Angoisse chez beaucoup d’étrangers, notamment chez les sans-papiers aux États-Unis. À l’instar de la Gestapo, il y a des descentes de police qui ont pour but leur déportation. Même s’ils vivent déjà depuis des années aux USA, ils peuvent être renvoyés séance-tenante. Mais où ? Souvent les liens avec leurs nations d’origines ont été rompus. Ils sont des traqués, des personnes ayant perdu leur identité d’origine, ayant adopté celle du pays, qui refuse de les accueillir. J’essaie de me mettre à leur place, à réfléchir au marasme dans lequel ils se trouvent. Donald Trump dit vouloir combattre la criminalité en combattant « l’immigration clandestine », mais en fait il s’agit avant tout de racisme, la plupart des personnes concernées étant de couleur. Il sait que de telles mesures sont du goût de certains citoyens, qui aimeraient pratiquer le lynchage, si la loi leur permettait, des négriers dans l’âme, des personnes frustrées, croyant que leur médiocrité est due aux étrangers qui leur raflent les moyens de vivre décemment, disent-ils. Ce genre de réactions caractérisent l’attitude des électeurs de Trump, celle d’une Amérique revancharde, qui se targue avoir des droits particuliers parce qu’elle est de race blanche. Le président récoltera des applaudissements de sa part. Je suis offusqué par de telles réactions, mais elles sont malheureusement « humaines ». Je suis persuadé que si de telles mesures étaient pratiquées en Europe, elles rencontreraient l’aval de bien des citoyens. Nous nous trouvons à nouveau dans une époque, où la chasse aux sorcières est à nouveau de mise. Weiterlesen
La force de dissuasion
En lançant hier le sous-marin nucléaire « Le Suffren » à Cherbourg, la France a donné à la force de dissuasion un atout de plus. Il est permis de se poser la question, si l’armement dont s’est doté le pays correspond encore aux défis militaires en ce qui concerne la politique internationale, comme cela été le cas pendant le septennat de Charles de Gaulle. Il avait été question de renforcer la puissance de la France par rapport aux alliés qui ont mis à genou le 3ème Reich. La dotation de l’arme nucléaire allait dans ce sens. Une décision juste à mon avis, pour ne pas faire de l’Europe le vassal des États-Unis et de faire comprendre à l’Union Soviétique qu’il fallait compter sur sa résistance, s’il lui venait l’idée d’aller plus en avant en direction de l’Atlantique. N’oublions pas que nous nous trouvions en pleine guerre froide et que le bluff était monnaie-courante. C’était un peu comme une partie de poker-menteur, où il s’agit de jeter de la poudre aux yeux de son adversaire. Ce qui fonctionna plus 74 ans peut être remis en question aujourd’hui. Le rôle de l’armée est de s’engager en Afrique, en Orient et ailleurs. Plutôt une stratégie d’une force de guérilla, capable comme au Mali d’intervenir rapidement, puis de pratiquer ensuite un retrait stratégique pour intervenir ensuite ailleurs. Le tout accompagné d’un soutien aérien. Je pense que c’est dans ce domaine qu’il faut développer l’action militaire. Alors à quoi bon le « Suffren » ? C’est le 17ème submersible à propulsion nucléaire. Je suppose qu’il a à son bord des missiles dotés de bombes atomiques. En cas de conflits majeurs, ils pourraient être tirés par des sous-marins conçus à cet effet. Du point de vue militaire, des armes qu’il ne faudrait jamais utiliser, car cela provoquerait sans aucun doute l’Apocalypse. Elles ne servent donc qu’à la dissuasion. Weiterlesen
Poutine a-t-il signé pacte avec le diable ?
