Trois femmes ont été interpellées hier soir à Boussy-Saint-Antoine en Essonne, car on les soupçonne d’avoir eu l’intention de perpétrer un attentat à la voiture piégée. Un véhicule rempli de bonbonnes de gaz a été retrouvé et a amené la police sur leurs traces. Elles sont âgées respectivement de 39, 23 et 19 ans. Des personnes complètement fanatisées. Lors de leur arrestation l’une d’entre-elles a attaqué un policier avec un couteau. Elle a été blessée par un coup de feu. Cette fois-ci l’attentat a pu être déjoué au dernier moment. Une fois de plus je suis perplexe à quel point où l’endoctrinement religieux peut mener. Le lavage de cerveau semble bien fonctionner. Être à la tête d’un pays dans de telles conditions n’est pas une sinécure. Les dirigeants sont soumis à une situation qui leur échappe la plupart du temps. Il ne suffit pas de proférer des menaces pour enrayer cette peste qu’est le terrorisme. Lorsqu’au cours d’une campagne électorale les candidats parlent de renforcer la sécurité, ils se jettent de la poudre aux yeux. Étant donné que toutes actions se préparent dans la clandestinité, la police est souvent dépassée. Ce n’est pas en renforçant les cadres, qu’il sera possible de freiner ce virus. Il est évidant qu’il est impossible de dire que tout ira bien. Les citoyens commencent à comprendre qu’ils sont un jouet aux mains des terroristes. Lorsqu’on prétend qu’il faut vivre avec eux, ce n’est guère motivant. Il est évident que la présidentielle de 2017 se déroulera dans une telle atmosphère. Vouloir croire que Zorro est arrivé, tient de l’utopie. Ni Nicolas Sarkozy, ni Marine le Pen pourront empêcher quoi que ce soit. La situation restera explosive, même si la répression devenait plus forte. Il faut toujours se demander comment on en est arrivé là, ce qui mène des civiles à se lancer dans un tel scénario ? Est-ce de la frustration par rapport à notre société qui a tendance de rejeter tous ceux qui n’ont pas le pedigree souhaité. Même si les gouvernants s’engageaient plus pour les banlieues et leurs habitants, rien ne pourra irradier cette traînée de poudre, qui pourrait aboutir à une état de guerre civile. Weiterlesen

Dem Tuch auf den Grund gehen:

Burka-, Niqab- und Burkini-Verbot … Was steckt dahinter? Die Burka, der hellblaue Ganzkörperschleier, kommt in Deutschland quasi nicht vor. Der Burkini: das Kopf, Arme und Beine bedeckende Schwimmkleid. Es ist mehr aus den Nachrichten als aus dem Freibad bekannt. Schließlich der Niqab: der Vollschleier, der nur einen Streifen für die Augen freilässt. Etwa 100 bis 300 Frauen sollen ihn in Deutschland tragen, sagen Islamwissenschaftler. Diese Zahlen sind lächerlich klein, um Grundlage für eine nationale Debatte zu sein.

Doch der Schleier bietet genug Streitstoff. Alice Schwarzer nennt ihn ein „Leichentuch für Frauen“, im Niqab erkenne man die von Ehemännern und Vätern unterdrückte Muslima. Einen Ausdruck individuellen Glaubens sagen jene, die ihn selbst tragen oder die religiöses Leben nicht einschränken wollen. Für ein verfassungsfeindliches Symbol halten ihn weitere. Alles aus dieser Debatte mag ein wenig zutreffen. Trotz ihrer äußerlichen Uniformität sind die Motive der Trägerinnen individuell.

Der ganze Streit ist eine Stellvertreterdiskussion aus theologischer und historischer Sicht.

Das eigentliche Problem sind nicht ein paar Quadratzentimeter Haut zu wenig am Strand oder Stoff zu viel vor Gesichtern. Anstatt sich auf den Niqab zu stürzen, sollte man überlegen, welche islamischen Geisteshaltungen zu Deutschland gehören und welche Grenzen aufgezeigt werden müssen. Diese Diskussion wird schon seit Jahren verweigert. Jetzt aber, nach den Terrorerfahrungen der jüngeren Vergangenheit, treibt etwas anderes die Diskussion an. Der Islamwissenschaftler Udo Steinbach meint: Der Niqab sei zum konkreten Symbol für abstrakte Gefahren geworden. Je stärker sich die Gesellschaft Bedrohungen ausgesetzt fühle, desto mehr geraten deren augenscheinliche Manifestationen ins Visier. Ein guter Zeitpunkt, einmal hinter den Schleier zu blicken!

