Hat´s warm im Garten,

der kleine Mann von nebenan.

Unterm Sonnenschirm lugt er hervor,

träumt vom großen Leben,

was er kann,

Sieht den Grashüpfer,

der blickt ihn neugierig an.

Mit großen Augen guckt der,

scheint ihn zu fixieren.

Den kleinen Mann von nebenan.

Stolz ist er, der gute Bürger,

auf seinen Sichtschutz am Zaun.

Hereinzusehen in die kleine Welt,

kann sich jetzt keiner mehr trau´n,

zum kleinen Mann von nebenan.

Der Grashüpfer grüßt, macht sich lang.

Springt jetzt, sucht seine Bahn.

Über Stock und über Stein,

Hoch oben will er sein,

das Insekt beim Mann von nebenan.

Biedermeierisch blinzelt er,

der kleine Mann, in die Sonne.

Was wohl der Nachbar macht?

Ja, das wüßt´ er gern,

der kleine Mann von nebenan.

Das Insekt auf seinem Rasen,

hüpft davon, in Phasen.

Der Grashüpfer, dem gefällt,

der Blick in seine eigene Welt.

Der, beim kleinen Mann von nebenan.

Comme journaliste cela me met mal à l’aise qu’Arkadi Babtchenko se prête à une telle mise-en-scène. Je peux bien m’imaginer qu’il n’était pas en odeur de sainteté du côté du Kremlin, mais je ne crois pas à la version évoquée par l’Ukraine. Je trouve le tout un peu gros, pas digne d’un État qui veut être reconnu comme honorable par la communauté internationale. C’était parait-il pour déjouer un attentat et de révéler qu’il y a un complot contre Kiev. À la guerre comme à la guerre, semblent dire les dirigeants de ce pays, dont son président, Petro Porochenko. Vassyl Grytsak, le patron des services de sécurité ukrainiens, a déclaré que cela avait été le seul moyen d’arrêter le tueur potentiel. Il aurait reçu 40.000,00 dollars des services russes. Cet Ukrainien devait aussi préparer des opérations contre une trentaine de Russes exilés à Kiev et dans d’autres endroits du pays. Tout en sachant que Vladimir Poutine n’est pas un enfant de chœur, je ne le crois pas si dilettante d’avoir donné son absolution à une telle opération. Et soit dit en passant, n’avez-vous pas remarqué que du côté de l’Angleterre c’est en ce moment le calme plat en ce qui concerne l’affaire de l’attentat chimique contre l’espion Sergueï Skripal et sa fille Youlia. « Il est très probable que la Russie soit responsable » avait prétendu Theresa May. Que ce soit à Salisbury ou Kiev, ce genre d’accusations ne semble pas être la bonne méthode pour déstabiliser le Président russe. Je pense qu’après cette mise-en-scène de ce polar, il sera très difficile de réactiver l’accord de Minsk concernant la sécession de l’Est ukrainien. Weiterlesen

À Hérie-la-Viéville dans le département de l’Aisne, un petit garçon de 9 ans a été trouvé mort dans la cour d’une maison abandonnée. Il a visiblement été molesté avant d’avoir été assassiné. Cela a eu lieu non loin, d’où habitait ses parents et ses deux frères. Il était parti avec un camarade cueillir des cerises. Ils revinrent à la maison, mais le petit reparti. On ne sait pas s’il était seul ou accompagné d’un homme de 27 ans, le principal suspect. À 19 heures sa mère commence à s’inquiéter, à 21 heures elle appelle les gendarmes. Son corps dénudé est retrouvé, caché au milieu des orties, sous une palette. Pour le procureur de Laon, le viol ne fait aucun doute. Un jeune homme a été placé en garde à vue, alors qu’il cueillait des cerises avec deux camarades et ceci non loin du lieu du crime. Pour moi cet affreux crime n’est pas un fait divers. Probablement le fait d’un déséquilibré. Tout était parti dans une ambiance rupestre, à la campagne qui est normalement considérée comme un havre de paix. C’est loin de l’être comme j’ai pu le constater, à l’âge de ce petit garçon. Comme je vous l’ai déjà raconté, une fille de notre classe a disparu et à été trouvée morte quelques jours plus tard dans un étang non loin du village, où j’ai passé mon enfance. Je suis encore traumatisé par ce drame. Il est un fait que ce ne sont pas que les villes qui sont le théâtre de la criminalité, mais aussi les endroits les plus reculés. Lorsque j’apprends de tels meurtres commis sur des enfants, je ne suis pas en mesure de me taire ou de passé outre. Comment protéger les enfants ? Les mettre sous une cloche de verre ne sert à rien, de leur dire constamment non, non plus. Vient s’ajouter à tout cela l’internet, où un grands nombres de désaxés cherchent de « la chaire fraîche ». C’est aux parents de mettre en garde leur progéniture d’être prudent, de garder leur anonymat. Weiterlesen

