Donald Trump cherche à redorer son blason et a eu une inspiration « tweet », celle de dire un petit bonjour à « my friend  Kim Jong Un » à la ligne de démarcation entre les deux Corées. Chose faite. Le président américain a même foulé le territoire du Nord de la péninsule, ce qu’aucun de ses prédécesseurs avait fait. De quoi alimenter la presse avide d’images chocs. Le tout accompagné de déclarations dithyrambiques qui ne nous mènent pas plus loin. L’accord au sujet du nucléaire piétine toujours. Les sanctions économiques ne sont toujours pas levées, mais elle pourraient, à en croire Donald Trump, être suspendues. Harry J. Kazianis, spécialiste de la République populaire démocratique de Corée au Center for the National Interest à Washington pense : « Une telle formulation donnerait à la Corée du Nord l’incitation économique dont elle a besoin pour ranimer son économie, tout en donnant à Donald Trump une grande victoire diplomatique au moment où les tensions montent dans le monde entier, que ce soit avec les alliés ou avec les ennemis des États-Unis » Il est évident que la Maison Blanche doit désamorcer d’une certaine manière le conflit entre la Chine et les USA en ce qui concerne les taxes douanières. Mais comment revenir à la normale sans pour autant perdre la face ? En glanant des points dans la région. Il est dans l’intérêt du Président de renforcer la concurrence économique entre l’Empire du Milieu et ses voisins, que ce soient le Japon ou la Corée du Sud. S’il y avait une coopération avec le Nord, cela créerait une nouvelle dynamique. Xi le sait et ne peut pas torpiller ce qui se dessine à l’horizon. N’oublions pas qu’il est encore aujourd’hui le principal allié de Pyongyang. Sans son soutien le régime se serait écroulé depuis belle lurette. Weiterlesen

Si je ne prenais pas au sérieux mon métier de journaliste, je ne parlerais pas de cette nouvelle de la nuit, qu’est l’interview qu’a donnée Donald Trump à Reuter à la Maison Blanche. Il s’est agi de la politique étrangère. Il n’a que rabâché ce qu’on savait déjà. Malgré les négociations qui seront menées cette semaine avec la Chine, dans le but d’un rapprochement entre les deux pays, il laisse entrevoir aucun progrès en ce qui concerne la guerre commerciale. C’est un bras-de-fer qui mettra un certain temps à se régler. Personne ne veut perdre la face. Mais au bout du compte, je ne peux que m’imaginer qu’il y aura un accord et celui pourrait faire mal à l’UE. Il faudra que les Européens avale une couleuvre, sinon…. Mon instinct me souffle à l’oreille, qu’un tel deal pourrait nous mettre au pied du mur. En ce concerne l’UE, d’après le compte-rendu de la discussion avec Reuter, il n’en a été que question marginalement. Je pense qu’il exigera des corrections en sa faveur. Mais cette fois-ci pas des paroles musclées. L’accord avec Jean-Claude Junker semble tenir pour l’instant. Mais je n’ai guère de doutes, qu’il le remettra en question si cela peut lui apporter des avantages. Affaire à suivre. Weiterlesen

Alfred Jarry aurait eu du plaisir à observer le Roi Ubu du 21ème siècle, qu’est la girouette Donald Trump. Au sujet du G7, il est entré dans un magasin de porcelaine comme le légendaire éléphant qui a tout cassé ce qui était à portée de vue. Il a réussi ce qu’aucun président depuis la guerre a pu faire, se mettre à dos les anciens alliés des États-Unis. Assez écris à ce sujet. Pour redorer le blason, le voilà à Singapour, où il vient de rencontrer le petit dictateur de la Corée du Nord, Kim Jong Un. Il a gonflé ce ballon de baudruche, qu’est cet événement, comme il n’est pas permis de le faire. Regardez-donc dans votre Atlas. Vous vous rendrez-compte de la démesure de cette rencontre. Bien sûr, Pyongyang dispose actuellement de l’arme atomique, ce qui lui donne évidemment de l’importance. Mais vouloir comparer ce qui s’est passé au Canada avec cette première rencontre, serait insensé. Comme coup médiatique c’est assez réussi, mais il faut espérer que les journalistes sauront placer cette rencontre dans son vrai contexte. À l’instant, où je vous écris, il y a séance plénière entre les deux délégations. Je pense qu’au terme de cette conférence, il sera possible de rédiger un communiqué assez lyrique, mais qu’en sera-t-il du contenu ? Il est encore trop tôt pour le savoir, mais je peux m’imaginer que ce seront de belles déclarations d’intention, mais il est impossible d’entrer dans les détails, car la préparation de ce face-à-face a été plutôt bancale. Weiterlesen

Wie nah steht die Welt vor einem Atomkrieg? Können wir den Herren Donald Trump und Kim Jong-Un noch trauen? Die Debatte über die Größe des jeweiligen Startknopfes für die landeseigenen Atomraketen ist beängstigend, schaukeln sich doch beide gegenseitig hoch.

