Morgen, Blick aus dem Fester,

Regen, dunkle Wolken.

Ein Sturm zieht auf,

unweigerlich rückt er näher.

Ein weiterer sorgloser Tag!

Eine zunächst chancenlose

Verteidigungsministerin

wird neue Präsidentin der

Europäischen Kommission.

Ich sage: Herzliche Glückwunsch!

Den Soldaten fehlen Unterhosen.

AKK soll´s richten. Einkauf!

Sollte Kanzlerin werden,

so war´s geplant.

Kam wohl etwas dazwischen!

„Denn sie wissen nicht,

was sie tun!“.

Ein Volk der Macher,

Politiker ohne Plan

und doch voll der Tat!

Da draußen, irgendwo

über dem Atlantik.

Da verschickt einer beim

Aufstehen seine Tweets.

Meist voller Beleidigungen.

Das politische Tagewerk

will wohlbedacht vorbereitet werden.

Es gilt, Macht und Einkünfte

zu erhalten.

Auf Sesseln klebt sich´s gut!

Und die Bußgelder werden fließen.

„Du sollst Dich nicht wehren!“,

so lautet die Maxime.

An Freitagen fließt ein Euro

die Minute. Gute Geschäfte!

Und so lernen wir jeden Tag,

wie wir die Zukunft verbannen.

Der Experte weiß sicher Rat,

nicht aber der Schüler.

Nach uns die Sintflut!

Und sie wird kommen!

Le rôle d’un ministère de l’écologie est d’être désagréable, de freiner ce que d’autres nomment l’expansion. Ceci au nom de l’environnement. Mais il ne suffit pas de dire constamment non. Il faut trouver de nouvelles solutions. Le succès de ses actions ne peut qu’avoir lieu, s’il y a pour le grand public un bon mélange de contraintes et de nouvelles options, qui en fin de compte peuvent améliorer la qualité de vie. Élisabeth Borne, la nouvelle ministre de la Transition écologique et solidaire, comme spécialiste des transports, a déjà eu par le passé une approche concrète en ce qui concerne l’environnement, ce qui, malgré mes doutes, la qualifie pour ce poste. Elle a mis en place un plan-vélo, préconisant aux citoyens de l’utiliser régulièrement, pour aller à la gare par exemple. Elle avait parlé d’une indemnité de 400 € remise par les employeurs au personnel, pour les encourager de laisser leur voiture à la maison. Elle veut qu’en 2040 il n’y ait plus de moteur à essence, que tout le parc automobile soit clean. « Il faudra justifier qu’on a une facture d’entretien de vélo, ce sera sur justificatif » Comme on le voit elle est très concrète. Aussi en ce qui concerne la situation climatique en haute-montagne, où son plan-vélo doit contribuer à une amélioration de l’air. Il en est de même en ce qui concerne le kérosène. « Si la France entend être à l’avant-garde de l’excellence environnementale, elle ne peut être seule sur ce chemin, au risque de n’avoir aucun effet sur le climat et de fragiliser notre compétitivité. Nous avons appelé à une décision à l’échelle européenne et à éviter le piège d’une décision pays par pays ». Elle est opposée à la mise au pilori de l’avion. Une fois de plus elle démontre que le pragmatisme l’emporte sur l’aspect idéologique. « Le monde aérien peut devenir le bouc émissaire de la lutte contre le réchauffement climatique […] Le gouvernement n’est pas de ceux qui pensent que l’avenir s’écrira sans avion. » Elle ajoute : « J’assume parfaitement que l’Etat soutienne ces lignes d’aménagement du territoire […] N’en déplaise aux détracteurs de l’avion, je préfère une petite ligne aérienne qui désenclave rapidement et efficacement, à la construction de très grandes infrastructures de lignes à grande vitesse. » Weiterlesen

