Le maire LRM de Besançon a fait passé au conseil municipal un décret interdisant de s’asseoir ou de se coucher en public. Il vise tout particulièrement les SDF et les mendiants. La démarche de Jean-Louis Fousseret, un transfuge du PS est jugée inacceptable par la gauche. Malgré les protestations des commerçants du centre de la ville, bien des citoyens se rendent compte que des mesures d’une telle inhumanité blessent la réputation de la métropole Franc-Comtoise. Charles Fourier, Pierre-Joseph Proudhon ou Victor Hugo, des enfants de Besançon sont évoqués par les opposants. Ces derniers se sont regroupés sur la Place Pasteur, où ils pratiquent le sit-in. Il est bon que le mouvement protestataire, « Je suis assis », ait thématisé ce qui s’est passé. L’arrêté a été ratifié à l’unanimité le 3 juillet de cette année. Il a été limité à un périmètre, à des dates et des heures très précis. En cas de « délit », une amende de 38 euros est prélevée. J’ai été très choqué lorsque j’ai lu cette nouvelle. Il y a déjà eu des règlements analogues en France afin de chasser les SDF des murs de la cité. Dans certains cas l’eau des fontaines a été coupée pour mettre à sec les pauvres. De telles pratiques blessent la Charte des droits de l’homme. J’irai même un pas plus loin en déclarant que c’est une attitude criminelle qui devrait passer au tribunal. Je suis tout à fait conscient du problème qu’amène la mendicité. Weiterlesen

Seit 2010 hatten die EU-Partner und der Internationale Währungsfonds das überschuldete Euro-Land mit insgesamt 289 Milliarden Euro an vergünstigten Krediten vor der Staatspleite bewahrt. Im Gegenzug musste Athen harte Reformen, Sozialkürzungen sowie Steuererhöhungen durchsetzen und sich verpflichten, daran festzuhalten. Damit konnte ein Ausstieg Griechenlands aus der Eurozone verhindert werden. Zudem wurden zahlreiche Banken in der Eurozone gerettet. Dorthin flossen nämlich die meisten Gelder, die zur Rettung Griechenlands ausgezahlt wurden.

Seit 2010 hatten die EU-Partner und der Internationale Währungsfonds das überschuldete Euro-Land mit insgesamt 289 Milliarden Euro an vergünstigten Krediten vor der Staatspleite bewahrt. Im Gegenzug musste Athen harte Reformen, Sozialkürzungen sowie Steuererhöhungen durchsetzen und sich verpflichten, daran festzuhalten. Damit konnte ein Ausstieg Griechenlands aus der Eurozone verhindert werden. Zudem wurden zahlreiche Banken in der Eurozone gerettet. Dorthin flossen nämlich die meisten Gelder, die zur Rettung Griechenlands ausgezahlt wurden.

Die Eule nach Athen

Nicht nur bei den Türken wackelt die Wirtschaft. Auch bei den Nachbarn in Griechenland sieht der ehemalige Finanzminister Gianis Varoufakis sein Land noch nicht als gerettet an. „Griechenland steht am selben Punkt, im gleichen schwarzen Loch und es versinkt jeden Tag tiefer darin. Auch, weil die Sparvorgaben der Gläubiger Investitionen und den Konsum behindern“ (BILD).

Das hoch verschuldete Griechenland muss erstmals seit mehr als acht Jahren ohne internationale Finanzhilfen auskommen. Das Kreditprogramm des Euro-Rettungsschirms ESM – das dritte Hilfspaket für Athen seit 2010 – endet. In Athen sind keine größeren Feierlichkeiten dazu geplant. Mit Spannung wird jedoch eine Rede des griechischen Regierungschefs Alexis Tsipras erwartet. Noch spannender wird aber sein, wie die Märkte in den kommenden Monaten reagieren werden.

Seit den 1980er Jahren hatten fast alle Regierungen in Athen die Staatskasse überstrapaziert. Um sich politische Unterstützung zu sichern, finanzierten sie üppige Renten und Gehälter mit Geld, das sie gar nicht hatten. Die Steuerdisziplin ließ zu wünschen übrig. Die zunehmenden Lücken im Haushalt wurden einfach schöngerechnet. Umso heftiger war dann der Schock im Oktober 2009, als das Land schließlich einräumen musste, dass das eigene Defizit noch viel größer war als bis dahin bekannt.