Jene Debatte dient in sozialen Medien als Beleg für die Unzurechnungsfähigkeit des jeweiligen Staatsführers. Sachlich betrachtet handelt es sich um eine Falschnachricht. Weder Trump noch Kim verfügen nach aller Erkenntnis über diesen symbolischen Startknopf, mit dem sich ein Nuklearkrieg auslösen ließe.

Der Schlagabtausch der beiden erreichte seinen Höhepunkt, als Trump feststellte, dass er einen Nuklearknopf habe, der „viel größer und machtvoller“ sei als der Kims.

Trump reagierte damit auf die Neujahrsansprache des nordkoreanischen Diktators, in der Kim gesagt hatte: Es sei keine leere Drohung, sondern Realität, dass er einen Nuklearknopf auf seinem Schreibtisch in seinem Büro habe. Das gesamte Festland der Vereinigten Staaten könne durch seinen Nuklearschlag erreicht werden.

Auch wenn dieser Austausch weltweit Ängste verbreitet, der Streit ist ohne Substanz. Der US-Präsident verfügt zwar über die Macht, jederzeit einen Atomschlag auslösen zu können. Allerdings drückt er dazu nicht auf einen Knopf auf seinem Schreibtisch. Warum sich diese Fantasie so stark in den Köpfen festgesetzt hat, ist unklar.

In Filmen und dramatisierten Darstellungen über den Kalten Krieg kommt immer wieder ein „roter Knopf“ zum Einsatz. Dahinter steht wohl die Vorstellung, dass eine Sprengung selbstverständlich per Zündbefehl ausgelöst werden muss. Als die USA und Russland während der Obama-Regierungszeit ihre Beziehungen auf Neuanfang stellen wollten, drückten die jeweiligen Außenminister gemeinsam und symbolisch auf einen solchen roten Knopf.

Der Kommandoweg für den Einsatz des amerikanischen Nuklearwaffenarsenals ist hingegen mehrstufig. Der Befehl wird ausdrücklich nicht per Knopfdruck gegeben, sondern per mündliches Kommando erteilt. Dazu müsste sich der POTUS zunächst mithilfe einer Codekarte als Befehlshaber gegenüber seinem Verteidigungsminister oder einem kommandierenden General identifizieren. Anschließend müsste er einen Startcode freigeben, der in einem Kommandostand seine Entsprechung fände.

Wer auch immer den Befehl des Präsidenten entgegennimmt könnte ihn auch verweigern. Einen direkten Zugriff Trumps auf die Startvorrichtung eines der etwa 900 amerikanischen Nuklearsprengkörper gibt es nicht. Auch gibt es keinen Knopf auf dem Schreibtisch, wie Trump behauptet. Vielmehr werden Codes und Richtlinien für das Einsatzverfahren immer in der Nähe des Präsidenten in einem Koffer aufbewahrt, in der Fachsprache „Football“ genannt.

Die Startprozedur für eine nordkoreanische Rakete ist nach westlichen Erkenntnissen nicht standardisiert. Unabhängig von der Frage, ob das Land bereits über einen einsatzfähigen Sprengkopf für eine Langstreckenrakete verfügt, ist auch hier kein plötzlicher Angriff per Knopfdruck möglich. Sämtliche Langstreckenraketen des Landes werden mit Flüssigtreibstoff befüllt, was Stunden an Vorbereitung vor einem Start erfordert. Dauerhaft kann keine mit Flüssigtreibstoff betriebene Rakete startbereit gehalten werden, hört man aus Expertenkreisen.

Machthaber Kim ist zwar immer wieder auf Bildern zu sehen, unter anderem in einem eigens gebauten, mobilen Kommandostand. Eventuell gibt er dort tatsächlich den Startbefehl per Knopfdruck. Fachleute halten es für unwahrscheinlich, dass er eine automatisierte Startvorrichtung in einem Büro unterhält. Dazu bedürfte es einer sicheren Datenleitungsinfrastruktur, des Weiteren müssten Kommunikationseinrichtungen aufgebaut werden.

Wie üblich bei nordkoreanischen Festen und der entsprechenden Ansprache Kims: die Nulearknopf“-Mär ist blanke Aufplusterei und Provokation. Und wie gewohnt verfängt sie bei US-Präsident Trump. Man kann nur hoffen, dass sich die beiden Streithähne auf verbaler Ebene austoben.

