La mise sous tutelle du quotidien d’opposition Zaman en Turquie, est un scandale pour tous démocrates. La police a utilisé des gaz lacrymogènes en attaquant le siège de ce quotidien. Dans un communiqué, la commission européenne a rappelé les principes qui la guident : « Tout pays, et en particulier ceux qui négocient l’accession à l’UE, se doit de garantir des droits fondamentaux, y compris la liberté d’expression, et les procédures judiciaires régulières, conformément à la Convention européenne des droits de l’homme » . Une position d’une grande clarté ! Et ceci peu avant les négociations qui doivent se dérouler entre l’UE et la Turquie concernant les réfugiés. C’est la démonstration éclatante que Recep Tayyid Erdoğan n’est pas prêt à accepter les conditions fondamentales pour faire accéder son pays à l’Europe des 28. En tant que journaliste je considère la liberté de la presse comme étant la pierre fondamentale de la libre expression de chacun d’entre-nous. En s’attaquant à ce principe, tous gouvernements enclins à le faire, restreint le libre-arbitre de ses citoyens. C’est la porte ouverte à un système autoritaire, comme nous le connaissons aujourd’hui du côté du Bosphore. En mettant sous les verrous des journalistes récalcitrants, le gouvernement turc se désavoue. C’est un signe d’impuissance, il devrait le savoir. C’est d’autant plus regrettable que nous nous trouvons dans une époque où la lutte contre les rebelles kurdes prend des dimensions dépassant les règles des droits de l’homme. Une grande minorité de la population est discriminée parce qu’elle ne se plie pas aux préceptes d’un président plus ou moins autocrate. Je ne salue en aucune manière les attentats meurtriers commis par la PKK, mais aussi le manque de doigté de la part d’Ankara. La répression de la presse entre dans un tel cadre. En voulant étouffer toutes critiques, la politique se met à faux. Weiterlesen
Monat: März 2016
Un signe de croix et voilà !
Une vague de fond a remué la vase qui se trouvait au fond de l’eau. Une fois de plus les agissements d’un prêtre sont à la une. Il s’agit cette fois-ci de Bernard Preynat, qui entre 1986 et 1991, a agressé sexuellement des scouts. Il a quitté sa paroisse du Roannais à la fin du mois d’août 2015 et a été mis en examen le 27 janvier 2016 après avoir reconnu les faits. Presque un fait banal lorsque de tels cas sont pour ainsi quotidiens. Ce qui l’est moins c’est son accusation envers la hiérarchie de l’Église. Il a prétendu que six personnes, dont le cardinal Barbarin, archevêque de Lyon et le cardinal Müller étaient depuis longtemps au courant. Une enquête a été ouverte pour non dénonciation de crimes. C’est plus qu’embarrassant, même si les personnes concernées réfutent ces accusations. Il est évident que la plupart des cas de pédophilie étaient connus. C’est à mon avis un scandale presque aussi grands que les faits mêmes. Et cela devrait remettre en question le célibat qui semble aujourd’hui dépassé. Il serait justifier que les responsables de l’Église se penchent enfin sur ce problème, d’autant plus qu’il est théologiquement contestable. Le christianisme des débuts permettait le mariage des prêtres. Cela a été valable pendant les premiers siècles. « 1074 , le Pape Grégoire VII dit que quiconque doit être ordonné , doit faire d’abord vœu de célibat : “ Les prêtres [doivent] tout d’abord s’échapper des griffes de leurs femmes „. » C’est donc un dogme que l’Église a introduit assez tard. À côté des questions spirituelles, il y avait un intérêt matériel. Un célibataire se devait de léguer tous ses avoirs à sa hiérarchie, que ce soit des biens mobilier ou immobiliers. C’est ainsi que le catholicise devint une force politique incontournable et imposa sa manière de voir. Après la sécularisation, de telles questions ne devraient plus être à l’ordre du jour. Weiterlesen
Le nucléaire aux assises ?