Einerseits leiden wir unter grölenden Zeitgenossen à la Pegida. Sie reden sich ein, das Abendland vor dem Untergang zu retten. Andererseits behaupten manche, auch „Wissenschaftler“: Abendland sei Kampfbegriff der Islamfeinde. Beides ist geistiger Müll.

Unter der Geografie des Abendlands (Okzident) wird allgemein West-, Süd- und Zentraleuropa verstanden. Unsere Vorfahren – sie kamen vor ca. 45.000 Jahren – stammen aus Afrika; also nichts Christliches! Die abendländische Ideologie war schon früh herrisch und selbstherrlich. Während der Perserkriege, im fünften vorchristlichen Jahrhundert, nahm man es im antiken Athen so wahr: hier Demokratie, dort orientalische Despotie. Ist das heute anders?

Begonnen hat es mit den Perserkriegen. Das Morgenland stieß ins Abendland. Rund hundert Jahre später, im vierten vorchristlichen Jahrhundert, folgte der Gegenstoß: Vom Okzident kommend, überrollte Alexander der Große den Orient.

Bis heute lösten machtpolitische Zyklen und Wellen vom Abendland ins Morgenland und umgekehrt einander ab. Rom folgte Hellas. Auch Roms Reich zerfiel. Vom 8. bis zum 15. Jahrhundert drang der Orient als Islam nach Südwesteuropa (Iberien). Die Osmanen beherrschten Südosteuropa seit dem 14. Jahrhundert.

1529 sowie 1683 standen die Türken vor Wien. Sie wurden zurückgedrängt und verloren bis zum 20. Jahrhundert fast alle europäischen Territorien vornehmlich an die Kolonialmächte Großbritannien und Frankreich. Ihre Reiche zerfielen, wie andere zuvor. Nach 1945, also durch die Entkolonialisierung und im Kalten Krieg, dominierten zwei andere quasi abendländische Mächte das Morgenland: die USA und die Sowjetunion.

Conclusio: Bis 1492 gehörte der Islam zu Südwest-Europa. Zu Südosteuropa gehört er seit dem 14. Jahrhundert.

Die christliche Gegenoffensive: Sie begann als „Reconquista“ Iberiens Mitte des 8. Jahrhunderts. Die Rolandsage um Karl den Großen ist ein frühes Zeugnis jener Epoche. „Muslime raus!“ war die Botschaft. Das mittelalterliche Gegenstück zum neuzeitlichen „Juden raus!“ folgte im kirchlich-christlichen, weniger christlich-barmherzig-milden und kaum jesuanischen Zeitalter der Kreuzzüge von 1096 an.

Christentum und Kirche sind nicht immer gleichzusetzen. So wenig wie Aufklärung und Toleranz. Der große Aufklärer Voltaire schwelgte gänzlich in antijüdischer und -muslimischer Polemik.

Schock für die „patriotischen Europäer“: Das Christentum stammt aus dem Morgenland. Und: Bis ins 4. Jahrhundert war das Abendland nicht nur heidnisch, sondern auch jüdisch. Lange bevor die Germanen Christen wurden, gab es in Europa Juden. Jahrhunderte vor den Kirchen standen in Germanien, Gallien und Britannien Synagogen.

