Ce n’est pas parce que Donald Trump divague dans une interview donnée pour la Bild-Zeitung et le Times que nous allons faire dans nos culottes, ou bien ? Un peu de fierté, les amis. Il faut que l’Europe reprenne à nouveau le dessus et montre ses dents ! Qui a prétendu que nous étions édentés ? Le grand Zapano depuis son bureau kitsch-doré qui d’après ses propres dires est bien membré. Son but est de semer la zizanie, de nous provoquer. Heureusement que Madame Merkel n’a été aucunement impressionnée par son attitude machiste. Trêve de plaisanterie. La comédie qui se déroule sous nos yeux à un relent populiste de bas-étage. Depuis sa tour new-yorkaise Trump se croit habilité à nous faire la leçon. En plus il semble se réjouir que l’UE puisse se désagréger. C’est une attitude des plus délicate qui apporte la preuve qu’il est un grand diplomate, n’est-ce pas Monsieur Talleyrand ? Je pense que ces coups de semonces lui seront un jour fatal. Mais d’ici là il faudra que nous sortions de la vallée des lamentations. Où avez-vous laissé vos… Je ne vais pas entrer dans les détails. J’appelle de mes vœux les plus chers que nous nous émancipions enfin de la tutelle américaine. Sommes-nous des enfants ou des adultes ? Faut-il qu’une dame porte des culottes afin que nous sortions de notre réserve ? Que diable, sans la culture européenne qu’en serait-il des USA ? Devons nous jouer aux chiens couchés afin de montrer notre docilité ? Trump n’est pas notre papa, loin s’en faut ! Weiterlesen

Emotional verabschiedet sich Barack Obama als Präsident. 20.000 Menschen feierten ihn. Sein Auftritt zeigt aber, in welch kritischem Zustand er die USA sieht.

Obama erwähnte die Errungenschaften seiner Präsidentschaft. Seine Regierung habe 20 Millionen mehr Menschen eine Sozialversicherung gebracht, den gefährlichsten Terroristen der Welt unschädlich gemacht und eine Atommacht Iran verhindert, ohne einen einzigen Schuss abzufeuern. „Amerika ist ein besserer Ort, als zu der Zeit, als wir angefangen haben“, sagte er. „Ihr müsst die Werte hochhalten, die uns zu dem machen was wir sind“, forderte Obama von seinen Landsleuten. Obama fügte hinzu: „Es war die größte Ehre meines Lebens, Euch zu dienen.“ Es passt zur Tragik seiner Präsidentschaft, dass nicht sicher ist, was inhaltlich von seiner Amtszeit übrigbleibt. In wenigen Tagen sitzt an seinem Schreibtisch Donald Trump …

Obama will Abschied nehmen. Natürlich in Chicago. Hier hat alles angefangen vor acht Jahren, hier soll es enden. „Es ist gut, wieder zu Hause zu sein!“, sagt er. Eine knappe Stunde spricht er und die Rede ist, natürlich, eine in Teilen sehr wohlwollende Betrachtung seiner eigenen Amtszeit. Es geht ihm darum zu zeigen, dass sein Versprechen des Wandels in seiner Präsidentschaft auch tatsächlich eingehalten wurde.

In weiten Passagen ist es aber eine nachdenkliche und emotionale Rede, eine Reflexion darüber, was in den vergangenen Jahren in den USA und unter ihm als Präsidenten passiert ist. Er wolle, sagt Obama, zum Abschied gerne etwas zum Zustand der Demokratie sagen. Die sei nämlich in Gefahr.

Die Ungleichheit wachse, die Chancengleichheit schrumpfe, die Polarisierung nehme zu, das Vertrauen in Institutionen nehme ab. Zu viele Menschen fühlten sich abgehängt. Den Sorgen der vielen Bürger, die mit den Veränderungen der vergangenen Jahrzehnte ihre Welt verloren hätten, müsse sich das Land eigentlich wieder stärker widmen. Nur sei den Amerikanern etwas Wesentliches abhanden gekommen: Die Fähigkeit, sich in den jeweils anderen hineinversetzen zu können. „Wir fühlen uns immer sicherer in unseren Blasen, dass wir – egal ob sie richtig oder falsch sind – nur noch jene Informationen akzeptieren, die zu unseren Meinungen passen“, kritisiert Obama.