La centrale nucléaire du Bugey, dans le département de l’Ain, a été mise en route en 1978-79 et ne peut pas être qualifiée comme étant de prime-jeunesse. Les autorités du canton de Genève, en Suisse, s’oppose que ce site soit encore en fonctionnement. Également à l’intention d’y entreposer du matériel radioactif venant de réacteurs en démantèlement. Elles se sont adressées à l’avocate Corinne Lepage, l’ancienne ministre de l’écologie, afin d’obtenir des tribunaux la fermeture de ce site. La ville internationale se trouve qu’à 70 kilomètres de là. C’est dire qu’en cas de pépin, elle serait directement concernée. Genève avait déjà œuvré afin que le surgénérateur Super-phénix de Creys-Malville soit arrêté et démonté. Étant opposé au nucléaire, je ne peux que saluer une telle prise de position. Lorsque l’EDF prétend que toutes les mesures de sécurité sont prises et si ce n’était pas le cas, qu’elle les étende, est probablement vrai. Mais comme l’histoire l’a prouvé, personne n’est vraiment à l’abri de défaillances, qu’elles soient techniques ou humaines. À Tchernobyl des techniciens ont provoqué une catastrophe, qui aujourd’hui encore fait des victimes. Ils ont poussé les réacteurs au maximum, afin d’effectuer des contrôles. D’après ce qu’on sait l’infrastructure était en bonne état. L’exemple de Fukushima démontre à quel point les hommes manquent de jugement, lorsque l’argent est en jeu. Ils n’ont pas hésité à construire des centrales dans des régions soumises régulièrement aux séismes. Eux-aussi ont prétendu que tous dangers pouvaient être écartés. Aujourd’hui le gouvernement japonnais a l’intention de remettre le nucléaire sur les rails, malgré les risques de tremblements de terre. De l’inconscience ! Weiterlesen
Datenmoloch
Der Schocker am Mittwochmorgen: „Kartellamt ermittelt gegen Facebook!“. Die Nachricht hat es in sich. Zum ersten Mal rückt der Datenschutz eines Internet-Konzerns in den Fokus der Kartellbehörden.
Vorweg: Es drohen Facebook in diesem Verfahren keine hohen Strafen! Aber dass ein solches Verfahren überhaupt eröffnet wird, leitet einen neuen Umgang mit dem Datenschutz ein.
Bisher haben sich viele Datenschützer an Facebook abgearbeitet: mit keinem oder mäßigem Erfolg! Immer wieder hat Facebook seinen Nutzern neue Angebote gemacht, wie sie beschränken können, welcher Nutzer was sieht. Wie Facebook selbst die gespeicherten Daten verwendet, darüber wurden die Nutzer immer wieder im Unklaren gelassen. Gelegentlich dringen Meldungen über Experimente des Netzwerks nach außen, zum Beispiel über eine Analyse der Laune der Nutzer und der damit einhergehenden Manipulation derer – trotz aller Beschränkungsmöglichkeiten: Zurück bleibt ein unbehagliches Gefühl!
Die Waffen der Datenschützer sind stumpf, wenn jemand das soziale Netzwerk für seine Intransparenz bestrafen kann, dann ist es der Nutzer selbst. Das ist bisher unterblieben! Facebook ist trotzdem zum größten sozialen Netzwerk geworden, in Deutschland wie auf der ganzen Welt. Es bleibt den Nutzern auch wenig übrig. Wer ein soziales Netzwerk nutzen will, kann nicht einfach wechseln. Sämtliche sozialen Kontakte gingen verloren. Der Sinn eines Netzwerkes ist es ja gerade, „sozial“ zu sein.
Unter Ökonomen nennt man eine solche Situation ein „natürliches Monopol“. Der Monopolist diktiert die Leistung und den Preis (und Facebook ist nicht „umsonst“. Zahlt man nichts für die Nutzung, kostet es unsere Daten!) am Markt. Er kann dies, weil er keine ernstzunehmende Konkurrenz hat. Und die hat Facebook nicht. Warum? Google+ hängt – von der Größe gesehen – Facebook kaum hinterher … Aber: Letzteres hat einen Datenvorsprung! Facebook weiß nicht nur, welche Freunde die Nutzer haben, sondern hat auch jahrelang beobachtet, für welche Freunde die Nutzer sich am meisten interessieren und welche von deren Nachrichten ganz oben stehen müssen. Immer wieder haben andere Firmen Facebook mit eigenen Netzwerken angegriffen, kleine innovative wie „Ello“ und mächtigere wie eben Google – keiner ist gegen den „blauen Giganten“ angekommen.
