In ein paar Tagen ist es soweit: Sie tritt in Kraft am 25.05.2018. Die Datenschutz-Grundverordnung.

Was kommt auf uns zu?

Von einer „Zeitenwende“ ist wiederholt die Rede, gar von einer „Zäsur“. Es steht ein radikaler Einschnitt bevor. Gemeint ist damit das Regelwerk, das sich hinter dem schlichten Kürzel 2016/679 verbirgt. Manche Experten halten es für „eines der schlechtesten Gesetze des 21. Jahrhunderts“. Schlicht ist nur die Registriernummer dieser EU-Norm. Die Datenschutz-Grundverordnung umfasst 88 Seiten im Amtsblatt der Europäischen Union mit 173 Vorbemerkungen und 99 Artikeln. Das umfängliche Werk stiftet in der Wirtschaft erheblichen Verdruss, auch Datenschützer sind unzufrieden.

Die Datenschutz-Grundverordnung gilt unmittelbar in der gesamten Europäischen Union. Es gibt jedoch in Details Öffnungsklauseln, die es den Mitgliedstaaten ermöglichen, die Vorschriften der nationalen Rechtslage anzupassen. Die Verarbeitung von Daten ist nach der neuen EU-Norm nur zulässig, wenn eine Einwilligung vorliegt. Laut Datenschützer gibt es für Deutschland die größten Änderungen „nicht beim materiellen Datenrecht“, sondern durch die Vereinheitlichung innerhalb Europas und wegen der „Bußgelder in abschreckender Höhe“. In der EU-Norm sind die bisherigen Standards des Bundesdatenschutzgesetzes weitgehend umgesetzt.

Im Fokus stehen Verbraucher und Internetnutzer. Deren Daten dürfen nur gespeichert und verwendet werden, wenn sie zuvor ausdrücklich zugestimmt haben. Bevor auch nur ein Bit von ihnen gespeichert wird, müssen Betroffene „in präziser, transparenter, verständlicher und leicht zugänglicher Form in einer klaren und einfachen Sprache“ informiert werden, so heißt es unter anderem in einem Ratgeber der Industrie- und Handelskammer. Unternehmen, die personenbezogene Daten speichern, müssen auf Anfrage Auskunft über diese Daten erteilen, über deren Herkunft, Verarbeitungszwecke und die Dauer der Speicherung. Betroffene dürfen einer Nutzung widersprechen und verlangen, dass ihre Daten gelöscht werden. Die Erfinder der EU-Norm nennen das „Recht auf Vergessen“. Kunden haben andererseits den Anspruch, eine Kopie ihrer Daten in computerlesbarer Form mitzunehmen, wenn sie etwa den Stromanbieter oder die Telefonfirma wechseln. Jugendliche dürfen sich erst ab 16 ohne Zustimmung der Eltern bei sozialen Netzwerken wie Facebook anmelden.

Unternehmen sind verpflichtet, genau zu dokumentieren, welche Daten sie gespeichert haben und wie sie diese nutzen. Im Falle von Rechtsverstößen drohen hohe Bußgelder: bis zu vier Prozent des Jahresumsatzes, maximal 20 Millionen Euro. Datenpannen müssen unverzüglich an die zuständige Aufsichtsbehörde gemeldet werden. Sobald in einem Unternehmen mehr als zehn Mitarbeiter mit der Verarbeitung personenbezogener Daten beschäftigt sind, muss es einen geben, der sich um den Datenschutz kümmert. Markt- und Meinungsforschungsinstitute sowie Adresshändler brauchen in jedem Fall eine solche Kontrollstelle. Die Richtlinie gilt auch für Firmen, die keinen Sitz in der Europäischen Union haben, sobald sie Waren oder Dienstleistungen in der EU anbieten oder Marktforschung hier betreiben.

Das Bundesdatenschutzgesetz wurde bereits an die Vorgaben aus Brüssel angepasst. Laut Bundesinnenministerium müssen insgesamt 154 Gesetze umgeschrieben werden. Der Korrekturbedarf reicht von der Abgabenordnung bis zum Waffengesetz. Mit der Anpassung der einschlägigen Paragrafen wollen sich Kanzlerin Angela Merkel und ihre neue Ministerriege „in einer gesonderten Kabinettssitzungen der neuen Bundesregierung“ befassen.

