Le philosophe, qui avait exprimé sa sympathie pour les Gilets Jaunes, a été injurié lors d’une manifestation qui a eu lieu sur le boulevard de Montparnasse, à l’angle de la rue Campagne première, dans le 14ème arrondissement. « Barre-toi, sale sioniste de merde », « grosse merde sioniste », « nous sommes le peuple », « la France elle est à nous » Il y avait heureusement les forces d’ordre, qui ont empêché que la situation se détériore encore plus. Alain Finkielkraut à déclaré dans le Journal du Dimanche : avoir « ressenti une haine absolue ». « J’aurais eu peur s’il n’y avait pas eu les forces de l’ordre, heureusement qu’ils étaient là, tous les manifestants n’étaient pas agressifs, l’un d’entre eux lui a même proposé de revêtir un gilet et de rejoindre le cortège, un autre a salué son travail ». Je préfère utiliser des citations, au lieu de déclarer haut et fort tout mon dégoût par rapport à ce qui s’est passé. Le mal qu’ont causé certains Jaunes à la France est considérable, car il remet en question les valeurs de la République, qui préconisent la tolérance et le respect d’autrui, même si on ne partage pas ses opinions. « Je n’ai pas entendu “sale Juif” » Alain Finkielkraut poursuit : « Ils visaient avant tout mes liens et mes positions sur Israël. Il y a chez eux un sentiment d’hostilité très fort à l’égard des juifs et je paie ma notoriété. » De tels propos démontrent pourquoi j’ai abordé avec une telle réticence ce mouvement, dont certaines revendications étaient parfaitement justifiées. En temps que démocrate je condamne sans limites un tel comportement. Même si je ne suis pas un adepte de Benjamin Netanyahou comme vous le savez, que je condamne sa politique discriminatoire envers les Palestiniens, je ne saurais accepter de tels propos. Weiterlesen

Eric Drouet, un des leaders auto-nommés des Gilets Jaune, un routier de 34 ans, a été convoqué par le tribunal de Paris, qui a requis un mois d’emprisonnement avec sursis et une amende de 500,00 € pour avoir organisé le 22 décembre 1918 et le 2 janvier une manifestation sur la voie publique sans déclaration. Une recommandation assez clémente pour certains, car ce chauffeur est pour eux le moteur-même des émeutes, ce que je mets personnellement en doute. Je pense que le tout a été fomenté par des responsables de l’extrême-droite nationaliste et raciste. Me Kheops Lara, avocat d’Eric Drouet, a déclaré à la cour : « Tout le monde est dépassé par le mouvement des “gilets jaunes”. On a du mal à le croire, mais il n’y a pas de chef. Ce procès est clairement politique. On vient le désigner comme figure pensante, et on vous demande de le condamner pour cela. On veut casser ce mouvement par votre décision. C’est un piège qui vous est tendu à vous, juges » Et c’est justement là que le bât blesse. Lorsque Eric Drouet déclare, qu’on ne peut pas le rendre responsable pour tout, cela manque terriblement de panache. Vouloir se dédouaner ainsi n’est pas digne, des GJ qu’il dit représenter. On ne peut pas faire la révolution en étant mi-figue, mi-raison. Un mouvement, quel que soient ses visées politiques, se doit d’avoir une équipe dirigeante qui prend toutes ses responsabilités. C’est justement ce manque de personnalités au sein des Gilets jaunes, qui sera la cause de son déclin. Pour ma part je suis sûr que ce sera le cas, à moins de faits imprévisibles. Je sais, il ne faut pas dire jamais, car les évènements peuvent s’émanciper, ce que je ne désire pas. Weiterlesen

Lieber Pierre,

mit etwas Verspätung kommt nun heute meine Antwort zu deiner Ansicht, was Männer im Vergleich zu Frauen tun oder wie sie immer noch handeln. So ganz gehe ich nicht in allen Punkten konform mit dir, denn ich stelle sehr oft fest, dass eigentlich der Mann der Verunsicherte ist und Frauen sich durchaus seit Jahren an die Spitze der Politik, Industrie und des Managements gearbeitet haben. Auch ist das Wort „Emanzipation“ nicht nur ein leeres Wort, es findet tatsächlich statt. Vielmehr empfinde ich es in meinem beruflichen und privaten Leben so, dass ich es mit Pfeifen zu tun hatte, die gerne nach meiner Pfeife tanzten. Sei es um mir zu gefallen oder einfach nur um des lieben Friedens willen. Angewärmte Handtücher vor meiner Nase, wenn ich aus der Dusche kam und ständiges Fragen, ob auch alles so richtig sei und wie ich es gerne hätte – und das kann einer Frau ganz schön auf die Nerven gehen.

