Lorsqu’un candidat à la présidence comme François Fillon déclare être catholique et pratiquant, il est tout à fait légitime de placer son attitude morale sous une loupe. Dans ce cas bien précis, je dois dire que je suis un peu déconcerté. Jusqu’à présent il n’a pas fait de déclaration au sujet d’Alep. N’aurait-il pas dû exprimer son horreur, condamner l’attitude des troupes d’el Assad, de l’aviation russe et des milices iraniennes ? Va-t-il continuer à se taire ? Où serait-il de l’avis d’un de ses proches collaborateurs que la deuxième ville a été libérée ? C’est un avis qui coure actuellement aussi sur internet. Je ressens le besoin de m’exprimer à ce sujet. Il est évident que la rébellion qui a eu la mainmise sur une partie de la ville n’était pas seulement composée d’enfants de chœur. Sûrement plusieurs tendances étaient représentées, parmi elles aussi des fondamentalistes. Les services secrets savaient parfaitement qu’il y avait aussi des dizaines de milliers de personnes qui se trouvaient là, sans être pour autant politisées. Une société civile aspirant à la paix. Et que s’est-il passé ? Le régime de Damais a pris le parti du génocide. N’oublions pas que des armes chimiques ont été employées. Des enfants ont été massacrés. Ils n’étaient sûrement pas dans le lot de ceux qui fallait éliminer. Weiterlesen

Alep est tombée au main des troupes de Bachar el Assad. Ce qu’il en reste est un champ de ruines et d’innombrables morts et blessés. Un enfer sur terre. La communauté internationale a été impuissante d’arrêter le massacre, car la Russie a exercé son droit de veto à l’ONU en ce qui concerne une trêve des combats. Avec son aviation elle les a encore attisés permettant au dictateur syrien de vaincre les rebelles. Sans cette intervention, il n’aurait jamais pu être victorieux. Et nous ? Nous sommes les spectateurs et prenons avec une certaine indifférence acte de ce génocide. Lorsqu’on sait qu’un nombre élevé d’enfants sont les victimes, je suis pris de honte. Mais qu’aurait-on pu faire ? Descendre dans la rue et inciter nos gouvernements respectifs à entrer en jeu ? Ou de rompre toutes relations diplomatiques avec les pays belligérants que sont les russes, les iraniens et en partie les libanais ? Personne n’était prêt d’aller aussi loin au nom de nos intérêts internationaux. Je dois avouer que moi aussi je n’aurais pas franchi un tel pas, même si l’histoire a démontré, comme en 1938 avec les accords de Munich, que parfois il vaut mieux être tranchant. Mais qui est prêt à prendre le risque que ce conflit se généralise, d’autant plus que des considérations de politique intérieure entrent en jeu ? Lorsque le FN en France ou l’AfD en Allemagne déclarent qu’ils sont proches de Vladimir Poutine, ces formations le font, car elles sont soutenues dans cette démarche par un grand nombre de citoyens, qui n’en a rien à faire de « ces bougnoules ». Et ceci en partant du principe qu’une amitié avec le maître du Kremlin est le meilleur moyen de sauver nos valeurs chrétiennes. Quelle perversion de l’esprit ! Weiterlesen

Unsichere Zeiten, wer gibt mir Halt?!

Die Kriminalität steigt, wer schützt uns?

Immer weniger Ausgaben für unsere Sicherheit.

Wo soll das hinführen?!

Immer mehr Fremde kommen ins Land,

unsere Kultur stirbt!

Sollen wir das mit ansehen?

Wozu wählen wir?

Ich habe Angst, da führt kein Weg vorbei.

Wer ehrlich ist, gibt’s zu …

Welche starke Person, Mann, Frau egal,

kann uns führen, uns beschützen?

Ich will Sicherheit für mich und meine Kinder,

will mich wohlfühlen, wie früher.

Wann sagt es endlich mal einer?!

Langsam wird es reiflich Zeit!!!

Ich will die alten Zeiten, will´s gemütlich,

alles an Heim und Herd, und warm!

Mein Geld ist mein Geld!

So soll´s auch bleiben!

Was geht die anderen das an?

Es gibt Menschen, die das anbieten,

Sicherheit, Wärme und Heimatliches.

Man fühlt sich gut.

Die werden es schon richten,

wird schon nichts passieren. Oder?!

Lassen wir uns lenken,

warm und gut!

Keine Angst mehr, unnötiges Denken.

Überlassen wir anderen das Steuer,

auch unsere Freiheit.

Wozu Freiheit, wenn in Angst leben?!

Passen wir uns alle an, so wird’s gehen!

