Être transgenre ou homosexuel est dans notre « société si vertueuse » encore une tare. On considère un tel fait comme une maladie honteuse, ce qui est des plus discriminatoires. Ce qui est inné ne devrait pas être remis en question, ni même un comportement qui dépasse les normes fixées par des citoyens, se croyant obligés de d’imposer des comportements partant de leur subjectivisme. Une attitude pour le moins inacceptable, lorsqu’on fait référence à la nature, qui elle, est faite d’espèces différentes. « Non binaire, dans mon cas, cela signifie que je ne me reconnais ni comme fille ni comme garçon. Mais je suis aussi, actuellement, dans une parenthèse agenre, donc sans genre du tout », explique Yane, un jeune n’étant pas comme les autres. Je ne vois pas pour quelle raison la société n’accepterait pas une telle situation. La discrimination semble être un phénomène profondément ancré chez tous les êtres vivants. Je veux aussi parler de certains animaux, qui ne sont pas dépourvus de cette tare. Est-ce la peur que de tels mutations puisse mettre en danger l’évolution de l’homme ? Est-ce une défense contre certains caprices de la nature ? Le fait est qu’un quotidien hors-normes est très difficile à assumer. Qu’il exige de ceux qui sont autrement, de redevenir « normal » même si génétiquement ils ne le sont pas. A-t-on pris conscience quelles souffrances cela peut engendrer ? Que cela blesse élémentairement les droits de l’homme ? Tout cela, même s’il n’y a pas de harcèlement, que le comportement des un et des autres n’appelle pas de récriminations. C’est de l’exclusion la plus vile qui soit, que rien ne saurait excuser. « En 3e, je faisais tout pour me comporter en “vraie fille”, m’intéresser aux mêmes choses que les autres, c’était assez épuisant. J’avais cette idée que, si les gens voyaient ce que j’étais réellement, ils ne m’aimeraient pas. J’avais été beaucoup rejeté avant, je ne voulais plus sortir du lot », dit Yane. Il ne voit pas la raison pour laquelle il serait en marge. Non, il n’est pas un handicapé, une erreur de la nature. Weiterlesen

Gutmensch

Der Michel hat´s gut,

ein reines Gewissen.

Trennt seinen Müll

und Strohhalme benutzt er nicht.

Einer muss es ja machen!

Die Regierung ist vorbildlich,

macht die Raute.

Um den Weltfrieden stets bemüht,

verurteilt sie Tyrannen.

Einer muss es ja sagen!

Alle fahren wir E-Autos,

irgendwann einmal.

Das schont die Umwelt,

sichert unsere Zukunft.

Einer muss ja damit anfangen!

Die Jeans so günstig,

es lebe die globale Wirtschaft!

Neueste Smartphones,

aktueller Stand der Technik.

Einer muss ja mit der Zeit gehen!

Wie schön die Welt sein kann!

Was schert´s den Michel,

was mit seinem Müll passiert.

Alles getan, was von ihm verlangt!

Südseeparadiese ersaufen in Plastikmüll,

beißender Qualm zieht über Palmen.

Einsetzen für den Weltfrieden,

erste Regierungspflicht!

Rüstungsexporte sind harmlos,

denn wir schießen ja nicht.

Die Granate zerfetzt das Kind in Nahost.

E-Fahrzeuge sind sauber,

der Strom kommt aus der Steckdose.

Wir brauchen Kohlekraftwerke, bauen wir!

Rauchen sollen sie woanders.

Schürfrechte für Rohstoffe gibt’s in Afrika.

Klamotten aus Fernost,

letzter Schrei für wenig Geld!

Der Fabriksklave in China,

arbeitet für einen Appel und ein Ei.

Kniend ein Bauer am violetten Fluss.

Wie lange geht das noch?!

