L’Agence internationale de l’énergie (AIE) se pose les questions suivantes : Comment garantir la sécurité, comment produire assez de courant pour toute l’humanité et comment le faire parvenir aux ménages, à l’industrie. Je vais essayer de creuser un peu plus ces points d’interrogation et ceci dans l’optique d’un simple citoyen. Pour assurer la pérennité des besoins énergétiques, il faut faire en sorte que la production soit continue. En ce qui concerne les ressources « propres », il y a une grande dépendance des caprices du climat. Pour que les éoliennes ou les panneaux voltaïques produisent assez d’électricité, il faut s’assurer qu’il y ait assez de vent et de soleil. Mais ceci ne dépend pas des hommes. Il en est de même pour les barrages et leurs centrales au fil des fleuves et des rivières. Lorsqu’il y a sécheresse, toute la production peut sortir de ses gonds. C’est peut-être une vérité de la Palice, mais il faut l’évoquer, car l’énergie propre n’est pas due à un miracle. Pour remédier à ce problème nous serons encore dépendant du nucléaire ou des centrales thermiques, qui produisent beaucoup de CO2 et des particules nocives pour la santé de nous tous. Mais là aussi il faut veiller à la sécurité, comme l’a prouvé l’attaque des raffineries en Arabie Saoudite. Comme on le voit tout ne baigne pas dans l’huile. Il est évident que si les besoins augmentent encore, nous nous trouverons bientôt à saturation. Lorsque je pense au nombre considérable de ménages qui doivent vivre sans courant, je ne peux pas m’imaginer que cela restera ainsi. Ces gens réclament, non à tort, de pouvoir accès, comme les mieux nantis, à l’électricité, ce qui est justice. Mais serons-nous en mesure de la produire ? Je pense que vu les problèmes environnementaux que cela cause, il ne sera pas possible de faire le joint entre la production et la consommation. Il faudra se rendre à l’évidence que les pauvres une fois de plus resteront sur le carreau. Aussi dans ce domaine il ne pourra pas avoir d’égalité. Weiterlesen
La croisade de l’extrême-droite
Nigel Farage renonce d’envoyer des candidats de son parti « Brexit » dans les circonscriptions qui ont élu des députés conservateurs. Il s’agit de 317 sièges. Cela peut être considéré comme une bonne nouvelle pour Boris Johnson, moins pour les démocrates. Cela apporte la preuve que la droite modérée n’a pas de scrupules de signer un pacte avec les extrémistes. Souvent des racistes intolérants, qui ont un esprit totalitaire. Arron Banks, le donateur du BP (Brexit Party) a laché Nigel Farage en disant haut et dort qu’il fallait voter Tories lors des élections de 2019. « Le BP ne contestera aucune des 317 circonscriptions gagnées par les conservateurs lors des dernières élections. Mais nous allons concentrer nos efforts dans toutes celles qui sont tenues par les travaillistes, qui ont complètement violé leurs promesses de 2017 de respecter le résultat du référendum [de 2016] », a affirmé Nigel Farage depuis Hartlepool, ville portuaire du nord-est de l’Angleterre. Il a lancé une croisade contre le Labour en prétendant que ce dernier avait trahi le peuple. Il y aura donc un esprit de reconquête lors du scrutin. C’est un revirement complet des objectifs qu’il avait depuis toujours. Plus question d’être présent dans toutes les circonscriptions. Johnson et ses acolytes démontrent ainsi qu’ils ont viré à l’extrême-droite pour des raisons d’opportunisme partisan. Il n’en va que du pouvoir. Ce n’est pas un cas unique en Europe. Certains qui disent être des Gaullistes, n’hésitent pas à renier le créateur de la 5ème République en s’alliant avec ceux qui ont voulu faire sa peau. Je pense à l’attentat du Petit-Clamart qui a été orchestré par l’OAS, des proches de Jean-Marie le Pen. Comme on le voit, ces tristes personnages n’ont pas de scrupules de faire cause commune avec ceux qui avaient voulu assassiner le Général. Je ne peux pas m’empêcher de revenir en arrière dans l’histoire. Weiterlesen
Die Mauer
Sie ist schon länger weg als sie geständen hat. Die Jüngeren unter uns kennen Sie nur aus den Geschichtsbüchern: Die Mauer in Berlin!
In Vorbereitung des Jubiläums im Radio hörte ich vor einigen Tagen folgenden Slapstick aus der damaligen Zeit. Der Reporter berichtete von einem jungen Mann, der am 9. November 1989 erleichtert geseufzt haben soll; auf diesen Augenblick warte er seit 28 Jahren. Auf die Frage, wie alt er denn sei, habe er geantwortet: siebenundzwanzig!