Alles so wie früher, mehr brauchen wir nicht zu wissen.

Haben ausgelernt, wir alle!

Es wird schon weitergehen, irgendwie.

Und wenn es brenzlig wird,

dann schweigen wir halt …

Dann passiert schon nichts.

Nichts sehen, nichts hören.

Dann geht’s gut!

Bei den nächsten Wahlen,

viel Spaß beim Fischen!

Petri Heil!

“Y” ???

Willst Du das ????????????????????????????

Ich nicht!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

Je suis bien conscient que je vais me rendre la vie difficile en écrivant cet article. L’attentat d’Istanbul m’a choqué. Qu’il soit dit : je condamne de tels actes car ils sont lâches. En s’attaquant à des innocents, les auteurs se désavouent eux-même. Bien que je puisse comprendre la colère des uns et des autres, je pense qu’il est du rôle d’un État d’agir tout d’abord d’une manière raisonnée. Cela implique de ne pas mettre tout le monde dans le même panier, ce qui se fait actuellement en Turquie. Je réprouve l’arrestation des membres du parti kurde, qui soit dit en passant, condamne les attentats et la violence en général. Les membres du gouvernement me répondraient probablement que parmi les députés il y a des brebis galeuses. Si c’est le cas, il faut qu’il y ait enquête et que les responsabilités soient précisément définies. En apportant des preuves, je me plierais évidemment aux résultats des investigations. Ce qui me déplaît c’est le principe de la faute collective, qui dans ma compréhension du droit ne peut pas être appliquée unilatéralement. S’il s’avère qu’il y a des criminels parmi ceux qui sont soupçonnés, il faut que la justice sévisse dans le cadre des lois. Je m’oppose par contre, contre tous verdicts ayant un arrière-goût de lynchage. Si la haine se propage encore, il n’y aurait guère d’espoir d’une réconciliation au niveau national. Il devrait être dans l’intérêt de Recep Tayyip Erdoğan de calmer les esprits, que ce soit dans son camp ou ailleurs. Pour l’instant, en suivant une démarche musclée, il pourra fortifier son pouvoir qui est déjà énorme dans un pays qui se dit démocratique. Mais c’est un plan d’une durée limitée. À long terme il faudra bien qu’il tente tout pour réconcilier sa nation. Weiterlesen

„Das Kunstwort kennzeichnet eine Haltung, die in diesem Jahr mit Brexit und der US-Wahl von großer Bedeutung war und uns auch noch weiterhin beschäftigen wird: sich in politischen und gesellschaftlichen Diskussionen zunehmend von Emotionen anstelle von Fakten leiten zu lassen“, so GfdS-Vorsitzender Peter Schlobinski. GfdS bedeutet Jury der Gesellschaft für deutsche Sprache. „Postfaktisch“ sei eine Übertragung aus dem englischen „post truth“ – dem internationalen Wort des Jahres 2016 – und werde von Politikern häufig benutzt, so der Professor für Sprachwissenschaften an der Universität Hannover.

Auf den zweiten Platz wählte die Jury „Brexit“. Das Ergebnis des britischen Referendums, das zum Austritt aus der EU führen soll, sei ein Triumph postfaktischer Politik gewesen, so Andrea-Eva Ewels, Geschäftsführerin der GfdS. Außerdem werde diese Wortkreuzung in immer neuen Kombinationen weitergeführt. Platz drei belegt „Silvesternacht“. „Ein vorher an sich unbelastetes Wort ist nach den Ereignissen in Köln jetzt hoch emotional aufgeladen“, so Peter Schlobinski. Auf den vierten Platz kommt „Schmähkritik“, ein aus dem juristischen Umfeld stammender Begriff, der durch die Auseinandersetzung des Satirikers Jan Böhmermann mit der türkischen Regierung in die Öffentlichkeit rückte und einen ironischen Beigeschmack bekommen habe. „Schmähen“, so Schlobinski, sei ein aus dem Mittelalter stammender Begriff.

Platz fünf ist der „Trump-Effekt“, der für vermutete Auswirkungen der amerikanischen Präsidentenwahl steht. „Social Bots“ belegen den Platz sechs: „Hier geht es um das Vortäuschen von Stimmungsbildern durch automatisierte Texte – auch das ein Thema, das 2016 hoch kam und uns noch lange nachwirken wird“, meint Andrea-Eva Ewels. Der biologisch-rassistische Begriff „schlechtes Blut“, mit dem der türkische Staatspräsident Erdogan türkischstämmige deutsche Bundestagsabgeordnete zu diffamieren suchte, steht auf Platz sieben. Der „Gruselclown“, der nicht nur zu Halloween Angst und Schrecken verbreitet, landet auf Rang acht, das in Frankreich verhängte „Burkiniverbot“ auf Platz neun.