Auf diese Weise verfestigt die umstrittene Datensammlung Facebooks Monopol. Und das wiederum begünstigt die Datensammlung. Wir haben es sozusagen mit einem „Perpetuum mobile“ zu tun. Bei der EU-Kommission steht derzeit kein Verfahren gegen Facebook an. In Deutschland hat sich Kartellamts-Chef Mundt bereits 2015 vorgenommen, mehr Augenmerk auf die Daten zu legen.
Dass Wettbewerb dennoch auch zu Datenschutz führen kann, zeigt der Fall von Apple. Dieser Konzern konkurriert gegen Google um die Vorherrschaft auf dem Markt für Smartphones. Apple stellt den Datenschutz schon seit geraumer Zeit ins Zentrum seiner Marketingstrategie – und hat sich hier, ob der Konsequenz, prompt Ärger mit der amerikanischen Bundespolizei FBI eingehandelt.
Um was geht es eigentlich?
Das Kartellamt muss einen Weg finden, die Verbindung von Daten und Monopol zu knacken, dann hätten wir deutlich bessere Chancen, Facebook zu einem gewissen Niveau an Datenschutz zu zwingen.
Wollen wir das wirklich? Ich bin mir da nicht so sicher!
Als Facebook den Nachrichtendienst WhatsApp kaufte, sorgten sich nicht nur viele Datenschützer um den Schutz der Daten, sondern nannten auch Alternativen, die sie besser fanden. Doch WhatsApp verlor kaum Nutzer.
Wenn es darauf ankommt, ist uns der Datenschutz offensichtlich nicht so wichtig!
Brief vom 3.03.2016 – Petra & Pierre im Gespräch
Lieber Pierre,
– Das gesellschaftliche Begräbnis –
wir sind mittendrin in dem Haufen stinkender Dahinsiechender, denen die Demokratie so unwichtig ist, wie der Aschehaufen, den sie erstens selbst anrichten und zweitens auf dem sie auch landen werden. Weihrauch nützt da nichts, ohnehin ist der geschwängert von pädophilen Sex-Dramen an kleinen Jungs. Was für eine Welt, die ihre Gesellschaft stillschweigend zu Grabe trägt, dabei jubelnd wie die durchgeknallten Amis, die das Hitler-Double auf den Thron der Allmächtigen hieven wollen und sich höchstwahrscheinlich nicht mal darüber im Klaren sind, dass sie einen Irren an die Regierungsspitze setzen würden. Sie wollen also Stunk (auch gegen Deutschland) machen und Gnade Gott, wenn dieses Monster an die Regierung kommen sollte. Dann wird´s international ein riesiger Brandherd und die fremden Kulturen werden ausgesperrt.
Kommen wir zu dem deutschen Misthaufen der patriarchalischen Straßenbrüller, den Sympathisanten mit Adolf & Co. Rechte Parolen beschmutzen unsere heimeligen Nester und sie nennen sich „das Volk“? Dann können wir einpacken, danach ist es vorbei mit der Freiheit, denn es herrscht eine Diktatur, ein Staat in seinen eigenen Grenzen, der genauso ausgegrenzt und verloren ist wie die damalige DDR, die nichts hatten außer Ficken, FKK und drei Produkte zur Auswahl (auf vorgemerkter Liste). Sind sie es gewohnt, so eingepfercht zu leben? Anscheinend, denn gerade große Teile Sachsens und im Osten haben ein ernsthaftes Problem mit der braunen Soße. Für mich sehen sie aus, wie Inzucht-Produkte mit gleich kleinem Hirn. Was für eine Gesellschaft voller geistloser, hassender, sich gegenseitig aufwiegelnder Gestalten, die kein Herz haben und Flagge-schwenkend Parolen von sich geben, die außer einem kranken Nationalpatriotismus nichts aussagen. Nachtrag: Ich schließe selbstverständlich diejenigen aus, die weltoffene, vorurteilsfreie Bürger sind.