Geht wieder aufeinander zu, engagiert euch, öffnet euch – das ist die Botschaft des scheidenden Präsidenten. „Die Demokratie ist immer dann bedroht, wenn wir sie als selbstverständlich betrachten“, ruft er. „Wenn ihr keine Lust mehr darauf habt, mit Fremden im Internet zu streiten – versucht mal, mit ihnen im richtigen Leben zu sprechen“. Wenn einem Politiker nicht passten, solle man Unterschriften sammeln und selbst antreten. Das „Amt des Bürgers“ sei das wichtigste Amt in der Gesellschaft. Ähnliche Sätze hat Obama letztes Jahr in Havanna geäußert, um die Kubaner von der Demokratie zu überzeugen. Jetzt spricht der scheidende Präsident seinen Landsleuten ins Gewissen, damit diese sich von der Demokratie nicht verabschieden.

Natürlich sind diese Passagen eine indirekte Referenz auf Donald Trumps Weltsicht und eine Abgrenzung von dessen Plumpheit und Aggressivität. Der Wahlsieger ist nicht anwesend, aber in gewisser Weise ist er die ganze Zeit über mit im Saal. Als Obama von der „friedlichen Übergabe der Macht“ spricht, pfeifen ein paar Zuschauer und schreien „Four more years!“ – nochmal vier Jahre. Obama lächelt. Er dürfe das nicht …

Namentlich erwähnt er seinen Nachfolger nur einmal, ansonsten versucht Obama, sich von ihm politisch abzugrenzen. Um die Demokratie zu retten, „müssen wir uns auch gegen die Schwächung unserer Werte stellen“, ruft er. Freier Handel, Recht und Gesetz im Anti-Terror-Einsatz, Entschlossenheit im Kampf gegen den Klimawandel, Einsatz für Flüchtlinge. „Unsere Rivalen wie Russland und China reichen nicht an unseren Einfluss heran. Es sei denn, wir geben auf, wofür wir stehen und werden auch eines dieser großen Länder, die ihre kleinen Nachbarn schikanieren“.

Am Ende seiner Rede angelangt, möchte Obama seinen Leuten noch eines mitgeben: Er kommt als Mann der Hoffnung, er will gehen als Mann der Hoffnung. „Lasst uns wachsam sein. Aber nicht ängstlich“, ruft er. „Die Zukunft ist in guten Händen“. Ein Satz, den nicht einmal alle Republikaner unterschreiben würden.

Aber in Chicago hören das an diesem Abend die meisten Zuschauer gerne.

Ganz am Ende seiner letzten großen Rede als Präsident wird es emotional. Barack Obama steht am Pult in Chicago, beißt sich auf die Lippe und wischt sich eine Träne aus dem Auge. „Bei allem, was ich in meinem Leben gemacht habe, bin ich am stolzesten darauf, Euer Vater zu sein“, ruft Obama seinen Töchtern zu.

Ein bewegender Moment. Es liegt weniger an Obamas persönlichem Ton. Sondern daran, dass den meisten im Saal mit einem Mal klar wird, dass in diesen Tagen die Präsidentschaft Obamas zu Ende geht.

