L’attaque aux drones de la raffinerie de pétrole Aramco a été très efficace. 5 % de la production du brut sont concernés. Ce seraient les rebelles yéménites qui le 14 septembre auraient été les auteurs de l’attaque, qui ont provoqué des incendies dans deux sites du géant pétrolier Aramco, à Abqaiq et à Khurais, dans l’est du pays. Les États-Unis, par la voix de son ministre d’État, Mike Pompeo, ont accusé Téhéran d’avoir orchestré cette opération. Elle démontre à quel point nous sommes vulnérables. Les autorités pétrolifères de l’Arabie Saoudite ont déclaré : « Nous ferons en sorte que le marché ne subisse aucune pénurie tant que nous ne serons pas de nouveau totalement opérationnels ». Il est pour moi évident que nous devons réduire notre dépendance énergétique de manière drastique. D’une part pour réduire l’effet de serre, de l’autre pour ne pas être constamment être les victimes de chantages. Lorsqu’on essaie de s’imaginer quels dommages peuvent causer des drones on reste pantois. Ce qui s’est passé à Abqaiq et Khurais, pourrait à tous moments être le cas en ce qui concerne les centrales nucléaires. Le président Trump a beau avoir recours aux réserves de pétrole, afin que le marché ne s’effondre pas complètement, ce ne que peut qu’être une situation bancale. « Suite aux attaques en Arabie saoudite, qui pourraient avoir un impact sur les prix du pétrole, j’ai autorisé l’utilisation du pétrole de la Strategic Petroleum Reserve, si besoin, pour une quantité qui reste à définir ». Weiterlesen

Vor 70 Jahren, am 12. September 1949, ist Theodor Heuss zum ersten deutschen Bundespräsidenten gewählt worden.

Heuss war von 1949 bis 1959 Staatsoberhaupt. Der FDP-Politiker verschaffte dem Amt Profil und dem neuen Staat Ansehen im Ausland. Bekannt war er für seine Menschlichkeit und seinen Humor. Bei seiner Wiederwahl 1954 errang er 88,2 Prozent der Stimmen. Es ist das bisher beste Ergebnis in einer Bundesversammlung.

Für Westdeutschland erwies sich die Entscheidung als Glücksfall. Genau zehn Jahre lang, bis zum 12. September 1959, blieb er im Amt und gab in dieser Zeit der kriegszerstörten jungen Bundesrepublik den liberal-demokratischen Kurs vor.

Es gab in der westdeutschen Politik viele Befürworter einer „großen“ Koalition aus CDU/CSU und SPD. Sie meinten, die Probleme des Landes sollten von einer breit aufgestellten Regierung angegangen werden. Der erste Bundeskanzler, Konrad Adenauer, sah es anders; er wollte lieber eine „kleine“ Koalition mit der FDP und der Deutschen Partei, die die Westbindung und die soziale Marktwirtschaft vorantreiben könne.

Es ging Heuss beim Wiederaufbau Westdeutschlands nicht nur darum, die zerstörerischen Seiten des Extremismus abzulehnen; er wollte dem jungen Staat über den Zivilisationsbruch des Nationalsozialismus hinweghelfen, indem er an demokratische Traditionen anknüpfte. Darin hatte der Sohn eines württembergischen Regierungsbaumeisters selbst Anteil gehabt. Nach dem Studium der Nationalökonomie, Literatur und Geschichte in München und Berlin war er Journalist geworden, hatte Biografien Friedrich Naumanns und Robert Boschs geschrieben und war Gründungsmitglied und Abgeordneter der DDP gewesen, die zu den wenigen Parteien gehört hatte, die die Weimarer Republik vorbehaltlos unterstützten. Zum Widerstand des 20. Juli 1944 stand er in Verbindung.

Seine Amtsführung war bestimmt vom Versuch, das Bild Deutschlands im Ausland zu rehabilitieren. Immer wieder forderte er, dass die Deutschen sich mit ihrer Vergangenheit auseinandersetzen, rief zur Erinnerungs- und Trauerarbeit auf.

Heuss galt als volksnah und mischte sich stärker in die Politik ein, als das für dieses Amt heute üblich ist. „Entkrampfen“ (swr.de) war eine seiner Lieblingsvokabeln, und er sah sich als Wegbereiter einer offenen Diskussionskultur.

