Et les voilà en vacances forcées. Je veux parler du parlement anglais. Pendant cinq semaines il se tournera les pouces malgré tout le boulot qui reste encore à faire. Boris Johnson a pris une mesure antidémocratique en court-circuitant Westminster. Je ne reviendrai pas sur l’arbitraire qui semble l’habiter. Mais une chose est certaine, il a échoué sur toute la ligne. En rejetant des élections anticipées pour une deuxième fois cette nuit, je ne sais pas trop quelles cartes lui restent à disposition. Il sera forcé de faire des propositions contre son gré à l’UE, mais peu importe, il a dorénavant perdu la face. Tout cela démontre que l’Union est une des mécaniques des plus complexes. Tout s’imbrique l’un dans l’autre. Dès qu’un engrenage prend la grippe, tout s’enraye. D’où le proposition de Tony Blair qui prônerait un nouveau référendum. Une remise en question du Brexit aurait bien des avantages, car il semble parfaitement impossible de ménager la chèvre et le chou. Ne serait-il pas préférable qu’en fin de compte le peuple soit rappelé aux urnes ? Il est clair que la Grande-Bretagne se trouve dans une impasse, car le mensonge prima en 2016. Les électeurs furent mis à faux, car les contres-vérités évoquées déjà par le fougueux Boris Johnson, ont bien dissimulé les difficultés dans lesquels le pays était engagé. Que ce soit les droits douaniers ou la distribution des produits vitaux pour la population, il est des plus complexes de vouloir organiser des alternatives pouvant garder à flot l’économie d’un pays. Il en va aussi de questions administratives comme les lois d’immigration. Vouloir d’un trait tout éliminer d’un coup de trait, c’est de la démence. Je ne sais pas, où tout cela pourra mener, mais je suis sûr d’une chose, j’en ai plein les basques de ces coups de gueule qui caractérisent des opportunistes comme Boris Johnson. Il serait souhaitable qu’il quitte au plus vite l’échiquier politique, mais cela semble pas encore être le cas. Tout cela est bien connu, bien moins l’attitude que pourra aborder l’UE ? Weiterlesen
Monat: September 2019
Taliban
Kurz vor einem erwarteten Abkommen zwischen den USA und den afghanischen Taliban hat Präsident Donald Trump Friedensgespräche mit Vertretern der islamistischen Miliz abgesagt. Trump gab völlig überraschend auf Twitter bekannt, dass ein Treffen mit den Taliban am Sonntag in Camp David hätte stattfinden sollen. Separat waren auch Gespräche mit dem afghanischen Präsidenten Ashraf Ghani geplant gewesen. Als Grund für die Absage nannte Trump den tödlichen Anschlag in der afghanischen Hauptstadt Kabul, bei dem am Donnerstag auch ein amerikanischer Unteroffizier ums Leben gekommen war. Ob dies das endgültige Aus für die Verhandlungen beider Seiten ist oder die Gespräche nur ausgesetzt sind, ist unklar.
Es war eines von Trumps großen Wahlkampfversprechen, Amerikas „endlose Kriege“ zu beenden. Zunächst bewilligte er allerdings im Sommer 2017 eine Verstärkung der Truppen in Afghanistan, nachdem das Pentagon wiederholt gewarnt hatte, dass bei einem Abzug nicht nur die Taliban die Kontrolle über Afghanistan zurückerobern würden, sondern auch der IS das Machtvakuum nutzen könnte, um sich im Land einzunisten.
Die Taliban müssten für für eine Fortführung der Gespräche aber ihre Haltung ändern und insbesondere einmal gemachte Zusagen dann auch einhalten (US-Außenminister Mike Pompeo, cnn.com). Die USA würden ihre Soldaten nur dann aus Afghanistan abziehen, wenn die Bedingungen dafür angemessen seien. Präsident Trump hatte ein geplantes Geheimtreffen mit Taliban-Anführern und dem afghanischen Präsidenten Ghani kurzfristig abgesagt und dies mit einem Bombenattentat in Kabul begründet, bei dem zwölf Menschen getötet wurden, darunter ein US-Soldat. Als Reaktion kündigten die Islamisten neue Gewalttaten an.
Das Ende der Gespräche werde unter anderem dazu führen, dass noch mehr US-Soldaten ihr Leben verlieren würden.