Je ne peux pas me résoudre à dire adieu à Barak Obama. Je trouve regrettable que dans ce cas-là la loi américaine ne réduise qu’à huit ans la durée des mandats des présidents américains. Il a donné cette nuit à Chicago son ultime discours à la nation toute entière. C’est tout un style gouvernance qui disparaît en fumée pour laisser place à la réalité des États Unis, qu’incarne un Donald Trump. Celui d’un pragmatisme qui ne profite qu’aux membres de sa caste, où l’argent joue le premier violon. Obama quant à lui était le symbole d’un rêve, celui d’un pays plus équitable. Même si je faisais un bilan de ses années de présidence, où il y avait du bon et du moins bon, cela ne donnerait qu’une image faussée de son message. L’espoir était pour lui au premier rang de ses préoccupations. Il ne pouvait pas accepter la précarité. Il y avait beaucoup d’empathie pour tous ceux qui ne pouvaient pas manger à leur faim. Et puis sa personne même, en pleine rupture avec les clichés habituels. Un être semblant être constamment décontracté, ce qui n’était évidemment pas le cas. Un artiste faisant plutôt appel au cœur qu’à la tête. Des qualités en état de manque au sein d’une nation multiculturelle, où la loi des coup des coudes à marqué son histoire. Avec l’introduction d’une assurance-maladie pour tous, il a voulu inclure tous ceux qui ne pouvaient pas pourvoir aux frais médicaux. Un geste indispensable pour souder le peuple. Est-il à craindre que le nouveau président élimine cet acquis de taille ? Ce serait creuser de nouveaux fossés. L’inégalité entre les noirs et les blancs est encore flagrante. Ce n’est pas avec le verdict de Charleston en Caroline du Sud, que la situation se détendra. La condamnation à mort du jeune homme qui avait massacré des croyants au cours d’un office pour des raisons raciales, ne changera pas grand chose. Weiterlesen

Trois mosquées en Californie ont reçu des lettres de menaces, où il était question que Donald Trump ferait l’affaire des croyants, comme l’avait fait Hitler avec les juifs. En 2015 les attaques haineuses contre l’Islam ont augmenté de 67% aux États-Unis. Après les propos du futur président contre les pratiquants, il était à craindre que le mouvement d’intolérance prenne cette dimension. Pour les racistes et tous ceux qui agissent de manière discriminatoire, de telles affirmations leur ont donné l’impression qu’en attaquant lâchement les lieux de prières, ils avaient le feu vert du chef de l’État. Ce dernier a fait l’amalgame entre la pratique d’une religion et le terrorisme islamique. Ce manque de nuance est une action orchestrée, qui amènera immanquablement de la violence. Dans la tête des criminels qui sont prêts à tuer, c’est en quelque sorte la légalisation de la haine. Un phénomène qui se répète sous toutes les dictatures. Adolf Hitler avait cautionner la nuit de cristal du 9 novembre 1938, donnant ainsi le feu vert à la destruction des synagogues. Les hordes « de braves citoyens » avaient ainsi l’impression d’agir légalement. Il n’y a eu pour ainsi dire pas de poursuites judiciaires. Au cas où Donald Trump ne condamne pas de telles pratiques menées soit-disant en son nom, les mêmes réflexes que sous le régime nazi risquent de prendre de l’ampleur aux USA. Il serait dans ce cas tout à fait légitime de parler d’un État félon. À l’instant où j’écris ce texte il n’y a pas encore eu une condamnation de la part de Donald Trump. J’ose espérer qu’elle viendra à temps pour calmer les esprits. Il est déconcertant que l’histoire se répète constamment lorsqu’il s’agit d’exclusion. Weiterlesen