« Sous certaines circonstances (…) je pense qu’Israël a le droit de conserver une partie, mais pas toute, de la Cisjordanie » Voilà les propos scandaleux de David Friedman dans une interview accordée au New York Times. Il rajoute : « La dernière chose dont le monde a besoin c’est d’un Etat palestinien défaillant entre Israël et la Jordanie . Nous comptons sur le fait que le bon plan au bon moment recevra la bonne réaction ». L’ambassadeur est un fervent partisan des colonies israéliennes en cis-Jordanie, ce qui explique de tels propos. Il s’appuie probablement sur le plan de paix que veut présenter d’ici peu les USA. Il serait de la plume de Jared Kuhsner, le gendre de Donald Trump. Il ne s’agirait pas de régler d’une manière équitable le conflit, mais de donner un niveau de vie supérieur aux Palestiniens. Si c’était vraiment le cas, cela serait déshonorant, car cela entérinerait leur situation actuelle, celle d’un vassal dont les terres sont occupées. Je ne vois pas dans ces conditions comment le conflit pourrait être réglé. À mes yeux il ne s’agirait pas seulement d’arrêter cette politique d’annexion, mais de rendre tous les territoires occupés et ceci sans concessions. Un accord de paix ne pourrait qu’intervenir si plus rien n’entravait la création d’un État Palestinien. Des revendications assez simples pour être comprises par les belligérants. Je ne vois pas d’autres solutions. Weiterlesen

Non, je ne me réjouis pas que le Mexique ait dû céder au chantage de Donald Trump. Pour ne pas subir un Waterloo économique, ce pays a été obligé de se soumettre aux commandements de Washington et de tout faire pour arrêter le flux migratoire. Peut-être une bonne chose pour ces malheureux, qui se verraient mal traité s’ils arrivaient à passer aux USA, traités comme de la vermine. Probablement il est mieux qu’ils se rendent compte plus tôt de l’impossibilité de leur démarche. Mais ce qui me gène plus, c’est que « l’accord » avec le Mexique ait été obtenu d’une telle manière. Le fait est, que le pari du président américain est une entrave au mœurs que nous connaissons, tout au moins en Occident, depuis la fin de la guerre. C’est la méthode autocratique qui a été appliquée-là avec toute sa brutalité. Je ne peux que déplorer qu’on en soit arrivé là. Il serait grand temps de revenir à une manière de faire digne de notre civilisation. Tout cela démontre à quel point notre démocratie est devenue vulnérable, qu’elle est en proie à l’action des fortes gueules qui la manipulent à leurs fins. L’antithèse complète d’une société, où le dialogue devrait être de mise. Suffit-il de mettre les gouvernants à genoux en occupant la rue ? Si c’était le cas, cela serait la porte ouverte à l’anarchie. Notre système est d’une énorme vulnérabilité, ce que je trouve des plus inquiétants. Quelle image laissons-nous à nos enfants ? Celle d’une société en pleine dérive, où le gangstérisme a la priorité ? Nous sommes au courant de quelle manière agit Donald Trump. Ce qui me gêne énormément c’est le succès qu’il remporte. C’est de l’impérialisme pur et dur, où un potentat impose sa loi. Il risque d’en être de même pour l’Europe si nous continuons de battre de l’aile. Grâce à son soutien, les populistes ont gagné du terrain et seront un jour forcés de lui rendre ce qu’il a donné. Une manière de pervertir complètement l’UE, de lui enlever son honneur, ce qui est fondamental. Weiterlesen

Après son score désastreux aux Européennes, (8,5%), de la démission de Laurent Wauquiez, du départ de Valérie Pécresse, ce parti, qui a marqué la vie de toute la Cinquième République, est menacé de disparition. Pas mal de ses membres sont passés encore plus à droite et se retrouvent proches de la conception de la France de Marine Le Pen. D’autres naviguent du côté du centre-droit et se retrouvent pas loin d’Édouard Philippe. Le PR s’en trouve laminé. Et pourtant il a été aux commandes depuis des décennies. C’est dire que tout le système politique traditionnel est en train de vaciller. Ce n’est pas un phénomène uniquement national. Bien des citoyens partout en Europe ont tourné le dos aux formations qui se voulaient garantes de stabilité, le PS en fait aussi partie, pour se tourner vers des aventuriers, qui disent quitter les sentiers battus. Je citerais la disparition en Italie de la Démocratie chrétienne, qui pourtant dans un pays catholique devrait encore avoir une assise. Il y a eu certes eu les affaires, la corruption, le clientélisme, mais aussi des adeptes d’un système social plus équitable. Sa disparition ne peut pas seulement être imputée à l’action de certains margoulins. Je pense que la tentation est grande de prendre une voie plus ou moins inconnue et de tenter l’aventure. Weiterlesen

Wenn Frau so durch die Regale eines Drogeriemarkts streift und verschiedene Produkte wie Parfums, Rasierklingen oder Rasierschaum kaufen möchte, zahlt sie mehr. Und zwar nur dafür, dass die Frauen-Rasierklingen rosa sind statt blau. Das Design ist nämlich der einzige Unterschied zwischen den „weiblichen“ und „männlichen“ Produkten, die Qualität ist dieselbe – wenn nicht schlechter – die Herstellungskosten gleich. Die Produkte sind, bis auf ihre äußerliche Aufmachung, oft sogar identisch. That’s not fair! Gesellschaftlich bedingt brauchen Frauen mehr Beauty-Produkte als Männer, das ist eine Art Naturgesetz.