Am 9. November haben die Menschen deutschlandweit des Mauerfalls vor 30 Jahren gedacht. Berlin stand im Zeichen mehrerer Veranstaltungen, bei denen sowohl Freude über das historische Ereignis zum Ausdruck kam als auch mahnende Worte fielen.
Bundespräsident Frank-Walter Steinmeier appellierte vor Zehntausenden Menschen am Brandenburger Tor, seit 1989 neu entstandene Mauern in der Gesellschaft wieder einzureißen. „Die große Mauer, dieses unmenschliche Bauwerk, das so viele Opfer gefordert hat, steht nicht mehr. Diese Mauer ist weg, ein für alle Mal“, sagte er (tagesschau.de). Ja, die Mauer in den Köpfen existiert nach wie vor, man spricht noch „Ost“ und „West“. Erst in der Generation 35 und jünger fährt man „von Hessen nach Brandenburg“.
Die Bernauer Straße gilt als Symbol der deutschen Teilung. Als die Mauer 1961 hochgezogen wurde, lag die Häuserfront der Straße im Osten, der Bürgersteig im Westen. 1985 sprengte das DDR-Regime die evangelische Versöhnungskirche, die sich im Todesstreifen befand. An derselben Stelle wurde die Kapelle der Versöhnung aufgebaut und im Jahr 2000 eingeweiht.
Mit dem 9. November 1989 ging die deutsche Teilung nach rund 40 Jahren zu Ende, die Berliner Mauer selbst hatte mehr als 28 Jahre Bestand. Nach wissenschaftlichen Erkenntnissen starben an der etwa 160 Kilometer langen Mauer in der Hauptstadt mindestens 140 Menschen durch das DDR-Grenzregime.
„Nach meiner Kenntnis ist das … sofort, unverzüglich“ – mit diesen Worten zur neuen DDR-Reiseregelung läutet Politbüro-Sprecher Günther Schabowski am 9. November 1989 um 18.53 Uhr unfreiwillig das Ende der deutschen Teilung ein.
Die Reiseregelung soll sowohl ständige Ausreisen als auch private Urlaubsreisen von DDR-Bürgern in den Westen ermöglichen – nach Antrag bei der Behörde und erst ab dem 10. November. Doch Schabowski ist unvorbereitet, verhaspelt sich, erklärt die Grenze für geöffnet, „ab sofort!“. Eine Nachricht, die sich wie ein Lauffeuer verbreitet. Kurz darauf versammeln sich bereits Tausende DDR-Bürger an den Berliner Grenzübergängen. Die überraschten Grenzer, die keine klaren Anweisungen haben, wie sie sich verhalten sollen, geben dem Druck der Massen schließlich nach und öffnen die Tore. Die Menschen stürmen in den Westen, Ost- und Westdeutsche liegen sich in den Armen, singen und feiern gemeinsam. Mauer und innerdeutsche Grenze sind gefallen.
Die Wirtschaftskraft Ostdeutschlands hat sich in den dreißig Jahren seit dem Fall der Berliner Mauer am 9. November 1989 jener Westdeutschlands stark angenähert. Das reale Bruttoinlandsprodukt (BIP) pro Kopf ist laut einem Bericht des Sachverständigenrats zur Begutachtung der wirtschaftlichen Entwicklung („Wirtschaftsweise“) in Ostdeutschland seit 1991 um 102% (nzz.ch) und damit mehr als doppelt so stark gewachsen als in Deutschland insgesamt. Allerdings holte der Osten vor allem in der ersten Hälfte der 1990er Jahre rasch auf, als massiv in die vernachlässigte Infrastruktur investiert wurde. Seither verläuft der Aufholprozess viel langsamer.
Allerdings hat dieser Erfolg eine problematische Kehrseite: Zum Teil ist er darauf zurückzuführen, dass seit 1990 netto über 1,2 Mio. Menschen die neuen Länder verlassen haben. Inzwischen leben dort noch 12,6 Mio. Einwohner oder 15% der deutschen Gesamtbevölkerung, wobei sich die Zahl in den letzten drei Jahren immerhin stabilisiert hat. Weitere 3,6 Mio. Menschen zählt Berlin, das heute mehr Einwohner hat als 1990. Während Westdeutschland und dort insbesondere die süddeutschen Regionen wirtschaftlich von der Zuwanderung junger, gut ausgebildeter Ostdeutscher profitiert haben, führte im Osten die Nettoabwanderung in Kombination mit einem Geburtenknick zu einer Überalterung und neuerdings zu einem Fachkräftemangel. Beides hemmt die wirtschaftliche Entwicklung, zudem schwächt der demografische Wandel die Finanzkraft der neuen Länder. Zuwanderung könnte das Problem entschärfen, doch damit tut man sich bis jetzt schwer.
