… mit der Heuchelei und dem täglich, sich wiederholendem Einheitsbrei. Lass gut sein mit deinem Honig, den ich nicht abschlecken kann, der klebt und pappt wie eine Zecke, die sich in mein Fleisch gebissen hat. Vergiss es, ich bin nicht was du brauchst und bin niemand, der dir glaubt. Stelle alles in Frage und bin gewohnt, alleine zu gehen. Sich nicht unterzuordnen, nicht anzupassen, nicht zu greifen, nicht zu fassen. Nicht zu fassen!? Ja, wo gibt´s denn sowas, wo sich jeder doch in der heimeligen Zweisamkeit arrangiert, damit bloß die Wogen glatt gebügelt sind? Lass gut sein mit deinen gut gemeinten Ratschlägen, wie man was, wie, warum und wieso anders machen kann und muss. Vielleicht soll es so sein? Kann doch sein, dass der Individualismus über allem steht? Nicht verständlich, dass ein gesunder Mensch den Weg des einsamen und klugen Wolfes wählt ohne auch nur annähernd an einer Nähe-Distanz-Störung zu leiden oder völlig plemplem zu sein? Lass gut sein mit deinem süffisanten Lächeln, dass man doch noch eines Besseren belehrt werde, eines Tages. Und lass gut sein mit deinen dämlichen Sprüchen über irgendwelche Gebote, Verbote und wie-soll-es-denn-sein. Lass es einfach, jemanden umzukrempeln und den Stempel der Etikette aufzudrücken. Es funktioniert nicht alles wie gewünscht und mag es dir auch etwas noch so quer und unverständlich erscheinen, so lass es einfach, das ändern zu wollen. Lass es einfach, lass Menschen wie sie sind. Lass einen Einsiedler einsiedeln und lass einen anderen anders sein – er will es so.

Lass gut sein mit deinen verzogenen Mundwinkeln, die ein Lächeln andeuten um mir mit verbissenem Blick heimlich ein Speer in die Rippen zu stoßen. Lass es mit der dummen Höflichkeit, wenn dir der Sinn nach Krieg steht. Lass es raus und lass es einfach, dieses falsche Spiel um die Freundschaft oder um der Ruhe willen. Vergiss es einfach, denn dein Gesicht spiegelt den Dämon, der in deiner Fresse sitzt. Und dich ausspuckt, weil selbst dieser so viel Überheblichkeit nicht vertragen kann. Lass die Leute wie sie sind, lass sie machen – sie tun es sowieso.

Lass gut sein mit dem Mitleid, das dich überfällt, wenn du von einem für dich „armseligen, verpassten Leben“ erfährst. Mit Sicherheit ist man glücklich und der eigene Ruhepol, den nichts zum Wanken bringen wird. Geerdet, mittendrin im Leben und wohlwissend wohin man will. Lass es also, wie eine Fahne im Wind deine Ansichten zu ändern, damit man dich überhaupt erst mal sieht. Lass es, den Querdenker zu sortieren und lass es, den Weisen zu korrigieren. Wer gelassen ist, hat einen freien Blick. Und der mag dir sicher anders, fremd und ungewohnt erscheinen, aber er ist bestimmt weit, weit offener als du sehen kannst.

 

© Petra M. Jansen

 

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La nouvelle présidente de la CDU, Annegret Kramp-Karrenbauer, a exprimé son inquiétude au sujet du mouvement des gilets jaunes en France. Pas sans raison. Il y a aussi outre-Rhin un ras-le-bol en ce qui concerne l’action du gouvernement de la grande coalition et de Madame Merkel, qui ne manque pas un jour de faire remarquer d’une manière occulte, que son règne arrive à la fin. Elle ne s‘exprime pas verbalement, mais elle est plus figée que jamais et ne prend plus de risques. Une fois de plus elle a suivi l’exemple de certains de ses collègues et n’a pas su débrailler lorsqu’elle a été à l’apogée du pouvoir. Ce qui se passe actuellement ressemble bien à du réchauffé, pas à une relance. Dans la période que nous vivons actuellement une tare qui risque de jouer un mauvais tour à un peuple qui vire de plus en plus à droite. Comme en France, il y a de la récupération du fait des néofascistes. Annegret Kramp-Karrenbauer, comme femme placée plus à gauche que la chancelière, se rend bien compte que son parti est plus ou moins dans l’incapacité de récupérer tous ceux qui avaient votés pour lui et qui ont choisi aujourd’hui l’extrême-droite comme famille politique. Se rabattre sur la gauche démocratique ne lui servirait pas à grand-chose, car le SPD a tellement perdu de plumes, qu’il risque aux prochaines élections de disparaître de l’échiquier politique comme cela a été le cas du PS. Les Verts avec près de 21 % des électeurs ont le vent en poupe et se trouvent en pool-position. Sans parler de l’AfD, qui risque de glaner bien des voix lors des régionales dans les Länder de l’Est. Nous assistons au délabrement de ce qui a été depuis la guerre un gage de stabilité en Allemagne. La grogne est d’autant plus grande, que le système social est d’une injustice flagrante, bien pire qu’en France. En cas de perte de votre emploi vous risquez de vous retrouver le bec dans l’eau sans chance de pouvoir réémerger. Il n’est pas dans la tradition de ce pays, de se remettre en question. Weiterlesen

