Barack Obama a été jusqu’à présent extrêmement discret en ce qui concerne les critiques envers l’administration Trump. Il est sorti de sa réserve et s’est lancé en campagne pour le parti Démocrate en ce qui concerne les votations du mois de novembre. Il trouve inconcevable que l’appareil de la Maison Blanche soit obligé de soustraire des documents au président afin que ce dernier ne fasse pas de bêtises. La gabegie qui règne à la tête de l’appareil est un déni complet, de ce qui est de mise pour un État civilisé. Cela ne fait pas seulement désordre – on pourrait en rire -, c’est une vrai menace pour la paix, un danger. Que faut-il faire pour réveiller le peuple américain ? Est-il aveugle à ce point ? Je pourrais le penser. Je suis personnellement outré de voir que tous ceux qui ont voté « la zizanie » ne se mettent pas à réfléchir. Comment expliquer un tel phénomène ? Ils s’assimilent à Donald Trump, car ce dernier plane bas, qu’il est à leur niveau intellectuel, celui d’un gosse entre 6 et 8 ans. Je suis le dernier à vouloir faire l’apologie de l’intelligence, qui parfois est plus qu’arrogante, mais cette fois-ci je mise pour elle. Je vais aller un pas plus loin et mettre la République de Platon en exergue. En voyant ce qui se passe actuellement, je me demande si le gros de la population est en mesure de comprendre ce qui se passe dans ce monde. S’il est bénéfique de mettre son avenir dans les mains d’une majorité d’imbéciles ? Je sais que je suis provocateur, mais la colère qui m’anime lorsque je vois que la bêtise régit ce monde, me rend hargneux. Je me permets de remettre la démocratie en question et me demande, s’il ne vaut pas mieux laisser à ceux qui ont un peu de matière grise le soin de nous gouverner ? Weiterlesen

Le nouveau slogan du parti porte à confusion. Je ne sais pas trop ce que ses auteurs veulent dire. De quelle France parlent-ils ? De celle du Général de Gaulle ? Ou de celle de Philippe Pétain, aussi paradoxal que cela puisse paraître ? Une France qui ne bouge pas, qui reste figée dans une idéologie surannée, qui ne rime à rien. Cela correspond bien à une formation qui ne sait plus à quel saint se vouer. Du ni,ni à n’en plus en finir. Non, il n’est pas question de ressembler au FN d’antan, qui se nomme maintenant « Rassemblement national », ni aux soi-disant opportunistes de la France en marche, qui pour beaucoup d’opposants font du sur place ! Aussi tôt le matin se casser ainsi les méninges, est un exercice pénible. J’ai de la peine à garder mes yeux ouverts. « Que diable, il faudra bien qu’il me vienne quelque chose à l’esprit ! » Si la philosophie d’un parti ressemble à une usine à gaz, c’est peut-être un signe du temps, mais il n’y a pas de quoi crier victoire. Parfois j’ai l’impression que la politique est atteinte d’anémie, qu’il lui faudrait une cure de vitamines. D’accord, mais cela sert à quoi, lorsque on part du vide pour en fin de compte, ne faire que du vide ? C’est vide de sens ! La droite dite modérée, si elle ne se ressaisit pas, passera aux oubliettes. À quoi bon voter pour un parti, qui n’existe plus ? Je trouve cet appel du pied, aux collègues de l’extrême-droite un cri de désespoir. Pour que la France reste la France, il ne faudrait pas qu’elle reste, ce qu’elle est actuellement ! Hourra, je crois que je suis entrain d’évoluer dans le bon sens ! Weiterlesen