Ein NPD Verbot halte ich übrigens für Unsinn, die NPD hat sich längst – in weiser Voraussicht – mit der AfD, Hooligans, Rocker Clubs und anderen gewaltbereiten Gruppierungen verbündet, die mit großer Wahrscheinlichkeit dann noch radikaler werden, weil die Blockaden des Verbotenen (wie bei der erlaubten NPD bisher) überschritten werden.
Aber berichten wir nun auch mal über die Tausenden von hilfsbereiten Menschen, von all den Spenden und dem Aufruf zur internationalen Gemeinschaft, den nicht nur Frau Merkel anstrebt sondern auch ein erheblicher Teil der deutschen Bevölkerung und die findet auch tatsächlich statt. Medien berichten ja bekanntermaßen lieber über negative Dinge und Diskreditierung als andersrum, was ich fatal finde. Würden wir mal die schönen Dinge der jetzigen Situation zeigen, die Freundschaften, die geschlossen werden, die Freude in den Gesichtern der hilfesuchenden Menschen, kämen wir dem humanitären Gedanken ein wenig näher und ganz sicher wäre das auch Wogen-glättend und beruhigend für die verängstigten Mitläufer und Zuschauer. Die Medien sind also nicht ganz unschuldig an dem aktuell negativen Bild und schüren eher die Ängste als die Zuversicht.
Horst Seehofer ist für mich unten durch, er ist ein hämisch grinsendes Negativ-Aushängeschild der Bayern, die sich darüber bewusst sein sollten, dass sie (wie Österreich auch) stark vom Tourismus leben. Wünschenswert wäre es, wenn all die Länder und Regionen, in denen Fremdenhass und Totalitarismus angesagt ist, gemieden werden wir die Pest. Rote Karte für braune Scheiße!
Auch von mir bekam Angela Merkel schon vor geraumer Zeit ein „Ich ziehe meinen Hut vor ihnen“ und ein großes Kompliment für ihren mutigen Kurs, bei dem sie die Belange der Menschen über die Politik und den Erfolg setzt. Aber um das zu erkennen, braucht man Verstand, lieber Pierre. Dennoch sind die Rassisten und Rechtsextremisten – trotz steigender Übergriffe und Straftaten – eine Minderheit und die Mehrheit unseres Volkes setzt auf ein freies Leben, eine internationale Welt und den Austausch von Kulturen. Ohnehin ist fast jede zweite, dritte Beziehung eine Mischbeziehung aus Misch-Menschen und schon lange nicht mehr „rein“ oder „unverfälscht“, wie sie es gerne hätten. Es werden Ehen geschlossen, Kinder gezeugt, Leben miteinander verbracht und bisher hat das auch niemandem geschadet. Warum also sollten wir die Menschen nicht begrüßen und warum sollten wir an Frau Merkels Kurs zweifeln? Es gibt keinen anderen Kurs als den, den sie geht und in unserem reichen Land hier ist das tatsächlich zu schaffen. Ich appelliere an das gut informierte Volk, dass in der Lage sein wird, zu differenzieren und ernsthaft abzuwägen, ob sie sich weiterhin frei bewegen und äußern möchte oder in einer Welt leben, in der Diktatoren das Sagen haben, falsche Ideologien salonfähig gemacht werden, in der Hass regiert, Diskriminierung, Kälte, Einfältigkeit, deutsche Einheits-Pampe und geistige Inzucht in geschlossenen Reihen, die einen wiederauferstandenen, wahnsinnige „Führer“ anhimmeln, der Untergang, Völkermord und Verderben gebracht hat. Meine Antwort ist ganz klar: Schauen wir dorthin, wo die Eingliederung Früchte trägt und Menschen miteinander friedlich leben, sich kulturell bereichern und ergänzen. Die Verunsicherung gilt als ein Grundgefühl in Deutschland, dem es gilt, die Stirn zu bieten, wenn wir unser Land tatsächlich lieben. Und es klappt!