Ursula von der Leyen a passé de justesse le cap majoritaire au parlement lui permettant de prendre la tête de la Commission Européenne. Les députés ont donné l’impression de ne plus être des figurants, mais des personnes bien décidées à rendre la vie difficile aux dirigeants, que ce soient les chefs d’États et de gouvernement ou les ténors de l’administration bruxelloise. Il est évident que nombre de parlementaires se sont sentis bafoués par l’autoritarisme de certains leaders qui ont passé outre la volonté des électeurs quant à la désignation des postes à pourvoir à l’exécutif européen. Comme je l’ai déjà exprimé, je pense qu’ils n’ont pas rendu service à la cause européenne. Ce sera à Ursula von der Leyen de recoller la porcelaine cassée. Elle sera obligée de prendre bien plus compte du parlement. À côté des problèmes qui l’attendent au sujet du climat et de l’immigration, elle devrait mettre sur les rails une réforme des institutions. Il faut que l’UE se démocratise bien plus. Les députés auront leur part de responsabilité. À eux, indépendamment de leurs gouvernements respectifs, d’apporter de nouvelles impulsions à ce sujet, de permettre à l’UE de se démocratiser bien plus que c’est le cas actuellement. J’attends plus de transparence, mais aussi plus de proximité par rapports à nous les citoyens. Il serait enfin indispensable de donner la priorité à une Europe citoyenne, pour qui le social devrait avoir l’entière priorité. Ursula von der Leyen a évoqué dans son discours hier, une assurance-chômage commune, plus de concordance en ce qui concerne les lois du travail. Cela demande aussi une politique fiscale basée sur les mêmes fondements. Un travail titanesque. Weiterlesen

En début de soirée aura lieu l’élection au Parlement Européen, d’Ursula von der Lehen, au porte de cheffe de la Commission. Dans l’état actuel des choses, il est loin d’être certain qu’elle puisse compter sur une majorité. C’est moins sa personnalité qui est mise en cause, que la méthode employée pour sa désignation. Elle est hautement anti-démocratique car aucun des candidats qui se sont présentés officiellement à ce poste ont été nommés par les chef d’États et de gouvernements. Normalement, si on croit encore au système démocratique, Manfred Weber, qui avec les conservateurs, a remporté la victoire aux Européennes, aurait dû avoir une chance. Il a été écarté avec l’argument qu’il n’avait pas le calibre pour assumer un tel poste. Je condamne, comme les députés socialistes allemands, cette manière de procéder et serait dans un premier temps enclin à dire non à l’élection de Madame von der Leyen. Ce serait conséquent et juste. Une contribution pour plus de démocratie au sein de l’UE. Mais malgré toutes les bonnes raisons de lui refuser le soutien, je me sens mal à l’aise, car il se pourrait bien qu’elle passe avec l’apport des voix des anti-européens et des fascisants au sein de l’hémicycle, ce qui serait à mes yeux un séisme, qui ne conviendrait pas à la bonne marche des affaires de l’UE. Ce serait une une entrave de taille à l’idée que je me fais de l’UE. Je suis sûr que les députés de gauche se font également un soucis d’encre à ce sujet. Que faut-il faire ? Vaut-il mieux avaler une pilule amère en élisant cette candidate et sauver les bases d’une Europe tolérante, issue de l’humanisme ou vouloir prendre en compte l’apport de l’extrême-droite ? Weiterlesen

K

Die einstigen Notenbank-Chefs Alan Greenspan, Ben Bernanke und Janet Yellen sind dabei, Nobelpreisträger wie George Akerlof, Robert Solow, Robert Shiller und Eric Maskin, die ehemaligen US-Finanzminister Lawrence Summers und George Shultz. Selten in der Geschichte hat ein Umwelt-Aufruf von Ökonomen solche Wucht, so breite Unterstützung gefunden wie dieser: für die Einführung einer Klimasteuer. Um die 3.500 amerikanische Ökonomen haben sich inzwischen angeschlossen, und die Zahl wächst.