Rechtsexperten bezeichnen das Regelwerk zuweilen auch als „größte Katastrophe des 21. Jahrhunderts“. Die Regeln zur Datenmitnahme seien „das Sinnloseste des Sinnlosesten“. Dutzende neuer Informationspflichten würden künftig nicht nur für Unternehmen, sondern auch für Vereine und jeden Betreiber einer Website gelten. Für eine effektive Umsetzung der Datenschutzvorgaben müssten die Aufsichtsbehörden „zwingend“ mehr Personal erhalten.

Das Branchenmagazin „Horizont“ wertete das Werk vor Monaten schon als „schwarzen Tag für die Werbeindustrie“. Nicht zuletzt wird man, in puncto Datenan- und -verkauf, gerade in Zusammenarbeit mit sozialen Netzwerken, das Handling mit den Verbraucherdaten auf völlig neue Füße stellen müssen.

Je ne sais pas trop comme je réagirais si j’étais tout à coup transporté sur un terrain totalement inconnu pour moi, dans une atmosphère étrangère ? Il y a pas beaucoup de solutions. Les plantes l’ont bien reconnu ! Ou tu t’adaptes à la nouvelle terre ou tu crèves. Il n’y a pas d’autres alternatives. C’est la même chose pour les migrants, mais à la grande différence, que souvent on les méprise et qu’on attend d’eux qu’ils mettent les bouts volontairement. Dans de telles conditions il est très difficile d’avoir le calme intérieur nécessaire afin d’agir efficacement. Les personnes sont souvent tellement meurtries, qu’elles n’ont plus les capacités de comprendre le monde nouveau, où on essaie de les implanter. Néanmoins je trouve bon, qu’on prenne exemple sur les réussites d’intégration, afin d’apporter la preuve que l’impossible peut parfaitement être réalisable. La télévision diffuse régulièrement des cas, où les nouveaux-venus ont appris dans un temps record la langue de leurs hôtes, qui les encourage – en Allemagne notamment – à faire un apprentissage ou de faire des études. Parfois pour ceux qui ont un titre universitaire, la possibilité de le faire revaloriser leur savoir pour pouvoir exercer dans le pays d’accueil. C’est le cas assez souvent chez des médecins. Je vous avais déjà raconté que ma fille joue pour le compte de la faculté de médecine de l’université Humboldt de Berlin, le rôle de patientes. Il s’agit d’entrer mentalement dans une pathologie et d’interpréter ce rôle, afin que les étudiants puissent avoir de la pratique dans les rapports avec les malades. Ces derniers temps elle a souvent eu affaire à des médecins venant de la Syrie, de l’Irak ou du Yémen par exemple. Il s’agissait d’exercer avec eux, l’attitude que les praticiens doivent avoir envers les femmes. L’Islam ne rend pas aisé ces liens, avant tout s’ils ont affaire à des patientes émancipées. Weiterlesen

Le Pape François a fait venir les 31 évêques chiliens à Rome pour leur parler des cas de pédophilie, qui sévissent en ce moment dans ce pays d’Amérique latine. Ces derniers lui ont remis leur démission, probablement parce que la situation est si grave, qu’ils sont dans l’incapacité d’agir efficacement. On les accuse de bienveillance envers les prêtres qui ont commis de tels méfaits. Et qui sait, peut-être aussi quelque-uns d’entre eux ont eu des rapports défendus avec des enfants ? Vous me direz peut-être qu’il y en a marre de continuer cette discussion qui ébranle les fondations morales de l’Église. Je vous répondrais que je ne suis pas en mesure de me taire lorsqu’il s’agit d’enfants. Pour moi il ne peut pas y avoir de circonstances atténuantes, d’autan plus lorsque ces agresseurs sont en principe là pour répandre la bonne nouvelle et qui par leur sacerdoce sont obligés d’avoir une attitude morale au-dessus de tous soupçons. Certains me répondront que ce ne sont que des hommes et que malgré le célibat, le désir de chaire ne peut pas être rayé « par décret ». Dans une société, où la sexualité a pris une telle ampleur, ces prêtres en mal d’amour physique, subissent la tentation à plein fouet. Je ne vois pas comme protestant, la nécessité pour un pasteur d’être chaste. Empêcher les serviteurs de l’Église de vivre une vie affective, il n’y a pas de raisons, que ce soit du point de vue théologique ou sociétal. Je ne pense pas que le prêtre néglige ses ouailles en ayant femme et enfants. De mon point de vue, il y aurait plus de compréhension envers les pauvres pécheurs que nous sommes. Les pères de l’église primitive, avaient le plus souvent des familles. Weiterlesen

