Voici un extrait du communiqué de « Reporteurs sans frontières : « L’hostilité à l’encontre des journalistes, voire la haine, relayée dans nombre de pays par des dirigeants politiques, a fini par susciter des passages à l’acte plus graves et plus fréquents font désormais partie des risques du métier ». La situation en Europe s’est détériorée l’année dernière avec le meurtre de journalistes à Malte, en Slovaquie et en Bulgarie. La France est placée en 32ème place dans le classement des nations, en ce qui concerne la liberté de la presse, ce qui est un mauvais résultat. Il est aussi dû à l’hostilité des Gilets Jaunes qui se présentent pourtant comme apôtres de la liberté. RSF souligne qu’il y a« un niveau inédit de violences lors des manifestants des gilets jaunes au point que nombre d’équipes de télévision n’osent plus afficher leur logo ni couvrir les manifestations sans être accompagnées de gardes du corps ». Il y a de quoi jubiler. Pour analyser les causes de cette haine des manifestants contre les reporteurs, j’ai essayé de me mettre à la place de certains Gilets Jaunes et ai constaté, qu’elle était due en particulier à la faiblesse de leurs arguments. Tous ceux qui ne trouvent pas les mots adéquats se laissent aller à la violence. C’est la démonstration flagrante d’un manque de souveraineté ! Pas étonnant dans un mouvement, où les auto-leaders sont souvent très primaires dans leurs manière de s’exprimer. Et quand cela ne va pas, on fait recours aux poings ou aux pavés. C’est un aspect des méthodes d’intimidation employées par les Gilets Jaunes. L’autre ce sont les menaces de tous genre, s’ils venaient à s’emparer du pouvoir. Du Erdogan tous crins ! Weiterlesen

Une journaliste de 29 ans a été abattue cette nuit au cours d’une fusillade dans le quartier de Creggan. La police part de la thèse d’un crime terroriste. « Je me tenais à côté de cette jeune femme quand elle est tombée à côté d’une Land Rover . J’ai appelé une ambulance pour elle mais la police l’a mise à l’arrière du véhicule et l’a emmenée à l’hôpital où elle est décédée. » a tweeté une collègue de la victime. Ce qui s’est passé est là, est à mettre sur le compte de la lutte sans merci que se sont livrés pendant trois décennies les républicains nationalistes, les catholiques partisans d’une réunification avec l’Irlande et les loyalistes unionistes, les protestants, qui veulent que leur province reste rattachée au Royaume Uni. Arlene Foster, la cheffe du parti unioniste nord-irlandais DUP a condamné ces faits et a dit : « Cela reste toujours aussi mal en 2019. Personne ne veut retourner [aux Troubles]. Mes pensées vont également aux officiers courageux qui ont défendu leur communauté. » De même que le parti nationaliste irlandais Sinn Fein, qui a signé en 1998 l’accord avec le DUP pour mettre fin aux hostilités. Michelle O’Neill, sa cheffe, a elle aussi exprimé son rejet au sujet des troubles qui ont enflammé cette nuit Londonderry. « Nous restons unis dans notre détermination à bâtir un avenir meilleur et pacifique pour tous ». Et c’est là que le bât blesse. Le Brexit ne peut qu’accentuer la violence et remettre en question la paix qui régnait depuis des années entre les deux communautés. Weiterlesen

Ingrid Levavasseur a été l’initiatrice d’une liste « Gilets jaunes » pour les Européennes. Elle a renoncé par la suite à ce projet. Elle a déclaré « compatir énormément à cette douleur » qu’a été pour elle l’incendie de Notre-Dame. Elle a ajouté : « Mais j’aimerais qu’on revienne à la réalité », a-t-elle lancé sur BFMTV, évoquant « une colère naissante qui monte sur les réseaux sociaux » à ce sujet, et dénonçant « l’inertie des grands groupes face à la misère sociale alors qu’ils prouvent leur capacité à mobiliser en une seule nuit un pognon de dingue’ pour Notre-Dame ». D’un côté je peux la comprendre, d’un autre je dois constater que les Gilets Jaunes feraient bien de s’en prendre à eux-même. On ne peut pas d’un côté susciter la haine et s’attendre de l’autre, que les victimes des quolibets, soient enclins à faire de l’aumône. Je trouve que la déclaration d’Ingrid Levavasseur est ambiguë, même plus qu’elle manque terriblement de fierté. Si je veux faire la révolution, je ne peux pas aller manger au râtelier de ceux que je combats. Cela me démontre, que le mouvement des Gilets Jaunes repose idéologiquement sur rien de solide. Qu’il va à dérive, car il n’a pas été en mesure d’avoir un but constructif. Vouloir tout détruire n’est pas une solution. Les Gilets Jaunes me diront que je n’y comprends rien, que j’avance des thèses qui ne sont pas les leurs. Peut-être, mais dans ce cas-là je ne les ai pas compris. Ce serait la preuve que leur communication ne vaut pas grand-chose. Nous savons ce que cela représente d’aller se servir chez les riches. Tout va bien, lorsqu’il a encore assez de foin dans la grange, mais après ? Générer de la richesse ne se fait pas en bloquant les rues, en injuriant les forces de l’ordre, en traitant le président de tous les noms sur Facebook ou ailleurs. Les menaces de mort n’ont jamais été des mesures sociales efficaces. Weiterlesen