Le cow-boy a fait son entrée avec son cheval dans le saloon qu’est la grande salle de conférences des Nations Unies à New York. Il a tiré son colt de sa ceinture et à tiré en l’air. C’est lucky Donald, le justicier à la main de fer, qui n’a peur de rien et qui tout au long des journées fanfaronne. Autour de lui des balafrés, des filles de joie et une profusion de whisky. America first ! Il monte sur une table et harangue les éleveurs qui se trouvent là afin de pouvoir discuter calmement de leur ranch, du bétail et du climat qui leur redonne du fil à retordre. Lucky Donald n’en a rien à foutre. Il est là parce que il aimerait donner une raclée à ce petit gros qu’est le triste Sire Kim, un emmerdeur fini qui aimerait faire le carton parmi les rangs des paladins de Lucky ! Je pourrais continuer d’écrire de telles insanités, mais elles reproduisent bien ce qui s’est passé cet après-midi à l’Assemblée générale des Nations Unies. Le discours de Donald Trump a une fois de plus démontré à quel point ce président est primitif. Au lieu de passer outre les menaces de Kim Jong-Un, il se laisse provoquer par un mini-potentat qui n’est qu’une Fata Morgana. Le rapport de forces est ridicule. Cela me rappelle mon enfance, lorsque dans le préau de l’école j’ai été menacé par un ado qui portait un coup de poing américain. Son éducateur, car c’était un fils de milliardaire, l’incitait à me rouer de coups. Mais contrairement à Kim Jong-Un je ne l’avais pas provoqué. Je ne sais pas ce que je ressentirais si j’étais Américain. Je crois que j’aurais honte que mon chef d’État manque tellement de souveraineté. Il est en train de ruiner ce qui reste d’honneur à ce grand pays. Son rôle aurait été de mettre à sa place en deux mots le dictateur Nord-Coréen et de passer à un autre sujet. Je pense que la bêtise est un vrai danger car elle est imprévisible. Weiterlesen

In und um Nordkorea rumort es … Die Mittelstreckenrakete, die der nordkoreanische Diktator Kim Jong-Un neulich über die japanische Insel Hokkaido in den Pazifik schießen ließ, transportierte eine klare Botschaft: Nordkoreas Raketen – mutmaßlich eine Hwasong 12 – könnten die US-Pazifikinsel Guam erreichen, wenn Pyongyang es denn wollte. Mit anderen Worten: Kim verfolgt das Ziel, die USA abzuschrecken, ohne Präsident Donald Trumps rote Linie zu übertreten.

Der jüngst Raketenstart wurde von allen Nachbarn Nordkoreas scharf verurteilt, auch von China. Südkoreas Außenministerin Kang Kyung-Wha sprach mit ihren Kollegen in Washington und Tokio über mögliche Gegenmaßnahmen. Der UN-Sicherheitsrat forderte von Pjöngjang, sein „empörendes Verhalten“ sofort einzustellen.

Die Bedrohungslage hat sich indes kaum geändert. Nordkorea hat bisher nicht gezeigt, dass es den kontrollierten Wiedereintritt einer Rakete in die Atmosphäre bewältigen kann. Auch bezweifeln die meisten Experten, dass das Land in der Lage ist, einen Atomsprengkopf so zu verkleinern, dass er auf eine Hwasong 12 montiert werden kann.

Zudem ist unwahrscheinlich, dass Pjöngjang seine Raketen selbst entwickelt. Die Hwasong-12 tauchte quasi aus dem Nichts auf und wurde ohne Tests aus Gefechtsstellungen abgeschossen. Das legt den Verdacht nahe, dass die Rakete und andere Marschflugkörper heimlich eingekauft und höchstens in Nordkorea zusammengebaut wurde.

Das Regime in Pjöngjang weiß, dass es einen Krieg nicht überleben würde – womöglich nicht einmal die ersten paar Stunden. Kims eigenen Aussagen zufolge will Nordkorea die USA mit seinem Atomwaffenprogramm von jedem Versuch des Regime-Sturzes abschrecken.

Kang Sang-Jung, Politologe in Japan, ist überzeugt, dass das jämmerliche Ende des irakischen Diktators Saddam Hussein für die Kims ein traumatisches Erlebnis gewesen sei. Wohl nicht zufällig hieß es in nach dem Raketenstart in nordkoreanischen Medien: „Wir sind nicht Libyen, wir sind nicht der Irak“, die ganze Welt könne sehen, dass Atomwaffen ein wichtiger Pfeiler der Verteidigung Nordkoreas seien. Auch Trump plant wohl keinen Militärschlag, sonst würde er die Evakuierung der fast 200.000 US-Bürger zumindest vorbereiten, die in Südkorea leben. Und doch steigt mit jeder Provokation ein bisschen die Gefahr eines Krieges, den keiner will.