Wir haben viel erreicht – und doch gibt es noch viel zu tun!
Les châteaux en Espagne !
Aujourd’hui débute l’époque folle du carnaval en Allemagne. À 11 heures 11, les fous se mettront à danser et à faire la noce jusqu’au 25 février 2020. De quoi se défouler afin d’oublier toutes les affres de l’existence. Au lieu de faire la fête, les Espagnols se gratteront la tête aujourd’hui au vu des résultats des votations de hier. Avant tout il y a la montée irrésistible des nostalgiques du Franquisme, le parti Vox, qui passe de 24 à 52 sièges au parlement. La tentation risque d’être grande pour les conservateurs du Parti Populaire, qui ont pu augmenter le nombre de leurs députés de 66 à 83 sièges de tendre la main aux fascistes, essayer de faire cause commune, ce qui pourrait être un déni de la démocratie. Le PSOE, les sociaux-démocrates, passe de 123 à 124 sièges. Le Podemos, la gauche radicale, laisse des plumes en passant de 42 à 35 siège. Ceci après le dépouillement de 60 % des voix. Une fois de plus il ne peut pas y avoir de majorité, sans une alliance entre les deux grands partis, que sont le PSOE et le Parti Populaire. Jusqu’à présent il n’était pas de mise, qu’une telle alliance gauche-droite puisse avoir lieu en Espagne. Cette situation est due au morcellement du paysage politique en Espagne, où nombre de petits partis se retrouvent au parlement, comme par exemple les nationalistes catalans. Il s’agira de prendre le taureau par les cornes et de cautionner ce qui paraissait jusqu’à lors impossible en Espagne, celui de la formation d’un gouvernement issu d’une grande coalition. Il serait urgent que vu le délabrement de la société civile, de sauter par dessus ses ressentiments. Avec environ 15 % de chômage, plus du double pour les jeunes, il s’agirait de mettre la main à la pâte. Pas de quoi se travestir pour fêter le début du carnaval. Il en va de la démocratie, qui, si elle n’est pas en mesure de réagir à un tel fléau, se mettra à plus ou moins longue échéance en touche. Weiterlesen
Pas de flonflons, du concret !
Le président allemand Frank-Walter Steinmeier, dont le rôle est avant tout représentatif, a fait un discours offensif lors de la soirée commémorative fêtant la chute du mur de Berlin. Il a évoqué tout d’abord l’attitude des Allemands de l’Est d’avoir eu le courage en 1989 d’avoir fait une révolution pacifiste, qui a aboutit à la réunification. Il n’y eut pas de sang versé, un mérite indéniable de Mikhail Gorbatchev, qui a commandé aux forces russes stationnées en RDA de ne pas intervenir. Il a aussi fait pression sur Erich Honecker de ne pas faire le carton sur les opposants qui se réunissaient chaque lundi à Leipzig. Frank-Walter Steinmeier lui a rendu hommage. Deux points ont été essentiels dans ce discours. Il a mis les points sur les i concernant l’attitude des USA par rapport à l’Allemagne d’aujourd’hui : „Nous, les Allemands, nous devons beaucoup à cette Amérique. A cette Amérique en tant que partenaire dans le respect mutuel, en tant que partenaire pour la démocratie et la liberté, contre l’égoïsme national. C’est ce que j’espère aussi à l’avenir ! » Il a mis l’accent sur la détérioration des rapports en ce qui concerne Washington. Il est évident, qu’à l’instar de Vladimir Poutine, Donald Trump a une certaine sympathie pour le parti d’extrême-droite AfD, qui attise la haine et donne aux agitateurs néonazis les arguments nécessaires pour cautionner la violence. Il est un opposant de taille par rapport à l’UE. Ce qui amène à faire un lien directe avec le deuxième volet de son allocution que j’ai trouvée remarquable. Le président a déploré que „de nouveaux murs (aient) été construits dans tout le pays : des murs de frustration, des murs de colère et de haine“ Weiterlesen
La nostalgie du totalitarisme
En ex-RDA la nostalgie gagne du terrain, pas celle en souvenir d’un style de vie ringard, qui de l’avis de tous était plus solidaire, car les gens vivaient sous le joug d’un régime-béton qui les étouffait. Tout échappatoire était le bienvenu, comme la datcha, où les habitants passaient leurs temps de libre. Souvent des abris qui font penser aux remises des jardins-ouvriers. Il n’y aurait rien à redire… Mais en 2019, la nostalgie part dans un autre sens. Entre 20 et 30 % de la population font le deuil du totalitarisme, car il sont dans l’incapacité de gérer personnellement leur vie et attendent que les dirigeants leurs dictent ce qu’ils ont à faire, comment ils doivent se comporter. La nostalgie des Führers se fait sentir plus que jamais depuis la chute du mur de Berlin. Cela est plus qu’inquiétant… pour moi pas de quoi pavoiser. Ce qui devrait être aujourd’hui la fête de la liberté, est pour moi celle du servage, de l’esclavage mental. Si c’est cela le résultat de la révolution pacifique de 1989, je n’en ai rien à faire. Le tout affublé d’une mentalité de chien-couché. J’aimerais qu’il y ait un rebond, mais je ne sens strictement rien. J’ai l’impression d’être confronté à l’inertie des petits.bourgeois, pour qui leur petit luxe compte plus que leur âme. Weiterlesen
Pflug
Schwerter zu Pflugscharen!