Lorsque on voit ce qui s’est passé aux États-Unis, on est en droit de se demander si le peuple est mûr pour la démocratie ? Il est vrai que la plupart des citoyens ne voient pas la portée de leur choix lors des élections. Ils votent souvent instinctivement, ce qui peut être très néfaste en politique, où il est très important de comprendre ses mécanismes. Le tout est un puzzle où il s’agit d’insérer des pièces. Lorsque cela n’est pas possible, tout le système vacille. Ce n’est pas sans raison que Platon préconisait une république, où seul 10% de la population avait le droit de se prononcer et de voter. Il a très vite compris qu’en prenant l’avis de tout le monde, les institutions allaient à leur perte. Je suis évidemment complètement opposé à une telle forme de démocratie élitiste. Je trouve que tout le monde à le droit à la parole. Mais dans un tel cas il faut que j’accepte le verdict quel qu’il soit. Si seulement une frange de la population a le pouvoir, on aboutit à la dictature. Je dois reconnaître que depuis l’élection de Donald Trump je me trouve dans un profond dilemme. Je suis en colère de voir tant d’incompétence triompher, de l’autre je ne voudrais que des millions de personnes soient spoliées de leur droit de citoyen. Le risque est que l’irrationnel prenne le dessus, comme c’était le cas le 8 novembre. Il fait aussi partie de la volonté populaire. Dans ce cas-là la frustration a été au rendez-vous, ce qui est une mauvaise chose pour l’équilibre d’un État. Mais une chose reste évidente pour que la démocratie puisse fonctionner sans trop d’heurs, c’est l’éducation civique. Elle fait défaut partout. Lorsque je me rends aux urnes, je devrais normalement comprendre ce qui se passe dans le pays et dans le monde. Je me rends souvent à l’évidence qu’il y a de graves lacunes chez beaucoup d’entre nous. Il est vrai que la politique est devenue d’une telle complexité, que le simple citoyen a de la peine à comprendre que toutes décisions venant de sa part peuvent mener au désastre. C’est la raison pourquoi il élit des représentants, qui normalement devraient connaître les tenants et les aboutissements. Cela devient très problématique lorsqu’il remet sa destinée entre les mains de personnes incultes dans ce domaine là, comme c’est le cas chez Donald Trump. C’est justement dans de telles options que l’édifice menace de s’écrouler. Les Suisses s’en sont aperçus et ont mis en place la démocratie directe. Le peuple est appelé presque tous les deux mois à aller voter. Il intervient directement dans des questions, qui dans d’autres nations sont du domaine du parlement. Weiterlesen

Mit der Wahl von Donald Trump zum 45. US Präsidenten zeigt auch das mächtigste Land der Welt, die Vereinigten Staaten von Amerika, dass ein Politikwechsel ansteht. In anderen Ländern wie Polen, Ungarn, Russland zeigten die letzten Wahlen, dass konservative, nationale Politik dem Menschen wichtiger ist als die Globalisierung. Russlands Präsident Putin zeigt mit seiner Politik der ganzen Welt, dass die russischen Interessen im Vordergrund stehen und dann die Belange anderer Länder.
Die Flüchtlingskrise in Europa hat dazu geführt, dass viele Länder gespalten sind, was die Aufnahme von Kriegs- und Wirtschaftsflüchtlingen angeht. Viele Länder des Nahen Osten, nehmen nicht einen Flüchtling auf, da ihre eigenen Interessen im Vordergrund stehen. Länder wie Polen, Ungarn, aber auch Australien, weigern sich diese Menschen aufzunehmen. Mit der Wahl von Donald Trump und dem angekündigten Mauerbau an der Grenze zu Mexiko wird es eine gravierende Wende in der Zuwanderungspolitik der USA geben. Die letzten 40 Jahre unter zum Teil linker Politik, haben weltweit zu einer Unzufriedenheit geführt, die sich durch die Wahl konservativer Parteien und Präsidenten der letzten Jahre zeigt. Ist es falsch, zuerst an die Bürger des eigenen Lands zu denken? Grundsätzlich: nein! Natürlich darf es nicht dazu kommen, dass Egoismus die Welt noch weiter in die Krise treibt. Klar ist jedoch, geht es einem Land besser oder gut, kann dieses Land auch anderen Ländern helfen und diese bei dem Kampf gegen Notstände oder der Entwicklung helfen. Geht einem Land schlecht, ist dieses nur unter sehr großen Opfern möglich. Die Verteufelung von Donald Trump ist ein Zeichen derer, die durch jahrelanges Missmanagement ihre Länder und die Wirtschaft in die Krise getrieben haben. Organisationen wie die Europäische Union sind zum Teil für den Untergang der Souveränität vieler Länder verantwortlich. Die EU ist nur darauf bedacht, ihre eigene Macht zu stärken und die der angeschlossenen Länder zu schwächen, was bei den Bürgern zu dem jetzigen Wahlverhalten geführt hat. Antisemitismus und Fremdenhass sind das Ergebnis jahrelanger Fehlpolitik, wie sie beispielsweise in Deutschland über Jahre durch linke Politik praktiziert wurde. In ganz Europa haben die konservativen Parteien einen riesigen Zulauf erhalten und führen dadurch zu einem Wechsel in der Politik.
Es bleibt, kritisch zu beobachten, wie Länder wie sich die USA, Russland, Polen und andere entwickeln. Wichtig ist, ein friedvolles Miteinander, eine gesteuerte Zuwanderung weltweit, wie es in Kanada und Australien schon seit Jahren die Regel ist.
Durch demokratische Wahlen, wie jetzt in den USA, hat jeder, der sich Demokrat nennt, das Ergebnis anzuerkennen und diesen Mehrheiten die Chance für eine gute Politik zu geben. Mit der Wahl entscheidet die Mehrheit eines Landes die Laufrichtung. Dieses ist von anderen Staaten und deren Regierungen anzuerkennen. Demokratie ist nicht einfach!