Les compétences d’un chef d’État se mesurent dans des périodes difficiles, même parfois désespérées. Emmanuel Macron, avec le grand débat national, est à nouveau en mesure de gagner des points, car il ne se laisse pas aller à la démagogie. Il est certes allé de l’avant en ce qui concerne les revendications des Gilets jaunes. Dix milliards d’aides supplémentaires ne sont pas une bagatelle. Tout en ayant reconnu certaines de ses erreurs, il ne renie par pour autant le programme qu’il s’est engagé à réaliser. Il continuera à faire des réformes, à modifier la structure même de la société. Avec le grand débat, il donne aux citoyens la possibilité inédite de pouvoir participer directement à la refonte de l’État. Il a déclaré hier à Souillac, dans le Lot, devant 600 maires venus de toute l’Occitanie, que tous les vœux ne pourront pas exaucés, mais que des corrections ou de nouvelles configurations concernant les futures lois, pourraient être envisagées. Si vraiment le but souhaité lors de ce grand dialogue était atteint, la Cinquième République devrait s’en trouver grandement modifiée. Nous passerions d’un système relativement autoritaire à une participation populaire, qui pourrait voir son apogée dans le référendum ou le droit à l’initiative, soit la possibilité pour chacun de lancer ses propres idées et grâce aux signatures qu’il recueillerait, pouvoir les mettre aux voix lors d’un scrutin à l’échelle locale, régionale ou nationale. Je pense qu’un président n’est jamais allé aussi loin dans de telles démarches. Weiterlesen

Comment a-t-on pu vendre des concessions à des sociétés privées concernant les autoroutes ? Une question qu’on est en droit de se poser, lorsqu’on constate quels abus sont monnaie-courantes concernant les « droits de passages ». Le tarif dans beaucoup de cas est abusif, car bon nombre d’investissements de base sont amortis. En partant de cette prise en otage des automobilistes, je me pose la question, si une nationalisation du réseau autoroutier ne serait pas la meilleure des solutions ? Ce serait évidemment une gifle envers Bruxelles, qui prône le libre commerce à tous les niveaux de la société. D’avoir à l’époque galvaudé ainsi la souveraineté nationale est pour moi incompréhensible. Le droit à la libre circulation, comme l’accès à l’eau et à l’énergie, font parties de notre patrimoine à tous. Je sais, à l’époque les gouvernements successifs voulaient ainsi encourager la construction d’un réseau territorial de routes à grande vitesse. Contrairement au TGV, ils se sont remis au secteur privé pour financer les travaux. Mis en place en 1961 ce système de péage devait être limité dans le temps. On en est loin ! 53 ans plus tard, Ségolène Royal envisageait de rendre l’accès aux autoroutes gratuit le week-end, ce qui aujourd’hui est considéré par Matignon comme étant utopique. Je trouve insupportable que tous ceux qui sont obligés d’emprunter les autoroutes soient pressés comme des citrons. Vouloir réduire de 30 % le prix du péage, pour des personnes qui prennent plus de dix fois la même route en un mois – il est question des pendulaires – est bien joli, mais cela ne résout pas le problème de base. d’autant plus qu’il est question d’augmenter les tarifs dès le premier février. Weiterlesen

Public Domain Day

Der Gemeinfreiheit unterliegen alle geistigen Schöpfungen, an denen keine Immaterialgüterrechte, insbesondere kein Urheberrecht, bestehen. Die im anglo-amerikanischen Raum anzutreffende „Public Domain“ ist ähnlich, aber nicht identisch mit der europäischen Gemeinfreiheit. Nach dem Schutzlandprinzip bestimmt sich die Gemeinfreiheit immer nach der jeweiligen nationalen Rechtsordnung in der eine Nutzung vorgenommen wird (wikipedia).