Trump verfolgt nach wie vor den Plan, die amerikanischen Truppen nach Hause zu holen. Damit der Truppenabzug nicht nach einer Niederlage aussieht und der militärische Einsatz der letzten 18 Jahre nicht umsonst gewesen ist, wollen die USA die Taliban mittels eines Abkommens zwingen, mit den Regierungstruppen über Frieden zu verhandeln.
Die Taliban wollen die Amerikaner aus dem Land haben. Sie verlangen zudem ein Ende der Nato-Operation „Resolute Support“. Im deren Rahmen versuchten Ausbilder, unter anderem 1.300 Deutsche, die Kampfstärke der afghanischen Armee zu erhöhen.
Trump ist wie ausgewechselt. Ging es ihm seit fast einem Jahr um den schnellstmöglichen Truppenabzug, heißt es plötzlich: „Wir sind nicht in Eile“ (SPON). Einen Zeitplan gäbe es nicht, versichert Trump jetzt. Die Hast der Amerikaner, einen schnellen Erfolg zu produzieren, hatte ihre Verhandlungsposition stark geschwächt. Die Taliban dagegen hatten Zeit und schienen ihre Forderungen durchzukriegen.
Trump muss aus den eigenen Reihen Druck erhalten haben, Afghanistan nicht im Chaos zu verlassen. Steuerzahlern und Veteranen ist es schwerlich zu erklären, wenn das Land künftig wieder von den Taliban regiert würde und damit quasi der Zustand von 2001 vor dem Einmarsch der USA wieder hergestellt sei. Der Verlust von Tausenden gefallenen Soldaten und einer Billion Dollar Steuergelder allein für militärische Ausgaben in diesem längsten Krieg der US-Geschichte (wikipedia.org) wären vergebens gewesen.
Dass Trump aus dem aggressiven Verhalten der Islamisten Konsequenzen zieht, stößt in Washington durchaus auf Zustimmung: Als Details des Vertragsentwurfs bekannt wurden, sahen Kritiker ihre Befürchtungen bestätigt, dass Trump Afghanistan im Zweifelsfall den Taliban überlassen würde, wenn er sich im Präsidentschaftswahlkampf 2020 nur als derjenige hinstellen könnte, der den mittlerweile seit 18 Jahren andauernden Einsatz der US-Truppen beendet hat. Sowohl auf Seiten der Demokraten als auch in Trumps Regierung befürchten viele, dass die Kabuler Regierung nach einem Abzug der US-Truppen nicht lange überleben würde (sueddeutsche .de).
Erschwert werden die Verhandlungen dadurch, dass auf keiner Seite des Tisches letztgültige Versprechungen abgegeben werden können. Die afghanische Politik wird von einem Team aus 15 Repräsentanten vertreten – rivalisierende Lager um starke Vertreter ethnischer Gruppen, Parteien, neue gesellschaftliche Repräsentanten. Allein ihre Auswahl kam einer Quadratur des Kreises gleich.
Le brun caca !
« Stefan Jagsch, un adhérent du Parti national-démocrate (NPD), ultranationaliste, a été élu jeudi 5 septembre chef du conseil municipal de Waldsiedlung, une commune de 2 500 habitants du district d’Altenstadt, à 30 kilomètres au nord-est de Francfort. », telle la nouvelle que j’ai lue dans le Monde. Il a obtenu le soutien de la CDU et du SPD. Il y a de quoi bondir que le national-socialisme soit considéré en Allemagne de plus en plus comme un phénomène honorable, que le brun caca risque de devenir une couleur à la mode. Lorsqu’on voit que « le Flügel », la frange nazie de l’AfD est arrivé en deuxième position en Saxe et dans le Brandebourg en raflant en moyenne un quart des voix, cela me laisse pantois. Des leaders qui ont des bien des sympathies pour le mouvement identitaire proche des idées d’Adolf Hitler. L’exemple de la commune d’Altenstadt en Hesse démontre que l’extrême-droite a une bonne assise à la base. Qu’elle est de plus en plus ancrée dans les esprits. Je pourrais ruer dans les brancards, mais ne le fais pas, car cela ne sert à rien. Après m’être préoccupé en cette fin de semaine au sujet de la montée en puissance des activistes nazis au sein de l’AfD, je me pose la question de savoir à quoi imputer cette recrudescence ? Il est toujours question des migrants, mais je ne pense pas que cela soit forcément en premier lieu l’élément perturbateur, d’autant plus que dans les régions « brun caca » il y a relativement peu « d’intrus basanés ! Cela repose plutôt sur la peur de l’avenir et de vouloir par commodité confier son destin à des personnages du type alpha. Weiterlesen
Le coq déplumé !
