À l’heure, où j’écris ce article, d’après les sondages, le oui semble l’emporter à 68 % en Irlande pour donner aux femmes le droit de se faire avorter. Elles n’auront dorénavant plus besoin de se rendre à l’étranger pour mettre un terme à une grossesse non désirée. Il faut s’imaginer qu’elles n’avaient même pas la possibilité de faire une IVG si elles avaient été violées ou que le fœtus montre des signes d’anormalité. Elles pourront se faire avorter pendant les 12 premières semaines, 24 en cas de maladie, si le parlement entérine l’avis du peuple, ce qui ne fait pas l’ombre d’un doute. Il faut s’imaginer que les femmes devaient se rendre à l’étranger pour pratiquer une telle intervention. Une injustice sociale, étant donné que les pauvres étaient une fois de plus désavantagées. Je salue le verdict électoral qui met un terme à cette discrimination. Une défaite cuisante pour l’église catholique irlandaise, qui était évidemment opposée à l’IVG. Elle est de toute façon remise en question à cause des innombrables cas de pédophilie dans ses rangs. N’oublions pas que les 31 évêques irlandais ont été forcés de démissionner, parce qu’ils ont fermé les yeux. L’Église n’est plus dans ces conditions-là, considérée comme une instance morale. Cela a probablement amené beaucoup de personnes à voter oui. Weiterlesen

Agir puis réfléchir, c’est une des tares de Donald Trump. Il a été pris au piège par son impulsion. Il a dû céder à ses conseillers, comme le vice-président Mike Pence ou John Bolton, des vautours. Il avait pris la décision en cavalier seul d’accepter l’invitation de Kim Jung-Un de se rencontrer à Singapour le 12 juin. Une décision spontanée venant du ventre. Et maintenant, il se trouve comme un gosse pris en faute et a dû renvoyer la rencontre. Je pense que son entourage le plus proche lui a enlevé le principal atout qu’il avait, celui d’être lui-même. Ils ont affaiblit le Président, qui se trouve déjà dans une situation précaire en ce qui concerne ses affaires. Que ce soient l’aide accordée par Vladimir Poutine au temps chaud des élections, ou ses affaires « de cul », il devait trouver de quoi redorer son blason gravement terni. La Corée du Nord lui tendit une perche, afin d’attirer l’attention des citoyens sur un rapprochement entre les deux pays, où rien n’allait plus. Cela avait assez de panache. Et maintenant ce grave revers. Il est évident que cette conférence entre les deux chefs d’État a été très mal préparée, qu’il aurait fallu s’entendre sur des points essentiels, comment réaliser la neutralisation des armes nucléaires existantes dans le Nord de la péninsule. Pas plus tard qu’hier Pyongyang a détruit en présence de journalistes du monde entier le centre d’essais, comme il l’avait promis, mais cela n’a servi à rien en ce qui concerne Washington. Weiterlesen

Am 23. Mai jährt sich zum 400. Mal der Prager Fenstersturz, mit dem der Dreißigjährige Krieg in Europa begann. Weniger bekannt ist, was sich in den 30 Folgejahren im Gebiet des Heiligen Römischen Reichs Deutscher Nation abspielte. Jahrzehnte, in denen sich religiöse Minderheiten Rechte erkämpften, der Krieg auch auf dem Feld der Bilder wütete und sich mit der Zeitung ein neues Medium durchsetzte.

Mit dem Krieg kommen die Zeitungen. Vor 1618 informierten meist nur Flugblätter über das Kriegsgeschehen. Die Berichterstattung blieb auf die einzelne Schlacht beschränkt. Mit dem Beginn des Dreißigjährigen Krieges ändert sich das. Die gerade erst gegründeten wöchentlichen Zeitungen im Heiligen Römischen Reich konnten nun zum ersten Mal längere Entwicklungen im Kriegsgeschehen in den Blick nehmen. Oftmals kommt es sogar anlässlich des Krieges zur Gründung neuer, periodisch erscheinender Medien. In Köln werden von 1618 an die „Wochentliche Niderlandische Postzeitungen“ gedruckt. Sie bestanden aus Nachrichtenbriefen aus Deutschland und Italien, die in Amsterdam gesammelt und zu Zeitungen zusammengefügt wurden.