Da Frauen laut Studien weniger preissensibel sind und bereit, mehr Geld für ihr Äußeres auszugeben als Männer, werden ihnen manche Pflegeprodukte teurer verkauft. In vielen Produktgruppen gibt es zahlreiche preisgleiche Varianten, bei denen weder Frauen noch Männer benachteiligt werden. Aber vor allem für Rasierprodukte und Parfüms müssen Frauen oft erheblich mehr zahlen. Das spiegeln auch die Ergebnisse von Marktchecks zu Frauen- und Männerprodukten wider. Die Höhe der geschlechtsspezifischen Preisunterschiede ist in vielen Fällen nicht zu rechtfertigen – selbst dann nicht, wenn die Inhaltsstoffe variieren, denn sie machen oft nur einen Bruchteil der Herstellungskosten aus.

„Gender Pricing“ und „Pink Tax“ sind die beiden Reizworte für das Phänomen: Frauen zahlen für manche Produkte und Dienstleistungen mehr als Männer – obwohl die Inhalte nahezu identisch sind.

Einem Marktcheck der Verbraucherzentrale Hamburg zufolge unterscheiden sich die Preise für etliche Rasierer nebst Schaum sowie für manche Parfüms nach wie vor deutlich – je nachdem, ob sich die Produkte an Männer oder an Frauen richten. Die Aufschläge betragen zum Teil mehr als 100 Prozent. Die Marktstichprobe wurde zum vierten Mal durchgeführt. „Die Preisdifferenz hat sich wenig verändert“, bilanziert Armin Valet von der Verbraucherzentrale Hamburg (t-online.de 08.03.2019). So erklären Firmen die Preisdifferenzen:

Hersteller und Verkaufsstätten sehen in der unterschiedlichen Preisgestaltung keine Benachteiligung. Sie erklären die unterschiedlichen Verkaufspreise mit Stückzahl, verwendeten Inhaltsstoffen, Zusammensetzung der Rezeptur sowie den Lieferanten, von denen die Produkte bezogen werden.

Rasiergel und die Einwegrasierer etwa, bei denen eine „Pink Tax“ vermutet wird, ähnelten sich zwar auf den ersten Blick, sie seien aber nicht grundsätzlich miteinander gleichzusetzen.

Die Produkte enthielten unter anderem eine höhere Menge pflegender Stoffe, was auf die Preisfindung Einfluss habe. Auch die Verkaufsmenge spiele einer Pressesprecherin eines Drogeriemarkts zufolge bei den Rasierklingen eine Rolle für den Preisunterschied, genauso wie die unterschiedliche Verpackung (t-online.de a.a.O.). Die Männervariante werde in einem 10er-Pack verkauft, die Damenrasierer gibt es hingegen im 5er-Pack zu kaufen.

Verbraucherschützer lassen das jedoch nicht gelten. Der Preis für Inhaltsstoffe spiele nur eine marginale Rolle. Zudem habe die Verbraucherzentrale die angeblich unterschiedlichen Pflegestoffe bei vielen Produkten nicht gefunden. Es seien oft die gleichen Produkte, nur in einer anderen Verpackung. Das Wort „Diskriminierung“ steht hier im Raum. Und zum Argument, dass zum Beispiel Rasierschaum bei Männern mehr Abverkäufe hat und dadurch günstiger angeboten werden kann? Unternehmerisch wäre hier eine Mischkalkulation zu erwarten.

Was also tun, lautet die Frage. Ein Spezialgesetz gegen geschlechtsspezifischer Preisunterschiede wäre eine Lösung, gibt es aber nicht. Lediglich in den US-Bundesstaaten New York und Kalifornien existiert ein solches Verbot, wenn auch nur für Dienstleistungen. Auf EU-Ebene schlicht Fehlanzeige, die einzige politische Maßnahme ist die Sensibilisierung der Konsumentinnen für den Kauf von männlichen Produkten.

