Les nouvelles de la nuit nous guident dans des lendemains incertains. Elles sont la démonstration que l’épreuve de force est à nouveau d’actualité. Nous sommes loin de la retenue nécessaire qui devrait caractériser la politique, afin qu’elle soit en mesure d’arriver à des compromis. Ne jamais claquer la porte devrait être une règle absolue. Il y a d’une part l’avènement d’un Donald Trump qui mise son action sur la confrontation. Quelques heures après sa prestation de sermon, il a donné l’ordre de reprendre les forages de gaz et de pétrole de schiste, de réduire l’Obamacare à sa plus simple expression avant de le remplacer par autre chose, de remettre en question les traités de commerce international. On pouvait s’y attendre. Il déclare vouloir tout faire afin de donner aux Américains du travail et d’augmenter leurs revenus. L’autre information est la ratification du parlement turc concernant l’acception de donner des pouvoir accrus au président, d’éliminer le poste du premier ministre. Des mesures conduisant le pays à une certaine dictature. Recep Tayyip Erdoğan peut pavoiser ! Weiterlesen

C’est avec beaucoup de nostalgie que j’écris ces quelques lignes. Barak Obama, sa femme Michelle et ses deux filles ont quitté la Maison Blanche pour laisser place à Donald Trump et son équipe. C’est tout un style qui se dissipe d’un seul coup pour laisser place à une certaine Amérique qu’on espérait révolue. Celle plus terre à terre, qui ne s’embarrasse pas de grandes envolées culturelles. Hier j’ai eu l’occasion de lire une interview que le président sortant avait donné au sujet d’un thème qui lui est cher, celui de la littérature et de l’écriture. Il a relaté l’importance qu’a pour lui la lecture. Tout au long de ses deux mandats il a lu des romans, des poèmes et a encouragé ses enfants à en faire autant. Il a parlé de Shakespeare qui pour lui est un auteur-phare. Il se trouve dans la lignée des de Gaulle et des Mitterrand en ce qui concerne la passion de mettre en page ses pensées et de les exprimer avec la verve du verbe. Mon but n’est pas de faire un bilan, mais plutôt de relater ce qui me touche. Tout d’abord une famille qui est restée totalement intègre. Pas d’affaires à relater ! Lorsqu’on sait dans quel panier à crabes il a dû se trouver ces dernières années, il est remarquable que personne n’ait trouvé la moindre trace. Une telle attitude force l’admiration dans un monde qui est fait de combines. C’est bien cela qui a causé l’échec électoral d’Hillary Clinton. Weiterlesen

AFN steht für American Forces Network. Die Senderkette startete ihren Betrieb im Juli 1943 und sendet seitdem für die im Ausland stationierten amerikanischen Truppen. Mit dem Ende des Kalten Krieges und dem Abzug amerikanischer Truppen aus vielen Teilen der Welt wurden Stationen geschlossen und Frequenzen verlassen. Ab heute, den 18. Januar 2017, wird die reichweitenstarke Frequenz 98.70 MHz aufgegeben, auf der vom Großen Feldberg aus gesendet wird. AFN Wiesbaden sendet dann auf der Frequenz 103.7 MHz vom Standort Mainz-Kastel aus. Außerdem gibt es AFN im Internet. Die Feldberg-Frequenz übernimmt das Deutschlandradio.

Bei den Jugendlichen der 1950er und 60er Jahre war wohl kein Sender so beliebt wie AFN. In dieser Zeit haben die Amerikaner eine andere Rolle gespielt als heute. Es war vor dem Vietnam-Krieg, die Amerikaner hatten die Luftbrücke nach Berlin eingerichtet. Das waren schräge Typen, die in Frankfurt in der Bertramstraße neben dem Hessischen Rundfunk saßen. Und wenn man über die „Amis“ Kaugummi organisieren konnte, war man ein ganz Großer. Später gab es auch billige Zigaretten.