Le volontarisme peut jouer de mauvais tours, lorsqu’il vient d’en haut. Emmanuel Macron semble l’avoir compris en ce qui concerne les banlieues. Il faut que les efforts viennent du sein de la population entière, loin s’en faut que des milieux désavantagés. La première chose à faire est d’essayer de comprendre ce qu’on entend par le mot ghetto ? Il s’agit tout d’abord d’un réflexe qui consiste à pratiquer l’apartheid. Et là aussi il s’agit de différencier les causes. Il a pour but de maintenir sous cloche des habitants, avec qui on ne veut pas avoir à faire. Il s’agit de mettre dans une bergerie les brebis galeuses et ériger des barrières virtuelles, qui découlent de la situation matérielle et intellectuelle de personnes, avec lesquelles on ne veut pas être confronté directement. Il est évident que la peur de l’inconnu joue un rôle essentiel. Mais le ghetto peut aussi être un repli sur soi-même, peu importe que ce soient des pauvres ou des riches, des manuels ou des intellectuels. Des gens se mettent volontairement dans un vase-clos pour se démarquer des autres. Je pense aux quartiers de riches, où ces derniers se réfugient derrière des murs et des barbelés comme au Brésil par exemple. Des personnes vivant dans la peur constante d’être agressées. Il est évident qu’en « cultivant » le ghetto, peu importe d’où il vienne, il ne sera pas possible de faire des progrès en ce qui concerne le repli, quel que soit son origine. Il est évident que les causes de l’apartheid ne sont pas dues seulement à l’aspect matériel des personnes concernées. La conception de la famille, de l’éducation des enfants et évidemment, comment pourrait-il en être autrement, de la religion sont des éléments qui coupent des liens avec les autres compatriotes. Mais vouloir briser le communautarisme avec une massue, ne peut que mener à l’échec. Vient s’ajouter en ce qui concerne les banlieues l’aspect électoraliste qui a pour but de cultiver la peur. Tous les éléments que j’évoque ici sont les résultats d’un mal-être qui ne peut pas être résolus à coups de milliards. Weiterlesen

Unser Leben ist eine einzige Jagd nach Suchtbefriedigung.
Sicher, ich spreche von Sucht – ganz bewusst.
Wir sind alle süchtig und die Menschheit teilt ihre Süchte.
Die Sucht nach Liebe und Geborgenheit.
Die Sucht nach Frieden.
Die Sucht nach Selbstbestätigung und Akzeptanz.
Die Sucht nach Freiheit.
Die Sucht nach dem Kaugummi, das nie seinen Geschmack verliert.
Und wenn die Süchte nicht befriedigt werden,
wird´s der Himmel schon richten. Nicht wahr?
Doch es ist nicht die Aufgabe des Himmels und der Götter,
es ist nicht Aufgabe der anderen, diese Süchte zufriedenzustellen.
Es ist verdammt nochmal unsere eigene Verantwortung.
Jeder erwachsene Mensch auf Erden sollte es wissen.
Und warum gibt es Kriege, Scheidungen, weltweit völlig ausgebuchte
Therapeuten, Kirchgänger, die sich sonntäglich die Weste rein waschen, Selbstmord?
Weil es niemand, niemand!!! richten kann –
als derjenige, der sich darüber beschwert, dass die Welt so elend ist.
Sie ist es nicht – nicht die Welt … es ist der narzisstische, geld- und kommerzgeile, prestigesüchtige, bessere, beurteilende, verurteilende, egozentrische Mensch, der die einfachsten Regeln nicht beherrscht. Sich an etwas zu halten, wenn er es sich vorgenommen hat und für sein Fehlverhalten offen und ehrlich gerade zu stehen.

Es zu ändern und jedem anderen seine Wertschätzung entgegen zu bringen.
Da hilft auch der liebe Gott nichts!