Keine Frage: Die Regierung von Alexis Tsipras hat geliefert und die Defizite im Staatshaushalt zurückgefahren – wie von den internationalen Gläubigern gefordert. Aber nur Sparen bringt das Land nicht voran. Zumal Griechenland die wesentlichen Reformen, um die Wirtschaft wettbewerbsfähiger zu machen, nicht angepackt hat (Manos Matsaganis, Wirtschaftsprofessor in Mailand).

Der Fokus der Reformen lag vor allem darauf, die Lohnkosten zu senken. Dann, so die Logik, könnten die griechischen Unternehmen ihre Produkte günstiger auf dem Weltmarkt anbieten. Aber die Löhne in der Privatwirtschaft seien schon vor der Krise nicht übermäßig hoch gewesen, sagt der griechische Ökonom. Der Lohndruck habe also wenig gebracht – außer die Binnennachfrage zu senken und die Wirtschaftskrise weiter zu vertiefen. „Es kann nicht das Ziel sein, bei den Löhnen mit Ländern wie Vietnam zu konkurrieren“ (tagesschau.de).

Doch die Auswirkungen der Sparprogramme sind gravierend: Die Wirtschaftskraft des Landes hat deutlich abgenommen. Viele Einwohner spüren bislang nichts von der Stabilisierung des Landes. Die meisten Menschen haben rund ein Viertel ihres Einkommens verloren. Noch immer ist jeder Fünfte arbeitslos, gut 400.000 gut ausgebildete meist junge Menschen, darunter viele Ärzte und Ingenieure, sind ausgewandert. Die Staatsverschuldung beträgt rund 180 Prozent der Wirtschaftsleistung – der höchste Wert in Europa.

Die Krise hatte viele Ursachen. Dazu gehörte sicher maßgeblich, dass Griechenlands relativ junge Demokratie – erst 1974 stürzte die Militärdiktatur – unter Vetternwirtschaft, Korruption und einem überbordenden Verwaltungsapparat litt.

Vor allem nach dem Euro-Beitritt 2002 und in den Jahren vor 2010 überstiegen die Staatsausgaben die Einnahmen erheblich, wegen undurchsichtiger Statistiken jedoch war das Ausmaß der Verschuldung lange unklar. Papandreou konnte noch 2009 die Wahlen mit dem Slogan „Geld gibt es“ für sich entscheiden.

Entscheidend dürfte sein, ob Griechenland künftig genug Investitionen sichern kann. In den nächsten Monaten muss Athen zudem noch intensivere Kontrollen der Euro-Partner dulden. Abweichungen vom Reformkurs sollen damit früh registriert werden. Für den Schritt aus dem Hilfsprogramm stehen nun außerdem 24 Milliarden Euro von den Gläubigern und aus eigenen Mitteln bereit. Knapp zwei Jahre könnte Athen sich damit im äußersten Fall finanzieren.

Athen wird auch nach dem Ende des Programms verstärkt von den Euro-Partnern überwacht. Bis 2022 muss Griechenland im Haushalt einen jährlichen Primärüberschuss – also ohne Zahlungen für den Schuldendienst – von 3,5 Prozent erreichen. Daran sind weitere Schuldenerleichterungen geknüpft. Zudem muss Athen bis 2060 einen Primärüberschuss von 2,2 Prozent erzielen – ein Ziel, dessen Umsetzung viele Experten als sehr schwierig bewerten.

Si je ne prenais pas au sérieux mon métier de journaliste, je ne parlerais pas de cette nouvelle de la nuit, qu’est l’interview qu’a donnée Donald Trump à Reuter à la Maison Blanche. Il s’est agi de la politique étrangère. Il n’a que rabâché ce qu’on savait déjà. Malgré les négociations qui seront menées cette semaine avec la Chine, dans le but d’un rapprochement entre les deux pays, il laisse entrevoir aucun progrès en ce qui concerne la guerre commerciale. C’est un bras-de-fer qui mettra un certain temps à se régler. Personne ne veut perdre la face. Mais au bout du compte, je ne peux que m’imaginer qu’il y aura un accord et celui pourrait faire mal à l’UE. Il faudra que les Européens avale une couleuvre, sinon…. Mon instinct me souffle à l’oreille, qu’un tel deal pourrait nous mettre au pied du mur. En ce concerne l’UE, d’après le compte-rendu de la discussion avec Reuter, il n’en a été que question marginalement. Je pense qu’il exigera des corrections en sa faveur. Mais cette fois-ci pas des paroles musclées. L’accord avec Jean-Claude Junker semble tenir pour l’instant. Mais je n’ai guère de doutes, qu’il le remettra en question si cela peut lui apporter des avantages. Affaire à suivre. Weiterlesen