AFN war viel attraktiver als deutsche Sender, was die Musik betraf. Bei den deutschen Sendern liefen Schlager und Heimatlieder. Die Amis hatten eine andere Musik: Jazz, Blues, Swing, Rock, Pop. Das hat dem Lebensgefühl vor der Studentenbewegung einen starken Push gegeben. Vieles, was 1968 passiert ist, ist erst möglich geworden, weil mit AFN nach der Nazizeit eine andere Form von Kultur nach Deutschland gekommen ist.

Beim AFN hat man es wohlwollend hingenommen, ein Instrument in der Hand zu haben, mit dem man kulturellen und auch politischen Einfluss auf die deutsche Bevölkerung und speziell auf die deutsche Jugend nehmen konnte.

In erster Linie war die Senderkette für die amerikanischen GIs gedacht. Diese Bezeichnung entstand in der Zeit von 1915 bis 1920. Der Ursprung der Abkürzung liegt wohl bei den damals von der US-Armee verwendeten Metallmülleimern, auf die GI (englisch Galvanized Iron „galvanisiertes Eisen“) gestempelt war. Später nahm man an, dass die Abkürzung für Government Issue („(her)ausgegeben von der Regierung“) steht, und übertrug sie auf die Soldaten (Wikipedia). Der Sender war gedacht zur Information und Unterhaltung der Soldaten. Die Information war und ist bis heute eigentlich die Hauptaufgabe. Die Musik war der Zuckerguss, mit dem die Medizin, also die Information besser rüberkam. Wir Deutschen haben wohl nur den Zuckerguss in dem Sender gesehen …

Während des Vietnam-Krieges wurde gar an die Westseite Berliner Mauer gesprüht: „Amis raus. Außer AFN!“. Die Stimmung war antiamerikanisch. Viele deutsche Fans dachten, AFN sei etwas ganz anderes als ein Teil des militärischen Apparats. Der Sender ist kein Kulturbetrieb. AFN hatte spezielle Ziele.

Nichtsdestotrotz gab es ideologische Beeinflussung. Es gibt in Amerika den „Free Flow of Information Act“, ein Gesetz, nach dem der freie Informationsfluss gewährleistet sein muss. Dennoch haben die Militärs immer versucht – wie jeder, der Interessen vertritt – möglichst alles unter den Teppich zu kehren, was ihre Truppen nicht hören sollten, unter anderem schlechte Nachrichten aus Vietnam.

AFN hatte natürlich Einfluss auf die deutschen Sender. Es kam frischer Wind in die Frequenzen. Man hat zusehends gemerkt, dass man erfolgreich ist, wenn man nicht nur Musik abspielt, sondern auch locker moderiert. Programmänderungen waren die Folge. Nicht zuletzt deswegen, weil das Publikum wegblieb. In den 1970er Jahren waren dann Sender wie SWF3, etwas später BR3 die ersten, die neues Musikradio im Stil des AFN machten.

Nostalgie … Der AFN trennt sich seit Jahren von Frequenzen in Deutschland. Aber die Jugend hört heute kaum noch Radio, auch kein AFN. Sie nutzt Streamingdienste im Internet. Durch das Internet haben wir die Möglichkeit, uns jeden Sender der Welt ins Haus zu holen. Insofern spielt AFN kaum noch eine Rolle. Der Sender war damals ein „Fenster in eine andere Welt“ (Wolfgang Richter – Dokumentarfilmer). Das spielt heute keine Rolle mehr. Irgendwie schade …

1995 gab es noch einmal eine Reminiszenz – quasi zum Fünfzigsten des Senders. Radio Star – Die AFN Story kam in die Kinos. Ein faszinierender Rückblick auf den schönsten Import amerikanischen Lebensgefühls.

Adieu!