Die heidnischen Abendländer wurden zudem nicht freiwillig zu Christen. Missionare wie Kilian und Bonifatius wurden von den Vorfahren des deutschen Michels ermordetet, und Karl der Große taufte um 800 die Sachsen auf seine Art: blutig! Und heute? Wo ist das Abendland noch wirklich christlich? Überspitzt könnte man Deutschland – besonders im Osten – „Heidenrepublik“ nennen. Ähnliche Säkularisierungsbewegungen gibt es in Italien und Spanien.

Die jüngere Demografie des Abendlandes zeigt Ähnliches: Nach der Unabhängigkeit Indiens und Pakistans im Jahr 1947 strömten zahlreiche Muslime ins einst wenig geliebte britische Mutterland.

Ähnlich verlief der allmähliche bevölkerungspolitische Wandel Frankreichs. 1956 wurden Marokko und Tunesien souverän, 1960 folgten 18 Staaten Afrikas, 1962 Algerien.

In die Niederlande kamen Muslime zuerst aus Indonesien, das 1949 seine Unabhängigkeit erkämpft hatte.

Deutschlands demografischer Fundamentalwandel begann anders. Von 1961 an, nach der Errichtung von Mauer und Stacheldraht, fehlten Arbeitskräfte aus der DDR. Vorwiegend Türken und Italiener wurden als Gastarbeiter „importiert“ , was nicht nur die erste Generation frustrierte.

Die Entchristlichung des Abendlands ist eine Tatsache. Obwohl selbst verursacht, beklagen die Abendländer den Untergang des Abendlands durch dessen „Islamisierung“.

Die Kirchen haben versagt. Wer nicht weiß, weswegen Christen Weihnachten, Ostern und Pfingsten feiern, ist unfähig, mit Angehörigen anderer Religionen einen Dialog zu führen.

Wenn uns das dennoch gelänge, könnte sich vielleicht irgendwann ein „europäischer Islam“ entwickeln.

L’Assemblée Nationale aurait dû fixer une date butoir pour imposer l’interdiction du Glyphosate. Mais une fois de plus le lobby des agriculteurs a eu le dessus. Normalement Emmanuel Macron aurait voulu que son utilisation soit autorisée jusqu’en 2021, c’est à dire trois ans pour trouver des alternatives. L’UE avait, quant à elle, fixé 2023. Même pas cette date a été envisagée par les députés. C’est vraiment un coup dur contre le bon-sens. Comment accepter un produit qui pourrait déclencher le cancer ? Nous savons aujourd’hui que de surcroît ce désherbant a des conséquences néfastes sur les abeilles et sur tout le monde animal en général. Les agriculteurs rétorquent que sans ces produits, leurs terres seraient envahies d’éléments destructeurs attaquant leurs cultures. Il est reconnu chez les paysans, que le Glyphosate est efficace et qu’il épargne beaucoup de travail et de personnel. Et nous revoilà à la case de départ. Tous les problèmes partent de la surproduction des produits de base de la chaîne alimentaire. C’est la cause du dumping pratiqué au niveau des prix de ventes. Cela provoque à la bourse agricole une baisse notable des revenus. L’offre étant supérieure à la demande, les prix chutent au dépriment des agriculteurs. Pour se maintenir dans la course, les exploitants sont obligés de baisser constamment leurs prix. Weiterlesen