Auch in Antwerpen erscheint 1618 die erste wöchentliche Zeitung, bald auch in Hildesheim, Halberstadt und Stuttgart. Die Menschen wollen regelmäßig und fortlaufend über die Kriegsentwicklungen informiert werden. Historiker sehen einen Zusammenhang zwischen der Gründung von Zeitungen und der Wahrnehmung des Krieges: Erst durch die kontinuierliche Berichterstattung in den Medien wird es möglich, sich den Dreißigjährigen Krieg als ein zusammenhängendes Ereignis vorzustellen. Was im Zeitalter der Flugblätter als Aneinanderreihung einzelner Schlachten erschien, wird nun als fortlaufendes Kriegsgeschehen erkennbar.

Plündernde Söldner haben großen Anteil daran, dass der Dreißigjährige Krieg den Zeitgenossen so erbarmungslos erscheint. Ist eine Stadt in die Hände der Eroberer gefallen, ziehen feindliche Horden durch die Gassen und halten nach Beute Ausschau. Viele Häuser werden drei, vier- oder fünfmal von Söldnerbanden geplündert, bis der letzte Silberlöffel aufgespürt ist. Vermuten die Plünderer, dass die Stadtbewohner Vermögen vor ihnen verstecken, werden diese oftmals gefoltert. Als die katholische Stadt Heidelberg von protestantischen Söldnern eingenommen wird, erhebt sich, wie es in einem zeitgenössischen Bericht heißt, „ein jämmerlich Zetergeschrei durch Massacrieren, Plündern und Geldherausmartern mit Däumeln, Knebeln, Prügeln, Peinigen, Nägelbohren, Sengen an heimlichen Orten, Aufhenken, Brennen an den Fußsohlen, mit Schänd- und Wegführung der Frauen und Jungfrauen“ (faz.de).

Bei allen diesen Grausamkeiten gibt es aber auch Szenen, in denen sich zeigt, dass so mancher Söldner Mitleid mit der besiegten Bevölkerung empfindet. Der damals erst zwölfjährige Magdeburger Johann Daniel Friese berichtet in seinen Erinnerungen von einer solchen Szene bei der Plünderung seiner Heimatstadt. Als ein katholischer Söldner mit einem Spitzhammer auf seinen Vater losgeht, plappert dessen jüngster Sohn, der noch ein Kind ist, auf den Söldner los: „Ach lasst doch nur den Vater leben; ich will Euch gern meinen Dreier geben, den ich am Sonntag bekomme“. Der Soldat ist von dem Angebot des Kleinkindes, ihm sein Taschengeld – den Dreier – zu geben, gerührt und verhilft der Familie gegen Lösegeld zur Flucht aus dem brennenden Magdeburg.

Nach 30 Jahren Kampf und Verwüstung geht der Krieg mit dem Westfälischen Frieden 1648 zu Ende. Eine Einigung wird nur möglich, weil sich alle Parteien auf einen Ausgleich zwischen den Konfessionen verständigen können. Ein Historiker, Georg Schmidt, nennt den Friedensvertrag von Osnabrück 1648 einen „Meilenstein auf dem Weg zu Gewissensfreiheit und Toleranz“. Neben Katholiken und Lutheranern wird nun auch ein drittes Bekenntnis, der Calvinismus, offiziell anerkannt. Häuser und Grundstücke, die den Calvinisten entzogen wurden, werden ihnen zurückerstattet. Wichtig war auch, dass nun die Möglichkeiten eingeschränkt wurden, die Konfession zum Spielball der Machtpolitik zu machen. Entschließt sich ein Landesherr dazu, für ein neues Bündnis seine Konfession zu wechseln, kann er seinen Untertanen sein Bekenntnis nicht mehr aufzwingen. Soviel zu „ cuius regio, eius religio“. Diese Religionsfreiheit hat bis heute Gültigkeit.