Je ne peux que donner raison à Jean-Marc Ayrault lorsque ce dernier déclare qu’il faut à tout prix soutenir le candidat de la gauche qui aurait le plus de chances d’être présent au second tour. Si on en croit les sondages actuels, ce ne serait sûrement pas un des candidats du PS, ni Jean-Luc Mélenchon. Il faudrait éviter un affrontement Le Pen – Fillon dans la situation actuelle en Europe, où le populisme gagne de plus en plus de points et que ses ténors prennent parfois des positions néonazies, comme c’est le cas de Björn Höcke, le leader de l’AfD du Land de Thuringe. Il a traîné dans la boue, lors d’un discours tenu à Dresde, le holocauste et a exprimé son opposition par rapport au mémorial en souvenir des victimes des camps de la mort à Berlin. Ce n’est qu’un exemple parmi d’autres ce qui nous pend au nez, si continuons à faire de la popote électorale. J’ai souvent exprimé l’opinion que comme homme de gauche j’avais certaines réticences par rapport à Emmanuel Macron, mais je dois reconnaître que son programme m’est devenu assez proche. Bien plus que ce que j’ai pu entendre lors des débats des primaires de la gauche. Je pense qu’elle devrait sauter par dessus son ombre afin de ne pas laisser la France livrée à ceux qui prônent l’intolérance. N’oublions pas qu’un certain Monsieur Trump sera investi demain à Washington. Il n’est un secret pour personne qu’il est plus proche de l’extrême-droite que beaucoup de présidents avant lui. C’est bien lui qui a reçu Nigel Farage, l’ancien chef de l’UKIP, le parti nationaliste anglais. Si nous voulons contrecarrer l’influence des USA nouvelle mouture, nous serions bien conseillés de ne pas emprunter la même voie. Weiterlesen

La cour constitutionnelle allemande a rejeté la demande des Länder d’interdire le parti néonazi NPD hier. Cette formation se présente comme étant contre la démocratie et est une nostalgique du 3ème Reich. Elle voudrait renvoyer les étrangers et les citoyens issus de l’immigration dans leurs terres d’origines. Elle prône la violence, la dictature. Aujourd’hui ce n’est plus qu’un parti qui récolte un minimum de voix. Seul un député européen est encore actif. Les autres ont disparu de l’échiquier politique. Dans les conseils municipaux il n’y plus de 300 élus. Les membres inscrits se portent à 5200 personnes. Ce sont ses chiffres qui ont amené ce verdict. D’après les juges les chances d’un renversement ne sont pas à l’ordre du jour. Malgré son attitude anticonstitutionnelle, le tribunal a souligné qu’il n’y avait pas de raisons de lancer un interdit, ce qui dans une démocratie est plus que problématique. Par contre les magistrats ont laissé au législateur la possibilité de changer les modalités de financement des partis politiques par l’État. En 2016 les contribuables ont dû verser près d’un million et demi d’Euro à cette formation félonne, ce qui amène évidemment de la grogne. Et moi ? Quelle est mon opinion ? Depuis le début de la procédure j’étais contre l’option d’un interdit. Je préfère que les néonazis aillent pignon sur rue, que de devoir s’infiltrer dans d’autres mouvements politiques, ce qui s’est passé ces deux dernières années. Bien des membres sont allés se réfugier auprès de l’AfD, des populistes conservateurs qui gagnent de plus en plus d’influence grâce à leur point de vue xénophobe. Au niveau fédéral ils seraient en troisième position avec 13% des voix. Il est évident que les transfuges du NPD cherchent à radicaliser encore plus ce parti. L’exemple des fédérations dans les nouveaux Länder est significatif. Weiterlesen

Strafzölle in Höhe von 35 Prozent – das erinnert an die Hoch-Zeiten des Welthandels, bevor es die Welthandelsorganisation WTO oder deren Vorläufer GATT gab. Seither sind die Zölle stetig abgebaut worden und haben mittlerweile den niedrigsten Stand der letzten Jahrzehnte erreicht. An internationale Handelsverträge müssen sich die die Vertragspartner halten. Aber:

Es gibt eine Ausnahme insoweit, als dass man zeitlich befristet – maximal ein Jahr – besondere Gründe anführen kann. Besondere Gründe für sehr, sehr unfaires Handelsgebaren des Gegenübers. Das ist unter der Ägide von Herrn Obama im Hinblick auf chinesischen Stahl sogar einmal gelungen, ohne dass die WTO eingeschritten wäre. Ansonsten, wenn man das nicht gut begründen kann, einseitig mal so mir nichts dir nichts Zölle zu erheben, da wird die WTO einschreiten. Und das kann dann auch zu Strafen, monetären Strafen führen, wenn man sich an die Spielregeln der WTO nicht hält.