„Das Urheberrecht erlischt 70 Jahre nach dem Tod des Urhebers.“ Paragraph 64 des Urheberrechtsgesetzes ist da unmissverständlich. Seit Januar diesen Jahres also sind die Werke aller Künstler ohne urheberrechtlichen Schutz nutzbar, die 1948 oder früher gestorben sind. Dazu zählen etwa der Dadaist Kurt Schwitters und der „Tango aller Tangos“. Davon profitieren die Wikipedia, E-Book-Freunde und alle, die Kunstwerke frei nutzen wollen.

Mit dem Beginn des neuen Jahres erlischt auch für einige theologische und kirchliche Schriften der Urheberrechtsschutz.

Der sogenannte „Public Domain Day“ wird jedes Jahr am 1. Januar gefeiert – in den USA das erste Mal seit 20 Jahren.

Gemeinfreiheit bedeutet praktisch: Schulen können Theaterstücke in der Originalversion ohne Genehmigung aufführen, Künstler dürfen Bilder und Aufnahmen verändern, remixen oder anderweitig für eigene Werke nutzen, Online-Bibliotheken wie das Project Gutenberg oder das Internet Archive können kostenfreie E-Books aus gemeinfreien literarischen Texten anbieten.

Zudem profitiert die Wikipedia: Dort haben hunderte Artikel neues Anschauungsmaterial in Form abgelichteter Kunstwerke oder Fotografien erhalten, deren freie Nutzung bis vor kurzem nicht möglich war. Das bereichert das Online-Lexikon ungemein.

Einige der Künstler wurden von den Nationalsozialisten für ihre Arbeiten verfolgt. Durch die Aufhebung des Urheberrechtsschutzes könnten ihre Werke künftig eine größere Verbreitung finden. Neben Kerr und Ludwig zählt dazu auch der Dadaist Kurt Schwitters, dessen Gedichte und Bilder jetzt gemeinfrei sind. Dazu kommen die Werke einer weiteren Vertreterin des Dadaismus: Emmy Hennings; Namen, die kaum noch einer kennt …

Aus dem musikalischen Bereich ist der „Tango aller Tangos“ La Cumparsita des Uruguayers Gerardo Maro Rodriguez zu nennen, da auch in Uruguay nach 70 Jahren das Urheberrecht erlischt.

Zum ersten Mal seit 20 Jahren wird auch in den USA wieder der „Public Domain Day“ gefeiert. Auf Druck der Unterhaltungsindustrie hatte der Kongress 1998 den Urheberrechtsschutz von 75 auf 95 Jahre verlängert, mit dem Copyright Term Extension Act, auch „Micky-Maus-Schutzgesetz“ genannt (horizont.net, 19.11.2008). Seitdem wurden keine Werke mehr in die Gemeinfreiheit erlassen. Anders als zuvor erwartet, hielt sich die Branche diesmal mit Forderungen nach einer Verlängerung der Schutzfrist zurück.

Mit dem Jahreswechsel sind in den USA nun alle Werke gemeinfrei, die vor 1924 erschienen sind.

Zurück nach Deutschland: Durch ein Urteil ist die Nutzung einiger gemeinfreier Werke aktuell nur mit Einschränkungen möglich. Mitte Dezember letzten Jahres entschied der Bundesgerichtshof, dass Museen ein Fotoverbot in ihren Räumlichkeiten durchsetzen können.

Der Fall: Ein für die Internet-Plattform Wikimedia arbeitender Mann hatte Gemälde und andere Objekte, die im Mannheimer Museum Reiss-Engelhorn ausgestellt waren, im Netz veröffentlicht. Bei all diesen Werken war die Schutzfrist von 70 Jahren abgelaufen. Zu den Abbildungen der Werke war er auf zwei Wegen gekommen. Zum einen hatte er eigenhändig entgegen einem Fotografierverbot in dem Museum Fotos der Kunstwerke gemacht. Zum anderen hatte er Fotos der Werke, die das Museum selbst hatte anfertigen lassen und in einem Katalog veröffentlicht hatte, eingescannt. Beides ließ sich das Museum nicht gefallen und verklagte den Mann auf Unterlassung und Schadensersatz. Zu Recht, wie der Bundesgerichtshof nun entschied (Az. I ZR 104/17) (wz.de).

Demnach dürfen Besucher nicht einfach ein Foto von einem gemeinfreien Kunstwerk machen und veröffentlichen, wenn das Museum dies nicht wünscht. Von Museen in Auftrag gegebene Fotos eines Werkes sind sogar für 50 Jahre urheberrechtlich geschützt. Das Urteil hat deshalb auch massive Einschränkungen für digitale Netzkultur zur Folge, weil auch gemeinfreie Werke nicht bedenkenlos benützt werden können, solange nicht klar ist, wie und von wem sie digitalisiert worden sind.