Il n’y va pas de main-morte, Luigi Di Maio, le dirigeant du M5S, le mouvement cinq étoiles, veut déposer plainte contre le Président de la République italienne, Sergio Mattarella, pour haute trahison, parce qu’il a refusé de nommer Paolo Savona (81 ans) comme ministre de l’économie. Cet anti-européen acharné, qui aurait voulu que la péninsule quitte l’euro, était aux yeux du Président non compatible pour représenter les intérêts de l’Italie à Bruxelles. Cela a conduit Guiseppe Conte à renoncer à sa nomination comme futur premier-ministre. Je salue le veto de Sergio Mattarella, dont le premier devoir est de sauvegarder les intérêts de son pays. Ce que tramaient Di Maio et le mini-duce, Matteo Salvini, aurait signifié la ruine totale de l’Italie. Dans cette situation il est à prévoir qu’il y aura un gouvernement transitoire de techniciens qui réglera les affaires courantes jusqu’à de nouvelles élections qui devraient avoir lieu en automne. Car il y a impasse au parlement, il n’est pas à prévoir qu’il aurait une autre majorité capable de former un nouveau gouvernement. Contrairement à ce que prétend Luigi Di Maio, nous ne sommes pas dans une impasse de la démocratie. Dans la constitution, le Président de la République a le devoir d’accepter ou de refuser une liste de ministres. C’est son droit le plus absolu. Il n’a fait qu’obstruction lorsqu’il a lu le nom Savona. Mais attention, nous ne sommes pas sortis d’affaire. Personne ne peut anticiper. Il n’est pas dit que le peuple vote autrement que lors des dernières élections. Je suis loin d’être sûr, qu’il se soit aperçu que le programme de la coalition aurait mené les citoyens à leur perte. À la place des autres partis j’essaierai de souligner l’aspect individuel qu’aurait pu avoir le projet de gouvernement qui avait rédigé par le M5S et la Ligue. Weiterlesen

Bundesbildungsministerin Anja Karliczek (CDU) fürchtet aufgrund zunehmender nationaler Egoismen um den Erfolg des Bologna-Prozesses. Im Vorfeld der Konferenz zum europäischen Hochschulraum, die am 24. und 25. Mai in Paris stattfand, sagte die CDU-Politikerin: „Wir wollen den gemeinsamen europäischen Hochschulraum stärken. Das gelingt aber nur, wenn alle Länder daran arbeiten und die Freiheit von Wissenschaft und Forschung und die Unabhängigkeit der Hochschulen achten und fördern“ (welt.de).
Vor 20 Jahren ging es los, im Mai 1998 in Paris an der Sorbonne-Universität. Eine gemeinsame europäische Hochschulpolitik sollte entstehen, das hatten sich die Bildungsminister mehrerer Länder überlegt. Damit startete der Bologna-Prozess in Europa. Die offensichtlichsten Veränderungen waren die Umstellungen auf die Bachelor- und Master-Abschlüsse. Seitdem gibt es auch immer wieder Kritik an der Reform, manche Kritiker sprechen sogar von einem „Unfall mit Fahrerflucht“, denn die damaligen Politiker sind heute nicht mehr im Amt. Abgeschlossen ist der Prozess zudem auch noch nicht. Alle paar Jahre treffen sich die 48 teilnehmenden Länder, um Bilanz zu ziehen. So auch derzeit in der Sorbonne, zum 20. Jubiläum.

Den französischen Gastgebern lag es bei dem Ministertreffen sehr daran, dem Bologna-Prozess eine neue Dynamik, einen neuen Atem zu versetzen. Man muss sich daran erinnern, die Finanzkrise hat Europa sehr zugesetzt. Vor allem in südeuropäischen Ländern führte das zu drastischen Sparmaßnahmen, auch im Bildungsbereich. Und heute sorgt das Erstarken populistischer Kräfte in Europa mancherorts für Abschottung. Alles Prozesse, die dem geeinten Europa Knüppel zwischen die Beine werfen.

Eine von den Ministern diskutiertes Thema, jungen Leuten Europa konkreter zu machen, sei die Überlegung eines europäischen Ausweises für europäische Studierende, um damit auch eine Identität europäischer Studierender aufzubauen. „Der soll dazu dienen, dass jemand überall, wo er hinkommt, in die Unibibliothek gehen kann, dass er sich am Kaffee-Automaten Kaffee holen kann, dass seine Abschlüsse darauf verzeichnet sind und Daten papierlos übertragen werden können (deutschlandfunk.de).

Zum Fortschritt der Bologna-Reform liegt eine detaillierte Bilanz vor. Diese zeigt, dass manche Staaten große Probleme bei der Umsetzung haben. Die Bilanz insgesamt ist sehr durchwachsen.

In Deutschland hat Bologna, vor allem die Einführung von Bachelor- und Masterstudiengängen, zu jahrelangen Protesten geführt. Inzwischen haben sich die Wogen etwas geglättet.