Doch bis es dazu kommt, kann einige Zeit vergehen. Bis dahin könnte schon einiger Schaden in den internationalen Handelsbeziehungen angerichtet sein. Internationale Verträge einseitig kündigen oder neu schließen kann der amerikanische Präsident Donald Trump jedoch nur im Zusammenspiel mit dem Kongress – hier gilt das Prinzip der „checks and balances“, der gegenseitigen Machtkontrolle. Die Strafzölle könnten zwar kurzfristig vielleicht dazu führen, dass in den USA das ein oder andere Werk wieder eröffnet wird, also Jobs entstehen. Allerdings sehe das auf mittlere Sicht wieder anders aus.

Würden Amerikaner mit Strafzöllen, mit der Aufkündigung von Freihandel sozusagen diese internationalen Beziehungen aufkündigen, dann müssten sie Dinge wieder selber tun, die sie offenkundig nicht so gut tun können. Ganz direkt führen Strafzölle dazu, dass Produkte teurer werden. Die Amerikaner müssen mehr dafür bezahlen. Die Inflationsrate würde ansteigen, Kaufkraft geht verloren, wahrscheinlich müsste sogar die amerikanische Notenbank gegensteuern. Und wie dies dann zu mehr Jobs führen soll, das bleibt das Geheimnis des neuen POTUS. Das will niemand!

Allerdings dürften auch die Handelspartner einem solchen Treiben nicht tatenlos zusehen: Vor allem starke Partner wie China könnten etwa mit der Einschränkung des Exports, etwa von Seltenen Erden, drohen, die für den Bau von Smartphones benötigt werden. Mexiko hätte wohl weniger entgegenzusetzen. Auch für uns in Deutschland steht einiges auf dem Spiel: Schließlich sind die USA inzwischen unser größter Handelspartner. So appelliert etwa der Verband Deutscher Maschinen- und Anlagenbau an den amerikanischen Kongress, er möge den wirtschaftspolitischen Kurs Donald Trumps ändern helfen.

Die Offenheit, mit der Trump die Dinge beim Namen nennt, ist irritierend und erfrischend zugleich. Dass der Kontrollverlust an den deutschen Grenzen ein großer Fehler war, sahen die meisten Europäer schon vor anderthalb Jahren so. Auch dass die Amerikaner den Irak nie hätten angreifen sollen, bestreitet heute kaum jemand. Richtig ist ebenfalls, dass die meisten NATO-Partner weniger in das Bündnis investieren als zugesagt.

Das macht die NATO nicht „obsolet“. Ob die Trennung Großbritanniens von der Europäischen Union wirklich „großartig läuft“, wird man sehen. Es stimmt jedoch, dass die Flüchtlingspolitik der Tropfen war, der das Brexit-Fass überlaufen ließ. Und noch weiß niemand, ob nicht doch noch weitere Länder aus der EU austreten werden.

Die NATO bleibe trotz allem zuversichtlich, dass der US-Präsident zu den Verpflichtungen seines Landes im Bündnis stehe, sagte ein Sprecher mit Verweise auf eine Aussage des NATO-Generalsekretärs Stoltenberg im Dezember 2016. Die USA würden ihr starkes Engagement gegenüber der NATO und den „Sicherheitsgarantien in Europa beibehalten“. Dies habe Trump nicht nur ihm gegenüber in einem Telefongespräch nach seinem Wahlsieg im November deutlich gemacht, sondern auch gegenüber „vielen europäischen“ Staats- und Regierungschefs bei einem Treffen der NATO-Außenminister.