21 millions de Russes sont morts pendant la seconde guerre mondiale. Ce sont les nazis qui ont été à l’origine de ce massacre. D’une part sur les champs de bataille, de l’autre il faut compter les victimes des mesures d’épuration, d’exécutions sommaires. L’Union soviétique a subi comme aucun autre pays le totalitarisme. S’ajoute à tout cela les meurtres de Joseph Staline. Il est question de 15 à 20 millions de morts. Un génocide tout aussi atroce que celui d’Adolf Hitler. En soutenant l’extrême-droite européenne, Vladimir Poutine a-t-il signé un pacte avec le diable ? J’ai bien du mal à comprendre qu’il soutienne des politiciens qui prennent le fascisme en référence, qui veulent faire revivre les relents du passé comme un Matteo Salvini, qui est accusé d’avoir perçu pour la Ligue des fonds russes. Il est question de 60 millions. Il a démenti. «Je n‘ai jamais reçu le moindre rouble ni le moindre litre de vodka de Russie ». Que ce soient le Mouvement National en France, l’AfD en Allemagne, le FPÖ en Autriche ou le Fidesz en Hongrie, ces partis comptent « faire du beurre » en prétendant être du côté de Poutine en ce qui concerne sa lutte contre les démocraties européennes, qui pour lutter contre sa politique hégémonique, ont sanctionné la Russie économiquement. Que ce soit l’annexion de la Crimée ou le soutien aux provinces dissidentes de l’Ukraine, l’Occident n’est pas prêt à céder. L’extrême-droite, quant à elle, condamne cette politique. « Une nouvelle Europe doit être proche de la Russie, comme avant parce que nous voulons disposer de notre souveraineté. Nous voulons décider réellement de notre futur. […] , ne pas dépendre des décisions des illuminés de Bruxelles, des États-Unis. Nous voulons décider. » Weiterlesen
Zum X-ten Mal
Neue Regierung, neue Forderungen! Der alte Zankapfel zwischen Griechenland und Deutschland: die Reparationsforderungen.
Ein Bundestagsgutachten zu den griechischen Forderungen nach Reparationen für Schäden aus dem Zweiten Weltkrieg kommt zu dem Schluss, dass die Haltung der deutschen Regierung, alle Zahlungen abzulehnen, zwar „völkerrechtlich vertretbar, aber keineswegs zwingend“ sei. Das im Auftrag der Linken erstellte Gutachten empfiehlt Berlin den Gang zum Internationalen Gerichtshof in Den Haag, um Rechtsklarheit zu schaffen. Zu diesem Schritt müsste sich die Regierung aber freiwillig bereit erklären, weil der Streitfall mehr als 70 Jahre zurückliegt. Athen hatte Berlin Anfang Juni offiziell mit einer diplomatischen Note zu Verhandlungen aufgefordert. Eine griechische Kommission hat die Summe der von Deutschland verursachten Kriegsschäden auf 290 Milliarden Euro geschätzt. Offen ist, wie sich die neue konservative Regierung hier verhalten wird. Premier Kyriakos Mitsotakis will im August zu einem ersten offiziellen Besuch nach Berlin reisen.
Es ist nun nicht so, dass Deutschland gegenüber Griechenland nichts geleistet hätte. Da ist zum einen das Pariser Abkommen von 1946, in dem die westlichen Alliierten sich auf Grundzüge der Reparationen geeinigt hatten. Aus diesem Topf erhielt Griechenland deutsche industrielle Güter im Wert von 25 Millionen Dollar (heute gut 300 Millionen Dollar). Dazu kam ein bilaterales Abkommen zwischen Deutschland und Griechenland aus dem Jahr 1960, in dem sich Berlin zur Zahlung von 115 Millionen D-Mark (zum heutigen Wert rund 260 Millionen Euro) an Griechen verpflichtete, die Opfer der nationalsozialistischen Verfolgung geworden waren.
Doch das war aus griechischer Sicht keine umfassende Lösung. Griechenland gehörte auch zu den Vertragsstaaten des Londoner Abkommens über deutsche Auslandsschulden von 1953. Darin hieß es, dass man die Frage der Reparationszahlungen so lange zurückstelle, bis es einen Friedensvertrag gebe. Nach dem Zweiten Weltkrieg gab es zunächst nur eine bedingungslose Kapitulation der deutschen Wehrmacht. Wegen der Teilung Europas kam es dann zu keinem eigentlichen Friedensvertrag. Dies änderte sich mit dem Zwei-plus-vier-Abkommen über die deutsche Wiedervereinigung 1990. Dieses war einerseits von der BRD und der DDR, anderseits von den USA, der Sowjetunion, Frankreich und Großbritannien unterschrieben worden. Es regelte anstelle eines Friedensvertrags alle Fragen der Vergangenheit bezüglich Deutschland. Und dazu zählt die deutsche Regierung auch diejenige der Reparationen.