Ein anderer Ansatz lautet wie folgt:

Preise aufgrund einer (vermeintlich) geschlechtsbedingt höheren „Preisbereitschaft“ anzuheben verstößt nach Einschätzung der Antidiskriminierungsstelle gegen das Allgemeine Gleichbehandlungsgesetz, das Diskriminierung unter anderem wegen des Geschlechts verbietet (welt.de 20.12.2017).

Ce qui s’était passé après le débarquement en Normandie pendant 75 ans, une entente atlantique, se traduit aujourd’hui que par des dissensions. L’amitié entre l’Europe occidentale et les USA n’est plus que l’ombre d’elle-même. Les dirigeants pourront répéter constamment que cela n’est pas le cas, la vérité est une autre. Donald Trump ,par son hostilité ouverte contre l’UE, a cassé pas mal de porcelaine. Ce qui reste est un amas de débris qu’il serait vain de vouloir recoller. Je ne peux pas m’imaginer que la rencontre entre lui et Emmanuel Macron, qui aura lieu dans quelques heures, puisse apporter grand-chose. Il est évident, même si un jour Donald Trump devait disparaître dans les oubliettes, les rapports ne seront plus jamais les mêmes, ceux d’un vassal qui doit une éternelle reconnaissance au grand frère qui l’a sauvé en quelque sorte. Il n’y aurait rien à redire, si l’UE était dans ce contexte en position de force. C’est de loin pas le cas, la raison pour laquelle le président des États-Unis lui assène un coup de bâton après l’autre. Tout d’abord en brandissant la menace de taxes douanières, puis son soutien immodéré à tous les casseurs de l’Europe, comme un Boris Johnson ou un Nigel Farage en Grande Bretagne, les durs des durs du Brexit. Sans oublier ses sympathies pour Madame Le Pen, Monsieur Salvini et autres. Dans ce cas bien précis il peut tendre la main à Vladimir Poutine. Trump n’a aucun complexe, comme ce qui est aussi le cas du maître du Kremlin, de s’immiscer dans les affaires internes d’autres pays, de démontrer quel mépris il porte à la démocratie. Non, nous ne devons pas jouer son jeu, avoir une attitude identique à celle d’un mouton menacé pas un loup. Nous devons lui faire face, même si cela devait être douloureux. Weiterlesen

Onze djihadistes français ont été condamnés lors d’une procédure – je ne peux pas parler de procès – à mort en Irak. Tout cela a été réglé en une demi-heure, ce qui ne correspond aucunement à l’idée que nous nous faisons de la justice en Europe. Même s’il s’agit de criminels qui n’ont pas hésité à agir d’une manière totalement inhumaine, ils ont droit à une justice équitable. Ce qui s’est passé là est inacceptable. Deuxième point plus que contestable : Peut-on accepter que des ressortissants français ou allemands soient exécutés sans autre? La peine de mort ayant été radiée, il ne peut pas en être question, mêmes si les délits reprochés le justifieraient. Il est inconcevable de vouloir se débarrasser ainsi de concitoyens indésirables. Le gouvernement français, soutenu par d’autres pays, voudrait mettre en place en Irak un tribunal à caractère international, qui se référerait aux lois humanitaires que nous connaissons ici. Je vois mal comment cela pourrait être accepté par Bagdad. Ne serait-ce pas une ingérence étrangère dans la législation irakienne? Ces crimes ont été commis sur le territoire de ce pays. Les victimes ont été pour la plupart des autochtones. Comment donner les arguments nécessaires pour agir ainsi? Les autorités locales prétendront que chaque djihadiste savait parfaitement à quoi il s’exposait en devenant membre de l’EI, qu’il pouvait subir la peine capitale en cas d’arrestation. D’accord mais n’empêche pas que les ressortissants étrangers ne peuvent pas tout seulement être exécutés. L’option d’une extradition est aussi pleines d’embûches. Elle pourrait d’après le droit international qu’être légitime, si les djihadistes étaient poursuivis en métropole pour des méfaits similaires. À part certains liens avec des terroristes ayant commis des attentats en France ou ailleurs en Europe, il n’y a pas à ma connaissance des raisons analogues de les juger ici. Weiterlesen