Heuss zieht dem Kampf das Nachdenken vor“, schrieb der französische Deutschlandkenner Alfred Grosser. Der Protestant Heuss war eher Intellektueller als Politiker. Humor, Gutmütigkeit und Bescheidenheit – so wurde sein väterlicher Stil wahrgenommen. Er selber fand das Klischee von „Papa Heuss“ grässlich, hasste die „Staatsschauspielerei“ und empfand sich als „Staatssklave im Frack“.

Vielleicht war er – aus heutiger Sicht – der größte und vor allem „höchste Netzwerker“ (domradio.de) der frühen Bundesrepublik.

Heuss galt als guter Rhetoriker und machte früh klar, dass Deutschland nicht nur „besiegt“, sondern auch „befreit“ worden war. Oft half ihm ein Augenzwinkern. Es ist bekannt, dass er eine schwierige Situation mit ein, zwei humorvollen Sätzen auflockern konnte (Ludwig Theodor Heuss. Enkel fr.de 10.12.2013). So ließ er etwa seine Skepsis gegenüber dem Militarismus 1958 aufblitzen, indem er Soldaten bei einem Manöver der Bundeswehr mit den Worten verabschiedete: „Nun siegt mal schön“.

Anfang Mai 1952 gingen per Boten förmliche Briefe von Bundeskanzler Konrad Adenauer an Bundespräsident Theodor Heuss und umgekehrt. Es ging um eine wichtige, weil potenziell peinliche Angelegenheit: Welches Lied sollte die junge Bundesrepublik im Ausland symbolisieren? Was sollte die zukünftige Nationalhymne sein?

Theodor Heuss hatte bei Rudolf Alexander Schröder einen neuen Hymnentext in Auftrag gegeben und ließ durch sein Amt erklären, dass diese Frage zu seiner Prärogative gehöre und noch nicht entschieden sei. Im Herbst liegt der Entwurf vor. Der religiös orientierte Schriftsteller hatte sich durch den 1. Korinther-Brief anregen lassen und gab seiner Hymne an Deutschland eine nur sehr schwache politische Färbung: „Land des Glaubens, deutsches Land / Land der Väter und der Erben…“. Aber die Premiere missglückte. Kritisiert wurde, dass die Hymne keinen Nationalstolz verströme, mehr einem Kirchenlied gleiche. Der Begriff von „Theos Nachtlied“ machte die Runde. Der Hymnenstreit war entschieden. Die weit überwiegende Mehrheit der Deutschen wünschte die Wiedereinführung des Deutschlandliedes, nur die dritte Strophe sollte gesungen werden. Die Bundesrepublik schloss sich an die Weimarer Tradition an.

Theodor Heuss starb am 12. Dezember 1963 im Alter von 79 Jahren in Stuttgart.

Er hat es als „eine seiner wichtigsten Aufgaben angesehen, nach dem Holocaust wieder an die besten kulturellen und geistigen Traditionen Deutschlands anzuknüpfen“ (Frank-Walter Steinmeier, 12.09.2019, Festakt in Stuttgart).

Sahar Khodayari avait 30 ans lorsque elle s’est immolée par le feu au tribunal de Téhéran après avoir été condamnée à six mois de prison pour avoir assisté à un match de football de son équipe préférée, le Esteghlal FC. En Iran les femmes n’ont pas le droit d’entrer dans les stades, pour les préserver de l’atmosphère masculine et de la vue d’hommes à moitié nus. Elle est morte à la suite de ses brûlures à l’hôpital, ce qui a déclenché un raz-de-marée sur les réseaux sociaux. La FIFA a été sollicitée de boycotter dorénavant l’Iran, de l’empêcher à participer à des tournois internationaux. Je m’associerais volontiers à de telles mesures, trouvant la discrimination des femmes contraire à la convention des droits des hommes. Le ministère de la justice s’est empressé de tout démentir. Il n’y aurait pas eu de procès, encore moins de sentence. Les images de Sahar Khodayari à hôpital ont attisé les émotions. Mourir pour avoir tenté d’entrer dans le stade en se déguisant en homme, « tel a été le terrible  délit » perpétré par cette jeune femme ! La légende du football iranien Ali Karimi a demandé à ses 4,5 millions d’abonnés sur Instagram. de boycotter les stades jusqu’à nouvel ordre. « Les femmes de notre terre sont meilleures que les hommes ». Mais aussi le club favori de Sahar Khodayari a publié un communiqué : « Le décès tragique de notre enfant bien-aimée, Mlle Sahar Khodayari, a causé une grande tristesse et un profond regret chez l’Esteghlal FC » Philipp Luther d’Amnesty international a affirmé : « Sahar Khodayari serait toujours vivante s’il n’y avait pas eu cette interdiction draconienne et le traumatisme subséquent de son arrestation, de sa détention et des poursuites », Sa mort (…) doit provoquer un changement en Iran pour éviter de telles tragédies à l’avenir ». Weiterlesen