Dans ce cas bien précis, il ne s’agit pas du coq gaulois qui a gardé toutes ses plumes, mais bien de Boris Johnson qui a galvaudé dans un temps record tous ses acquis. Après avoir mis à la porte les rebelles de son parti, 21 députés ayant fait la gloire des Tories, c’est maintenant Amber Rudd, la ministre chargée du travail et des retraites, qui a jeté l’éponge. Elle qui a été en 2016 contre le Brexit, avait tenu bon malgré les différents qu’elle avait avec ses collègues durs et purs, car elle croyait encore à la liberté de pensée. « Je ne peux pas rester alors que des bons, loyaux conservateurs modérés sont exclus ». Elle déplore que la démocratie ne soit pas respectée, que le fait de dire haut et fort qu’on n’est pas d’accord puisse avoir de telles conséquences. Boris Johnson est en train de se mettre à dos tous ceux qui ne le suivent pas. Ce serait près de la moité des Britanniques. « J’avais rejoint votre gouvernement en toute bonne foi: accepter le “No Deal” devait être sur la table, car c’était le moyen par lequel nous aurions les meilleures chances de parvenir à un nouvel accord pour sortir [de l’UE] le 31 octobre. Cependant, je ne crois plus que partir avec un accord soit l’objectif principal du gouvernement. » Weiterlesen
Et le quatrième âge ?
Et oui, il fallait y penser. Pour régler le problème des retraites, il faut au plus vite inventer le quatrième âge ! Cela consiste à aller dare-dare se reposer dans la boîte. Boulot-dodo et sans transition le repos éternel. Plus de retraités heureux, comme les porcs paissant sur des prairies au lieu d’engraisser dans des porcheries, avant de passer à l’abattoir ! Pourquoi perdre son temps à se regarder dans le miroir, à repérer toutes les nouvelles rides. « Tu commences à ressembler à un singe ! » Puis le passage obligatoire sur la balance, ce qui est une plaie. Dans ce cas-là de quoi attraper le torticolis, à vouloir jeter un regard sur son zizi rabougri. Ce sacré ventre est un obstacle de taille ! Je pourrais continuer à déblatérer ainsi sur les avantages qu’apportent la retraite. Toute une vie passée à trimer pour se trouver après affublé de tous les bobos et souvent en sus, des problèmes d’argent. J’ai toujours cru que je pourrais faire le grand saut, sans passer par le purgatoire qu’est le 3ème âge. Mais il n’en a pas été ainsi. J’ai été mis en veilleuse, sans que je le veuille. Pas de doute je suis une charge pour la société. Lorsque la politique doit redéfinir ce que devrait être la retraite, elle ne peut que jouer à la baisse. Elle coûte les yeux de la tête et il n’est pas à prévoir que cela changera. Les moyens nécessaires pour passer la fin de sa vie décemment, se rétrécissent comme une peau de chagrin. Weiterlesen
Freie Wahlen
In Russland sind am Wochenende Lokalwahlen – doch diese sind nicht frei.
Das politische System kommt in die Jahre. Manche denken bei diesem Satz heute an die Demokratie. Aber viel besser passt er eigentlich auf Autokratien. Die Proteste gegen das Regime in Hongkong, die Rebellion der Istanbuler Wählerinnen und Wähler gegen den starken Mann in Ankara, der Volksaufstand gegen den venezolanischen Linksdiktator sprechen für sich. Jetzt am Wochenende lässt ein weiterer autoritärer Herrscher wählen: Wladimir Putin.
Die Russen bestimmen ihre Kommunalparlamente.