Den zehnten und letzten Platz belegt traditionell ein „Satz des Jahres“. Für 2016 ist das der Buchtitel von Janosch: „Oh, wie schön ist Panama“. Damit wurde 2016 wiederholt auf die Veröffentlichung der so genannten „Panama Papers“ angespielt, die für Enthüllungen von Prominenten sorgten, die Steuern am Fiskus vorbei zu Briefkastenfirmen in Panama leiten.

Das „Wort des Jahres“ wird 2016 zum 41. Mal bekannt gegeben. Es geht dabei nicht um das Wort, das besonders häufig in den Medien genannt wird, sondern um das mit einer signifikanten Bedeutung für das vergangene Jahr. Wir erinnern uns an „Wutbürger“, das 2010 gekürt wurde, noch kaum bekannt war und sich als gute Wahl zeigte, weil es eine signifikante Bedeutung hat. Auch „postfaktisch“ werde Karriere machen, sind sich die Wiesbadener Sprachwissenschaftler sicher, die in einer mehrstündigen Jurysitzung aus 150 verbliebenen Vorschlägen das Ranking erstellt haben.Die ersten zehn sind jetzt auch eine Woche lang auf einem Banner am Wiesbadener Rathaus zu lesen.

Faktische Politik ist ein politisches Denken und Handeln, bei dem Fakten im Mittelpunkt stehen. Die Wahrheit einer Aussage tritt nicht hinter den Effekt der Aussage auf die eigene Klientel zurück. In einem demokratischen Diskurs wird – gemäß dem Ideal der Aufklärung – über die zu ziehenden Schlussfolgerungen aus belegbaren Fakten gestritten. In einem postfaktischen Diskurs wird hingegen gelogen, abgelenkt oder verwässert, ohne dass dies entscheidende Relevanz für das Zielpublikum hätte. Entscheidend für die von postfaktischer Politik angesprochenen Wähler ist, ob die angebotenen Erklärungsmodelle eine Nähe zu deren Gefühlswelt haben (Alard von Kittlitz: Die Erde ist eine Scheibe, Die Zeit, 28.09.2016).

Wo und in welchen Zeiten leben wir, dass wir lügen müssen, um Wähler zu bekommen bzw. diese zumindest bei der Stange zu halten?! Den Verstand abschalten, an das Gefühl appellieren! „Ja, genau! Endlich sagt´s mal einer!!!“, wird gebrüllt. Die misera plebs herrscht wieder in den Straßen, man sorgt wieder für „Recht und Ordnung“. Zu welchem Preis? Auf wessen Kosten? Auf unser aller Kosten! Nein danke, keinen Bock! Wer sich von Gefühlen statt vom Verstand leiten lässt, ist empfänglich für Angst. Und Angst macht lenkbar, die Massen lassen sich bereitwillig zur Schlachtbank führen von dem/denen, die „es endlich mal sagen“. Schalten wir das Gehirn wieder ein; der Weg in die „sterbende Demokratie“ (Welt der Wunder 11/2016) ist längst aller Orten angetreten. Denkende Menschen bleiben hier stehen. Hier geht es nicht weiter!

„Post-faktisch“ klingt auch wie „nach den Fakten“. Haben wir die Stufe der Realität überwunden? Die Evolutionsgeschichte gibt die Antwort: Hierfür ist unser Gehirn (noch) nicht gemacht!

Paolo Gentiloni, qui a été jusqu’à présent le ministre des affaires étrangères du gouvernement Renzi, a été nommé à sa succession à la tête du gouvernement. Le président de la république, Sergio Mattarella, a refusé de donner son feu vert à la dissolution du parlement et du sénat afin d’organiser de nouvelles élections. La raison de cette décision : la crise bancaire qui touche les plus grands instituts financiers de la péninsule. Jusqu’à présent il n’a pas été possible de faire redémarrer l’économie. Bien que Matteo Renzi ait mis en marche des réformes, les structures du pays sont encore assez vétustes. L’administration est trop lourde, les décisions nécessaires prennent de ce fait trop de temps pour être réalisées. Une chose est sûre pour l’UE, une Italie en veilleuse peut déstabiliser d’une manière bien plus dramatique tout le continent. Nous n’avons pas à faire à la Grèce, qui a une infrastructure industrielle proche du néant. Il en va ici d’une économie les plus créatrices de l’Europe. Mais elle ne peut pas vivre sans de constants investissements. Le génie italien, que ce soit dans la mode ou ailleurs, est une source d’inspiration. Vouloir maintenir à petite flamme un tel outil peut l’étouffer. Le rôle des banques est essentiel, si le pays ne veut pas sombrer dans une politique monétaire d’austérité. Paolo Gentiloni devra tout tenter pour redonner confiance aux marchés internationaux. Il devra tout d’abord rassurer les financiers en leur garantissant une continuité. Cela aurait dû être la priorité de Matteo Renzi au lieu de vouloir changer un système politique profondément incrusté dans la tradition nationale. Weiterlesen