L’église est devenue trop exiguë pour tous les cierges que je me sens obligé d’allumer devant la statue de la Vierge. Cette dernière me fait signe qu’elle est complètement dépassée et que malgré sa bonne volonté, elle ne peut pas faire grand-chose pour ramener au bercail tous ces guignols, qui n’ont pas plus de raison que le dernier des imbéciles. Trêve de plaisanterie. Je veux parler du beau professeur, le docteur Giuseppe Conte, qui a fait de brillantes études de droit aux USA. Le pauvre, il a pris les bibliothèques universitaires pour des amphithéâtres, où de prestigieux professeurs donnent des cours magistraux. Mais je ne vois pas d’inconvénients que le concierge se prenne pour un académicien. On est pour l’égalité des chances, n’est-ce pas ? Le beau Conte a ainsi embelli sa biographie pour faire avaler, à nous les Européen, l’infecte cocktail que nous sert l’Italie. Une création d’un certain Luigi Di Maio, l’étoilé de service, et Matteo Salvini, le mini-duce, qui ont décidé de nous faire avaler une potion amère. La marionnette qu’ils ont nommé premier-ministre, n’a évidement aucune expérience politique. Un novice qu’ils pourront mener par le bout du nez. Il faut bien se marteler en tête, que ce brave subalterne n’a pas assisté à l’élaboration du programme de gouvernement. J’en rirais, si la situation actuelle dans la péninsule n’était pas si absurde. Je pense que Socrate n’avait pas tort, lorsqu’il écrivit, que seul des citoyens ayant un peu de matière grise étaient en mesure de mener les affaires de la République. Déjà le fait que l’Italie a plus 2300 milliards de dettes, devrait leur rabattre le caquet. Vouloir distribuer de l’argent qu’on ne possède pas a un relent mafieux, d’autant plus que ces vénérables parrains veulent forcer la BCE de leur remettre 250 milliards, comme cadeau de bienvenue. Weiterlesen

Il est évident que s’il y avait report de la réunion du 12 juin entre Donald Trump et Kim Jong Un à Singapour, ce serait un cuisant échec pour le locataire de la Maison Blanche. Une fois de plus la preuve qu’il ne faut pas vendre la peau de l’ours avant de l’avoir tué. Cela fait partie d’une série de couacs de l’administration américaine. Chaque fois qu’il y a conférence de presse, il faut faire la part des choses. Il s’est avéré que le soit-disant accord commercial avec la Chine, était remis en question, car il y avait encore bien des points qui n’avaient pas encore été approuvés de part et d’autre. Il y a du Xi Jinping dans l’air, comme c’est le cas aussi pour l’attitude réservée de Pyongyang au sujet des nouveaux rapports avec les États-Unis. Kim Jong Un a évidemment pris les manœuvres militaires dans le Sud comme prétexte de mettre du gaz dans de l’eau. C’est lors de sa rencontre avec son homologue Sud-Coréen Moon Jae-in, que Donald Trump s’est montré plus réservé. Il a fait entendre que le Nord n’avait pas encore accepté toutes ses conditions, mais qu’avec un peu de patience on y arrivera. De la gabegie à tous les niveaux. Pour nous les Européens ce fait nous est favorable. Nous avons tout intérêt que le Président s’en trouve affaibli. À l’idée qu’il puisse être l’homme-providence en ce qui concerne la politique étrangère en employant des méthodes comme celles des scènes tournées dans les westerns par John Ford, où le héros fait justice par la force, ne peut pas être dans nos cordes. Cela démontre une fois de plus que la politique « du bas-ventre » ne peut pas être pérenne. Elle s’appuie sur l’instinct, en aucun cas sur la raison. Le retrait des USA de l’accord avec l’Iran en est la démonstration. Trump n’a pas compris que toutes décisions politiques doivent être prises sur la durée, non pas sur des moments d’humeur. Qu’il faut tenir compte de l’évolution des mentalités. Cela ne se fait pas en un jour. Weiterlesen

Mit dem Wort, mit der Erfindung von Schriften, mit der Entstehung der Sprache entstand das Versprechen. Entstand im wahrhaftigen Sinn des Wortes überhaupt erst eine Kultur und somit eine kulturelle Entwicklung des Menschen. Nun also mit dem Wort begann es. Bin ich manchmal nicht der Liebhaber der vielen Worte im realen Leben, so sind sie mir die Liebsten unter den Errungenschaften. Man weiß herrlich genau woran man ist, oder etwa nicht? Wissen steht niedergeschrieben in Worten, Lehren lernten sich weiter aus Worten, Worte bilden Geschichte. Und sie bilden Geschichten, wie wir wissen. Nichts, rein gar nichts ist mächtiger als das Wort. Keine Musik (außer instrumental) ohne Worte (Lyrik), keine Filme, keine Texte, keine Kunst, kein menschliches Miteinander. Worte, es sind ja nur Worte…nö, sie sind Grundstein realer Kulturen.

