Am Freitag ist passiert, worauf Barack Obamas Fans lange gewartet haben: Der ehemalige Präsident hat die Samthandschuhe ausgezogen und hat seinen Nachfolger Donald Trump erstmals seit seinem Abtritt heftig und namentlich angegriffen.

Man wundert sich immer wieder, wie extrem beliebt Ex-Präsident Barack Obama immer noch ist. Und das nicht nur in Deutschland, sondern auf der ganzen Welt. Selbst die, die seine Politik inhaltlich nicht befürworteten, sprechen ihm einige Sympathiepunkte zu. Der Gedanke, dass der erste schwarze Präsident in der US-Geschichte von jemand wie Donald Trump abgelöst wurde, stößt bei vielen auf Unbehagen.

Die Wahl gewann Trump gegen die Demokratin Hillary Clinton. Die meisten Demokraten hätten sich wohl gewünscht, dass Obama weitermachen könnte. Aber nach der US-amerikanischen Verfassung darf ein Präsident seit 1951 nach zwei Amtszeiten, also insgesamt acht Jahren, nicht noch einmal in das vermeintlich höchste Amt der Welt gewählt werden. Damit soll ein potenzielles Machtmonopol verhindert werden.

Der 22. Zusatzartikel der Verfassung der Vereinigten Staaten von Amerika verbietet eine dritte Amtszeit.

Bedingungslos? Nein, es scheint für dieses Gesetz eine Hintertür zu geben. Brian Kalt, Professor für Rechtswissenschaften an der „Michigan State University“, sagt, es könnte in Krisensituationen — also bei Terroranschläge oder Kriegsausbruch — dazu kommen, dass ein Präsident eine dritte Amtszeit bekommt.

Der 22. Zusatzartikel der Verfassung leidet an einer schwammigen Formulierung. Obama darf nicht drei Mal zum Präsidenten gewählt werden — und wer nicht für das Amt des Präsidenten wählbar ist, darf laut zwölftem Zusatzartikel auch nicht in das Amt des Vizepräsidenten gewählt werden. Aber auch in einer Demokratie gibt es Möglichkeiten, ungewählt in ein Amt zu gelangen. So ist zum Beispiel die derzeitige Premierministerin des Vereinigten Königreichs, Theresa May, nach dem Rücktritt von David Cameron zu ihrer Position gekommen, ohne dass die Briten darüber abstimmten.

Zurück in die USA: Obwohl die Gesetzeslage um den 22. Zusatzartikel seit Jahrzehnten umstritten ist (man erinnere sich, auch nach Präsident Bill Clinton diskutierten amerikanische Juristen, ob er nicht als Vizepräsident gewählt werden könne), spielt die Wahrscheinlichkeit ebenfalls eine Rolle. Wie der ehemalige US-Außenminister Dean Acheson schon zu Zeiten von Präsident Eisenhower sagte: „Ein Präsident, der nach zwei Amtszeiten als Vizepräsident kandidiert, ist unwahrscheinlicher, als dass es verfassungswidrig sei“.

Aber auch einer geringen Wahrscheinlichkeit darf die Relevanz nicht abgesprochen werden. Es geht immerhin um die Verfassung der Vereinigten Staaten von Amerika. Wer in die Hauptstadt kommt, wird verstehen, wie wichtig den US-Amerikanern ihre Verfassung ist.

Der 22. Zusatzartikel der US-Verfassung lautet (Wikipedia):

Absatz 1

Niemand darf mehr als zweimal zum Präsidenten gewählt werden. Niemand, der länger als zwei Jahre der Amtszeit, für die eine andere Person zum Präsidenten gewählt worden war, das Amt des Präsidenten innehatte oder dessen Geschäfte wahrnahm, darf mehr als einmal in das Amt des Präsidenten gewählt werden. Dieser Artikel findet keine Anwendung auf jemanden, der das Amt des Präsidenten zu dem Zeitpunkt innehatte, zu dem dieser Zusatzartikel durch den Kongress vorgeschlagen wurde. Er hindert auch nicht die Person, die das Amt des Präsidenten in der Periode innehat oder wahrnimmt, in der dieser Artikel in Kraft tritt, daran, für den Rest dieser Amtsperiode das Amt des Präsidenten fortzuführen.