Die Frage ist, ob in Deutschland der Bologna-Prozess erfolgreich umgesetzt wurde. Denn immer noch gibt es Kritik. Immer noch hapert es an der Anerkennung von Studienleistungen, immer noch gelten die neuen Studiengänge als zu unflexibel und verschult, immer noch ist die Mobilität von Studierenden und Wissenschaftlern unzureichend.

„Europas Jugend stark machen“, so lautete das Motto der Ministerkonferenz in Paris. Doch eigentlich geht es darum, Europa stärker zu machen. Das zeigt sich im Schlusskommuniqué der European High Education Area. Darin haben die Mitglieder des gemeinsamen europäischen Hochschulraums festgehalten:

„In einer Zeit, wo Europa vor wichtigen sozialen Herausforderungen steht – das reicht von Arbeitslosigkeit über soziale Ungleichheit und Migrantenthematik bis hin zum Aufkommen politischer Polarisierung, Radikalisierung und gewalttätigem Extremismus -, kann und muss höhere Bildung eine entscheidende Rolle spielen und Lösungen anbieten. Sie muss gleichfalls eine Schlüsselrolle spielen, indem sie Fakten anbietet, die als Basis dienen für öffentliche Debatten und Entscheidungsfindung.“

Mit der „integrierten transnationalen Zusammenarbeit“ ist die Vision der „Europäischen Hochschulnetzwerke“ gemeint. Eine Idee, für die der französische Staatpräsident Emmanuel Macron seit einem halben Jahr die Werbetrommel rührt. Mit Erfolg: Deutschland wird sich an deren Aufbau aktiv beteiligen, kündigte Bundesbildungsministerin Karliczek bei der Konferenz an. Auch Brüssel hat Macron auf seiner Seite.

Ja, vereinigen wir die Bildung Europas, hauptsächlich der Jugend, gelingt es uns vielleicht, auch Europa zu einen.

Toutes les semaines des dizaines de milliers de manifestants se rendent dans les rues pour exprimer leur mécontentement au sujet de la politique de réformes d’Emmanuel Macron. Ce dernier ne cédera pas, comme l’ont fait non nombre de ses prédécesseurs, car il sait parfaitement, que s’il veut donner à la France une nouvelle perspective, il est obligé de passer par là. Un des grands atouts qu’il a, c’est la suite dans ses idées. Il y a certes des points, où ces vues font mal, mais est-il possible de continuer ainsi ? Faut-il faire une politique égale à celle de l’Italie, où des fantaisistes ont pris le pouvoir ? Faut-il continuer à faire des dettes en finançant avec de l’argent qu’on a pas, des mesures populistes pour amadouer le peuple ? Non, trois fois non ! Emmanuel Macron n’est pas du type d’homme à faire du clientélisme. Il savait bien que les réformes feraient bondir, mais avait-il une alternative ? Je ne pense pas qu’il soit le Président des riches, mais la situation économique de la France l’oblige en premier lieu à tenir compte de tous ceux qui génèrent de l’argent. Il faut donner à l’économie les moyens de se développer, de ne pas se contenter de tenir à peine le coup. Tout son plan consiste à donner aux chefs d’entreprises tout d’abord les moyens de garantir les emplois, puis par la suite d’en créer de nouveaux. L’État doit leur donner les outils pour être dynamiques, de ne pas s’enferrer dans la sinistrose. Mais pour y arriver des sacrifices sont demandés à tous. Il est vrai que pour l’instant ce sont les salariés et les moins bien lotis qui casquent. Mais il est prévu que le tout se stabilisera et que de nouvelles garanties assureront les mesures sociales, qui sont indispensables dans une société moderne. Il est malheureusement vrai, qu’il était impossible de continuer comme c’était le cas jusqu’à aujourd’hui, de faire des Français des assistés. Afin d’assurer un avenir meilleur, le Président doit persévérer dans sa manière d’agir. La situation l’y force. Une fois de plus je veux prendre l’exemple de l’ex-chancelier social-démocrate Gerhard Schröder qui est allé bien plus loin, que ce qui se passe actuellement en France en imposant les mesures Hartz IV. Weiterlesen