Griechenland war zwar nicht am Zwei-plus-vier-Vertrag beteiligt, doch unterzeichnete es mit anderen Staaten 1990 die Charta von Paris für ein neues Europa. Darin heißt es im Kapitel zur deutschen Einheit: „Wir nehmen mit großer Genugtuung Kenntnis von dem Zwei-plus-vier-Vertrag über die abschließende Regelung in Bezug auf Deutschland“. Aus diesem Passus leitet Berlin ab, dass Griechenland stillschweigend auf weitere Reparationen verzichtet habe.
Pikant ist eine Aussage des früheren Bundeskanzlers Ludwig Erhard aus dem Jahr 1965. Damals soll er der griechischen Regierung in Aussicht gestellt haben, eine „Zwangsanleihe“ zurückzuzahlen (nzz.ch), sobald die deutsche Wiedervereinigung unter Dach und Fach sei. Die „Zwangsanleihe“ hatte das Deutsche Reich Griechenland 1942 auferlegt, um die Besatzungskosten zu finanzieren. Bei Kriegsende betrug die Restschuld 476 Millionen Reichsmark, was laut einer Berechnung aus dem Jahr 2012 rund 8,25 Milliarden Dollar entsprechen würde.
Wie bereits erwähnt: Der Wissenschaftliche Dienst empfiehlt: „Rechtsklarheit ließe sich dadurch erreichen, dass der Internationale Gerichtshof (IGH) in Den Haag über eine entsprechende Klage entscheidet – zu einem solchen Verfahren könnte es aber nur dann kommen, wenn sich die Bundesregierung der IGH-Gerichtsbarkeit ad hoc freiwillig unterwerfen würde, weil der Sachverhalt vor der im Jahre 2008 getätigten generellen Unterwerfungserklärung Deutschlands liegt, die ausdrücklich erst ab dem Datum der Erklärung Wirkung entfaltet“.
Versuche Hinterbliebener griechischer Kriegsopfer, vor den Gerichten individuelle Entschädigungen zu erstreiten, hatten bisher keinen Erfolg. Zehntausende Klagen griechischer Geschädigter vor deutschen Gerichten wurden in den 1990er Jahren abgewiesen (handelsblatt.com 18.04.2019).
Wie wird sich die neue griechische Regierung positionieren?!
La tirelire nommée Ehpad
Gruger les personnes âgées est devenu un sport commun. L’exemple des Ehpad, des établissements privés, où des financiers rapaces peuvent faire leur beurre. Il s’agit de soutirer le plus d’argent aux riches, tout en réduisant les frais. Souvent les repas ne sont pas à la hauteur, le personnel réduit et mal payé. Tout cela tient plus ou moins de l’escroquerie. Tout cela m’a donné depuis longtemps à réfléchir, aussi la vétusté de certains établissements publics. J’ai des connaissances qui sont employées comme aides-soignantes et je peux affirmer ici, que les conditions dans lesquelles elles doivent s’occuper des personnes qui leur sont confiées, ne sont pas mirifiques, loin de là. Elles n’ont pour ainsi dire par le temps de s’entretenir avec elles, de les écouter. Elles sont laissées souvent seules avec leur angoisses, car le personnel est tellement réduit, que toute conversation serait une entrave au « bon fonctionnement » de l’établissement. Pour que les vieux ne « dérangent pas », on leur fait prendre des calmants. Un senior qui somnole, demande peu de soins. Ce qui se passe-là est désarmant, indigne. Ce serait de première urgence de recruter du personnel, mais il y a pénurie. Qui veut trimer des heures et des heures pour un salaire de misère ? Seules des personnes venant de pays lointains sont prêtes à se faire exploiter ainsi, espérant pouvoir se faire un jour une place au soleil en Europe, pouvoir s’y établir sans avoir recours à des passeurs véreux. À être des illégaux. Une telle situation ne peut pas perdurer, d’autant plus que grâce aux progrès de la médecine on rallonge de plus en plus la vie. Mais dans quelles conditions ! Si cela consiste à végéter, à être transformé en un légume, il serait plus adéquat que la nature fasse son boulot. Mais à quoi bon se lamenter, il faut trouver des solutions. Weiterlesen
Le vendu !