Aber was ist mit den Kriegen, die aus nationalen Interessen geführt werden? Europa hat mit der EU die längste Friedensperiode seiner Geschichte erlebt und erlebt sie noch. Was ist mit den nationalen Interessen in der Wirtschaft? Wie weit sind wir vom Kolonialismus entfernt? Dieser führt gerade zu den Kriegen um die Rohstoffe. Globalismus heißt – seine Perfektion vorausgesetzt, welche bis heute nicht erreicht ist – die Schätze der Erde zu teilen. Hat Marx nicht einmal gesagt: „Jedem nach seinen Bedürfnissen!“?! Gute Politik heißt nicht, Hass zu verbreiten. Die Epoche des Rassismus sollte sich dem Ende neigen. Noch haben wir hier Hausaufgaben …

Mit alten Mitteln (u. a. nationalem Denken) lässt sich in einer globalen Welt kein Blumentopf gewinnen. Wir wiegen uns im warmen Sprudelbad des Nationalismus, während um uns herum die Leitung vor Kälte einfriert. Wacht auf! Demokratie ist nicht einfach!

 

Thomas Dietsch

 

Lieber Pierre,

nun sind einige Tage vergangen, da staunen wir über die neuesten Schlagzeilen aus den USA. Gibt sich der im Wahlkampf so aufmüpfige Donald die versöhnende Hand mit Obama, Clinton und der Welt? Ja, er lobt sie in hohen Tönen, ignoriert die Proteste und zeigt brave, glättende Worte, die wenig an seinen frauenfeindlichen, rassistischen Wahlkampf erinnern. Der Ein-Euro-Job lässt die Sympathien steigen, aber bettelarm wird Mr. Trump garantiert nicht werden. Nun, lieber Pierre, die Amerikaner sind ein aktuelles Beispiel der Volksverdummung, die einen politisch absolut Ungeschulten an die Spitze der Vereinigten Staaten setzen. Diese Art von Wahlkampf ist uns fremd und – Gott sei Dank – ist das bei uns nicht möglich. Die USA zeigen, dass es um Geld geht, lautes Geschrei, volksnahe Pöbelhaftigkeit und mitnichten um politisches Fachwissen und Erfahrung. Beim ersten offiziellen Treffen mit dem noch amtierenden Präsidenten Barak Obama saß Donald tatsächlich wie eine zusammengesunkene Ente neben ihm auf dem Stuhl. Irgendwie verloren und auch ein wenig unbeholfen, so schien es mir. Könnte es richtig sein, dass Donald Trump nicht wirklich mit seinem Sieg gerechnet hat und ihm erst im Nachhinein klar wurde, was für eine Verantwortung ihn wirklich erwarten würde? Nach Tagen sind wir nicht schlau aus ihm geworden. Er schlägt weichere Töne an als vermutet – sei es „Obamacare“, der Grenz-Bau zu Mexiko (die Mauer könnte ja auch einem Zaun weichen) und andere Angelegenheiten. Ich weiß es auch nicht, was da wirklich dahinter steckt, ganz ehrlich. Donald Trump ist unberechenbar und absolut nicht greifbar. Was zumindest in diesem schmutzigen Wahlkampf zum Vorschein kam, ist unverzeihlich, rassistisch, menschenverachtend und dumm. Was nun kommen wird, das müssen wir abwarten.