Ce qui semblait jusqu’à ce jour comme immuable, s’est enflammé comme une boîte d’allumettes. Des centaines d’années d’histoires, de traditions… Notre-Dame était un gage de continuité ! Les Français pouvaient s’y fier, y trouver leurs repaires peu importe qu’ils soient chrétiens, musulmans, juifs ou athées. Elle était un roc dans la tourmente. Beaucoup d’entre-nous ont l’impression d’être aujourd’hui des orphelins délaissés par la destinée. Le choc restera encore longtemps ancré en nous. Il est pour moi significatif, que nous soyons encore, au 21ème siècle, malgré le progrès technologique, dépendant de tels symboles. La logique peut nous animer jusqu’à un certain point, mais il faut constater qu’au bout du compte, seuls les sentiments nous guident. Lorsqu’il est question de pragmatisme, il est permis d’en douter. C’est un vœu pieu, rien de plus, rien de moins ! Vouloir ainsi se détacher des lois de la survie, ne mène finalement à rien. Au bout du compte seul l’instinct reprend le dessus, il nous prend en otage. La raison pour laquelle nombre de nos initiatives sont irrationnelles, comme les sentiments qui nous animent ces derniers jours. Je me suis demandé pour quelle raison je suis bien plus touché par l’incendie de la basilique de Notre-Dame que par le génocide au Yémen, où des milliers d’enfants sont massacrés, ou toute une culture subit des bombardements dévastateurs, où la torture est de mise. Je dois dire que j’ai un sentiment de honte, lorsque j’ai constaté cet état de fait. Pour moi une question de conscience que je ne peux pas ignorer. Weiterlesen

« Notre-Dame de Paris, c’est notre histoire, notre littérature. C’est l’épicentre de notre vie, c’est l’étalon d’où partent nos distances. C’est tant de livres, de peintures. C’est la cathédrale de tous les Français, même de ceux qui n’y sont jamais venus. Cette histoire, c’est la nôtre. » C’est ce qu’a déclaré le chef de l’État dans un discours qu’il a fait dans la soirée. L’incendie a été maîtrisé. Les dégâts ont été considérables. Il faudra des années pour effectuer la restauration de l’église. « Nous ferons appel aux plus grands talents et nous rebâtirons Notre-Dame, car c’est ce que les Français attendent, car c’est ce que notre histoire mérite, car c’est notre destin profond ». La famille Pinault va débloquer cent millions d’euros pour financer les réparations. Que ce soit la chancelière Angela Merkel ou Theresa May, tout le monde politique à l’échelle mondiale a marqué sa douleur face à l’autodafé d’un pan important de la culture universelle. Je pense que cet incendie ne peut pas laisser indifférents tous ceux pour qui la France est un pays de référence. C’est dans des cas pareils qu’il est possible de jauger ce qui est important ou pas. C’est une bénédiction qu’il n’y ait pas eu de victimes, que le feu n’ait pas été meurtrier. Mais faut-il de tels évènements pour redonner à un peuple le sentiment d’appartenir, malgré les distensions, au même bercail ? De prendre conscience des priorités à prendre ? Weiterlesen