Je veux parler de Boris Johnson, qui est en train de trahir son pays en rampant aux pieds de Donald Trump. Je ne peux plus comprendre les Anglais qui sont en train de rejeter tout ce qui les caractérisait jusqu’à présent : l’honneur, la fierté d’être une nation qui ne se soumettrait jamais à des puissances étrangères. C’était en quelque sorte ce qui favorisa le Brexit, même si je ne peux pas l’approuver. Mais que sert-il de se plonger dans le marasme, pour se soumettre ensuite à un fantaisiste comme l’actuel président des États-Unis et ceci seulement pour assouvir l’orgueil d’un certain Johnson. C’est vraiment la honte ! L’ambassadeur britannique à Washington, le proeuropéen Kim Darroch a mis le doigt dans la plaie en s’élevant vertement contre Donald Trump. Il considère son administration comme « inepte » et « dysfonctionnel », ce qui a provoqué l’ire du président qui a traité de tous les noms Madame May, parce qu’elle refuse de remplacer son représentant par un autre. Cette critique est due avant tout à cause de l’attitude de Washington par rapport à l’Iran. Nous ne pensons pas vraiment que cette administration, écrit M. Darroch, va devenir plus normale, moins dysfonctionnelle, moins imprévisible, moins divisée, moins maladroite, moins inepte diplomatiquement. » Hier Donald Trump a traité l’ambassadeur de « dingue » et d’« idiot prétentieux ». Theresa May, qui par son attitude plus que maladroite en ce qui concerne le Brexit, essaie de sauver les meubles, maintient Kim Darroch à son poste. Ces fuites portent atteinte « non pas aux relations avec les Etats-Unis, dit Peter Ricketts, ancien ambassadeur britannique à Paris, mais à la réputation des Britanniques de garder leurs secrets et à l’empressement [des diplomates] à partager des informations efficaces permettant de prendre de bonnes décisions » Weiterlesen
Griechische Wahl
Die Radikalisierung ist ausgeblieben, auch wenn es in Athen immer wieder zu Großdemonstrationen gekommen ist. Woran es liegt, dass sich die Griechen in all dem Schlamassel ihre Zivilität bewahrt haben, ist schwer zu sagen. Vielleicht haben sie in ihrer wechselvollen Geschichte einfach erfahren, dass sich die Versprechen der Populisten am Ende als genau das erweisen: Versprechen, die am Ende doch nicht eingelöst werden.
Es ist in den vergangenen Jahren in Deutschland oft davon die Rede gewesen, was die Griechen wirtschaftspolitisch angeblich von Deutschland lernen können. In Sachen Demokratie können wir womöglich von ihnen etwas lernen.
Die Frage drängt sich auf, als die Politik die Ursache der Krise war. Sie gründet auf dem System des Klientelismus, das sich nach der Obristendiktatur 1974 etablierte. Die Parteien regulieren den Zugang zu Stellen und Aufträgen und fordern dafür Loyalität und Gehorsam. Diese Herrschaftsform ist im Kern vormodern, sie ist aber flexibel und lässt sich anpassen, wo unabhängige Institutionen schwach sind. Zwingend ist dagegen der Unterhalt eines großen öffentlichen Sektors, nicht zur Herstellung öffentlicher Güter, sondern als Versorgungsreservoir für die Wähler.
Griechenlands Ministerpräsident Alexis Tsipras muss gehen – die Wähler in dem krisengeschüttelten Land haben sich bei der Parlamentswahl klar für die konservative Partei Nea Dimokratia entschieden. Die Partei von Kyriakos Mitsotakis erzielte am Sonntag laut griechischem Innenministerium 39,8 Prozent (2015: 28,0 Prozent). Im 300-köpfigen Parlament bedeutet das die absolute Mehrheit von mindestens 154 Sitzen, weil der Wahlsieger zur Vereinfachung der Regierungsbildung 50 Sitze zusätzlich erhält. Die linke Partei Syriza von Alexis Tsipras kam auf 31,5 Prozent (2015: 35,5 Prozent) (welt.de).
Kyriakos’ Vater Konstantinos war Anfang der neunziger Jahre Ministerpräsident, seine Schwester Dora Bakogianni Außenministerin und zuvor Bürgermeisterin von Athen. Dieses Amt hat seit Juni nun auch Doras Sohn Kostas, Kyriakos’ Neffe, inne. Angesichts des zwiespältigen Rufs, den die mächtigen Familienclans im Land genießen, ist laut Mitsotakis ein berühmter Nachname für eine Politikerkarriere Fluch und Segen zugleich (nzz.ch). Die politischen Wurzeln der Familie aus Kreta reichen bis ins 19. Jahrhundert zurück. Ein Großonkel regierte das Land Anfang des 20. Jahrhunderts. Mitsotakis‘ Vater war auch schon Premier. Dem alten politischen Establishment wird die Hauptverantwortung für die Staatsschuldenkrise und ihre Verwerfungen zugeschrieben.