Es gibt Ideen, die müssen reifen – und irgendwann ist die Zeit reif dafür. Genau so ist das mit einem Preis auf Kohlenstoff. Wenn der Klimaschutz zum globalen Imperativ wird, dann müssen sich die Preise ändern: Klimaschädliches Handeln muss teurer werden, klimafreundliches im Verhältnis günstiger.

Immer wenn in Deutschland über eine Steuerreform diskutiert wird, ist ein interessantes Phänomen zu beobachten: Irgendjemand macht eine Beispielrechnung auf, wonach eine bestimmte Konstellation individueller Haushaltsmerkmale – eine Familie mit drei Kindern und zwei Autos – zu deutlichen Mehrbelastungen führt. Der Einzelfall wird medial ausgeschlachtet und die Reform ist tot.

Dieses Schicksal droht jetzt der Besteuerung von Kohlendioxid, mit der die Erderwärmung bekämpft werden soll. Das am letzten Freitag vorgestellte Gutachten (zeit.de) des Sachverständigenrats zur Begutachtung der gesamtwirtschaftlichen Entwicklung hat gezeigt, dass der Versuch, ökologische und soziale Gerechtigkeit gegeneinander auszuspielen, vor allem eines ist: Ideologie.

Weil aber Reiche meist einen viel größeren ökologischen Fußabdruck hinterlassen – größere Häuser beheizen, größere Autos fahren, mehr fliegen -, trifft sie auch die Klimasteuer überproportional. Ärmere dagegen bekommen mehr zurück, als sie einzahlen. Die kanadische Regierung, die gerade eine ähnliche Steuer einführt, hat den Effekt einmal durchrechnen lassen. Danach werden 70 Prozent der Haushalte nicht zusätzlich belastet, viele dagegen zusätzlich entlastet. Alles auf Kosten derer, die das Klima über Gebühr in Anspruch nehmen. Eine dergestalt aufgezogener Kohlenstoff-Preis muss nicht einmal den Zorn der Wutbürger fürchten. Er belohnt die Genügsamen und belastet die Verschwenderischen.

Der Internationale Währungsfonds wirbt für die Idee, die Weltbank, der Industriestaaten-Club OECD. Unternehmen treten dafür ein, selbst Mineralölkonzerne (sueddeutsche.de 27.02.2019). In Deutschland setzen sich die Wirtschaftsweisen ebenso für CO2-Preise ein wie die Monopolkommission: Sie verlangen für Europa auch einen Preis jenseits des Emissionshandels, der Kraftwerke und Industriebetriebe zum Handel mit CO₂-Zertifikaten verpflichtet. Fehlt nur die Politik!

Das wird schwierig: Schon weil die Steuer je nach Vermögen unterschiedlich Druck ausübt. Wie bei Knöllchen. Ein paar Euro mehr – etwa fürs Fliegen – zu zahlen, wird Betuchtere nicht so treffen, dass sie aus Geldnot auf die Bahn umsteigen – oder vom Großraumschlitten auf ein Oma-Auto. Weniger Betuchte trifft die Steuer stärker, die verursachen aber alles in allem gar nicht so viel CO2.

Das lässt sich durch Ausgleichszahlungen womöglich teilweise auffangen – wenn der Finanzminister die Einnahmen aus der CO2-Steuer per Scheck an Leute mit kleineren Einkommen auszahlt. Nur würde auch das wieder das Tempo des CO2-Abbaus bremsen, wenn zumindest ein Teil des verschickten Gelds doch wieder fürs Autofahren oder Fliegen ausgegeben wird (SPON 10.05.2019).