Der Niqab ist eine radikale Absage an unsere Gesellschaft. Ein normales Kopftuch ermöglicht einer gläubigen Muslimin, sich in der Öffentlichkeit zu bewegen. Ähnlich – so Steinbach – sei es mit dem Burkini. Ein Niqab hingegen zeige, dass eine Frau sich nicht integrieren könne, entweder, weil es durch familiäre Repression verhindert werde oder es am grundlegenden Verständnis der deutschen Kultur fehle. Diese Analyse trifft aber eher auf Migrantinnen zu. Für manche in Deutschland geborene Muslima oder Konvertitin ist der Niqab jedoch ein bewusstes Zeichen, wo die Trägerin sich sehen will: außerhalb dieser Gesellschaft.

Saudi-Arabien war die ursprüngliche Verbreitungsregion des Niqab. Der dort praktizierte strenge wahabitische Islam wird seit dem Ölboom von rückkehrenden Gastarbeitern in deren muslimische Heimatländer gebracht, zudem unterstützen Stiftungen und Privatpersonen aus der Golfregion Institutionen, die den ultrakonservativen Islam des Salafismus fördern. Ihm zufolge bieten der Koran und das Beispiel des Propheten ein Paket an Vorschriften, die das Leben bis ins kleinste Detail regeln. Von Menschen gemachte Gesetze sind im Prinzip überflüssig. Ziel sei die vollständige Umgestaltung von Staat, Rechtsordnung und Gesellschaft nach einem salafistischen Regelwerk, quasi als „gottgewollte Ordnung“, teilt der Verfassungsschutz in einer Stellungnahme mit.

Strenge Verschleierung bis hin zum Niqab bei Frauen, Gebetsmale auf der Stirn, Vollbärte mit freirasierten Oberlippen und knöchellange Hosen bei den Männern sind Codes in der Szene. Um ihr Ziel zu erreichen, ist die Mission eines der Kerngeschäfte der Salafisten, auf arabisch heißt sie „Da’wa“ („Ruf zu Gott“ (Wikipedia)). Die Fixierung darauf erinnere an ein Rabattkarten-System, so die Feministin Sineb El Masrar. „Für einen Muslim, den Du auf den rechten Weg führst, gibt es zehn Punkte bei Allah, für einen Konvertiten zwanzig“.

So initiieren salafistische Vereine Aktionen wie die „Lies!-Kampagne“, bei der sie den Koran in deutscher Übersetzung in Fußgängerzonen verteilen. Sie sind grundsätzlich da aktiv, wo sich junge Menschen Fragen zu ihrer Identität und zu ihrem Glauben stellen, vor allem im Internet.

In den vergangenen Jahren wuchs ein Netzwerk aus Vereinen, Firmen, Moscheegemeinden und Organisationen zur Spendensammlung. Mit bedenklichem Erfolg: Zählte der Verfassungsschutz vor fünf Jahren noch 3.800 Szenegänger, waren es im Juni letzten Jahres bereits 7.500.

Eines bleibt festzuhalten: Nicht alle Salafisten sind gewaltbereit, nicht alle Salafistinnen tragen Niqab!