Die andere Seite des Mannes sind die harten Brocken, die Frauen schlagen und unterdrücken, sich an Schwächeren vergreifen oder herablassend auf eine Frau blicken und sie belächeln. Tatsächlich sind das starke psychische Schädigungen und eine oft selbst erfahrene Gewalt oder emotionale Misshandlung in jungen Jahren. Lassen wir aber nun den Hass und die psychischen Erkrankungen weg, so haben Männer es heute nicht immer einfach. Sie wissen nicht genau mit einer charakterstarken Frau, die ihren eigenen Kopf hat, umzugehen. Sollten sie nun der „harte Kerl“ sein, der sie erbarmungslos über den Küchentisch zieht? Oder sollten sie schroff wirken, in der Hoffnung, dass sie nie das Interesse verliert, um ihn letztendlich doch noch zum Weichei machen zu wollen? Nein, lieber Pierre – ich möchte kein Mann sein und ich habe so viele unterschiedliche Charaktere und Nuancen der Männer kennengelernt, dass ich mich heute nicht mehr unbedingt danach sehne, einen davon in mein tägliches Leben zu integrieren. Bin ich nun eine Emanze, wenn ich als Frau selbst in der Lage bin, auf mich aufzupassen und es mir gelingt, mein Leben finanziell zu meistern? Für das bisschen Sex die geliebte Unabhängigkeit (wahrscheinlich der blanke Egoismus) aufgeben und Kompromisse machen? Das muss in der Tat gut überlegt sein, aber wenn du jetzt von Liebe sprichst, lieber Pierre, dann sage ich dir die traurige Wahrheit… die echte Liebe ist unglaublich schwer zu finden und das sehen leider immer mehr Menschen so. Insofern hat es ein Mann also auch wirklich schwer und manch einer bemüht sich vergeblich und ist auf halber Strecke verhungert. Aber so ist es eben auch – der Mann ist also nicht in jedem Fall der Bestimmende und das Oberhaupt der Frau, wie du siehst. Frauen machen es Männern nicht immer leicht, jedenfalls nicht in unserer westlichen Gesellschaft. Anders sieht es in anderen Kulturen aus, da gebe ich dir Recht. Doch wir beide leben hier und dann muss fairerweise eben auch erwähnt werden, dass es durchaus auch Frauen gibt, die Männer misshandeln, sie erniedrigen und unterdrücken. Das Bild vom starken Geschlecht MANN ist längst überholt und d a s starke Geschlecht (maskulin) gibt es so einfach nicht. Stark können sowohl Frauen als auch Männer gleichermaßen sein und so oder so gibt es Abwertungen in beide Richtungen. Mir tun ehrlich gesagt die Männer manchmal leid, wenn man ihre Unsicherheit bemerkt, die unverhohlene Bewunderung zur Frau und dann wissen sie nicht, ob sie superschlau, charmant, lustig oder reserviert sein sollen und ob sie mit einer Blume oder einer Einladung vor dir stehen oder ganz dreist einfach direkt auf dich losgehen sollen. Es entlockt mir ein ehrlich gemeintes Lächeln und ich liebe sie, die Männer. Ehrlich, ich liebe sie wirklich von Herzen und jeden einzelnen, der mir das Leben schwer oder froh gemacht hat, es waren schöne Erfahrungen. Vielleicht hatte ich einfach Glück oder habe stets die richtige Wahl getroffen, aber – bis auf ein einziges Mal und das endete mit Polizeigewahrsam – ist mir nichts Schlechtes mit Männern widerfahren. Ich nehme bewusst Abstand von der klassischen Mann-Frau-Rolle und davon wie man als Frau oder als Mann zu sein oder zu handeln hat. Für mich gibt es nur Mensch und irgendwie finde ich in beiden Geschlechtern feminine und maskuline Züge und bei beiden Geschlechtern gute und schlechte Eigenschaften. Außerdem gibt es nun das dritte Geschlecht „diverse“ und es wurde wirklich Zeit, dass diese Diskussion um klassische Gender-Rollen endlich aufgegeben wurde. Die neue Kategorie lautet „MENSCH“ und das ist gut so.