Bereits Mitte August hatten Zehntausende Menschen an einer Demonstration in der russischen Hauptstadt für demokratische Wahlen und gegen Polizeigewalt teilgenommen. Einmal mehr kam es zu massenhaften Festnahmen. „Annullieren Sie die Pseudowahlen, die für den 8. September angesetzt sind. Setzen Sie eine neue Abstimmung Ende des Herbstes an und garantieren Sie die Teilnahme der Opposition“, schrieb der Kremlkritiker Ilja Jaschin in dem bei Twitter veröffentlichten Brief aus seiner Arrestzelle (n-tv.de).
„Jeden Tag ein neuer Kinderspielplatz“ und „Jeden Tag 1200 Meter neue Wege“ – die Kremlpartei Geeintes Russland verspricht einiges vor der Wahl des neuen Parlaments der Krim. Am 8. September wird auch auf der Schwarzmeer-Halbinsel wie in anderen Regionen Russlands gewählt – ein Stimmungstest für Kremlchef Wladimir Putin.
In zwei Jahrzehnten an der Macht hat Wladimir Putin sein System auf Geheimdienst und Günstlinge zugeschnitten. Die eigene Bevölkerung erscheint als diffuse Bedrohung – jedoch: eine einheitliche Protestbewegung bleibt aus.
Wladimir Putin spricht eigentlich viel lieber über die Probleme anderer als über die daheim. Beim Treffen mit Emmanuel Macron auf dessen französischer Sommerresidenz letzten Monat ging der Kremlchef zum ersten Mal persönlich auf die Proteste in Moskau ein. Wer sich dabei nicht ans Gesetz halte, der würde zur Verantwortung gezogen, sagte er. Niemand habe das Recht die Situation bis ins Absurde zu treiben. Er wolle keine „Gelbwesten“ in Moskau haben. Die Proteste in Frankreich mussten in russischen Staatsmedien schon früher als Schreckensszenario herhalten (sueddeutsche.de, 20.08.2019).
Der Kreml erklärte stets, er halte die Proteste nicht für eine Krise und die harte Reaktion der Polizei sei gerechtfertigt. Dass die Machthaber in Moskau die Situation aber sehr wohl als Krise betrachten, zeigt das Arsenal an Gegenmaßnahmen, mit denen sie die Menschen von nicht sanktionierten Protesten fernhalten wollen. Sie gehen längst über die absurd hohe Zahl der Sicherheitskräfte hinaus, die sich den Demonstrierenden jeden Samstag gegenüberstellt.
Die Menschen in Moskau wählen am Sonntag ein neues Stadtparlament – Kandidaten der Opposition stehen aber nicht zur Wahl. Deswegen gehen seit zwei Monaten jeden Samstag Demonstranten auf die Straßen der 15-Millionen-Einwohner-Metropole. Sie protestieren gegen die Weigerung der Behörden, kritische Politiker zur Wahl zuzulassen – vergeblich. Nach Angaben der Wahlkommission fehlten den 57 Kandidaten der Opposition entweder die notwendigen Unterschriften, oder ihre Unterlagen hatten Formfehler.
Besonders hart gingen die Sicherheitskräfte bei zwei Demonstrationen vor, am 27. Juli und am 3.August. An beiden Tagen nahmen sie jeweils mehr als tausend Menschen vorübergehend fest (schwaebische.de). Die Behörden erklärten die Kundgebungen zu Massenunruhen. Einige Teilnehmer mussten Geldstrafen zahlen, gegen 20 Menschen wurde ein Strafverfahren eingeleitet.
Der massive Einsatz von Gewalt durch Sicherheitskräfte bei den teilweise verbotenen Kundgebungen für faire Wahlen muss mann als Zeichen zunehmender Nervosität bei Kremlchef Wladimir Putin, der seit 20 Jahren in wechselnden Positionen das Ruder in Russland in der Hand hält, werten. Kommunalwahlen sind eine der wenigen Möglichkeiten in Russland für Putin-Kritiker, sich in der Politik zu engagieren. In der Duma, dem russischen Unterhaus, gibt es faktisch keine Opposition mehr.
Die Zivilgesellschaft im Land hat gelernt, sich zu vernetzen. Immer mehr einst politisch Passive wollen Verantwortung übernehmen, wollen wenigstens im Kleinen zeigen, dass sie etwas bewegen können. Sie wollen den Sprung aus der immer noch stark verankerten sowjetischen Kollektivität in die Individualität wagen. Die Drohkulisse des Staates aber ist intakt. Die politischen Spaziergänge der Unzufriedenen ziehen sich stets am Moskauer Boulevard-Ring entlang. Sie drehen sich buchstäblich im Kreis. Auch im politischen Sinne.