Die Politik muss die Idee der Steuer und deren Umsetzung nun im Lande „verkaufen“. Nicht ganz einfach:

Was halten die Bürger von der Idee einer CO2-Steuer? Wenig. Im ARD-„Deutschlandtrend“ (noz.de) lehnten 62 Prozent der Befragten den Vorstoß ab, 34 Prozent sprachen sich für die Einführung einer solchen Steuer oder einer ähnlichen Abgabe aus. Zugleich erkennt aber eine große Mehrheit der Befragten großen oder sehr großen Handlungsbedarf beim Klimaschutz.

Die Schweden haben 1991 (morgenpost.de) eine CO2-Steuer eingeführt, gleichzeitig wurden aber andere Steuern gesenkt. Der Einstieg erfolgte auf niedrigem Niveau – bei umgerechnet 24 Euro pro Tonne CO2, inzwischen liegt die Steuer bei 114 Euro pro Tonne CO2. Eine behutsamen Einführung mit schrittweiser Anhebung: Das ist auch der Schulze-Plan.

Dass die Einnahmen aus der Klima-Steuer aber ohne Zweckbindung in den schwedischen Staatshaushalt fließen, wäre hierzulande undenkbar.

Liebe Petra,

dieses Thema beschäftigt mich sehr. Ich würde gerne etwas Heiteres schreiben, aber schaffe es zurzeit nicht.

Immer Radikaler!

Hier ist die Rede von der AfD, die sich in einer Zerreißprobe befindet. Der rechte Flügel der Partei wird immer radikaler. Immer mehr Elemente, die von der NPD – auch von Neonazi-Gruppierungen stammen – sind dabei, die Einheit der AfD zu zersprengen. Wir erleben eine große Destabilisierung der internen Strukturen, die in den Landesverbänden zu Spaltungen führen. Darüber kann sich niemand freuen, weil es bedeutet, dass die Gewalt immer mehr Anhänger findet. Das hat zu einem politischen Mord, wie dem von Walter Lübcke geführt. Es ist schlimm zu sehen, dass die AfD extremistischen Elementen noch immer eine Heimat bietet, auch wenn sie solche Aggressionen verurteilt. Das heißt, dass der Vorstand keine Autorität hat und sich daher überrumpeln lässt. Wenn Anarchie herrscht, gibt es keine Grenzen und noch etwas kommt zum Vorschein: Viele Bürger, die von Haus aus frustriert sind, haben sich für die Provokation entschieden. Nach mir die Sintflut! Wären sie bereit, die Reichskriegsflagge wieder aus dem Keller herauszuholen und Parolen, die dem Stürmer ähneln, zu verkünden? Und mit einer brutalen Art, das „Sieg Heil“ wieder aufleben lassen? Dies mit Pogromen verbunden, um zu beweisen, wer das Sagen hat? Das entsteht, wenn eine Partei wie die AfD, die Zügel aus der Hand lässt. Es wäre in der Tat gut, dass diese Formation, die ich nicht in meinem Herz trage, diese Elemente in die Wüste schickt. Das sind Sie Deutschland schuldig, nicht wahr Herr Gauland?

Der Zweck der Radikalisierung

Im Zentrum – egal ob Mitte-rechts oder Mitte-links – gibt es eine Menge Leute, die schwankend sind, die sich beeinflussen lassen, wenn sie das Gefühl haben, dass sie ins Rutschen kommen. Das ist heute vor allem der Fall in Frankreich, wo die Republikanische Partei, die ehemalige Gaullisten, im Freifall sind, wie übrigens auch die Sozialisten im linken Spektrum. Einige von ihnen liebäugeln mit Marine Le Pen und sind bereit, mit ihr gemeinsame Sache zu machen. Wie die Ratten verlassen sie das sinkende Schiff, in dem sie Charles de Gaulle verraten. Sie machen gemeinsame Sache mit manchen Radikalen, die den General auf dem Kicker hatten und versucht haben ihn zu eliminieren. Das ist nicht der Fall von einer Mehrheit dieser Partei, aber wie bei der AfD, werden die Mäßigeren in den Zog der Gewalt von Neonazis – auch sie gibt es in Frankreich – gezogen. Der Grund ist der Gleiche wie bei der Weimarer Republik. Das Zentrum glaubt immer noch, dass sie die Totalitären in ihre Tasche stecken können. Dass das Gegenteilige passieren kann, kommt ihnen nicht im Sinn. Die Bourgeois lassen sich von ihrer „glorreichen Vergangenheit“ blenden und sehen nicht ein, dass sie zu den Verlierer gehören. Eine Fehleinschätzung, die zum 2. Weltkrieg geführt hat. Egal ob in Frankreich oder in Deutschland, die schiere Brutalität zieht mehr Leute an, als man denken könnte.