Sie führen Krieg,
Mord ist eine Frage des Preises.
Halt dich an die Regeln,
keinen wird es stören.
Brichst du die Norm,
wird man dich jagen,
man wird dich fangen
und einsperren.
So will es das Gesetz!
Verkaufst du Waffen,
verdienst du viel Geld.
Du wirst reich,
eine geachtete Person.
Man wird dich ehren!
Mord wird zum Geschäft,
Krieg ist Business!
Du staunst?!
Ja, es ist so!
Keinen stört das.
Milliarden für Waffen,
Abermilliarden für Wiederaufbau.
Begrabe die Toten,
lege dein Geld an.
Dollar, Euro, Yen.
Die Welt kann es nicht,
den Frieden finden,
solange die Gier herrscht.
Sie steht über dem Gesetz.
Wir verschließen beide Augen.
Paragraphen stehen für dich und mich.
Wir sind das Volk!
Das sagen sie immer.
Auf den Thronen da oben
gelten andere Normen.
Wir hören die Erzählung,
es sei ehrenvoll,
das Land zu verteidigen.
Irgendwo, in Asien oder Afrika.
Ganz weit weg …
Immer heißt es:
„Wir haben kein Geld!“.
Ja, weil der Tod es bündelt!
Er ist reich, hat den großen Koffer.
Ein guter Zocker …
La moribonde !
Oui, je soutiens totalement ce que le Président de la République a dit au sujet de l’OTAN, n’en déplaise à Madame Merkel. L’Alliance atlantique est moribonde ! Le responsable de ce désastre est Donald Trump, qui n’en fait qu’à sa guise et qui impose à ses partenaires de se soumettre aux USA faute d’être punis. Il en va en particuliers des 2 % du PIB. Et puis il y a encore un problème de taille. Le président américain déteste l’UE et voudrait la voir s’effondrer. On pourrait se passer de tels amis ! Pour moi ce serait une raison de quitter au plus vite cette organisation, qui ne sert strictement plus à rien. Je ne verrais pas d’inconvénients que la France se conduise de la même matière qu’à l’époque de Charles de Gaulle, qui avait mis en veilleuse sa participation, l’époque, où le siège de l’OTAN fut transféré de Paris à Bruxelles. Ceci pour faire comprendre aux Allemands, que le temps des laquais devait être révolu. Je trouve pénible de voir l’attitude de la Chancelière qui comme d’habitude louvoie, n’a pas le pep de dire ses quatre vérités à l’être insensé qui occupe la Maison Blanche. « Je ne pense pas qu’un tel jugement intempestif soit nécessaire, même si nous avons des problèmes, même si nous devons nous ressaisir », a-t-elle déclaré. Voilà ce qu’elle a »pondu » aux côtés du secrétaire général de l’Alliance, M. Stoltenberg. «Les « termes radicaux » de M. Macron ne correspondent pas à « mon point de vue au sujet de la coopération au sein de l’OTAN » Je pense comme Emmanuel Macron, que nous sommes arrivés au point de rupture et que pour sauver ce qu’il y a encore à sauver, il ne faut pas mâcher ses mots. Lorsque les membres font n’importe quoi, comme la Turquie, qui ignore les règles de l’alliance, à quoi bon encore la maintenir en vie. « Vous n’avez aucune coordination de la décision stratégique des États-Unis avec les partenaires de l’OTAN et nous assistons à une agression menée par un autre partenaire de l’OTAN, la Turquie, dans une zone où nos intérêts sont en jeu, sans coordination, a-t-il souligné. « Ce qui s’est passé est un énorme problème pour l’OTAN. »
Weiterlesen