Non, elle ne changera pas d’avis au sujet de l’immigration, c’est ce qu’a déclaré hier la chancelière devant le parlement. L’éthique ne se discute pas, telle son opinion. Il ne sera pas question d’instituer des cotes en ce qui concerne le nombre de réfugiés à recevoir. N’a-t-il pas diminué ces derniers temps ? C’est-ce que ses détracteurs dans ses propres rangs ne veulent pas savoir. Ils semblent se complaire dans une psychose protectionniste, qui pour l’instant tout au moins, n’a pas de raisons d’être. Comme l’orateur des verts l’a déclaré, ce mouvement de panique apporte de l’eau sur le moulin de l’AfD, le parti d’extrême-droite qui est arrivé en deuxième position après le SPD dans le Mecklembourg-Poméranie. C’est évidemment un coup de semonce. Angela Merkel le reconnaît et le dit franchement. Mais à son avis, la montée de l’intolérance, même dans son propre parti, est l’affaire de tous les démocrates, quelle que soit leur étiquette. Le rôle joué par Horst Seehofer, est un signe évident de la reconnaissance de l’AdD. Au lieu de minimiser ses déclarations incendiaires, il y adhère en quelque sorte, suivi d’une frange majoritaire de sa formation. Comme Nicolas Sarkozy, c’est un homme de la surenchère. Peu à peu il essaie de mettre en pratique dans son propre Land les préceptes des racistes de droite. Sans aller aussi loin, il se laisse porter sur leur vague et récolte un succès dans les sondages. S’il y avait élections, l’AfD ne recueillerait en Bavière que 8%. C’est peu par rapport aux chiffres actuels ailleurs en Allemagne. Son manque de solidarité envers la chancelière pourrait mener à la rupture. Il n’est pas impossible que le CSU se sépare de son grand-frère, que sont les chrétiens démocrates. Il se pourrait même qu’un candidat des Bavarois soit nommé. Ce serait une entrave de taille et transformerait le paysage politique de la RFA. Weiterlesen

48 millions d’enfants font parties des réfugiés. Un chiffre inquiétant publié par l’Unicef. Il m’est difficile de me mettre à la place des tous ces petits. Souvent ils ont perdu leurs parents ou sont obligés de vivre éloignés d’eux. Un nombre non négligeable parmi eux sont atteints de traumatismes. Ce qu’ils ont vécu tient parfois de l’inimaginable. Que ce soient les tortures ou l’exécution de leurs proches devant leurs yeux. L’accueil de ces enfants est plus que difficile, car ils souffrent de la peur. Parmi les élèves à qui ma nièce enseigne l’allemand dans une école à la périphérie de Genève, certains ont perdu pied. Les liens familiaux dont ils auraient tant besoin, n’existent pour ainsi plus. Ils sont voués à eux-même, même s’ils ont été accueillis par des familles. Pour une enseignante non formée psychologiquement, un problème de taille. Lorsque la profession fait partie intégrale de son éthique, il est impossible de fermer les yeux. Il est indéniable que les professeurs ont du mal à assumer de telles tâches, car le temps et l’expérience leur manquent. Mais ce n’est qu’en les stabilisant qu’il sera possible d’éviter l’échec scolaire. Il vient encore s’ajouter dans le lot des malheurs de ces enfants. Il ne faut pas s’étonner que ces derniers sont prédisposés à commettre des délits. De l’eau sur le moulin de ceux qui voudraient limiter l’immigration. Se sont-ils mis à leur place ? Tout en ignorant d’aucune manière les problèmes posés par les demandes d’asile, force est de constater les dommages causés par les expulsions. Ces chiffres démontrent que des mesures efficaces doivent être menées sur le terrain. Il faut arrêter la dérive des orphelins par tous les moyens que ce soient. Même si les conditions sont précaires, cela vaut probablement mieux que le voyage clandestin en Europe. Mais allez faire comprendre cela à des personnes refoulées de toutes parts. Weiterlesen

WhatsApp gab vor Kurzem bekannt, dass man zukünftig Telefonnummern mit Facebook teilen werde; das sorgte für Unmut unter vielen Nutzern. WhatsApp funktionierte, obwohl es seit 2014 zu Facebook gehört, bislang autonom. Nun aber werden beide Dienste stärker verzahnt. Mit dem Datenaustausch sollen sowohl die Werbeanzeigen als auch die Freundessuche von Facebook verbessert werden.

Zu den Nutzern gesellen sich noch andere Kritiker: Wie SPON kürzlich berichtete, soll sich nun die EU-Wettbewerbskommissarin Margrethe Vestager mit der Sache beschäftigen, genauer gesagt mit der Übernahme von WhatsApp durch Facebook vor zwei Jahren. Die Kartellbehörden genehmigten diese auf der Grundlage, dass kein Datenaustausch zwischen beiden Unternehmen stattfinden wird.

Es ist grundsätzlich möglich, in den WhatsApp-Einstellungen zu untersagen, die Daten für personalisierte Werbung zu verwenden. An Facebook übertragen werden sie aber trotzdem (vgl. FAQ). Hamburger Datenschutzbeauftragte bemängeln dies. Den wenigsten Nutzern sei klar, dass dennoch einige Daten mit Facebook geteilt werden, unabhängig davon, ob das Häkchen gesetzt sei oder nicht. Hierbei kritisiert wird zudem ein weiterer Passus in den neuen Richtlinien von WhatsApp, der dem Dienst das Auslesen der auf dem Smartphone gespeicherten Kontaktliste – und damit auch Informationen über Nicht-WhatsApp-Nutzer – erlaubt.