Das Wort dreht sich in deinem Mund, das Wort setzt den endgültigen Siegel unter deinen Vertrag der Zukunft, das Wort katapultiert dich in die Sicherheit, in den Abgrund und überall hin. Was könnte mächtiger sein als das Wort? Nichts. Mehr Respekt also gegenüber dieser Kostbarkeit, die mehr bewegt als alles andere. Kein Fortschritt, keine Wissenschaft, keine Mondladung, aber auch kein Krieg. Naja, ich wollte nur mal klar stellen, dass jeder, der sich beruflich oder auch privat mit dem Wort auseinandersetzt und von Worten umgeben ist (geht ja nicht anders) auch verstehen muss, wie bedeutend eigentlich das Wort so wirklich ist. Es denkt ja heute kaum noch jemand darüber nach, deshalb mein Plädoyer für die Sprache und seine Wortspiele, die manche so hervorragend beherrschen, dass einem die Spucke wegbleibt. Gibt´s ja…wie so vieles, aber immer sind es die Worte, die gebraucht und missbraucht werden.

„Nehmen sie mich beim Wort. Mein Wort gilt. Oder ich spreche es nicht, “ wären meine Worte, deren Inhalt stets überprüft werden will. Allzu oft versprochen und gebrochen? „Ein Versprechen brechen, ist ein Verbrechen! Geben sie ihr wahres Wort nur dann, wenn es die Wahrheit ist,“ wäre mein Wunsch. Klar, ein Idealist, ein Träumer, ein surreal denkender Mensch? Leider auch wahr, aber dazu gibt es eben Worte. Worte, die analysieren, niederschmettern, verurteilen, beurteilen, abwägen, entscheiden. Wie auch immer sie es drehen und wenden, bedenken und drum herum rennen – es ist immer das Wort. Nur ein Wort, mehrere Worte…   

Und was unsere deutsche Sprache anbelangt: Im Internet fällt mir erschreckend oft auf, dass Deutschsprachige sich dem allgemeinen englischen US-Kauderwelsch anpassen und dabei ihre eigene Sprache schier verleugnen. Schade, wenn man seine eigene Kultur untergräbt und seine eigene Sprache verstecken will.

 

© Petra M. Jansen

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Die Türkei hat das Verbot von Wahlkampfauftritten türkischer Politiker in Deutschland kritisiert. Mit Blick auf die hier lebenden Türken vertrat Vize-Regierungschef Akdag die Meinung, es sei das demokratische Recht dieser Menschen, dass sie im Wahlkampf von Politikern aller türkischen Parteien über deren Ziele und Ideen informiert werden. Es sei wichtig, dass die Bundesregierung dieses demokratische Recht nicht verletze. Seine Regierung verstehe nicht, warum solche Auftritte in Deutschland jahrelang möglich waren und jetzt plötzlich alles anders sein sollte.

In der Türkei finden am 24. Juni Präsidenten- und Parlamentswahlen statt. Im vergangenen Juni erließ die Bundesregierung ein generelles Auftrittsverbot für ausländische Amtsträger aus Nicht-EU-Staaten, das drei Monate vor einer Wahl in deren Land gilt.

Nach Angaben der Union Türkisch-Europäischer Demokraten (UETD) waren rund 10.000 Auslandstürken nach Sarajevo gereist, etwa die Hälfte davon aus Deutschland. Die UETD hatte den bislang einzigen geplanten Wahlkampfauftritt Erdogans im europäischen Ausland organisiert. Erdogan sagte: „Seid Ihr bereit, der ganzen Welt die Stärke der europäischen Türken zu demonstrieren?“ Er forderte die Auslandstürken auf: „Gebt von Deutschland, Belgien, Österreich, den Niederlanden aus eine Antwort, die überall in Europa gehört werden kann“.

Im vergangenen Frühjahr hatten geplante Wahlkampfauftritte von türkischen Regierungsvertretern in Deutschland vor dem Verfassungsreferendum in der Türkei zu heftigem Streit zwischen Berlin und Ankara geführt. Die Bundesregierung erließ im vergangenen Juni ein generelles Auftrittsverbot für ausländische Amtsträger aus Nicht-EU-Staaten, das drei Monate vor einer Wahl in deren Land gilt.