Ce soir Emmanuel Macron s’adressera aux Français pour leur dire quelles conclusions il a tiré du grand débat. Il devra être le plus concret possible, afin d’être crédible, de faire comprendre aux citoyens qu’il les a bien compris. Une démarche assez complexe. D’une part il doit montrer qu’il est à l’écoute du peuple, de l’autre que le président a encore de la poigne. Il ne peut pas faire une marche en arrière complète. Un exercice qui demande beaucoup de doigté. Il risque de remettre en question la constitution de la 5ème République, qui est axée avant tout sur l’autorité de l’Élysée. Après le mouvement des Gilets jaunes, on peut se poser la question, si le système actuel a encore sa raison d’être si l’autoritarisme est toujours la bonne solution? Je vais être franc en disant que je ne crois pas que le peuple soit déjà prêt de gérer les affaires du pays en gardant la tête froide. Les échauffourées qui continuent à secouer le pays ne vont pas dans le bon sens. C’est une constatation qui me fait mal, car je souhaiterais qu’il n’en soit pas ainsi. Comme je l’ai écrit à maintes reprises, je trouve regrettable que les Gilets jaunes n’aient pas été en mesure de se doter d’une structure politique qui soit crédible. Il est facile d’être contre, bien moins d’avoir un programme concret. Une fois de plus on mettra le Président au pilori. Les uns lui reprocheront de céder face au mouvement protestataire, les autres lui feront le grief d’avoir une fibre totalitaire. Quoiqu’il dise, il sera mis en doute. Pour ma part je souhaiterais qu’il soit net et qu’il ne se laisse pas intimider par la rue. Weiterlesen

Liebe Petra,

hier einige Gedanken über unser Leben in der Stadt und über die Bedeutung unserer Umwelt:

Mein Auto und die Stadt

Die meiste Zeit bleibt es stehen und da kann man sich die Frage stellen, warum es unbedingt notwendig ist, eines zu besitzen. Ein Drittel der Stadtbewohner Frankreichs würden keine Einwände haben sich von ihrem Wagen zu trennen. Da ist es absolut legitim, die Frage zu stellen, ob es nicht besser wäre, die Autos nach Bedarf zu mieten. Die Städte wären somit das Blech los und könnten wieder atmen. In fast jedem Stadtteil ist es möglich Leihwagen für kurze Trips sofort zu leasen. Das geschieht völlig problemlos und könnte immer mehr zum Modell des urbanen Lebens dienen. Schon aus Luftgründen wäre es in unserem Interesse, dass die Autos nur bedingt in die Innenstädte fahren dürften. Mit einer entsprechenden Tendenz wäre es möglich, viel Geld für den Straßenbau zu sparen und durch die Parkhäuser, die oft auf wertvolle Grundstücke gebaut wurden, sollten den Wohnungen Platz lassen. Das setzt aber voraus, dass die öffentlichen Verkehrsmittel ausgebaut werden müssen und dass der Transportpreis verringert werden sollte. Das ist durchaus möglich, wenn anderswo gespart wird, es würde das Zentrum einer Stadt attraktiver machen und viele Menschen dort anziehen. Soziologisch ist es schlecht, wenn die Paketwirtschaft solche Maßstäbe wie heute einnimmt. Der Handel müsste wieder in den Zentren florieren. Die Innenstadt sollte wieder ein Platz werden, bei dem man sich die Zeit nimmt zu plaudern – ohne die Menge von Autos, die immer mehr die Straßen verstopfen, könnte das Ganze wieder attraktiv werden.

Die Stadt neu erfinden

Habt ihr euch gefragt, warum die Fußgängerzonen oft so steril sind? Es gibt viel zu wenige Entspannungsplätze, wo die Fußgänger einfach verschnaufen können. Dort sollten Cafés eingerichtet werden, bei denen der Passant sich mit Freunden treffen kann und auch die Sterilität der Kaufhäuser sollte durchbrochen werden. Es wäre wünschenswert, sie durch Boutiquen zu ersetzen – wenigstens was die Hauptstraßenfront angeht. Es muss auch dafür gesorgt werden, dass ständig eine Animation vorhanden ist – das geht vom Straßentheater bis zu den Musikern. Die Stadt muss ein Erlebnis werden. Das klingt alles mehr oder weniger anziehend, aber wer soll es bezahlen? Die Konkurrenz mit Amazon und Co. ist so groß, dass sehr viele kleine Läden Pleite gemacht haben. Was besonders schmerzhaft ist, ist der Tod des Buchhandels. Um wirklich Reformen in Gang zu setzen, muss dieses Problem unbedingt schnell gelöst werfen. Es stellt sich die Frage, wie die Boutiquen attraktiver gemacht werden könnten, denn ich erwarte schon, dort Produkte zu finden, die ich anderswo nicht beziehen kann sowie einen sehr kompetenten Service. Leute, die im Stande sind – was die Elektronik angeht – kleine Reparaturen vorzunehmen. Kurzum Verkäufer, die sehr agil sind. Vom Preis her, ist es nahezu unmöglich den Versandhandel zu unterbieten, also muss man prioritär an dem Ambiente basteln. Das würde bedeuten, die Stadt humaner zu gestalten und aus der Öde wieder belebte Orte zu organisieren, Foren entstehen zu lassen, bei denen die Debatte wieder gepflegt wird.