 

Mit herzlichen Grüßen

Petra

 

© Petra M. Jansen

http://jansen-marketing.de

 

Donald Trump va déclarer l’urgence nationale pour pouvoir construire un mur entre les USA et le Mexique. Cela est devenu une obsession pour lui, qui essaie de faire comprendre à ses concitoyens qu’il faut prendre une telle mesure afin de les protéger contre l’invasion de hordes de miséreux qui leur voleraient tout ce qu’ils ont gagné honnêtement. C’est franchement ridicule. Mais j’ai de la peine à en rire, car cela est le déni même de la raison, de l’esprit critique. J’ai comme l’impression que le président tient à ce projet, parce qu’il pourrait en être l’entrepreneur indirect, lui permettant de générer ainsi de l’argent pour sa famille ou ses amis. Cela serait de la magouille, si c’était le cas. Pourquoi s’opposer à une barrière en acier ? Elle remplirait exactement le même rôle. Tout cela est de l’enfantillage. Mais il y a effectivement un problème de taille, celui du fossé entre les pays riches et les pays pauvres. Il serait mieux d’investir de fortes sommes pour améliorer l’ordinaire de nations entières en incitant des investisseurs à permettre la création d’économies autonomes. Si c’est pour favoriser le colonialisme à la United Fruit, je ne peux que m’y opposer. Des pratiques ayant comme but de générer du profit sur le dos d’ouvriers agricoles travaillant à des tarifs défiants toute concurrence. Un esclavage moderne qui est incompatible avec les droits de l’homme. La vente des bananes Chiquita n’a pas enrichi un pays comme le Honduras, mais les actionnaires aux États-Unis. Tant que de telles méthodes seront de mises en Amérique Latine, le flot migratoire ne pourra pas être stoppé. Ce n’est pas le mur qui réglera quoi que soit. C’est exemple démontre que l’éléphant qu’est Trump a un cerveau de moineau. Weiterlesen

„Summ, summ, summ, Bienchen summ herum!“. Das alte Kinderlied verdeutlicht es schon lange: Die Honigbiene ist ein Sympathieträger!

Naturschützerinnen nutzen seit Jahren stilisierte Bienen für ihre Kampagnenarbeit. Der Slogan des Volksbegehrens in Bayern lautet „Rettet die Bienen!“ Und vergangenes Jahr etablierten die Vereinten Nationen den Weltbienentag. Dass die Honigbiene zur beliebtesten Art unter den Insekten geworden ist, liegt wohl an ihrer Rolle als Honigproduzent und Bestäuber. Dabei ist nicht zu vergessen, dass es in Deutschland neben der Honigbiene noch mehr als 570 wilde Bienenarten und Tausende weitere Insektenarten gibt, die ebenfalls bestäuben.

Der Rückgang einzelner Arten in bestimmten Gebieten ist unumstritten.

Siedlungsbau und Verstädterung sind Schlagwörter, besonders folgenreich sind aber die Monokulturen. Also, der Anbau beispielsweise von Mais oder Raps auf riesengroßen Feldern, auf denen es keine anderen Pflanzen gibt, die den Insekten Nahrung bieten könnten. In der Landwirtschaft benutzen wir Pestizide, die bei der Ernte einen hohen Ertrag versprechen, aber eben nicht nur die Schädlinge töten, sondern alle Insekten in der Umgebung. Die Folge: Das besagte Insektensterben. Seit Jahren haben wir immer weniger Bienen, Fliegen und Schmetterlinge.

Immer häufiger in Baumärkten, Supermärkten und Werbeprospekten: die sogenannten „Insektenhotels“. Das sind aus Holz gebaute Häuschen mit vielen unterschiedlich großen Löchern und Versteckmöglichkeiten drin. Die Idee dahinter: Das Häuschen soll den Insekten einen neuen Lebensraum bieten, der ihnen ja mittlerweile insbesondere in Siedlungen und Städten oft fehlt. Das kann funktionieren, so Umweltexperten – allerdings nur dann, wenn noch weitere Maßnahmen ergriffen werden. Die Insekten müssen auch Nahrung finden, das sei das Hauptproblem (swr3.de).