© Petra M. Jansen/

http://jansen-marketing.de

 

Matteo Salvini et Luigi Di Maio ont rédigé leur contrat de gouvernement. Tout d’abord il veulent exiger de la Banque Européenne une remise de dette de 250 milliards d’Euro, que cela ! Mais Mario Draghi ne pourra rien faire pour eux, car il n’entre pas dans ses compétences d’accorder ou non une remise de dette. Cela démontre que l’Italie chauvine sera au rendez-vous, lorsqu’il s’agira de l’UE. Mais un point est d’or et déjà acquis, le pays ne sortira pas de la zone Euro. Donc maintient de la monnaie commune. Mais il faut s’attendre que le péninsule veuille remettre en question certains points, qu’elle considère comme étant de l’ingérence dans les affaires intérieures du pays. Il serait même question de renégocier le traité entre l’Italie et l’UE. Au niveau social nous aurons du populisme pur, comme le paiement pendant deux ans d’une somme de 780,00 euros mensuels à tous chômeurs italien pendant deux ans. Comme contre-mesure il est question de relever l’âge de la prise à la retraite à 67 ans. « Salvimaio » déclare en même temps que tous citoyens ayant cotisé pendant 41 ans, pourra quitter, quelque soit son âge, sans préjudices, son emploi. Les experts de tous bords jugent que ces mesures coûteront la sommes astronomique de 100 milliards, mais où prendre l’argent si les caisses sont vides ? Weiterlesen

GEZ heißt die Institution schon einige Zeit nicht mehr, die uns die Gebühren für die Nutzung des öffentlich-rechtlichen Rundfunks und Fernsehens abknöpft, sondern „Beitragsservice“. Mit Service für Gäste hat das nichts zu tun, vielmehr trifft es die Mehrzahl von uns, dass wir für die Nutzungsmöglichkeit der „Öffentlich-Rechtlichen“ zahlen müssen und zwar gezwungenermaßen.

Vielen stinkt das und sie möchten dies verfassungsrechtlich geprüft haben. Jedes Vierteljahr verschwinden vom Konto 52,50 Euro, das sind umgerechnet 17,50 Euro im Monat.

Seit 2013 muss der Rundfunkbeitrag von jedem Haushalt bezahlt werden, auch wenn dort weder Fersehen noch Radio stehen. Wer nicht taub, blind ist oder Hartz IV bezieht, kommt um den Rundfunkbeitrag nicht herum. Der hieß früher einmal Rundfunkgebühr und umgangssprachlich GEZ-Gebühr, weil die Gebühreneinzugszentrale (GEZ) das Geld eingetrieben hat. Noch viel früher war es die Postgebühr, die fürs Radio und Fernsehen bezahlt werden musste. Doch egal wie sie heißt, der Ärger um die „Zwangsabgabe“, wie Kritiker sie nennen, bleibt. Heute und morgen befasst sich das Bundesverfassungsgericht damit, ob der Beitrag rechtens ist. Es liegt eine Vielzahl von Beschwerden vor. Mehr als 400 sind in Karlsruhe eingegangen, rund 140 sind noch anhängig. Insgesamt vier hat das Gericht nun für das Verfahren zugelassen. Drei Privatpersonen und ein Autovermieter müssen begründen, warum ihrer Meinung nach der Rundfunkbeitrag gegen das Gleichheitsgebot von Artikel 3 des Grundgesetzes verstößt.

Die Gliederung der Verhandlung zeigt, dass die Verfassungsrichter im Wesentlichen drei mögliche Probleme sehen: Erstens, dass jeder Haushalt zur Finanzierung des öffentlich-rechtlichen Rundfunks herangezogen wird, unabhängig davon, welche Geräte sich in der Wohnung befinden. Zweitens, dass nicht differenziert wird, wie viele Menschen in dem Haushalt leben, was dazu führt, dass eine Wohngemeinschaft mit acht Personen genauso viel bezahlt wie ein Singlehaushalt und drittens, dass die Eigentümer von Zweitwohnungen zweimal zur Kasse gebeten werden – obwohl sie sich jeweils nur in einer Wohnung aufhalten können. Ähnlich wie bei Privateigentümern wird der gesamte Kanon an Vorschriften auch noch für den gewerblichen Bereich geprüft werden. Dass all diese Punkte Ärger bereiten könnten, war schon klar, als der Rundfunkbeitrag vor gut fünf Jahren eingeführt wurde. Dass die Rundfunkfinanzierung damals überhaupt neu geregelt wurde, erklärten die Verantwortlichen damit, dass die Empfangsgeräte Radio und Fernseher nicht mehr als Grundlage für die Berechnung der Abgabe taugten. Zunehmend ersetzen Computer, Laptop oder Handy die klassischen Informationsquellen; deren Nutzung ist schwieriger zu kontrollieren als der Besitz eines Fernsehers.