Die Wüste lebt, nicht die Innenstadt

Zweifelslos war es ein Irrtum die Menschen aus den Innenstädten zu jagen. Wir haben es oft nur noch mit Kulissen zu tun, die die Stadt als solche zum Absurdum führt. Sie hat somit ihre Funktion verloren. Wie kann man ihr wieder Leben einverleiben? Eine fast unmögliche Aufgabe, die jedoch zu machen ist, wenn der Wille dazu vorhanden wäre. Mit einer Verkehrsberuhigung könnten die jetzigen Parkhäuser in Wohneinheiten umgewandelt werden. Dienstleistungsunternehmen zum Beispiel, sollten in die Peripherie umziehen, dafür die frei gewordenen Bürohäuser als „Domizil“ umgewandelt werden. Somit würde sich der Pendlerverkehr in Richtung Innenstadt stark reduzieren, nach außen aber akzentuieren. Dies könnte sich aber durch eine Arbeitsplatzreform stark verändern, wenn das Modell des Home-Office, der Heimarbeit, wirklich greifen würde. Zahlreiche Aufgaben können von zu Hause erledigt werden. Wenn man die Städte wieder erträglich machen will, darf nicht gekleckert werden. Das wäre durchaus möglich, aber wie sieht es mit den Kosten aus? Der Grund jedes Bürohauses sollte vom Staat gekauft werden und die Häuser hingegen würden weiter im privaten Besitz verbleiben. Es wäre wünschenswert, den Bewohnern die Option zu bieten selbst Eigentümer zu werden. Mit der Reduzierung des Grundpreises würde die Anschaffung wesentlich günstiger sein. Wenn man im jetzigen Stand bleiben würde, könnten die Innenstädte schnell in Wüsten verwandelt werden. Da die Kaufhäuser und die Boutiquen, wie schon im zweiten Artikel erwähnt, durch den Druck der Versandhäuser nicht standhalten könnten, wäre Öde angesagt. Ein paar Schritte von unserer Münchner Wohnung gibt es eine Kaufmeile, deren Geschäfte pleite machen. Jetzt werden – trotz sehr hohe Mieten – immer noch neue Zugänge registriert, aber für wie lange noch? Einige Lokalitäten stehen bereits Monaten leer., Tendenz steigend!

Gleichgewicht zwischen Stadt und Land bewahren

Durch die Situation auf dem Arbeitsmarkt geht die Urbanisation der Peripherie der Städte immer weiter und im Gegensatz leeren sich die Dörfer. Diese Evolution ist milde gesagt völlig negativ. Die Metropolen sind immer schwerer zu verwalten, das Land blutet aus, deshalb muss alles unternommen werden, diesen Trend zu stoppen, wenn möglich umzukehren. Das kann nur klappen, wenn die numerischen Autobahnen ausgebaut werden, wenn überall das Netz als Arbeitswerkzeug angewandt werden kann. Nur mit der höchsten Effizient in Sachen Internet können Firmen überzeugt werden, mit Mitarbeitern aus den ländlichen Gegenden zu kooperieren und das muss 100prozentig funktionieren. Auch hier wäre das Home-Office effektiv, aber das reicht bei weitem nicht aus. Die Bevölkerung braucht ein attraktives Angebot in verschiedenen Gebieten, wenn es um die Steigerung der Lebensqualität geht – das geht vom Kaufangebot von Waren bis zur kulturellen Vielfalt. Es muss alles unternommen werden, dass keine Langweile aufkommt. Das hatte seinerseits André Malraux sehr wohl verstanden, als er als Minister den Aufbau einer Kultur-Infrastruktur flächendeckend plante. Die Dimension des Problems wurde ihm klar, mit dem Fall Ford in Poitiers. Der Autohersteller wollte dort ein Werk aufbauen. Die Bezahlung war höher als in der Banlieue von Paris, gute Arbeitsbedingung. Und doch scheiterte dieses Projekt, weil niemand in der Provinz arbeiten wollte, vor allem weil das Freizeitangebot zu eingegrenzt war und ist der Beweis, dass Wirtschaft und Kultur sich nicht widersprechen. Nur mit einer Ausgewogenheit des Angebots zwischen Stadt und Land kann es zu einem Gleichgewicht kommen.