Die Pflege des Feindbilds

Vielleicht ist das der Irrtum der Demokraten – zu denen ich gehöre – das Gute im Menschen hervorzuheben und zu denken, dass die Eintracht und die Brüderlichkeit uns angeboren sind. Das entspricht keinesfalls der Realität. Der Mensch ist wie ein Raubtier, dass, um überleben zu können, jeden zerreißt, der sich in sein Revier wagt. In unserem Fall in Europa sind das die Ausländer und diejenigen, die sich an unseren Reichtum wagen, unsere Frauen vergewaltigen. Das wäre der Urinstinkt, den wir durch unsere Erziehung versuchen zu widerlegen. Ich nenne das Rassismus, Willkür, Grausamkeit. Ein widerliches Benehmen, das ich schärfstens verurteile. Aber um diese Neigungen zu bekämpfen, kann ich mir keine Illusionen machen, wie rachsüchtig der Mensch ist. Wenn er freie Zügel hat – wie unter Hitler – ist es kein Wunder, dass Schöngeister zu Bestien werden. Toleranz ist ein ständiger Kampf mit sich selbst, das sollen wir uns einpauken. Vielleicht macht uns das Wunschdenken einer besseren Gesellschaft irgendwie blind. Um die Nazis zu bekämpfen, können wir keine Samthandschuhe nehmen und wir müssen bereit sein zurückschlagen. Die andere Backe zu reichen, ist eine Symbolik, die sie nicht kapieren können. Und kommt mir nicht mit der These, dass jeder Mensch auch gut sein kann. Nein, das sind sie nicht – das sollten wir uns endlich einprägen.

Für die Einen bedeutet Gewalt, Freiheit

Um zu kapieren, wie die Extremisten ticken, muss ich auf den Begriff Freiheit zurückkommen. Viele verwechseln ihn mit Macht, was ich für einen Irrtum halte. Wer das Sagen hat, ist nicht unbedingt frei. Sehr viel mehr derjenigen, die sich um sie scheren, sie ablehnen, auch wenn man unter einer Brücke landet. Aber was ich hier referiere stimmt nicht für die Halbstarken, die die Ansicht vertreten, dass alleine der Terror sie von ihrer Minderwertigkeit befreien kann. Indem sie diejenigen verfolgen, die sie in Frage stellen, haben sie den Eindruck, ihrem Willen freien Lauf zu geben. Das haben sowohl die Nazi als auch die Kommunisten angewandt, um ihre Truppen zu motivieren. Verlierer wurden zu Helden gemacht und je brutaler sie waren, desto angesehener wurden sie. Was jetzt passiert ist leider eine Wiederholung. Nicht der Geist und der Verstand zählen, nur die Fäuste. Das scheint in den neuen Bundesländern zu funktionieren. Das Volk lässt sich von den schlimmsten Gestalten einfangen, weil sie sich vor ihnen fürchten. Das ist wie in einem Western, bei dem die Schurken eine ganze Stadt nötigen. Das Gleiche galt für die „Befreier“ des IS oder heute noch für die Taliban. Nicht anders funktionieren die Neonazis oder die Neofaschisten. Die Faszination des Stärkeren – auch wenn sie eine Fata Morgana ist – hat immer die Schwächeren angezogen, deswegen gilt es, solche Strömungen im Keim zu ersticken. Aber mit den Politikern, die uns zur Verfügung stehen, ist eine harte Methode verpönt, weil sie den Kodex einer falsch interpretierten Toleranz verletzt. Wenn es um den Tod von Unschuldigen geht, pfeife ich auf gute Manieren!