Absatz 2

Dieser Artikel tritt in Kraft, wenn er innerhalb von sieben Jahren nach Abgabe durch den Kongress an die Bundesstaaten von drei Vierteln der einzelnen Bundesstaaten als Zusatz zur Verfassung ratifiziert wird.

Ex-Präsident Obama war für zwei Amtsperioden vom Volk gewählt worden und hat diese auch durchgezogen. Er kann und darf zeitlebens nicht mehr US-Präsident werden. Jedenfalls nicht durch eine Wahl. Ihren 22. Zusatzartikel der Verfassung werden die US-Amerikaner nicht ändern. Das ist am unwahrscheinlichsten von allem …

La montée irrésistible des Démocrates de Suède (SD) de Jimmie Åkesson n’a pas eu lieu. Ce parti de l’extrême-droite suédoise n’a pas pus se hisser à la deuxième place, comme les sondages le laissaient prévoir. Le Parti social-démocrate du premier ministre Stefan Löfven a trois points de moins par rapport aux législatives de 2014, et n’obtient que 28,3 % des suffrages. Il y aura malgré cette situation moins défavorables que prévue, une situation de blocage au Riksdag. Ni la gauche, ni la droite ont obtenu plus de 50 % des 349 sièges du parlement. Comme il n’est pas question, pour les uns et les autres de se fourvoyer avec l’extrême-droite pour l’instant, le seul moyen de ne pas déstabiliser le pays, serait de former un gouvernement de coalition gauche-droite avec l’apport de partis qui reconnaissent enfin, qu’il serait des plus néfastes de paralyser la Suède. En regardant les chiffres du scrutin, où les sociaux-démocrates ont pu néanmoins arrivé en tête, je commence à me dire, que les gens commencent en avoir raz-le-bol que la politique migratoire domine à ce point les débats depuis 2015. Ce pays scandinave a accueilli 160.000 demandeurs d’asile, ce qui est un nombre considérable par rapport au nombre d’habitants. En 2015, 9 747 355 personnes étaient enregistrée. Cette nation a ainsi obtenu, en tenant compte du pourcentages de migrants vivant sur son territoire, un record européen d’empathie pour les réfugiés du Proche-Orient et ailleurs. Weiterlesen

La gauche allemande n’est pas à l’abri de la xénophobie. Vendredi soir je suis allé avec ma fille à une réunion de sa section du SPD à Berlin. J’ai eu l’impression d’avoir été parachuté dans un meeting de l’AfD en écoutant le point de vue de certains camarades, dont les propos étaient identiques à ceux de l’extrême-droite. Heureusement que la majorité des participants les ont réfutés et décrit comme étant non-conforme avec la philosophie du parti, un parti qui a été discriminé par les nazis et contraint à l’exile en 1933. Bien des membres sont morts dans les camps de concentration. Je vous décris cet incident pour vous démontrer que la gauche est aussi atteinte du virus ségrégationniste. Ces derniers jours Sahra Wagenknecht, une des leaders de « Die Linke », « la France insoumise » d’outre-Rhin, a créé un mouvement qui porte le nom « Aufstehen », « Debout ». L’égérie de l’extrême-gauche allemande, la femme d’Oskar Lafontaine, une belle femme à moitié originaire de l’Iran, préconise une politique migratoire, qui a un relent provenant de l’AfD, quoique qu’elle en dise. Elle prétend sans détour qu’il faut rendre les frontières plus imperméables, qu’il s’agit de renvoyer dans leurs pays respectifs tous ceux qui pour des raisons de survie économique cherche leur salut en Allemagne. Weiterlesen