L’ancien premier-ministre David Cameron, à l’occasion de la sortie de ses mémoires, a donné pour la première fois une interview au journal The Times depuis son départ. Celui que je considère comme étant l’apprenti-sorcier qui a mis sur les rails la déchéance de la Grand-Bretagne, en se pliant pour des raisons électorales à la pression de l’aile droite de son parti, a déclaré que le résultat du référendum avait été faussé par les mensonges de son ex-ami Boris Johnson. « J’y pense tous les jours (…) et le fait que nous ayons perdu et les conséquences (…), et je m’inquiète désespérément de ce que réserve l’avenir » a dit Cameron. 52 % du peuple britannique avait voté pour, en grande partie à cause des fake-news émises par Boris Johnson, comme celle que le Royaume Uni devait s’acquitter chaque mois d’une fortune, pour « avoir l’honneur » de devoir se plier aux quatre volontés de Bruxelles. Une invention de toutes pièces. Il eut aussi la perfidie d’attiser la xénophobie, tout cela pour faire carrière. Les attaques de David Cameron en direction de son ancien camarade d’école sont du vitriol et pourraient être un élément supplémentaire pour acculer encore plus l’actuel premier-ministre. Il n’est pas coutume qu’en Grande-Bretagne un prédécesseur comme Cameron émette une critique envers la politique d’un premier étant au pouvoir, mais la situation déplorable du pays l’a forcé de le faire. « Certaines personnes ne me pardonneront jamais d’avoir organisé un référendum. D’autres de l’avoir organisé et de l’avoir perdu », admet-il. Mais il y a aussi« tous ces gens qui voulaient un référendum et qui voulaient sortir (de l’UE), qui sont contents qu’une promesse ait été faite et tenue ». Weiterlesen

Si j’étais superstitieux je cacherais ma tête sous ma couette en attendant que la journée se passe. Le vendredi 13 n’est pas pour moi une hantise, mais plutôt un jour de bonheur. Pourvu qu’il en soit ainsi aujourd’hui. Peut-être aussi de quoi faire un bilan, comme il serait de mise au cours du salon international de l’automobile à Francfort. Il y a des premiers nuages à l’horizon de l’économie allemande, notamment dans ce secteur. Les exportations sont en net ralentissement, notamment au cours de ce trimestre. Il est question du retour du chômage partiel dans l’industrie afin de sauver des emplois fixes. C’est à dire de freiner la productivité jusqu’à une reprise des affaires. Mais cette fois-ci ce n’est pas seulement une question de conjoncture, bien plus celles des hésitations en ce qui concerne la voie à suivre. Le secteur de l’automobile notamment, qui était enferré dans le scandale du diesel, a mis la main à la pâte en ce qui concerne les véhicules propulsés par des moteurs électriques bien trop tard. Il y a eu des carences tout d’abord au niveau de la recherche. Les fabricants traînent encore des pieds, tablant avant tout sur l’acquis, ce qui à mes yeux est irresponsable. Ils n’ont pas encore vraiment anticipé, ont voulu ignorer ce qui pourrait se passer dans un avenir rapproché. La construction d’un moteur électrique est bien plus simple, que celui propulsé avec des carburants fossiles. Le nombre des pièces nécessaires est bien plus bas. Sa manutention demandera fatalement bien moins de personnel. Weiterlesen