Ce n’est pas qu’en France que la psychiatrie est dans un état bancal, aussi en Allemagne. Pas d’argent, pas de personnel compétent dans se nombreux cas, de mauvais salaires. C’est le parent pauvre du système de la santé. Peu dire dans quel état on se trouve. Tout cela est d’autant plus paradoxal lorsqu’on sait qu’un cinquième de tous les patients est atteint de troubles psychiques. Tendance à la hausse ! Il y a une grande peur chez tous les citoyens, lorsqu’il en est question. Il est difficile de définir ce qu’on nommait au 18ème et 19ème la mélancolie. Un manque de force psychique qui entrave le quotidien, l’incapacité de sortir par ses propres moyens de son trou. Le peuple aurait plutôt tendance à vouloir ignorer cette maladie dévastatrice, qui peut aboutir au suicide. Essayer de s’inculquer que ce sont toujours les autres qui sont concernés, est monnaie-courante. On préfère faire un détour ! Cela peut probablement expliquer, pour quelle raison il manque un lobby en ce qui concerne la psychiatre, des gens devant faire pression sur les pouvoirs publics. Ce qui rend toutes améliorations difficiles, c’est que les dégâts mentaux ne peuvent pas être définis comme les dommages d’un pont. Ils sont sous-jacents, s’introduisent partout, sans qu’il soit possible de prendre les mesures nécessaires. Lorsqu’il s’agit de psychiatrie, il faut partir à zéro, essayer de définir les raisons du mal, que ce soit au travail ou dans le privé. Weiterlesen

Au lieu de rendre hommage à Kofi Annan, l’ancien secrétaire général des Nations Unies, en relatant son courage, sa détermination à faire passer l’homme avant toutes considérations politiques, je veux essayer de symboliser son œuvre par le refus des gardes-côtes italiens de laisser se noyer 177 migrants au large de Lampedusa. Ces marins ont refusé de suivre les ordres de Matteo Salvini, le ministre de l’intérieur, de les laisser « barboter » dans les eaux de la Méditerranée jusqu’à mort s’en suive, car c’était aux Maltais de s’en occuper. Ils ont sauvé ce qui restait comme honneur aux Italiens. Un gouvernement qui est devenu à mes yeux criminel et qui devrait être mis en accusation par la Cour pénale internationale de la Haye, un organisme créé par Kofi Annan. „Nous sommes des marins, des marins italiens. Nous avons 2.000 ans de civilité derrière nous et ces choses-là, nous les faisons“, avait déclaré quelques jours plus tard le commandant des garde-côtes, l’amiral Giovanni Pettorino, sans pour autant faire directement référence à l’incident. J’ai repris de toute pièce cet extrait d’un article du Nouvel Obs, car il n’y a rien à y ajouter. Je pense que Kofi Annan aurait pu dire la même chose. La désobéissance civique est pour moi une nécessité absolue, lorsque les gouvernants blessent à ce point la Charte des droits des hommes. Seul les considérations morales comptent, pas les dérapages de certains politiciens, comme à l’époque George Bush junior, qui après les attentats de New-York du 11 septembre 2001, a déclaré injustement la guerre à l’Irak. Kofi Annan s’y était opposé. C’est un exemple que chacun d’entre-nous devrait suivre, s’il y a blessure de l’éthique. C’est elle qui a la priorité absolue. S’il y avait eu plus de résistance à l’époque nazie provenant du peuple allemand, il n’y aurait pas eu Auschwitz. Weiterlesen

Plus que 565 enfants d’immigrés sont encore détenus aux USA, malgré la promesse de les rendre à leurs parents. Parmi eux 24 sont âgés de cinq ans ou moins. 366 parents ne sont plus au États-Unis. 154 enfants ont témoigné le souhait de plus les revoir et 180 d’entre-eux ne peuvent pas être rendus car ils seraient menacés. Voici pour les chiffres. Il va sans dire que je trouve tout cela choquant. C’est comme si on prenait des gosses en otage. Comment avoir encore confiance en la démocratie américaine dans de telles conditions ? L’État est-il devenu félon ? Vouloir régler d’une telle manière la migration n’est pas acceptable. Il faudrait que Washington fasse tout ce qui est dans son pouvoir pour que les familles se recomposent, mais j’émets des doutes à ce sujet. Sait-on où se trouvent les parents qui ont dû quitter le territoire américain ? J’ose espérer que la communauté internationale fasse pression afin qu’un tel comportement ne se reproduise plus. Mais ce que je trouve inquiétant lorsque je lis le communiqué du ministère de la justice, c’est que cela puisse devenir un modèle pour d’autres nations combattant la vague migratoire. Je ne mets pas ma main au feu, que certains pays de l’UE ne seraient pas tentés de faire de même, prétendant que ce serait un bon moyen de dissuasion. Au cours de l’histoire, les enfants ont été toujours employés comme moyen de pression. On s’attaque à l’affectif et on sait que cela touche au plus profond l’équilibre mental. Weiterlesen