Begründet wurde die Abgabe mit dem bereitgestellten Leistungsangebot der öffentlich-rechtlichen Sender. Darauf, ob dieses Angebot angenommen werde, komme es nicht an. Kritiker können also nicht einfach darauf verweisen, nie mit dem öffentlich-rechtlichen Rundfunk in Berührung zu kommen. Nicht aus dem Auge verlieren darf man die Tatsache, dass in der Schweiz erst vor wenigen Wochen eine Volksbefragung über ihr Modell durchgeführt wurde: Mehr als 70 Prozent der Befragten wollen die Gebühr behalten!

Die juristische Dimension ist aufs Engste verknüpft mit dem Namen Kirchhof. Das rechtliche Konstrukt hinter dem Rundfunkbeitrag hat der ehemalige Verfassungsrichter Paul Kirchhof ersonnen. Sein Gutachten bildet die juristische Grundlage für die aktuelle Abgabe. Der 75-Jährige gilt als ausgewiesener Steuerexperte und war im Wahlkampf 2005 sogar Finanzminister im Schattenkabinett von Angela Merkel. Juristisch führt nun Paul Kirchhofs jüngerer Bruder Ferdinand die Regie. Der 67-Jährige ist aktuell Vizepräsident des Bundesverfassungsgerichts und Vorsitzender des Ersten Senates, welcher sich von diesem Tag an um die Verfassungsbeschwerden zum Rundfunkbeitrag kümmert. Da liegt es nahe, hier an Befangenheit zu denken. Das Gericht sah das jedoch anders und hat entsprechende Anträge Anfang Mai zurückgewiesen. Auch die Diskussion darüber, ob es sich bei der Rundfunkabgabe um eine verkappte Steuer handelt, wird vor dem Verfassungsgericht eine Rolle spielen. Der Steuerrechtsexperte Paul Kirchhof hat in seinem Gutachten viel Raum auf diese Frage verwendet und hält selbst eine Steuer für den falschen Weg, um den öffentlich-rechtlichen Rundfunk zu finanzieren, dem er aber gleichwohl eine finanzielle Bestandsgarantie einräumt, die vom Grundgesetz gedeckt ist. Immerhin diese Garantie haben die Verfassungsrichter in ihren bisherigen Entscheidungen pro Gebühr auch gesehen. Und egal, wie das Verfassungsgericht in seinem Urteil, das in ein paar Monaten erwartet wird, auch entscheidet: Ärger droht dann immer noch: Das Landgericht in Tübingen hat beim Europäischen Gerichtshof angefragt, ob die Abgabe mit dem Europarecht in Einklang zu bringen sei, da in Polen, Tschechien oder Frankreich die vergleichbare Abgabe drei bis zehn Euro im Monat billiger sei.