Nun will er erst einmal drei Millionen Illegale und Verbrecher abschieben und wirft den Medien, wie der New York Times eine Negativ-Berichterstattung ihm gegenüber vor. Ich traue der gereichten Hand nicht wirklich. Steven Bannon, seine rechte Hand im Wahlkampf ist ein rechter Propagandist… und nun soll genau dieser Radikale ins Weiße Haus einziehen? Wohl dem, der dann glaubt, Mr. Trump sei weltoffen und menschenfreundlich. Das kann auch Mr. Priebus nicht retten. Der Klu-Klux-Clan sieht Donald Trump als Helden, der einen führenden Vertreter weißer Ideologie zu seinem hochrangigen Berater ernennt und hat ihm als einer der Ersten zum Sieg gratuliert. Wachsam USA! Ihr steuert direkt in den Weg der Rechtspopulisten, der Zensur und in die Willkür eines nicht einzuschätzenden, undurchschaubaren neuen Präsidenten. Das kann nicht gut gehen.

Lieber Pierre, deine Bedenken sind verdammt richtig – vielleicht mag mich jemand des Besseren belehren, aber ich fürchte, dass der Tag des Wahlsiegs von Donald Trump als schwarzer Tag in die Geschichte eingehen wird. Das hat die Nation tief gespalten, sehr tief und es wird nicht so einfach gehen, das Volk der Amerikaner unter dieser Herrschaft zusammenzuführen und stark zu machen. Mit großer Sorge betrachte ich diese Entwicklung und wer immer mir begegnet ist und hinter Donald Trump ein „Schaf“ vermutet, das so rein zufällig zum Präsidenten der Vereinigten Staaten wurde, der ist ein Illusionist und Wegschauer, der etwas gut reden will, was ganz und gar nicht gut ist.

 

Mit nachdenklichen Grüßen,

 

Petra

© Petra M. Jansen

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Je l’avais prédit depuis longtemps, le mouvement de Donald Trump ne disparaîtra dans la trappe, même s’il devait perdre les élections mardi prochain. C’est le dernier rebond de certains blancs, qui pour des raisons de démographie, ne seront plus la communauté dirigeante des USA. Tous ceux qui se croient supérieurs à cause de leur couleur de peau se sentent menacés pas des citoyens d’origine hispanique ou par les noirs. Comme les tenants de l’apartheid, ils se radicalisent, pensant ainsi garder leurs prérogatives. Beaucoup d’entre-eux ne se sentent plus représentés par le parti Républicain. Pour cette grande formation une catastrophe. L’extrême-droite sera à l’avenir une réalité qui menacera de rompre l’équilibre politique. Un phénomène que nous connaissons en Europe. Des gouvernements de coalition ne seront plus tabous dans ce pays, qui jusqu’à présent remettait sa destinée entre les mains d’un seul parti. Il faudra envisager des gouvernements de coalition, ce qui aura pour effet d’affaiblir le Président, mais qui pourraient être plus démocratiques, permettant ainsi à tous ceux qui veulent se faire entendre, à participer aux destinées de pays, que ce soit dans la majorité ou dans l’opposition. Une chose est désormais certaine, ce sera avec Donald Trump un facteur d’instabilité. Le prochain locataire de la Maison Blanche devra prendre en considération ce fait essentiel. Il est à craindre qu’il puisse y avoir une dérive à droite. Ceci en attendant que les plus démunis s’organisent de plus en plus. Beaucoup d’entre-eux ne vont pas aux urnes, car ils ont perdu tout espoir. Weiterlesen