 

Das Gedicht

 

Er war wohl erzogen, entstand aus

einer wohlhabenden Familie, aus der

viele Akademiker stammen. Er wurde

Doktor der Philosophie, spielte Klavier,

vor allem Bach, der ihn beflügelte. Er

trat in eine studentische Verbindung ein,

wurde ein glühender Nationalist und

wenn er besoffen war, zerbrach er

die Schaufenster der Juden, nötigte

sie, indem er sie zwang, mit ihrer Zahnbürsten

den Gehsteig zu reinigen. Und wer sich

widersetzte, wurde bespuckt.

 

Er war wohl gebildet, las Immanuel Kant,

konnte die Hintergründe seiner Philosophie

erklären. Er vertrat die Meinung, dass nur durch

Züchtigung, das deutsche Volk der Rasse

der Übermenschen angehören könnte.

Er wurde Offizier der Waffen-SS, wurde nach

Warschau verfrachtet, um dort Ordnung herrschen

zu lassen. Er nahm an Säuberungen teil,

erschoss diejenigen, die er die Ratten nannte.

Sagte ihnen vor dem Gnadenschuss, dass es

für sie eine Ehre sei, sich von einem Akademiker

töten zu lassen. So war es…

 

Er war wohl menschlich, als er vor dem Gericht

stand, weil er in seine Hose machte. Schuldig

war er nicht, der gebildete Akademiker, aber die

Schurken des Regimes. Er flehte den Richter an,

Milde zu zeigen. Unter Doktoren sollte der Geist

siegen, nicht die Rache. Auch behauptete er, einen

Juden gerettet zu haben, Widerständler fliehen

gelassen zu haben. Aber nichts nützte, der Galgen

erwartete ihn, den feinfühligen Intellektuellen, der

Kant gut kannte und Bach liebte. Die deutsche

Kultur an einem Strick baumeln zu lassen,

welch eine Verschwendung, oder?

 

Alles Liebe, Petra.

Ich umarme dich!

 

Pierre

//pm

Der Weltraum sei ein „neuer Bereich der Konfrontation“, sagte Macron (web.de). Er habe eine Änderung der Militärdoktrin genehmigt, die „uns in die Lage versetzten wird, uns im Weltraum und aus dem Weltraum zu verteidigen“. Dabei gehe es auch um einen besseren Schutz französischer Satelliten. Die Luftwaffe werde bald zur Luft- und Weltraumwaffe, sagte der Präsident und kündigte entsprechende Investitionen an.

US-Präsident Donald Trump hatte im Dezember die Bildung des „United States Space Command“ angeordnet. Auch Staaten wie Russland, China und Indien bauen ihre Fähigkeiten für Weltraumkriege aus.

Nach den USA, Russland und weiteren Staaten steigt jetzt auch Frankreich in das Wettrüsten im Weltraum ein.

Die Nato hatte im Juni erstmals eine Weltraum-Strategie beschlossen (t-online.de). Damit will sich das Militärbündnis darauf einstellen, dass Kriege künftig auch im Weltraum entschieden werden könnten – zum Beispiel durch Angriffe auf strategisch wichtige Satelliten oder einen Einsatz von Waffen im All.

Der Aufbau einer gemeinsamen europäischen Verteidigung in Verbindung mit der Nato habe für Frankreich Priorität und sei der rote Faden der Feierlichkeiten an diesem 14. Juli, erklärte Macron. Die Fähigkeit zum gemeinsamen Handeln zu stärken, sei eine Herausforderung, welche die Europäische Interventionsinitiative angehen möchte. „Noch nie seit dem Ende des Zweiten Weltkriegs war Europa so notwendig“, so der französische Staatschef (tagesspiegel.de).

