Voici un extrait du communiqué de « Reporteurs sans frontières : « L’hostilité à l’encontre des journalistes, voire la haine, relayée dans nombre de pays par des dirigeants politiques, a fini par susciter des passages à l’acte plus graves et plus fréquents font désormais partie des risques du métier ». La situation en Europe s’est détériorée l’année dernière avec le meurtre de journalistes à Malte, en Slovaquie et en Bulgarie. La France est placée en 32ème place dans le classement des nations, en ce qui concerne la liberté de la presse, ce qui est un mauvais résultat. Il est aussi dû à l’hostilité des Gilets Jaunes qui se présentent pourtant comme apôtres de la liberté. RSF souligne qu’il y a« un niveau inédit de violences lors des manifestants des gilets jaunes au point que nombre d’équipes de télévision n’osent plus afficher leur logo ni couvrir les manifestations sans être accompagnées de gardes du corps ». Il y a de quoi jubiler. Pour analyser les causes de cette haine des manifestants contre les reporteurs, j’ai essayé de me mettre à la place de certains Gilets Jaunes et ai constaté, qu’elle était due en particulier à la faiblesse de leurs arguments. Tous ceux qui ne trouvent pas les mots adéquats se laissent aller à la violence. C’est la démonstration flagrante d’un manque de souveraineté ! Pas étonnant dans un mouvement, où les auto-leaders sont souvent très primaires dans leurs manière de s’exprimer. Et quand cela ne va pas, on fait recours aux poings ou aux pavés. C’est un aspect des méthodes d’intimidation employées par les Gilets Jaunes. L’autre ce sont les menaces de tous genre, s’ils venaient à s’emparer du pouvoir. Du Erdogan tous crins ! Weiterlesen