Lieber Pierre,

ein Volk am Rande des kollektiven Nervenzusammenbruchs? Nahezu gestresst hetzend in den garantiert kommenden „Burn Out“ oder mindestens in eine narzisstische Persönlichkeitsstörung? ADHS oder doch besser gleich Borderline oder gar Depressions-Geplagter mit Suizid-Neigung? Es scheint so, dass wir sensibler geworden sind, die psychischen Erkrankungen Oberhand nehmen und wir schon beim der kleinsten Stimmungsschwankung glauben, wir seien nun auch so ein „Psycho.“ Lieber Pierre, ich nehme dieses nicht greifbare, aber real existierende Krankheitsbild ernst und weiß, wie schwer es ist, sich aus eigener Kraft aus den Fesseln seiner schreienden Psyche zu befreien – ohne jedoch in irgendeiner Weise ebenfalls daran zu leiden. Meist liegen die Gründe in einer traumatisierten Kindheit, in der diese Menschen schlechte Erfahrungen gemacht haben, die sie z. B. nur mit einer „Abspaltung“ kompensieren können. Ich gehe nicht auf die Ursachen ein und auch nicht mit echtem Verständnis an dieses Thema.  Zu viele Leute habe ich kennengelernt, die nicht richtig ticken, unter maßloser Selbstüberschätzung leiden, notorische Lügner sind, psychopathische Züge tragen, unter einem kranken Selbstwertgefühl leiden oder ADHS Patienten sind und es ist entsetzlich anstrengend, mich in sie hinein zu versetzen. Ich kann es nicht, Pierre! Es gelingt mir nicht, mir fallen stets ihre Stolpersteine auf, die Barrieren, die Auswirkungen ihrer psychischen Erkrankungen, sofern sie eine haben. Bipolar ist ein Begriff, der nicht eindeutig abzugrenzen ist, so fallen einige anders definierte Störungen auch in diesen Bereich. Nähe, Angst, Locken, Wegschicken…Hin und Her, zu viel, zu wenig usw. – was auch immer die Ursachen sind, ich mag mich damit nicht umgeben, es fühlt sich an wie ein Mühlstein um den Hals. Wenn nun der eine oder andere Leser sagen könnte, ich sei oberflächlich und hart mit meiner Einstellung, dann sage ich: „Sie mögen kreativ und faszinierend sein, aber anstrengend, fordernd und oft erdrückend.“ Es tut mir leid, aber das ist meine Erfahrung und ich habe reichlich davon z.B. jemandem mit einer narzisstischen Persönlichkeitsstörung, die zu exzessivem Alkohol- und Drogenkonsum geführt hatte. Zu Leuten, die so nervös vor mir herum zappelten, dass ich selbst schon angefangen haben, zappelig zu werden. Sie verfolgten keine klare Linie, sprangen von einem Gedanken zum nächsten, hatten teilweise ein immenses, unstillbares Bedürfnis nach Sex und dem ganz besonderen Kick und vieles mehr. Für mich ist das tatsächlich alles viel zu viel oder auch zu träge, düster (wenn Depressionen die Ursache sind), sie ziehen einen runter oder mit in ihren Sog. Darauf habe ich keine Lust, mag vermessen klingen, aber es raubt Kraft und Energie (Autismus ist hier ausdrücklich nicht angesprochen!).

Lieber Pierre, meine Empathie endet hier sicher nicht und all diese Menschen tun mir wahrhaftig leid, aber es gibt eben auch eine Reihe von Leuten, die keine psychischen Störungen haben, lebensbejahend sind, motiviert, engagiert und deren Emotion im Einklang mit sich selbst ist…ja, die gibt es! Gott sei Dank gibt es sie, sonst wären wir in Deutschland allesamt Dauergast auf der Psycho-Couch.  Vielleicht sagst du jetzt „Jeder hat irgendwas“, kann sein… aber nicht bei jedem hat die fehlgeleitete Psyche so starke Auswirkungen auf die Gesundheit, das Leben und die Motivation. Psychologen mögen vielleicht ihr Handwerk verstehen, aber auch hier gibt es viele, denen ich raten würde, selbst einen zu konsultieren bevor sie auf ihre Patienten losgehen. Bei einigen Menschen, die ich in der Vergangenheit kennengelernt habe, wurde mehr Schaden angerichtet als ihnen geholfen werden konnte und einige bekamen eine wahre Gehirnwäsche, die ihnen sämtliche Emotionen wegradierte. Vor mir standen schon „kurierte“ Zombies, die zwar eine klare, realistische Einschätzung und einen persönlichen Leitfaden durch ihr Leben bekamen, aber sie wirkten erschreckend seelenlos und gefühlskalt. 15 Jahre Therapie lagen hinter einem Mann, bei dem sich tatsächlich nichts geändert hatte…er wusste nun um seine psychische Erkrankung, er war ja nun ausreichend analysiert worden, wie sie sagten, aber geholfen hat es ihm nicht. Stattdessen rebellierte der Körper, der gesamten Organismus war ein seelischer Hilferuf, der nach den 15 Jahren stärker war denn je und ich bin sicher, dieser Mann wird es niemals schaffen, einen Weg zu gehen, der für mich sehr einfach wäre, ganz einfach….nur er selbst kennt ihn nicht, obwohl er ihn kennt. Tja, die Psyche…

 

Eine herzliche Umarmung,

 

Petra

© Petra M. Jansen

http://jansen-marketing.de