Die Biene ist eines der fleißigsten und für den Menschen nützlichste Tier. Von ihrer Bestäubung ist mehr als ein Drittel der Nahrungsproduktion abhängig. Die Bienen fliegen verlässlich von Blüte zu Blüte und sorgen mit ihrer Beharrlichkeit in vielen Industriezweigen für verschiedenste Produktionen. Albert Einstein soll einmal gesagt haben: „Wenn die Bienen aussterben, sterben vier Jahre später auch die Menschen aus“ (meine-onlinezeitung.de). Der Anfang seiner unheilvollen Prognose ist bereits in Gange, denn seit mehreren Jahren ist ein vermehrtes Bienensterben rund um den Globus zu beobachten. Das harmonische Gleichgewicht ist bedroht, denn Bienen sorgen nicht nur für Honig, sondern liefern durch Bestäubung auch die Grundlage für Obst- und Gemüseanbau. In manchen Gegenden Chinas sind die Bienen bereits ausgestorben und die Bestäubung der Blüten erfolgt in mühevoller Kleinarbeit durch Menschen.

Obwohl das Bienen- und Insektensterben nicht nur in Deutschland, sondern auf der ganzen Welt von Forschern dokumentiert und bewiesen ist, weigert sich die Bundesregierung noch immer, die tödlichen Pestizide in Deutschland zu verbieten. Auch in Holland, das auch der „Plastikgarten Europas“ genannt wird, kommen Pestizide immer noch zum Einsatz.

Nicht nur die Honigbienen sind im Begriff auszusterben. Auch Wildbienen, die ebenfalls für die Bestäubung von Pflanzen sorgen, verschwinden zusehends. Sie leiden genauso unter den Pestiziden, Monokulturen und einer immer gleichförmigeren Landschaft.

Was kann man tun? Holen wir uns heimische Pflanzen auf den Balkon, in den Garten, aufs Fensterbrett. Wildbienen sind nämlich auf heimische Pollen- und Nektarquellen wie Glockenblume, Natterkopf und Hornklee angewiesen. Wir sollten statt Kirschlorbeer und Forsythie zudem lieber Schwarzdorn oder Weide pflanzen (worldsoffood.de) und so den früh im Jahr fliegenden Wildbienen eine üppige Nahrungsquelle bereitstellen.

Das Leben der Biene ist weltweit bedroht. Laut einem Bericht der UNEP und Greenpeace sind im letzten Winter viele Bienen gestorben: in den USA 30%, im Nahen Osten 85% (Zahl aus 2012), in Europa 20% und in Deutschland 30%. Die Gründe sind vielfältig: Varroa-Milbe (Parasiten), Pestizide, Futtermangel, Umweltbelastungen, fehlende Pflanzenvielfalt und klimatische Veränderungen.

Bienen sind somit ein gigantischer Wirtschaftsfaktor und die wichtigsten Arbeitskräfte in der Landwirtschaft. Weltweit sorgen sie mit ihrer Bestäubungsleistung für eine Wertschöpfung von etwa 200 Milliarden Euro pro Jahr, hat das Labor für theoretische und angewandte Wirtschaft des wissenschaftlichen Forschungszentrums CNRS in Montpellier (welt.de) ermittelt.