Worauf Kim letzten Endes baut, ist die Tatsache, dass die Amerikaner noch nie eine Nation angegriffen haben, die im Besitz von Atomwaffen ist. Kim läuft die Zeit davon. Innenpolitisch steht es nicht zum Besten. Das wissen wir spätestens seit Anfang des Jahres (n-tv.de). Was wäre, wenn zu dem außenpolitischen Schlamassel noch ein Volksaufstand hinzukäme? Erfahrungsgemäß geht ein in Armut und Unterdrückung gehaltenes Volk auf lang oder kurz auf die Barrikaden. Das lehrt uns die Geschichte. Die nordkoreanische Regierung verfügt offensichtlich über keine tauglichen Marschflugkörper. Man wird weiter testen und läuft damit augenscheinlich die Gefahr einer militärischen Auseinandersetzung. Testet Kim hingegen nicht weiter – was unwahrscheinlich ist – wird sein Volk die Chance des Umsturzes gekommen sehen, nimmt man den außenpolitischen Druck auf Nordkorea mit dazu.

Während der letzte Raketenabschuss wohl keine Eskalation darstellt, hat Pjöngjang die Lautstärke seiner Verbalattacken am Vorabend des Abschusses noch einmal hochgedreht. So verkündete ein Sprecher des Koreanischen Asien-Pazifik Friedens-Komitees: „Lasst uns das amerikanische Festland in Asche und Dunkelheit verwandeln“. Man weiß: Solche Töne lässt jemand wie Trump nicht gerne unbeantwortet.

Experten fürchten, dass Nordostasien in einen Krieg hineinschlittern könnte, wenn es nicht gelingen sollte, Nord- und Südkorea, die USA und China an den Verhandlungstisch zurückzubringen. Eines aber stimmt vorsichtig optimistisch: Trump lässt sich, anders als die Neokonservativen um George W. Bush, nicht von der Ideologie leiten, dass Demokratie exportiert und Nationen einfach so gegründet werden können.

An der Sicherheitskonferenz in Montreux soll es zu einem informellen Austausch zwischen einem ehemaligen Top-US-Diplomaten und einem hochrangigen Vertreter des nordkoreanischen Außenministeriums gekommen sein.

Die Konferenz fand vom 11. bis 13. September Montreux statt. Unter den 25 Teilnehmern waren Experten von Denkfabriken und Universitäten aus China, Südkorea, Nordkorea, der EU, Japan und der Mongolei.

Der Nordkorea-Konflikt lässt sich nur diplomatisch lösen. Vielleicht wurde hier der erste Schritt gemacht. Geht er schief, hat niemand „sein Gesicht verloren“. Einen Versuch war es wert.

La Corée du Nord a tiré un missile qui a survolé cette nuit le Japon. Nous arrivons de ce fait petit a petit à point de non-retour. Une situation d’autant plus dangereuse que Donald Trump se trouve sous le feu de la critique et a un cruel besoin de redorer son blason. Lorsque rien ne va plus, les potentats ont recourt à la guerre, afin de démontrer qu’ils sont puissants. De l’autre côté il y a le démagogue Kim Jong-un qui veut montrer de quel bois il peut se chauffer. Sa justification sont les manœuvres en Corée du Sud, où l’armée américaine participe massivement. Il suffit d’un incident et toute la machinerie d’une guerre nucléaire peut être déclenchée. Shinzo Abe, le premier-ministre japonnais a qualifié ce tir comme « une menace sérieuse et grave pour le Japon ». Il a demandé au Conseil de Sécurité intervenir dans la matière. Il est de l’intérêt de la Chine de tout faire afin de désamorcer ce bras-de-fer et d’inciter son allié, qu’est la Corée du Nord, a enfin arrêter ce genre de provocations. Elle a déjà approuvé des sanctions économiques, mais cela ne semble pas suffire. Le tout serait plus facile si les rapports diplomatiques avec les USA étaient meilleurs. Le twitteur qu’est le président américain ne manque pas une occasion de cracher du venin sur les maîtres de Pékin, les accusant directement de nuire à l’économie américaine en pratiquant le dumping. C’est probablement assez exacte, mais dans la situation présent il s’agirait avant tout de réfléchir comment neutraliser Kim Jong-un. Ce dernier sait parfaitement qu’elle est l’ambiance entre les deux pays et continuera à attiser le feu pendant qu’il en est encore temps. Weiterlesen

Raketen-Experten zufolge rechnet man nicht mit einer echten militärischen Auseinandersetzung zwischen Nordkorea und den USA (Robert Schmucker, Deutschland).