Ich grüße dich aus Frankfurt, einer Stadt mit großem Migrationsanteil und einer internationalen Gesellschaft,
herzlichst Petra
© Petra M. Jansen
http://jansen-marketing.de
Le pape et la laïcité
Le Pape François est toujours bon pour une surprise. Lorsqu’il déclare que la France doit devenir plus laïque, il pense qu’elle doit dépasser les contraintes de la philosophie des lumières, où les religions étaient des sous-cultures. Il s’agit pour lui de redéfinir les rapports entre l’État, qui se doit d’être neutre en ce qui concerne les croyances, et l’exercice du pouvoir politique. Il est tout à fait conscient du rôle néfaste que peuvent jouer les religions lorsqu’elles mêlent l’intemporel à la gestion d’un pays. Lorsqu’on observe ce qui se passe avec l’Islam, on ne peut qu’approuver un tel point de vue. L’Arabie Saoudite est un exemple qui fait frémir. La loi de la charia rend cette forme de gouvernement inhumaine. En se mêlant des affaires publiques, l’Islam se dévalorise. La religion doit toujours être en mesure d’avoir un effet régularisateur. Si elle fait partie intégrante de l’État, elle perd sa légitimité initiale, celle de la critique. Elle devient au contraire complice d’un système humain très éloigné de sa vocation divine. Ce qui est valable ici pour la croyance, doit aussi l’être pour le pouvoir intemporel. François condamne dans son interview la mainmise des idéologies, qui mène à l’absolutisme. Les citoyens devraient avoir la liberté de pouvoir juger ce qui est bon ou non pour eux, sans se soumettre à des dogmes. « Une laïcité saine comprend une ouverture à toutes les formes de transcendance, selon les différentes traditions religieuses et philosophiques. La recherche de la transcendance n’est pas seulement un fait, mais un droit. » dit le Pape. Weiterlesen
Brief vom 1.03.2016 – Petra & Pierre im Gespräch
Liebe Petra,
ausgerechnet ich, als alter Linker, möchte der Kanzlerin heute ein Lob aussprechen. Ich war nicht immer gütig mit der Mutti der Nation, umso bemerkenswerter ist meine Achtung, die ich ihr jetzt gegenüber bringe. Sie hat Zivilcourage und steht zu ihrer inneren Haltung. Aus ethischen Gründen ist für sie die „Empfangskultur“ eine christliche Selbstverständlichkeit, das hat sie bei dem Talk mit Anne Will noch einmal betont. Sie bleibt dabei, auch wenn es ihre Partei Stimmen kosten wird. Für sie steht Moral über der üblichen Wahlpropaganda eines Horst Seehofers, der sich verpflichtet fühlt, den Populisten in den Arsch zu kriechen. Höhepunkt seines Tuns ist seine devote Haltung gegenüber den Rassisten und menschenverachtenden Viktor Órban. Sein Besuch in Budapest ist für jeden Demokraten eine Ohrfeige! Angela Merkel geht andere Wege: Für sie gibt es nur eine gesamte europäische Lösung des Migrationsdramas, sonst geht alles den Bach runter und das sollte sich endlich der Landesvaters der Bayern in den Kopf einprägen. Was am Stammtisch gut ankommt, ist oft Irrsinn. Will er wirklich den Verfall der EU hinnehmen, um einen Markus Söder die Schau zu stehlen? Das ist eine Bonsai-Politik der schlimmsten Art. Kleinkariert, stinkig, spießig. Klar, ich sehe ein, dass man die Migration irgendwie in Griff bekommen muss, aber bitte nicht mit einem braunen Touch. Die CSU sollte sich im Klaren sein, wohin es führen kann – 1945 lässt grüßen.
Meine Zukunft in der Hand von Bedenkenträgern zu wissen, schaudert mich. Die „Wutbürger“ sind in meinen Augen „Wutfaschisten“, die unter einem bürgerlichen Anstrich, verkappte Neonazis sind. Ja, ich wage mich so weit zu gehen. Wir wissen wohin die Protestwahl 1933 geführt hat und da kann ich keinen Unterschied machen. Wer Schimpftiraden gegen Ausländer gutheißt, macht die Gewalt salonfähig. Verständnis für die Pyromanen der Republik zu zeigen, Hetzparolen zu tolerieren oder Gewalttaten als Kavalier-Delikte hinzunehmen, entbehrt jeder Moral. Das sollten die „Retter des christlichen Abendlandes“ verstehen, denn solch eine Haltung hat zu Auschwitz geführt. Wer Hass versprüht, bringt die Willkür in die Regierungskreise. Dagegen hat sich die Kanzlerin vehement ausgesprochen und sie weiß sehr genau, um was es geht. Wenn sie sich dem Druck des Mobs ergeben würde, wäre es das Aus mit unserer demokratischen Ordnung, deshalb ist es so wichtig, dass sie ihren Weg eisern verfolgt, ohne sich beeinflussen zu lassen. Es geht um mehr als eine massive Einwanderung, es geht um Krieg und Frieden!