Diese Einschränkungen könnten jedoch durch die EU-Urheberrechtsreform wieder aufgehoben werden, die derzeit zwischen den EU-Institutionen verhandelt wird.

Der Gemeinfreiheit unterliegen alle geistigen Schöpfungen, an denen keine Immaterialgüterrechte, insbesondere kein Urheberrecht, bestehen. Die im anglo-amerikanischen Raum anzutreffende „Public Domain“ ist ähnlich, aber nicht identisch mit der europäischen Gemeinfreiheit. Nach dem Schutzlandprinzip bestimmt sich die Gemeinfreiheit immer nach der jeweiligen nationalen Rechtsordnung in der eine Nutzung vorgenommen wird (wikipedia).

„Das Urheberrecht erlischt 70 Jahre nach dem Tod des Urhebers.“ Paragraph 64 des Urheberrechtsgesetzes ist da unmissverständlich. Seit Januar diesen Jahres also sind die Werke aller Künstler ohne urheberrechtlichen Schutz nutzbar, die 1948 oder früher gestorben sind. Dazu zählen etwa der Dadaist Kurt Schwitters und der „Tango aller Tangos“. Davon profitieren die Wikipedia, E-Book-Freunde und alle, die Kunstwerke frei nutzen wollen.

Mit dem Beginn des neuen Jahres erlischt auch für einige theologische und kirchliche Schriften der Urheberrechtsschutz.

Der sogenannte „Public Domain Day“ wird jedes Jahr am 1. Januar gefeiert – in den USA das erste Mal seit 20 Jahren.

Gemeinfreiheit bedeutet praktisch: Schulen können Theaterstücke in der Originalversion ohne Genehmigung aufführen, Künstler dürfen Bilder und Aufnahmen verändern, remixen oder anderweitig für eigene Werke nutzen, Online-Bibliotheken wie das Project Gutenberg oder das Internet Archive können kostenfreie E-Books aus gemeinfreien literarischen Texten anbieten.

Zudem profitiert die Wikipedia: Dort haben hunderte Artikel neues Anschauungsmaterial in Form abgelichteter Kunstwerke oder Fotografien erhalten, deren freie Nutzung bis vor kurzem nicht möglich war. Das bereichert das Online-Lexikon ungemein.

Einige der Künstler wurden von den Nationalsozialisten für ihre Arbeiten verfolgt. Durch die Aufhebung des Urheberrechtsschutzes könnten ihre Werke künftig eine größere Verbreitung finden. Neben Kerr und Ludwig zählt dazu auch der Dadaist Kurt Schwitters, dessen Gedichte und Bilder jetzt gemeinfrei sind. Dazu kommen die Werke einer weiteren Vertreterin des Dadaismus: Emmy Hennings; Namen, die kaum noch einer kennt …

Aus dem musikalischen Bereich ist der „Tango aller Tangos“ La Cumparsita des Uruguayers Gerardo Maro Rodriguez zu nennen, da auch in Uruguay nach 70 Jahren das Urheberrecht erlischt.

Zum ersten Mal seit 20 Jahren wird auch in den USA wieder der „Public Domain Day“ gefeiert. Auf Druck der Unterhaltungsindustrie hatte der Kongress 1998 den Urheberrechtsschutz von 75 auf 95 Jahre verlängert, mit dem Copyright Term Extension Act, auch „Micky-Maus-Schutzgesetz“ genannt (horizont.net, 19.11.2008). Seitdem wurden keine Werke mehr in die Gemeinfreiheit erlassen. Anders als zuvor erwartet, hielt sich die Branche diesmal mit Forderungen nach einer Verlängerung der Schutzfrist zurück.

Mit dem Jahreswechsel sind in den USA nun alle Werke gemeinfrei, die vor 1924 erschienen sind.

Zurück nach Deutschland: Durch ein Urteil ist die Nutzung einiger gemeinfreier Werke aktuell nur mit Einschränkungen möglich. Mitte Dezember letzten Jahres entschied der Bundesgerichtshof, dass Museen ein Fotoverbot in ihren Räumlichkeiten durchsetzen können.