Nordkorea könne einige Raketen in Richtung Guam schießen, sogar eine Rakete in Richtung USA starten.

Solch eine Rakete könne aber nicht mehr als eine kleine Nutzlast tragen; mehr könne es auch nicht sein.

Bei den jüngsten Tests der Nordkoreaner sind die Raketen nicht weit, sondern nur hoch geflogen .

Die Militärs um Machthaber Kim Jong Un hätten sie hochgeschossen, damit sie in seiner Nähe runterkommen, denn wenn man eine Rakete weit schieße, und der Wiedereintrittskörper runterkomme, dann müsse man ihn beim Testen aus dem Meer holen und untersuchen.

Die Nordkoreaner haben aber keine Marinekräfte zur Bergung von Raketenteilen aus dem Meer. Derartige Maßnahmen sind nicht erfolgt. In einem solchen Fall besteht Gefahr, dass das Kriegsgerät in die Hände anderer Nationen fällt. Nordkorea versucht hingegen durch Steilschüsse zu vermeiden, dass man erkennt, zu was das Land in der Lage ist. Und das ist nicht allzu viel.

US-Präsident Donald Trump lässt den Konflikt vor allem mit Worten eskalieren. Warum sollte er einen Atomkrieg anfangen?! Es bringt keinem etwas, hätte im Endeffekt die atomare Verseuchung der Region für mehre hunderttausend Jahre zur Folge, unabhängig von den weltweiten Auswirkungen eines solchen Konfliktes.

Die USA müssen aber reagieren. Politik bedient sich des Werkzeuges des Wortes. Sagt Kim, er schicke Raketen gegen die USA oder deren exterritoriale Gebiete, dann muss die amerikanische Regierung reagieren.

Es gibt aber auch andere Alternativen. Eine wäre – von Amtsvorgänger Barack Obama praktiziert -, die Provokationen des nordkoreanischen Machthabers Kim Jong Un zu ignorieren. „Unartige Kinder“ machen Dinge, um Aufmerksamkeit zu erhalten. Bei Kim ist das genauso: Er will Aufmerksamkeit! Präsident Trumps Reaktion ist also falsch. Zumal sie, betreffend den Tweet, nicht mit seinem Stab abgesprochen war.

Die Region Korea wird in Zukunft nicht stabiler werden. Südkorea will sich nicht mit Nordkorea vereinen, China und Russland wollen Nordkorea erhalten. Die Frage bleibt, ob eventuell ein interner Umsturz gelingen könnte; hierfür gibt es momentan keine Anhaltspunkte.

Sollte das Regime in Pjöngjang fallen, könnten viele Nordkoreaner nach China und Südkorea flüchten. Zudem würde die Einflusszone der Vereinigten Staaten, die eng mit Südkorea verbündet sind, dann bis an die Grenzen Russlands und Chinas heranreichen. Dies steht überhaupt nicht im Interesse Chinas, das vor einiger Zeit schon Truppen an der Grenze zu Nordkorea aufgefahren hatte.

Es kam neulich zu einem Telefonat der Staatschefs Chinas und der USA. Hier wurde betont, beide Seiten seien sich einig, dass Nordkorea seine Provokationen und Eskalationen beenden müsse. China und die USA hielten an ihrem Ziel einer atomwaffenfreien Koreanischen Halbinsel fest, heißt es in einer Verlautbarung.

Chinas Präsident Xi Jinping hat US-Präsident Trump in dem Telefonat zur Mäßigung im Atomstreit mit Nordkorea aufgefordert. Trump müsse „Worte und Taten“ vermeiden, welche die ohnehin angespannte Lage auf der Koreanischen Halbinsel verschlimmerten.

China ist der engste Verbündete Pjöngjangs. Vergangenes Wochenende hatte Peking allerdings im UNO-Sicherheitsrat einer Verschärfung der Sanktionen gegen Nordkorea zugestimmt. Das chinesische Außenministerium rief die USA und Nordkorea gestern zur Zurückhaltung auf. Trump hatte China in der Vergangenheit hingegen mehrfach vorgeworfen, zu wenig zur Lösung des Konfliktes beizutragen.

Wegen des sich zuspitzenden Atomstreits hat Japan Medienberichten zufolge mit der Stationierung eines Raketenabwehrsystems begonnen.

Jenes werde derzeit in mehreren Städten im Westen des Landes installiert.