Das Erbe, das Mitsotakis´ linker Vorgänger hinterlässt, erlaubt keine Schonfrist. Griechenland konnte unter Tsipras zwar aus dem Schatten des europäischen Rettungsschirms treten, aber die Kreditgeber haben immer noch ein Auge auf Athen, sie kommen regelmäßig zu Kontrollgängen. Von ihrem Urteil hängt ab, ob Athen zum Beispiel mit den Gewinnen der Europäischen Zentralbank aus griechischen Staatspapieren rechnen kann. Mitsotakis will das Parlament über die Sommerpause hinweg arbeiten lassen. Das ist auch nötig, weil keineswegs gewiss ist, dass Griechenland 2019 den von der EU verlangten Haushaltsüberschuss von 3,5 Prozent erwirtschaften wird. Die Steuereinnahmen blieben zuletzt hinter den Erwartungen zurück, das Wachstum ist zu gering. Tsipras hat vor der Wahl eine „soziale Dividende“ verteilt, Geld für Rentner vor allem, und die Mehrwertsteuer gesenkt.
Gemessen werden wird Mitsotakis wohl daran, ob er seine wirtschaftlichen Wahlversprechen erfüllen kann: das Wachstum anzustoßen, damit neue Jobs entstehen, das verfügbare Einkommen der Bevölkerung zu erhöhen und jungen Griechen auch im eigenen Land wieder eine Perspektive zu bieten. Die hierfür notwendigen Steuersenkungen sollen über Effizienzsteigerungen im Staatsapparat und später durch das hoffentlich anziehende Wachstum finanziert werden.
Die Wirtschaftspolitik der Regierung in Athen wird weiter von Brüssel aus überwacht werden. Schließlich haben die Griechen Kredite in Milliardenhöhe erhalten, deren Rückzahlung noch Jahrzehnte in Anspruch nehmen wird. Die Europäer haben ein Interesse daran, dass sie dieses Geld zurückbekommen. Das ist auch legitim. Es darf aber nicht dazu führen, dass das Land noch einmal mit überzogenen Sparanforderungen konfrontiert wird.
Sonst ist vielleicht irgendwann auch die Geduld der Griechen zu Ende.
Menaces cybernétiques
En Allemagne de plus en plus de politiciens locaux sont menacés de mort par des militants néonazis sur les réseaux sociaux. La haine en ligne prend des proportions inquiétantes. Avec l’assassinat de Walter Lübcke, le préfet de Kassel, ces groupuscules ont démontré qu’ils n’hésitaient pas à passer au crime. Leur but est de déstabiliser l’État en proliférant la haine, afin de démotiver les citoyens à s’engager dans la politique locale. Cela devrait donner à réfléchir en ce qui concerne les municipales qui auront bientôt lieu en France. C’est à ce niveau qu’il est possible de causer le plus de tort à la démocratie. Le tout débute par le démontage cybernétique de certains candidats. Des menaces proférées contre certaines personnes et leur famille. Les enfants de ces élus sont mis dans le collimateur. J’ai vu hier à la télévision allemande une interview de l’ex-maire de Kandel, une petite ville sise dans le Palatinat. Une jeune fille avait été assassinée par un migrant, ce qui donna lieu à des manifestations de la part de l’extrême-droite. La municipalité avait décidé d’interdire aux néonazis l’accès à la ville. Cela déclencha un mouvement de haine, dont le maire et sa famille étaient les personnes visées. On l’assura qu’il serait éliminé ainsi que sa femme et ses enfants. Les tensions furent telles, qu’il démissionna. Tout cela sur internet. Le gouvernement du Land du Palatinat a pris hier la décision de mettre sur pied une brigade anti-terreur qui aura comme rôle de rechercher qui se cache derrières de telles diatribes. Le but est de donner aux élus locaux l’assurance qu’ils seront à l’avenir mieux protégés. Il est question aussi de les conseiller, s’ils sont sujet à des attaques. Je trouve que c’est la moindre des choses que l’État peut faire pour sauvegarder la démocratie au niveau local. N’oublions pas Walter Lübcke a été diffamé depuis 2016 sur internet, depuis qu’il avait accordé son soutien aux migrants. Weiterlesen