56% des Français voudraient que le mouvement des Gilets Jaunes arrive à son terme. Ils trouvent qu’il y a eu des dérives par rapport à ses revendications préliminaires. Peut-être que les clins d’œils portés par certains des soitdisant dirigeants du côté de l’extrême.droite, n’ont pas été du goût de tous. C’est mon cas. Le fait est qu’on ne s’y retrouve plus. Puis il a aussi toutes les injures sur les réseaux sociaux qui ne correspondent pas à ce qu’est la France. Des diatribes qui font mal, qui divisent plus, qu’elles unissent. Une situation qui ne peut pas perdurer. D’un autre côté je peux bien comprendre la colère de tous ceux qui ont été blessés au cours des manifestations. Mais eux-aussi n’ont pas tenu compte, que de lancer des pavés sur des forces de l’ordre, n’est pas un acte pacifique. Mais de cela il n’en est pas question. Je ne suis pas de ceux qui encense la police, la trouvant souvent trop brutale, mais dans ce cas-là cela va trop loin. Évidemment je fais le procès des moyens employés. Tirer des balles de caoutchouc qui peuvent aveugler, je ne l’approuve pas. Mais lorsqu’on part à la révolution en ayant comme but de tout balayer, il ne faut pas s’attendre, qu’on soit reçu comme dans un salon. Je suis de ceux qui veulent que les hostilités s’arrêtent enfin. Je trouverais positif que les Gilets Jaunes prennent part au grand débat national, qu’ils réussissent avec des moyens politiques de faire valoir leurs revendications. Mais ils devraient aussi savoir ce qui est dans le domaine du possible ou non. Je veux regarder de l’avant et pour que cela soit possible, il ne faut pas faire de la France une terre brûlée. Les Jaunes ont galvaudé le soutien qu’ils avaient au sein de la population. Weiterlesen

S’il y a un message fort, c’est bien le fait que le grand débat national voulu par Emmanuel Macron, aura aussi lieu dans le milieu carcéral. La prison est le miroir négatif de notre société. En France plus de 70.000 personnes sont détenues. Pour Nicole Bellobet, la ministre de la justice, elles sont aussi des citoyens et des citoyennes. Il y a une demande au sein des établissements. Des détenus disent que si le débat se tient, ils iront. Tous ceux qui le souhaitent pourront s’inscrire et participer, à l’exclusion des personnes sous le coup de mesures disciplinaires ou présentant un risque particulier pour la sécurité“, telle la déclaration de l’administration pénitentiaire. Si on veut comprendre ce qui se passe dans la société, il faut prendre en compte leurs doléances, mais en particulier aussi leurs propositions. Il s’agit d’avoir une approche pragmatique de la délinquance. À quoi est-elle due ? Quel est le rôle des parents dans de tels agissements ? Pour moi la racine de tous les maux est la petite enfance et la jeunesse de certains. S’ils sont négligés, ignorés, il ne faut pas étonner qu’ils ne soient pas des anges. On me répétera, qu’il y a beaucoup de jeunes, ayant vécu une telle situation, qui ne feront pas de larcins ou n’exerceront pas de la violence envers autrui. Je répondrais qu’ils ont la chance d’avoir un fort caractère, ce qui n’est pas du lot de chacun. Sans vouloir excuser de tels comportements, je pense qu’il faudra voir de fond en comble la politique de la famille. Weiterlesen

Heiße Rhythmen stampfen,

lassen den Körper im

Sekundentakt vibrieren.

Laserstrahlen zucken

im Dunkel der Nacht.

Namenlose Gesichter überall,

Augen schauen aus Masken.

Treffen der Einsamen,

abgestorbene Seelen

feiern in Trance die Nacht.

Sodom und Gomorrha,

Symbol der Dekadenz.

Keiner weiß, wo sie liegen,

sind sie doch überall,

wollüstig, des Fremden Feind.

Die Tanzfläche,

Körper bewegen sich,

eng beieinander.

Was haben wir falsch gemacht?!

Altes Babylon, Du bist wieder da!

Gedanken setzen Segel,

werden weggeweht durch die Zeit.

Sympathien, Träume zersplittern,

am Boden das Mosaik.

Nie waren wir uns ferner …

Der Zeitgeist fragt sie:

„Was willst Du tun? Leben?“.

„Nein!“, sagt sie. „Tanzen!“.

Und lacht mit geröteten Augen.

Der Strudel saugt sie ein.

Ich beobachte ihre roten Schuhe,

sie tanzen, folgen dem Takt.

Die Bewegung, die Schritte,

sich stets wiederholend.

Glücksgefühle werden wach.

Ihre Schuhe tanzen, immer weiter.

Schweiß liegt in der Luft.

Sie folgt den Schritten, müde Beine!

Rot sind die Schuhe, die tanzen.

Es gibt kein Entrinnen.

Fatales Schicksal …

Let me see you dance!