwas, was nie wieder kommen wird. Doch du willst mehr und die Schippe soll Glitzersterne auf dein Haupt niederwerfen, muss dich aufrichten, weil deine Hoffnung dennoch niemals weicht. Das einzige Lebewesen, das niemals aufgibt. Nicht mit Falten. Nicht mit Bauch. Nicht mit Gedanken. Doch innen drinnen mausetot. Deine Schuld? Vielleicht. Kann sein. Du weißt es und weißt es nicht und rotierst seit Jahren ohne große Lust. Es fehlt verdammt nochmal. Der Rückzug ist dein Schwert, an dessen Klinge alles abblitzt. Dumm gelaufen, dieses Leben. Ergib dich dem Gedanken, dass der letzte Kuss dein wahrer Tod war.

 

© Petra M. Jansen

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Benoit Hamon a obtenu hier au premier tour de la primaire de la gauche 36% des voix, Manuel Valls 31%. Le vainqueur incarne ce qu’on pourrait nommer une certaine nostalgie d’un humanisme social qui a pour but de soutenir tous ceux qui se sentent plus ou moins rejetés par une société vorace. Le second est plutôt du type de l’opportuniste qui cherche a imposer le pragmatisme et dérive de ce fait plutôt au centre de l’échiquier politique. Il est évident que son séjour à Matignon a été marqué par son caractère de gestionnaire. Pour un socialiste une démarche qui ne correspond pas à ses aspirations. Dans l’état actuel de PS, peu importe qui gagne le second tour. Personne ne remportera la mise. Ce qui se dessine ici est grave, car le parti ne pourra plus que compter que sur un pourcentage infime. Il sera laminé et ne jouera plus aucun rôle au cours du prochain mandat présidentiel. Ce qui se passe-là pourrait être comparé à Waterloo. La question qui se pose est de savoir si cela correspond à la morphologie politique du pays ? Jusqu’à présent les deux camps étaient à peu près équilibrés. Je conçois parfaitement que la déception de l’ère Hollande ait mené le pays dans une telle disparité. Est-ce que le ras-le-bol correspond vraiment à ce que les sondages disent ? Dans un tel contexte il sera intéressant de voir ce qu’Emmanuel Macron sera capable de faire. Par son cursus gouvernemental il peut être classé comme étant un homme appartenant à la gauche modérée. Pourra-t-il redonner à tous ceux qui semblent désespérer un nouvel élan ? Il n’est pas nécessaire d’avoir une carte de parti pour avoir une sensibilité sociale. Jusqu’à présent il a fait un parcours sans fautes. Il s’avère aujourd’hui que sa tactique a été efficace. Qu’il se trouve aujourd’hui d’après les sondages en troisième place tient du miracle. Il représente une vraie alternative par rapport à Marine Le Pen en proposant l’ouverture au lieu du verrouillage de la France. Weiterlesen

Der Bundesrat ist mit seinem Versuch gescheitert, die rechtsextreme NPD verbieten zu lassen. Das Bundesverfassungsgericht wies den Antrag der Länderkammer ab. Die NPD sei zwar verfassungsfeindlich gesinnt und wesensverwandt mit dem Nationalsozialismus, sie habe aber nicht das Potenzial, die Demokratie in Deutschland zu beseitigen, so die Ansicht des Gerichtes in Karlsruhe in seinem Urteil über fast 300 Seiten (Aktenzeichen: 2 BvB 1/13) .

Die Nationaldemokratische Partei Deutschlands (NPD) vertritt nach Ansicht der Richter ein auf die Beseitigung der bestehenden freiheitlichen demokratischen Grundordnung gerichtetes politisches Konzept: „Sie will die bestehende Verfassungsordnung durch einen an der ethnisch definierten ‚Volksgemeinschaft‘ ausgerichteten autoritären Nationalstaat ersetzen“. Sie missachte die Menschenwürde und sei mit dem Demokratieprinzip unvereinbar.

Die NPD arbeite auch planvoll und mit hinreichender Intensität auf die Erreichung ihrer Ziele hin. „Allerdings fehlt es (zumindest aktuell) an konkreten Anhaltspunkten von Gewicht, die es möglich erscheinen lassen, dass dieses Handeln zum Erfolg führt“, so der Zweite Senat des Bundesverfassungsgerichts in seiner Urteilsbegründung. Der Antrag des Bundesrats auf Feststellung der Verfassungswidrigkeit und Auflösung der NPD und ihrer Unterorganisationen nach Artikel 21, Absatz 2 des Grundgesetzes werde daher „einstimmig als unbegründet zurückgewiesen“.