Auch 500 Soldaten der Deutsch-Französischen Brigade marschieren in diesem Jahr bei der Parade in der französischen Hauptstadt mit.

Dem rein europäischen militärischen Bündnis haben sich bisher zehn Staaten angeschlossen. Den Vorschlag für die Interventionsinitiative hatte Macron gemacht. Er will mit dem Bündnis auch sicherstellen, dass die Atommacht Großbritannien nach dem geplanten EU-Austritt Teil einer europäischen Verteidigungsgemeinschaft bleibt.

Ein Grund für die verstärkte Beschäftigung mit dem Thema Weltraum ist, dass die Nato immer mehr von Technik im All abhängig ist. Über Satelliten läuft die Kommunikation bei Militäreinsätzen, sie werden zur Aufklärung und Spionage sowie für Navigationssysteme genutzt. Im Umkehrschluss bedeutet dies, dass ein Angriff auf Satelliten der Nato-Staaten ihre Verteidigungsfähigkeit einschränken könnte.

Acht Milliarden Dollar sollen in den nächsten fünf Jahren in den Aufbau der Nato-Weltraum-Truppe investiert werden. Es sei nicht genug, amerikanische Präsenz im Weltraum zu haben, man brauche amerikanische Dominanz. Der Weltraum sei einst friedlich und unbeansprucht gewesen, nun sei er voll und gegnerisch (sueddeutsche.de 10.08.2018). Die neue Truppe soll von einem Vier-Sterne-General geleitet werden und unter anderem die Fähigkeit haben, gegnerische Weltraum-Aktivitäten zu behindern und zu zerstören.

An der traditionellen Militärparade auf den Champs-Elysées nahmen mehr als 4.000 Soldaten teil – unter ihnen auch Angehörige der deutsch-französischen Brigade. Frankreichs Staatspräsident Macron hatte im Vorfeld erklärt, er wolle ein Zeichen für das Europa der Verteidigung setzen.

Ein wichtiger Grund für die stärkere Beschäftigung mit dem Thema Weltraum ist, dass die Nato immer mehr von Technik im All abhängig ist. Über Satelliten läuft die Kommunikation bei Militäreinsätzen, sie werden zur Aufklärung und zur Spionage und als Navigationssysteme genutzt. Das bedeutet natürlich auch, dass ein feindlicher Angriff – beispielsweise aus Russland oder China – auf Satelliten der Nato-Länder ihre Verteidigungsfähigkeit einschränken könnte. Hinzu kommt aber auch, dass feindliche Angriffe auf Satelliten im Fall eines Krieges genutzt werden können, um Teile des öffentlichen Lebens lahmzulegen. Neben dem Nato-Staat USA haben zuletzt vor allem Länder wie Russland, China und Indien ihre Fähigkeiten für Weltraumkriege ausgebaut.

Das „Säbelrasseln“ hat uns wieder. Nach US-Präsident Trump am 4. Juli in den USA hat nun auch Präsident Macron den französischen Feiertag genutzt, um militärische Stärke zu zeigen.

Niemals darf unterschätzt werden, was im Unterbewussten geschieht und selbstverständlich vordergründig von den Betroffenen nicht wahrgenommen wird. Wie denn auch? Sie leiden an einer bipolaren Persönlichkeitsstörung und wer gibt das schon gerne zu? Vielleicht begann das alles in der Kindheit mit Essstörungen, Magersucht oder anderen Auffälligkeiten und vielleicht vererbte es das eine oder andere Elternteil weiter oder es liegt einfach in der Familie. Es gibt so unendlich viele verschiedene psychische Störungen und allzu schnell wird dem Gegenüber salopp eine egomanische Psychose oder so etwas angedichtet oder man wundert sich täglich über das absurde Verhalten eines Nächsten. Wo aber tatsächlich der genaue Unterschied zwischen Grenzüberschreitung, überzogenem, modernen Egoismus und respektlosem Nicht-Einhalten von einer gesunden Distanz und einer echten psychischen Störung liegt (hier: Manische Störung oder -Depression), ist nicht immer einfach. Bei längerem Hinsehen erkennen wir typische Alarmsignale, wie z. B.