Liebe Petra, Frau Merkel weiß, was eine Mauer und Stacheldraht bedeuten. Wenn Menschen das Bedürfnis haben sich einzuigeln, bemerken sie oft nicht, dass sie zu Hampelmännern einiger Autokraten werden. Daher meiner tiefen Abscheu über die Haltung des Genossen Werner Faymann, der sich zum Komplizen der Populisten macht und das nur, um seine SPÖ irgendwie zu retten. Ist er sich bewusst, zu welchem Preis er sich prostituiert hat? Er ebnet somit den Weg der braun-gefärbten FÖP. Die Kanzlerin zeigt uns, dass es anders gehen muss. Indem man buckelt, erreicht man das Gegenteilige. Petra, ich habe immer mehr Abscheu gegen die Opportunisten, denn sie sind die Wegbereiter der Diktatoren. Was sie unter Pragmatismus bezeichnen, ist Feigheit! Ich weiß, Frauen tragen keine Eier, aber bei der wackeren Angela, ist es nicht notwendig, denn auch ohne dieses Attribut, ist sie vielen Waschlappen weit voraus. Sind wir nicht umgeben von entmannten Politikern?
Auch wenn in Sachen Flüchtlingen noch Chaos herrscht, ist mir die Haltung von der Kanzlerin bei weitem sympathischer, als die tristen Figuren, die heute um die Gunst der Wähler appellieren, indem sie populistische Parolen nachplappern wie Papageien. Dabei denke ich an die CDU-Lady von Rheinlandpfalz, an den Zwerg von Stuttgart, an den Papa aus Sachsen-Anhalt. „Wir sind mit Angela eng befreundet!“ sagen sie und sind nicht einmal fähig, konsequent Farbe zu bekennen.
Danke Frau Merkel für Ihre Aufrichtigkeit! Sie sind ein Lichtblick in der Öde, die uns umgibt.
In diesem Sinne,
ich umarme dich von ganzen Herzen,
Pierre
//pm
Super tuesday
Hillary Clinton et Donald Trump sont les grands vainqueurs du super tuesday. Il y aura de plus en plus une polarisation sur deux politiques qui ne peuvent pas être plus éloignées l’une de l’autre. Cela reviendra à dire, que si un troisième larron ne se présente pas comme candidat indépendant, tout se jouera entre un extrémisme virulent et l’establishment. Pour ne pas tomber dans le piège d’une tradition non-écrite qui est celle des grands trusts et de Wall-Street, l’ancienne First Lady devra élargir son programme. Les thèses de Bernie Sanders devront être prises en considération afin d’éviter les reproches du lobbyisme. On ne peut pas gouverner un pays seulement au profit d’une élite plus « qu’argentée ! ». Hillary Clinton le sait et prendra compte des aspirations sociales des américains, faute de quoi elle pourrait perdre des plumes. Il en est autrement du côté des Républicains. Ce vieux parti porté par une grande tradition est en train de s’effondrer. Donald Trump ne correspond en aucun manière à son programme initial, qui était certes conservateur, mais pas haineux à ce point. Ce candidat risque de le faire imploser. Il y a des chances que beaucoup d’électeurs traditionnels refusent d’apporter leur voix à ce grand guignol ! Tous ceux qui pensent que la dignité et qu’un langage pondéré devraient être la règle au sein d’un peuple, ne pourront pas le soutenir, s’ils ne veulent pas perdre la face. C’est le cas de la plupart des élus, que ce soient les représentants, les sénateurs ou les gouverneurs. Il est triste qu’un Marco Rubio ait été aussi incolore au début des joutes. Il est à craindre qu’il ne puisse dans les conditions actuelles réparer les pots cassés. Weiterlesen