Gerichtspräsident Andreas Voßkuhle erklärte bei der Urteilsverkündung: „Das Ergebnis des Verfahrens mag der eine oder andere als irritierend empfinden“. Ein Parteiverbot sei jedoch „kein Gesinnungs- oder Weltanschauungsgebot“. Der Vorsitzende des Zweiten Senats wies ausdrücklich auf andere Reaktionsmöglichkeiten hin – etwa den Entzug der staatlichen Parteienfinanzierung. Dies habe aber nicht das Verfassungsgericht zu entscheiden, sondern der Gesetzgeber.

Die Bundesländer hatten Anfang Dezember 2012 beschlossen, ein Verbotsverfahren einzuleiten – ohne Beteiligung der Bundesregierung und des Bundestages. Ein Jahr später hatten sie den Antrag in Karlsruhe eingereicht. Die Partei sei verfassungsfeindlich, gefährlich und verbreite Angst.

Das Bundesverfassungsgericht hatte ein erstes Verbotsverfahren im März 2003 eingestellt. Grund waren zahlreiche V-Leute des Verfassungsschutzes in NPD-Führungsgremien. Den Verbotsantrag hatten Bundesregierung, Bundestag und Bundesrat Anfang 2001 unter dem Eindruck zunehmender Gewalt rechtsextremer Täter beantragt.

Sollte die NPD in Zukunft an Zustimmung gewinnen, könnten Bundestag, Bundesrat und Bundesregierung erneut ein NPD-Verbot beantragen.

In der Bundesrepublik gab es überhaupt erst zwei Parteiverbote: 1952 wurden die Sozialistische Reichspartei (SRP) und 1956 die Kommunistische Partei Deutschlands (KPD) verboten. Einzig das Bundesverfassungsgericht ist befugt, ein Parteiverbot auszusprechen.

Verfassungswidrig und doch kein Verbot! Was steckt dahinter? Das Verfassungsgericht wie folgt:

„Einem Verbot der NPD steht aber entgegen, dass das Tatbestandsmerkmal des „Darauf Ausgehens“ im Sinne von Art. 21 Abs. 2 Satz 1 GG nicht erfüllt ist. Die NPD bekennt sich zwar zu ihren gegen die freiheitliche demokratische Grundordnung gerichteten Zielen und arbeitet planvoll auf deren Erreichung hin, so dass sich ihr Handeln als qualifizierte Vorbereitung der von ihr angestrebten Beseitigung der freiheitlichen demokratischen Grundordnung darstellt. Es fehlt jedoch an konkreten Anhaltspunkten von Gewicht, die eine Durchsetzung der von ihr verfolgten verfassungsfeindlichen Ziele möglich erscheinen lassen. Weder steht eine erfolgreiche Durchsetzung dieser Ziele im Rahmen der Beteiligung am Prozess der politischen Willensbildung in Aussicht (…), noch ist der Versuch einer Erreichung dieser Ziele durch eine der NPD zurechenbare Beeinträchtigung der Freiheit der politischen Willensbildung in hinreichendem Umfang feststellbar (…).

… Ein Erreichen der verfassungswidrigen Ziele der NPD mit parlamentarischen oder außerparlamentarischen demokratischen Mitteln erscheint ausgeschlossen“.

Mit anderen Worten: Hausaufgabe an Politik und Zivilgesellschaft. Setzt den Radikalen argumentativ mehr entgegen!

Eine funktionierende, reife Demokratie, wie die deutsche, schafft das.

Le président est élu. N’est-il pas trop tard pour élever la voix ? L’Amérique libérale a occupé avec des millions de personnes les rues. Je suis pour ainsi dire certain que le nouveau locataire de la Maison Blanche restera agrippé au pouvoir. Mais il vaut mieux protester que rien faire. Est-ce une prise de conscience des citoyens ? Veulent-ils lutter dorénavant de cette manière ? Serait-ce les premières prémices d’une démocratie plus directe ? D’après certains sondages, que 40% des Américains apprécient Donald Trump. Un chiffre extrêmement bas. D’après les urnes, il aurait été battu si on avait fait un décompte total des voix. C’est le décomptage par États qui a inversé la courbe. Mais il ne sert à rien de revenir sur des statistiques. Je crains fort que le peuple prenne le mal en confiance et que le mouvement protestataire perde de sa virulence. Ce qui s’est passé aux USA est une réplique exacte du mouvement d’une certaine partie des habitants de la Grande Bretagne après le Brexit. Les gens se sont réveillés au petit matin et n’en ont pas cru leurs oreilles. Des « ah si j’avais su » ne servent à rien après la publication des résultats. Un verdict souvent irréversible, C’est là que notre système montre des failles. Pour pouvoir suivre les dossiers beaucoup de connaissances sont requises. Ils sont pour la plupart très techniques et à moins d’être un spécialiste, presque personne ne peut en suivre leur cheminement. Il ne fait pas de doutes qu’il serait plus adéquat d’élire un président particulièrement efficace dans de tels domaines et qui pourrait avoir son mot à dire. Weiterlesen