Barack Obama a été jusqu’à présent extrêmement discret en ce qui concerne les critiques envers l’administration Trump. Il est sorti de sa réserve et s’est lancé en campagne pour le parti Démocrate en ce qui concerne les votations du mois de novembre. Il trouve inconcevable que l’appareil de la Maison Blanche soit obligé de soustraire des documents au président afin que ce dernier ne fasse pas de bêtises. La gabegie qui règne à la tête de l’appareil est un déni complet, de ce qui est de mise pour un État civilisé. Cela ne fait pas seulement désordre – on pourrait en rire -, c’est une vrai menace pour la paix, un danger. Que faut-il faire pour réveiller le peuple américain ? Est-il aveugle à ce point ? Je pourrais le penser. Je suis personnellement outré de voir que tous ceux qui ont voté « la zizanie » ne se mettent pas à réfléchir. Comment expliquer un tel phénomène ? Ils s’assimilent à Donald Trump, car ce dernier plane bas, qu’il est à leur niveau intellectuel, celui d’un gosse entre 6 et 8 ans. Je suis le dernier à vouloir faire l’apologie de l’intelligence, qui parfois est plus qu’arrogante, mais cette fois-ci je mise pour elle. Je vais aller un pas plus loin et mettre la République de Platon en exergue. En voyant ce qui se passe actuellement, je me demande si le gros de la population est en mesure de comprendre ce qui se passe dans ce monde. S’il est bénéfique de mettre son avenir dans les mains d’une majorité d’imbéciles ? Je sais que je suis provocateur, mais la colère qui m’anime lorsque je vois que la bêtise régit ce monde, me rend hargneux. Je me permets de remettre la démocratie en question et me demande, s’il ne vaut pas mieux laisser à ceux qui ont un peu de matière grise le soin de nous gouverner ? Weiterlesen

Jair Bolsonaro, le candidat de l’extrême-droite brésilienne, a été poignardé cette nuit. Il est grièvement blessé et il est à craindre qu’il ne puisse pas participer au premier tour de la présidentielle le 7 octobre. Une fois de plus la politique est en otage de la violence. Un phénomène de plus en plus courant et qui perturbe le bon fonctionnement des institutions démocratiques. Il faut dire que la victime a attisé l’atmosphère d’un cran de plus par des déclarations, dites musclées, contre les homosexuels et les leaders de gauche. Depuis que l’ancien président Lula ne peut pas, par arrêté de justice, participer au scrutin. Plus de 30 % de la population se sent flouée, d’autant plus que le leader socialiste était largement en tête des sondages. La classe politique a évidemment condamné cet attentat, probablement perpétré par un malade mental. Le parti de Jair Bolsonaro a immédiatement essayé d’en tirer avantage électoralement, déclarant que ce déséquilibré avait été dans le passé un membre d’un parti de gauche. Je prends à chaud cet évènement déplorable afin d’apporter la preuve à quel point la politique est instable. Le phénomène de l’assassinat de personnalités publiques fait partie depuis la nuit des temps, de la panoplie des activistes, peu importe de quel bord ils sont. Mais il faut malheureusement en tenir compte. De même pour les évènements de Chemnitz, où la victime a été un citoyen commun. Même si au départ, c’était une rixe, le fait est que ce meurtre a été instrumentalisé par l’extrême-droite a des fins politiques. Une récupération nauséabonde qui porte malheureusement ses fruits. Je pense que dans les moments d’exaspération que nous vivons actuellement, la recrudescence de la violence gagnera du terrain et risque de dominer, comme ce matin, la une des journaux. On reprochera une fois de plus à la presse d’être un agent provocateur, mais faut-il se taire face à de tels événements ? Weiterlesen

La France qui est un des pays d’Europe le plus engagé en ce qui concerne l’homéopathie, se retrouve dans un débat mené entre les praticiens de la médecine officielle et ceux pratiquant des méthodes alternatives. Un vieux débat qui a retrouvé toute son actualité ces derniers jours. Les uns reprochent à l’homéopathie de ne se reposer que sur de vent, de prescrire des médicaments, qui ne contiennent rien, de tabler sur un effet placebo. Les autres prétendent que leurs collègues en blouse blanche sont obtus, de ne pas tenir compte des phénomènes surnaturels qui peuvent intervenir au cours d’une maladie. Et c’est justement cela qui met mal à l’aise nombre d’esprits scientifiques, qui aimeraient tout expliquer. Ils ne peuvent pas concevoir, qu’il y ait des secrets qui ne peuvent pas être élucidés. C’est justement l’irrationnel qui gêne. Mais je suis d’avis qu’il faut se faire une raison, le secret domine notre vie. Cela ne nous rassure pas, au contraire, car il n’y a pas de repaires auxquels nous pouvons nous agripper. Pour ma part je peux très bien vivre avec ce flou, même si je ne suis pas un adepte inconditionnel de l’homéopathie. Je pense que les attaques contres ces formes de thérapie sont souvent causées par l’aspect ésotérique que bien des patients incluent dans ce domaine. Pour un être pragmatique comme je le suis devenu, cet « aspect magique » me gêne, comme c’est le cas avec le chamanisme dans le domaine psychologique. Pour ma part je ne ressens pas le besoin de faire appel à des forces occultes dans le cadre de ma santé. Je veux me tenir aux faits. Mais d’un autre côté je dois reconnaître qu’il serait inadéquat d’ignorer la magie en ce qui concerne l’esprit humain. Comme à Lourdes, il peut y avoir des guérisons du domaine de l’inimaginable. Mais le tout n’est pas d’en faire un dogme. Weiterlesen