Le site Suavelos prône le nationalisme blanc. Une fois de plus ses créateurs ont utilisé toutes la panoplie d’insanités, considérant la couleur de la peau comme une preuve d’excellence, lorsque elle est claire. Une fois de plus un lot de bêtises. Lorsque on sait que génétiquement il n’y a qu’une race humaine, peu importe les caractéristiques extérieures, il y a de quoi bondir. Après les attentats de Christchurch et d’El Paso, perpétrés par des suprémacistes blancs les réseaux sociaux comme FaceBook sont devenus plus prudents et exerce une certaine censure comme l’a fait remarquer Suavelos. Il est question de répandre de fake-news dans le but de faire de l’agitation. Il est souvent question des migrants qui se font du beurre sur le dos des autochtones, qui n’ont qu’à se croiser les bras en attendant que l’argent entre. Le blanc n’a pas seulement le droit de se sentir bien chez lui, c’est pour les publicateurs de ce site un droit génétique. Yann Merkado et Daniel Conversano sont les responsables du site Suavelos et utilisent toute la panoplie d’inepties que les racistes propagent à tous vents. Lorsque Conversano déclare :  Je ne conteste pas être raciste. J’ai toujours trouvé la civilisation européenne supérieure aux autres, je préfère Mozart au djembé. Chez nous, la question ethnique est centrale.  Il faudrait « mettre dans la Constitution que la France est un pays blanc et doit le rester majoritairement ».(source Le Monde).

Weiterlesen

Ziegen meckern,

Bienen summen.

Pan spielt die Flöte.

Gut so!

Mädchen tanzt,

Hund schaut zu.

Fotograf fängt Sonnenstrahlen.

Gut so!

Mutter jätet Unkraut,

Kind plantscht in Becken.

Blauer Himmel wolkt.

Gut so!

Bunte Autos passieren,

Schüler spielen auf Hof.

Alter Mann balanciert Erinnerungen.

Gut so!

Frau schaut aus Bürofenster,

Mann trägt Einkaufstaschen.

Krähe auf Kirchturm zieht Fäden.

Gut so!

Rentnerin auf der Bank,

Läufer zieht vorbei.

Kind schaut aus dem Zeitfenster.

Gut so!

Gräser wiegen im Wind,

Sonne streichelt Gesichter.

Heute und Morgen grüßen sich.

Gut so!

Hund bellt,

Katze miaut am Fenster.

Völkerverständigung im Ort.

Gut so!

Antritt der Reise,

spontan wartet Irgendwo.

Zeit schüttelt den Kopf.

Gut so!

Frosch quakt,

Seerose meditiert.

Wind trägt Geräusche.

Gut so!

Belanglos …

Benjamin Nétanyahou a promis une semaine avant les élections en Israël, que s’il arrivait au pouvoir, il annexerait la vallée du Jourdain. Une attitude que les Allemands ont eu envers le pays des Sudètes en 1938, celle de blesser les conventions internationales, celles de ne pas respecter l’intégrité des territoires. Il y a donc un peu « d’Hitler » dans tout cela ! Il va s’en dire que personnellement je ne peux pas accepter une telle attitude, qui peut être génératrice de guerre. Le bon ami de Jair Bolnosaro démontre ainsi qu’il va la main dans la main avec l’internationale des fascistes. Ceux qui sont aussi responsables de la recrudescence de l’antisémitisme dans le monde entier. Je trouve l’attitude de cet homme abjecte, mais encore plus qu’il risque d’être élu. Ce qui se passe ici est de la provocation. Je pense que si Néranyahou devait être plébiscité dans de telles conditions, il faudrait remettre en cause les relations que l’Europe entretient avec Israël. Et n’allez surtout pas dire que je suis antisémite ! Je ferais de même pour tous pays agissant de même, comme la Russie avec la Crimée et la sécession du Donbass. Dans un tel cas il faut être conséquent et ne pas accorder son blanc-seing à tous ceux qui réclament un traitement privilégié. Ce qui se passerait si le premier-ministre mettait en marche un tel processus, serait un crime contre l’humanité, car il mettrait en effervescence tout le Proche et Moyen-orient. C’est la raison pour laquelle cela nous regarde, n’en déplaisent aux extrémistes de la droite israélienne. J’ose espérer que la majorité de la population ne suivra pas ce démagogue qui risque de mener le « peuple juif » dans l’abîme, que la démocratie en fin de compte reprendra le dessus par rapport aux fascistes. Je suis plus que déçu que des gens, dont les familles ont souffert sous le joug hitlérien, puissent suivre l’exemple de celui qui a été leur bourreau, de se mettre au diapason avec extrémisme néonazi. Non, je ne peux et veux pas comprendre une telle attitude. La raison une fois de plus, que je soutiendrai par tous les moyens la cause palestinienne. Weiterlesen