–  übersteigerte Aktivität (stets finden sie was Neues, an was sie rumbasteln      müssen)

–  auffällige Unruhe, ständiger Aktivismus (der/ die muss immer irgendwas     wurschteln)

–   gesteigerte Leistungsfähigkeit und Kreativität (sieht aber nur so aus)   

–  ins Maßlose gesteigerte Selbstbewusstsein (hat alles im Griff, erscheint dominant)

–  Realitätsverlust (der Wahrheit wird nicht auf den Grund gegangen, Gerüchte und Vermutungen sind wichtiger)

– deutlich vermindertes Schlafbedürfnis

– Distanzlosigkeit im Umgang mit anderen Menschen (sie vereinnahmen andere Reviere)

– Enthemmung (sie plappern über alles Eklige bis Widerliche oder ihre Intimsphäre)

– verminderte Rücksicht (breiten sich überall aus, als seien sie alleine)

– verminderte Gefahrenwahrnehmung (oder Überängstlichkeit, wagen sich nicht mehr aus dem Haus)

– mangelnde Sensibilität für die Bedürfnisse und Gefühle der Mitmenschen (merken nicht, wenn sie penetrant vor deiner Nase herum agieren)

– manchmal Vernachlässigung von Nahrungsaufnahme und Körperhygiene (oder Fressattacken und extreme Pingeligkeit. Schrubben sogar die Bodenfugen).

Fakt ist, dass alle manisch Erkrankten unter einer Distanzlosigkeit leiden. Sie fangen mehrere Dinge an, finden kein Ende in ihrem Schaffen (ihnen fällt garantiert immer etwas Neues ein), verfallen oft sogar in einen exzessiven Kaufrausch, der ihre finanziellen Verhältnisse übersteigt. Dabei sammelt sich der ganze Kram überall in jeder Ecke, was zu einer Ausbreitung und Übergriff auf andere „Reviere“ führt. Gedanken machen sich die Manischen allerdings nicht, für sie ist das normal, sie sind sich keiner Schuld bewusst und geben eher den Anderen als sich selbst die Schuld. Dann sind sie mitunter schwer beleidigt und fühlen sich in ihrer Persönlichkeit gekränkt (mangelndes Selbstwertgefühl).

Der Umgang mit manischen Personen ist schwer. Oft bleibt einem nur der Rückzug, die klare Abgrenzung, denn jegliche Form eines konstruktiven Gesprächs wird scheitern. Zwar plagen sie insgeheim das schlechte Gewissen und Schuldgefühle, aber es löst nicht ihre vorhandene, bipolare Störung. Interessant in diesem Zusammenhang ist, dass Forscher herausgefunden haben, dass offenbar die Gene verantwortlich sind und so ist es nicht verwunderlich, dass sich psychische Störungen innerhalb einer Familie häufen (z. B. Vater/ Sohn, Mutter/ Tochter). Das Schlimme an dieser Erkrankung ist, dass die Betroffenen sich selbst durchaus gesund fühlen und keinen Grund sehen, ihr Verhalten ändern zu müssen. Ihre Mitmenschen und das Umfeld allerdings haben keine andere Wahl, als kopfschüttelnd mit echtem Mitgefühl das Weite zu suchen. Übrig bleiben dann nur ganz wenige und das Ganze führt in jedem Fall in die soziale Isolation der manisch Kranken. Tja – wie so oft – die Psyche…

 

© Petra M. Jansen

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