La honte et la colère, c’est ce que ressent le pape François lorsqu’il a appris ce qui s’est passé en Pennsylvanie, où plus de 300 prêtres ont molesté et violé des enfants. Il y a eu plus de 1000 victimes. Les derniers faits remontent à 2010 et pourront être jugés. Pour les autres il y a prescription. « Les prédateurs » ne se retrouveront pas en justice s’ils vivent encore. Les autres sont décédés. Il est déconcertant de constater que nous ne sommes pas arrivés au terme des investigations en ce qui concerne la pédophilie dans le milieu ecclésiastique. Mais ce qui est prioritaire, c’est que des méfaits tels que ceux évoqués, ne se reproduisent plus. Mais ce ne sont pas des paroles bien-pensantes qui changeront quoi que se soit. Il faut passer à l’acte. Tant que le célibat restera un dogme intouchable, rien ne pourra s’améliorer. Je ne vois pas les raisons théologiques qui obligent des jeunes gens de renoncer complètement à leur sensualité. N’est-ce pas un déni de ce que Dieu nous a offert de plus beau, l’érotisme ? Il ne suffit que de lire les merveilleux chants de David, afin de se rendre compte, que la foi ne peut pas être amputée de ce qu’il y a de plus noble : l’amour. Le pratiquer que mentalement mène à la longue à des pressions insoutenables, qui expliquent de tels drames. Les adeptes du célibat diront, que toutes personnes voulant entrer au sein de l’Église savent à quoi s’en tenir. Oui, mais prenez les séminaristes, qui dans un premier temps sont plus ou moins otages de leur foi. Dans leur enthousiasme ils sont dans un premier temps, à des milliers de lieues de l’amour physique. Mais comme les cas de la Pennsylvanie le démontrent, il faut vraiment être un saint si on ne veut pas toucher au fruit défendu. Mais au lieu que ces relations se passent à un âge normal, tout cela se déroule dans le cadre de la pédophilie. Des enfants, dont les prêtres avaient le devoir de les protéger, sont attaqués dans leur intimité par ceux qui en avaient la garde. Weiterlesen

Du weißt, ich habe keine Geheimnisse.

Ich bin einfach ich.

Und ich liebe die alten Schlitten.

Schlitten schlittern dich direkt ins Leben.

Und ich liebe die alten Bäume, die Patina, den Rost.

Vielleicht viel mehr als mich.

 

Du weißt, ich sage Dinge.

Dinge, die ich nicht sagen will.

Und sage Dinge, die ich nicht sagen darf.

Und ich sage Dinge, die ich gar nicht bin.

Und immer doch bin ich einfach ich.

 

Du weißt, ich liebe den Duft des Windes.

Der mich trägt, wohin auch immer.

Und ich liebe es, zerstreut zu werden.

Wohin es mich auch treibt.

Du weißt, ich bin frei und unfrei.

Weil ich mich selbst gefesselt habe.

Auf dem Scheißhaufen eines wilden Lebens.

 

Du weißt, ich bin nicht glücklich.

Ich habe das Glück zu oft getreten.

Stets getreten, in die Fresse.

Dem Teufel ins Gesicht gelacht.

Und mir nichts dabei gedacht.

 

Du weißt, ich bin alt geworden.

Meine Patina sind meine Zweifel.

Nur du weißt, wie ich bin.

Und du weißt es nicht.

Und ich selbst wusste es tatsächlich nie.

 

Die Patina verzaubert meine marode Fassade.

Ich mag mich selbst nicht sehen.

Ich liebe alte Schlitten, ich liebe alte Bäume.

Die Patina, den Rost.

Und ich liebe noch so viele Dinge.

Über die ich gar nicht sprechen kann.

 

Dabei liebte ich so sehr den Wind.

Ich liebte alles mehr als mich.

Du sagst, der Zug ist abgefahren.

Und das… weiß ich schon lange.

Weißt du eigentlich, wie spät es ist?

 

© Petra M. Jansen

 

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