Der Fall: Ein für die Internet-Plattform Wikimedia arbeitender Mann hatte Gemälde und andere Objekte, die im Mannheimer Museum Reiss-Engelhorn ausgestellt waren, im Netz veröffentlicht. Bei all diesen Werken war die Schutzfrist von 70 Jahren abgelaufen. Zu den Abbildungen der Werke war er auf zwei Wegen gekommen. Zum einen hatte er eigenhändig entgegen einem Fotografierverbot in dem Museum Fotos der Kunstwerke gemacht. Zum anderen hatte er Fotos der Werke, die das Museum selbst hatte anfertigen lassen und in einem Katalog veröffentlicht hatte, eingescannt. Beides ließ sich das Museum nicht gefallen und verklagte den Mann auf Unterlassung und Schadensersatz. Zu Recht, wie der Bundesgerichtshof nun entschied (Az. I ZR 104/17) (wz.de).

Demnach dürfen Besucher nicht einfach ein Foto von einem gemeinfreien Kunstwerk machen und veröffentlichen, wenn das Museum dies nicht wünscht. Von Museen in Auftrag gegebene Fotos eines Werkes sind sogar für 50 Jahre urheberrechtlich geschützt. Das Urteil hat deshalb auch massive Einschränkungen für digitale Netzkultur zur Folge, weil auch gemeinfreie Werke nicht bedenkenlos benützt werden können, solange nicht klar ist, wie und von wem sie digitalisiert worden sind.

Diese Einschränkungen könnten jedoch durch die EU-Urheberrechtsreform wieder aufgehoben werden, die derzeit zwischen den EU-Institutionen verhandelt wird.

 

Pawel Adamowicz, le maire de Gdansk en Pologne, a été assassiné sur scène, lors d’une manifestation caritative, par un jeune homme de 27 ans qui lui reprochait de lui avoir fait faire de la prison sans raison. Il est mort de ses blessures après une opération. Les citoyens, notamment ceux des villes, sont endeuillés. Le maire, depuis plus de 20 ans à la tête de Gdansk, était un membre important du parti du centre-droit PO, qui de l’opposition mène un combat acharné contre le PiS, la formation gouvernementale ayant pour credo une politique d’extrême-droite. Samedi, le jour des obsèques, a été déclaré par le Président polonais Andrzej Duda, journée de deuil national. Ce qui doit ressembler  à un mouvement de solidarité est en fait un sauve-qui-peut de la part des dirigeants néofascistes de la Pologne. Un cléricalisme qui s’appuie sur des thèses d’extrême-droite et qui condamne avant tout les libéraux, comme Adamowicz, la gauche démocratiques et les juifs, qui ne sont presque plus présents dans le pays. Il suffit d’entendre les diatribes de Radio Maria, appelant le peuple à la haine, à la répression, à l’exclusion. Un nationalisme de très mauvais aloi, qui, si Bruxelles réagissait comme un défenseur de la démocratie, devrait être combattu sans concessions. Pour moi cela signifierait l’exclusion de ce membre de l’UE, tant que son attitude ne change pas. Weiterlesen

Je veux essayer de prendre la désastreuse défaite qu’a subie Theresa May hier soir à la chambre basse de Westminster, pour évoquer ce que je ressens dans une telle situation. Moins politiquement, – j’ai écrit maints articles à ce sujet et il ne me viendrait rien de neuf en tête – que psychologiquement. Les députés ont rejeté par 432 contre 202 voix le projet d’un brexit à l’amiable. Ils n’ont pas tenu compte des perspectives inquiétantes dans lequel serait plongé le pays en cas d’un divorce dur. Ils n’ont pas pensé aux millions de citoyens qu’ils tiennent ainsi en otage. « Après moi le déluge… » Y-a-t-il eu un tel réflexe ? Même si pour ma part je suis contre toute forme de brexit et appellerais de mes vœux que le Royaume-Uni reste attaché à l’UE, force est de constater que dans l*intérêt des Anglais, une solution soft aurait été la moins mauvaise des options à l’heure actuelle. L’attitude des élus me fait franchement peur. Elle démontre à quel point les intérêts individuels jouent un rôle mineur dans cette partie de poker à la Russe. C’est comme s’il y avait eu une déconnexion entre les électeurs et ceux qui en principe devraient les représenter. Les uns et les autres peuvent apporter tout un lot d’arguments, ils jouent à mes yeux qu’un rôle mineur en ce qui concerne ce qui s’est passé. Un compromis aurait pu être possible, tout au moins pour un temps transitoire. Il n’en a rien été, car le comportement des politiques est régi plus par les tripes que par la matière grise. Il s’agit avant tout d’une question d’identité, comme cela se passe communément dans les couples en discordes, dans toutes relations amoureuses. Weiterlesen