Die Parlaments- und Präsidentenwahlen in der Türkei sollen am 24. Juni erstmals zeitgleich stattfinden. Damit soll die Einführung des von Erdogan angestrebten und beim Verfassungsreferendum mit knapper Mehrheit beschlossenen Präsidialsystems abgeschlossen werden.

Deutschland und weitere EU-Staaten hatten im vergangenen Jahr nach vorgenanntem Zerwürfnis auch um Wahlkampfauftritte türkischer Minister vor dem umstrittenen Verfassungsreferendum im April 2017 beschlossen, nicht-europäischen Politikern drei Monate vor Wahlen grundsätzlich keine Auftritte in Deutschland zu erlauben. In diesem Streit hatte unter anderem der türkische Präsident Erdogan Bundeskanzlerin Angela Merkel wegen verhinderter Auftritte „Nazi-Methoden“ vorgeworfen. Auch Österreich und die Niederlande haben sich Wahlkampfauftritte türkischer Politiker verbeten.

Die Freilassung des deutsch-türkischen Journalisten Deniz Yücel hatte Mitte Februar für eine Entspannung in den lange Zeit schwer angeschlagenen deutsch-türkischen Beziehungen gesorgt. Die türkische Offensive gegen die Kurdenmiliz YPG in Syrien und eine neue Festnahme eines deutschen Staatsbürgers haben das Verhältnis aber inzwischen wieder eingetrübt. Insgesamt sind noch fünf Deutsche aus politischen Gründen in der Türkei in Haft.

Die CDU sprach sich dagegen aus, dass der bevorstehende türkische Wahlkampf in Deutschland ausgetragen wird. Bei anstehenden Wahlen in der Türkei müsse der Wahlkampf dort geführt werden und nicht bei uns in Deutschland. Man wolle in Deutschland keine innertürkischen Konflikte, die unser Zusammenleben belasten.

Dieser Ansicht schloss sich die SPD an. Es bestehe kein Bedürfnis für irgendwelche Auftritte, welche letztlich dazu dienten, die parlamentarische Demokratie in der Türkei abzuschaffen. Herr Erdogan solle seinen Wahlkampf zu Hause machen.

Erdogan rief seine Anhänger im Ausland dazu auf, dort ihren Einfluss auszudehnen. „Nehmt unbedingt die Staatsangehörigkeit der Länder an, in denen ihr lebt“, sagte er. „Ich bitte Euch, dass Ihr eine aktive Rolle in den politischen Parteien in den Ländern übernehmt, in denen Ihr lebt. Ihr solltet ein Teil dieser Parlamente sein, nicht diejenigen, die ihr Land verraten“ (merkur.de). Erdogan hat in der Vergangenheit türkischstämmige Bundestagsabgeordnete wie den Grünen-Politiker Cem Özdemir angegriffen, die seine Politik kritisieren.

Mike Pompeo, le secrétaire d’État des États-Unis a joué hier au mini-Trump, en envoyant des foudres de guerre contre le régime iranien et indirectement contre nous les Européens. Il a pris la décision de nous pousser à la confrontation. Où nous léchons les bottes de l’immense président qu’est le triste sir Donald, où il nous impose une sorte de blocus, si nous ne nous soumettons pas. C’est à choisir pour les entreprises européennes. Plus de commerce avec les USA, si les elles respectent leur engagement avec Téhéran. Mike Pompeo et ses sbires ont pris de la graine chez al Capone, car leur agissement n’est en aucune manière autrement que celui de la Causa Nostra, la mafia américaine. Ce sont les mêmes méthodes de gangster que Berthold Brecht a condamné dans sa pièce Arturo Ui. Le principal personnage représentait évidemment Adolf Hitler. Ce que ces machos à Washington sont entrain de nous préparer, est digne du comportement du 3ème Reich envers les pays qui refusaient de suivre les ordres du mufti. Ce qui se passe ici est très grave. Bien sûr je souhaiterais aussi que l’Iran ne s’ingère pas dans les affaires du Liban avec le Hezbollah, de la Syrie avec ses soldats qui se battent pour le tyran qu’est al Assad, au Yémen en soutenant les rebelles qui s’insurgent aussi contre l’ingérence de l’Arabie Saoudite ou en Afghanistan en soutenant les Talibans. Weiterlesen