Der künftige US-Präsident hatte in einem Interview mit der BILD und der britischen TIMES gesagt, die NATO sei „obsolet, weil sie erstens vor vielen, vielen Jahren entworfen wurde“ und sich „nicht um den Terrorismus gekümmert“ habe. Darüber hinaus bekräftigte Trump seine Kritik, dass europäische NATO-Mitglieder sich zu wenig an den finanziellen Lasten im Bündnis beteiligten.

Mit letzterem hat er recht!

Ce n’est pas parce que Donald Trump divague dans une interview donnée pour la Bild-Zeitung et le Times que nous allons faire dans nos culottes, ou bien ? Un peu de fierté, les amis. Il faut que l’Europe reprenne à nouveau le dessus et montre ses dents ! Qui a prétendu que nous étions édentés ? Le grand Zapano depuis son bureau kitsch-doré qui d’après ses propres dires est bien membré. Son but est de semer la zizanie, de nous provoquer. Heureusement que Madame Merkel n’a été aucunement impressionnée par son attitude machiste. Trêve de plaisanterie. La comédie qui se déroule sous nos yeux à un relent populiste de bas-étage. Depuis sa tour new-yorkaise Trump se croit habilité à nous faire la leçon. En plus il semble se réjouir que l’UE puisse se désagréger. C’est une attitude des plus délicate qui apporte la preuve qu’il est un grand diplomate, n’est-ce pas Monsieur Talleyrand ? Je pense que ces coups de semonces lui seront un jour fatal. Mais d’ici là il faudra que nous sortions de la vallée des lamentations. Où avez-vous laissé vos… Je ne vais pas entrer dans les détails. J’appelle de mes vœux les plus chers que nous nous émancipions enfin de la tutelle américaine. Sommes-nous des enfants ou des adultes ? Faut-il qu’une dame porte des culottes afin que nous sortions de notre réserve ? Que diable, sans la culture européenne qu’en serait-il des USA ? Devons nous jouer aux chiens couchés afin de montrer notre docilité ? Trump n’est pas notre papa, loin s’en faut ! Weiterlesen

Au cours du débat entre les candidats à la primaire de la gauche, le problème de l’accueil des réfugiés a été abordé. Manuel Valls s’est trouvé dans le collimateur de la critique, car aux yeux de ses adversaires, le gouvernement dont il était le chef s’est conduit d’une manière très mesquine en réduisant à un nombre ridicule le droit d’asile aux migrants. 85 000 personne en fait leur demande en 2016. À côté des 350 000 personnes assassinées par le régime de Bachar Al-Assad et les millions qui ont été forcés de prendre la route, ce chiffre est dérisoire. Et ceci en premier lieu à cause de la pression exercée par la droite et l’extrême-droite. Il est évident que des valeurs mêmes du socialisme démocratique ont été ignorées ainsi. Le droit d’asile est un devoir absolu qui ne peut être discuté. C’est tout du moins l’avis d’Angela Merkel qui a reçu en Allemagne près d’un million et demi de traqués en 2015/2016. Cela a donné outre-Rhin du regain aux extrémistes de droite. Donald Trump a très durement critiqué la chancelière dans une interview qui paraît aujourd’hui dans le quotidien de masse « Bild » en ce qui concerne la migration. Il a mis en parallèle l’attentat de Berlin et son action. Il est évident que pour un personnage comme lui de comprendre ce que l’étique représente en politique est inatteignable. Même si les chiffres ont été pour certains titanesques, je soulève mon chapeau en ce qui concerne l’attitude de Madame Merkel. Ce geste à redonné à l’Allemagne sa dignité. Et comme je l’ai relaté il y a quelques jours, malgré l’ouverture des frontières il y a deux ans, l’économie allemande a profité de cette action. En France une majorité de citoyens approuve la politique restrictive du gouvernement et voudrait même qu’on ramène aux frontières bon nombre d’étrangers. Weiterlesen