Das Gedicht

Und was tun die Menschen? Sie ersticken sich

gegenseitig, weil der Lebensraum immer kleiner

wird. Überall stößt man sich die Köpfe an, versucht

vergeblich reine Luft einzuatmen, redet sich ein,

dass der Stau zum modernen Leben dazu gehört.

Gestank aus dem Auspuff, der Krebs verursachen

kann. Toll! Überall Partikel, die uns krank machen,

aber auf Diesel möchte keiner verzichten. Auch die

Sau die zum Schlachthof geführt wird, um die Menschen

zu ernähren, ist völlig verseucht. Sie trägt den Namen Bio.

Was sagt das schon aus? Um diesem Spuk den Rücken zu

kehren, versuche ich mich in ein Paradies versetzen zu

lassen, aber dort sind nur noch Menschen mit Gasmasken.

 

Wie ein Segelschiff in einer Flasche versuchen

wir mit unserer kranken Umwelt zu recht zu

kommen. Quarantäne ist angesagt, wenn es darum

geht, weiße Menschen vor dem Ungeziefer zu

schützen. Abstand mit den Untermenschen zu bewahren,

wäre ein Gebot der Zeit, aber das geschieht nur selten,

weil Gummi die Menschen vereint! Solche schlimme

Worte unterwandern die Umweltdiskussion, beschmutzen

sie immer wieder. Ziel für die Gegner ist, einen negativen Touch weiter

zu verbreiten, die Menschen zu überzeugen, dass alles Quatsch ist,

was sie so sagt. Wenn Zeitgenossen nicht in ihrer Rübe clean sind,

verpennen sie den Anschlusszug und so weiter und sofort. Manchmal

frage ich mich, ob es nicht besser wäre unter eine Brücke zu pennen.

 

Ab in den Bio-Friedhof, wo nur noch Biomenschen vergraben

werden. Gute Seelen, die immer anständig waren.

Sie wenigstens stinken nicht den Himmel hoch, weil sie sich

vor Donald Trump flach gelegt haben und sich haben einreden lassen,

dass alles Paletti ist! Wo sind die Umweltpatrioten in den

USA geblieben? Warum schlagen sie nicht – wie die Gelben

Westen – Alarm? Sollten wir nicht lieber in die Vergangenheit

zurückkrebsen, die Gardinen runterkullern lassen und

von Mallorca mit seinen dämlichen Touristen träumen?

Augen zu, Nase zu, Ohren zu, alles zu und weiter

genießen als ob gar nichts sei. So leben halt die Menschen,

wenn sie nicht gestört werden wollen.

 

Alles Liebe, ich umarme dich!

 

Pierre

//pm

Une enseignante du Collège Elsa Triolet à Sant-Denis a été braquée par un ado, qui a brandit sur elle un pistolet de pacotille. « Il y en a un qui est entré en criant : c’est un attentat ! Il a braqué une arme factice sur moi, il a tiré en direction de mon visage. J’ai mis ma main et les billes ont atterri sur ma main. J’étais dans la sidération parce que je ne connaissais pas l’individu. » Cette femme est en état de choc. Ses collègues ont décidé hier d’aller manifester. Une telle situation s’est déjà déroulée dans le département. Elle démontre à quel point la situation s’est détériorée. Pour beaucoup d’élèves le seul fait de déclarer, où ils vont à l’école, est un constat d’échec. Cette situation grave ne peut pas excuser une telle action. Est-ce en quelque sorte un cri d’alarme ? Ou est-ce qu’une bravade d’un jeune en déshérence ? Il démontre qu’il y a urgence pour l’État de remettre à plat ce que je nommerais « le mal des banlieues ». Depuis des années il est question de réformes, de projets. Ceci tout particulièrement dans le domaine de l’enseignement. Le but recherché est de rééquilibrer la situation des jeunes de ces cités par rapport à la moyenne nationale en ce qui concerne la qualité des cours et les chances de réussite. Malgré les bonnes intentions on est loin du compte. Le professeur est confronté directement à cette situation, même si lui-même, n’est qu’un pion sur l’échiquier. Il n’a pas d’emprise directe sur les méthodes scolaires, sur le rôle sociologique du collège par rapport à son environnement direct. Même si on le nie parfois, il ne peut être qu’un exécutant. Cela met à mal son autorité par rapport aux élèves, qui attendent de lui bien plus que ce qu’il est en mesure d’offrir. Weiterlesen