Emmanuel Macron a tenu un meeting hier après-midi au Parc des Expositions de Paris. Il a pu réunir bien plus de personnes qu’il y a une semaine au lancement de la primaire des socialistes. Ce qu’il a exposé est un programme social-démocrate qui ressemble par bien des points à l’Agenda 2010 de Gerhard Schröder. Ce qui est caractéristique c’est la présence des jeunes. Il est indéniable qu’il les attire parce qu’il ne ressemble en aucune manière à un zombie de la politique politicienne. Le mouvement « En marche ! » compte 120000 militants, tendance ascendante. Il se présente comme étant le candidat du travail et préconise le dialogue au sein des entreprises entre les patrons et les employés ou les ouvriers. Une de ses taches principales sera de diminuer les charges sans pour autant toucher au social. Il faut aider d’une manière plus efficace tous ceux qui vivent dans la précarité. Il respecte les lois actuelles concernant l’emploi, comme les 35 heures, le salaire minimum et l’égalité entre les femmes et les hommes, mais voudrait qu’il y ait des accords au sein des différentes entreprises et évidemment aussi dans l’administration. En clair cela veut dire qu’il y aura moins d’État. Comme outre-Rhin « le contrat d’entreprise» aura la priorité. Il parle de la suppression des cotisations maladie et chômage des salariés qui seraient transférées sur la CSG. Les revenus du capital auront une imposition plus élevée que celle du travail, de même que les prélèvements chez les retraités aisés. En réponse à la suppression de 500 000 emplois du service public proposée par François Fillon, il veut tenter bien plus de décentralisation. Il faut libérer les énergies, non pas couper des têtes. Avec plus de proximité il entend être plus efficace. En ce qui concerne la sécurité il veut augmenter les rangs des services de l’ordre de 10 000 nouveaux fonctionnaires. Il se réfère à Lionel Jospin et à Jean-Pierre Chevènement lorsqu’il s’agit de la police de proximité. Finalement il a clôt son meeting en parlant de l’Europe qu’il faut absolument renforcer par les temps qui courent. Ce sera elle qui nous sauvera en fin de compte ! Weiterlesen

Mille athlètes dopés par les soins du régime en Russie. On croit rêver, mais c’est dans ce cas-là un cauchemar. Le sport, qui d’après le sympathisant du fascisme, Pierre de Coubertin, qui devait avant tout sublimer les hommes, est aujourd’hui atteint par le virus de la décrépitude. On est loin des préceptes moraux de l’esprit olympique. Ce qui se passe dans le domaine de la manipulation pharmaceutique ou par des transactions malhonnêtes avec des paradis fiscaux est franchement nauséabond. Comme d’habitude il s’agit que d’argent et du pouvoir qui en est étroitement lié. Tous les discours vantant la morale de ceux qui s’adonnent à des joutes sportives n’est qu’une farce. On le savait depuis longtemps ! Tout ce discours plus ou moins mièvre, où il est question que d’idéaux, les fonctionnaires peuvent se le mettre où je pense. « Taisez-vous enfin! » N’allez surtout pas me raconter que les patrons des organisations mondiales ne savaient pas ce qui se trame depuis des décennies dans le monde du sport. Il fallait avant tout ménager le camarade Poutine, car il incarne la force. On a fermé les yeux sur ce qu’il a laissé faire pour ne pas ternir l’image de l’efficacité qu’il incarne chez beaucoup d’entre-nous. Pour arriver à ses fins, celles de démontrer une certaine supériorité de l’homo sapiens slave, le dopage est incontournable. Le maître du Kremlin essaie d’apporter la preuve que de telles accusations, émises par l’organisation internationale pour la lutte contre le doping, ne sont que mensonges pour porter du tort à son pays. Une nation toute entière se rebiffe contre de telles affirmations et y voit un complot. C’est un moyen traditionnel de se défendre lorsqu’on est pris en flagrant-délit comme un élève qui triche lors d’une épreuve. Weiterlesen