Die anstehenden Wahlen werden wohl wieder – wenn auch in kleinerem Rahmen – zu „Zarenkrönungen“ führen.
Le blanc supérieur?
Je me regarde dans le miroir et me demande si je suis vraiment supérieur ? Mon faciès n’a rien à voir avec celui d’un gorille, ou bien ? Et lorsque je m’exprime, je n’émets pas de cris. Lorsque Lilian Thuram, l’ex-joueur des bleus déclare que les blancs pensent être supérieur et dans leur comportement raciste, je suis de son avis, même s’il ne faut pas généraliser comme le critique la Licra, qui parle « une dérive du combat antiraciste ».Pour le footballeur, il est dans ces cas-là, « nécessaire d’avoir le courage de dire que les blancs pensent être supérieurs et qu’ils croient l’être . Ne rien faire équivaut à être d’accord avec ceux qui poussent ces cris racistes ». C’est en Italie que dans les stades que le comportement de certains supporteurs est particulièrement vil. Les injures fusent lorsque un joueur de couleur entre sur le terrain, comme Romelu Lukaku de l’Inter Milan dimanche dernier. Si on arrête un match à cause des vindicatives portées contre l’homosexualité, il faudrait faire de même en ce qui concerne l’exclusion raciale. La FIFA, qui prétend être favorable à l’égalité dans tous les domaines, ferait bien d’être moins laxiste à ce sujet. Les clubs, dont les fans en arrivent à de tels affronts, devraient perdre des points et si cela se réitère, être relégués dans une ligue inférieure. Ce n’est qu’en combattant le racisme avec force, que le public pourrait se poser la question du pourquoi de telles réactions. Ce serait une réflexion qui dépasserait de loin le cadre des clubs de foot. « Il faut prendre conscience que le monde du foot n’est pas raciste mais qu’il y a du racisme dans la culture italienne, française, européenne et plus généralement dans la culture blanche, Il est nécessaire d’avoir le courage de dire que les blancs pensent être supérieurs et qu’ils croient l’être. De toutes les manières, ce sont eux qui doivent trouver une solution à leur problème. Les noirs ne traiteront jamais les blancs de cette façon, et pour n’importe quelle raison. L’histoire le dit. » Weiterlesen
Jouer à son Churchill!
Et encore du Johnson à volonté ! C’est vraiment lui qui fait la une ! On ne peut pas l’ignorer ! Il veut jouer à son Churchill, qui en 1940, devant le parlement de Westminster, fit cavalier seul en affirmant que la Grande Bretagne devait s’engager complètement dans la guerre et ceci sans négociations préalables. Que si on a la tête prise dans la gueule d’un tigre, toutes discussions seraient vaines.C’est la démarche que semble vouloir appliquer le premier-ministre, celui de la confrontation directe. Mais il oublie que l’UE n’est pas le 3ème Reich. Les députés lui ont fait subir une défaite l’une après l’autre. Ils veulent repousser la date du divorce au tout début de l’année 2020, refusent l’organisation d’élections au 15 octobre 2019. L’attitude intransigeante de Boris Johnson est payante si on en croit les sondages. Les Tories auraient gagné plus de 8 % des voix. Les Anglais semblent aimer ce genre de joute, où un valeureux chevalier défie seul, toutes les tourmentes. Cela semble satisfaire leur esprit sportif. Peu importe que la raison soit mis en veilleuse, ce qui compte c’est le pugilat. Lorsque j’ai appris qu’il en était ainsi, je me suis mis à comprendre l’attitude de Boris Johnson, celle d’un homme qui a tout à gagner, car une partie de son peuple se fiche complètement de la catastrophe qui pourrait arriver. C’est assez déconcertant. Le pays se trouve ainsi dans le trou. Je suis assez satisfait que Westminster ait mis un frein à la démagogie de ce personnage, ait rappelé aux Britanniques, que leur pays était encore une démocratie, où les députés avaient le dernier mot. Weiterlesen