L’antifasciste Clément Méric a été tué dans une rixe par un skinhead en juin 2013. Esteban Morillo, dont le procès a commencé hier, dit avoir changé. Il regrette ses anciennes fréquentations. Je veux bien, mais cela ne rendra pas la vie au militant d’extrême-gauche. L’accusé, qui reconnaît aujourd’hui les faits à la cour d’assise de Paris, a 25 ans. Il s’est empâté de 30 Kilos et ressemble aujourd’hui à un fils de bonne famille. Lorsque la présidente, Xavière Simeoni, lui demande comment il se décrirait aujourd’hui, il répond : « Je ne veux pas qu’on se souvienne de moi comme j’étais avant. » Il encourt 20 ans de prisons, malgré ce volte-face. Pas très sportif, ce garçon très attaché à sa famille, a commencé un apprentissage de pâtissier au centre de formation de Laon. Il se fait confisquer ses bagues aux motifs néonazis et est renvoyé en 2010. Il se reconvertit alors dans le domaine de la sécurité. De l’agression sexuelle, dont il a été la victime à 10 ans, il n’en parle pas. Son adhésion à l’extrême-droite remonte à cette époque. Sitôt majeur il se rend à Paris, où il fréquente Le Local, un bar du 15e arrondissement géré par Serge Ayoub, un personnage de référence pour les skinhead. Il fait partie pendant un certain temps de la Troisième voie, le groupe que le tenancier a créé. D’après ce qu’on m’en a dit, c’était un syndicat ni de droite, ni de gauche, avec une conviction solidariste. » « C’est quoi, une conviction solidariste ? », demande la juge. Réponse : « Je ne sais pas. » Malgré son engagement de six mois, Morillo prétend ne pas s’intéresser à la politique. Sa démarche était de se trouver des amis, de briser ainsi sa solitude. Malgré son tatouage « travaille, patrie, famille », il dit ne rien savoir du régime de Vichy, de Philippe Pétain. Il a aussi oublié qu’il avait vanté sur internet le « Mein Kampf ». Weiterlesen

Up to date war gestern, heute werden die Karten neu gemischt.

High Speed oder du bist Schrott und Datenmüll.

Neu ausgetauscht geht´s besser.

Und kaum damit hantiert, wirst du von rechts überholt.

Doch alles kommt mal wieder, wie die Zeit dir zeigt.

War damals schon in Mode und ist jetzt wieder in.

Altes Eisen ist Gold wert,

da kommen ganze Fuhrparks, um es einzusammeln.

Hörst du den Schrott auf dem Schrottplatz schreien?

Sagt er dir nicht Geheimnisse, die er sonst keinem mehr verrät?

Zeigt er nicht die Zukunft, in der sich alles wiederholt?

Rostige Wesen sind keine Schatten der Vergangenheit,

sie sind Zeugen des Jetzt,

Boten des Kommenden,

indem sich alles wiederholt.

 

Hab keine Angst, ein wenig verstaubt zu sein,

lass deinen Rost ruhig auf deinem Haupt.

Du bist der Mut des Heute.

Trage stolz die Krone der Patina,

wenn alles kommt

und geht.

Zeitzeugen im Staub,

die lachend der Sonne entgegenblicken

und dir leise sagen:

alles,

alles was du tust,

wiederholt sich wie ein Mühlstein,

gemächlich, langsam und mit Erfolg.

Was wirklich wichtig ist,

war einst der Rost, im Staub ertrunken.

Und doch das Elixier

des Lebens.

 

© Petra M. Jansen

 

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