Vor allem Menschen, die bislang zwar WhatsApp, aber nicht Facebook nutzen, sind von den geänderten Richtlinien betroffen. Sie teilen künftig ihre Mobilfunknummer mit dem sozialen Netzwerk, obwohl sie dort überhaupt nicht angemeldet sind. Für bestehende Facebook-Nutzer mag sich wenig ändern: sie teilen schließlich ohnehin durch ihre Nutzung viele Daten mit der Plattform. Viele entschieden sich dennoch bewusst dagegen, ihre Telefonnummer anzugeben.

Dass Facebook Telefonnummern aus dem Smartphone der Nutzer auf die eigenen Server überträgt, ist nicht neu. Bereits seit Jahren synchronisieren Facebook-Apps die Adressbücher der Nutzer, was schon vor fünf Jahren deutsche Datenschützer hinsichtlich der Freunde-finden-Funktion auf den Plan rief: Damals bekamen Nichtmitglieder plötzlich E-Mails von Facebook, ohne dass sie wussten, wie das Netzwerk an ihre Kontaktdaten kam. Auf Drängen der Datenschützer musste Facebook diesen Prozess transparenter machen.

Die aktuelle Debatte um WhatsApp gibt Gelegenheit zu überprüfen, welche Kontaktdaten man mit Facebook geteilt hat, und eine Möglichkeit, die Einstellungen zu ändern. Hinter einem Link befindet sich die sogenannte Invite History, die alle bislang hochgeladenen Kontakte enthält, sowohl über Facebook als auch den Facebook Messenger. Fusion – ein Online-Portal – schreibt, in dieser Liste könnten sogar Kontakte auftreten, die bereits vor Jahren übermittelt wurden. Nutzer haben auf der Seite die Möglichkeit, einzelne oder alle Kontakte zu löschen. Die auf dem Smartphone gespeicherten Informationen bleiben davon unberührt.

Wie kommen die Kontakte zu Facebook?

Die Antwort steckt in den Apps. In der offiziellen Facebook-App gibt es unter „Einstellungen -> App-Einstellungen“ die Option „Kontakte fortlaufend hochladen“. Ist dies aktiviert, synchronisiert Facebook die kompletten Adressbücher der Nutzer, ganz gleich, ob es sich bei den Kontakten um andere Facebook-Nutzer handelt oder nicht. Viele Menschen, die zum ersten Mal die App installieren, deaktivieren die Funktion nicht. Dabei ist das aus Sicht des Datenschutzes zu empfehlen, ebenso wie das Deaktivieren der Funktion „Anruflisten und SMS synchronisieren“. Die Einstellungen müssen auf allen Geräten vorgenommen werden, auf denen die Facebook-App installiert ist.

Das Gleiche gilt für den Facebook Messenger. Auch hier gibt es unter „Einstellungen -> Personen“ die Option „Kontakte synchronisieren“. Deaktiviert man die Option, bekommt man im Messenger nur noch die bestehenden Facebook-Freunde angezeigt. Neue Kontakte, die man in sein Adressbuch hinzufügt, werden nicht mehr automatisch an Facebook übermittelt.

Für Nichtmitglieder von Facebook ist das ein schwacher Trost. Denn prinzipiell genügt es, wenn ein einzelner Bekannter sein Adressbuch mit dem Netzwerk teilt. Dann tauchen auf dessen Server auch Nichtmitglieder mit Mobilfunknummer und E-Mail auf, von weiteren Daten ganz zu schweigen …

Facebook nutzt diese Informationen den eigenen Angaben zufolge nur für die interne Freundessuche. Es erfolge keine Weitergabe an Werbetreibende.

Man kann sich trotzdem dem Datenhunger des sozialen Netzwerks nur schwer erwehren.

S’il n’y avait pas défection de Donald Trump, le grand-oral entre lui et Hillary Clinton devrait avoir lieu à le 26 septembre à Hemstead dans l’État de New-York. Ce rituel est d’une grand importance dans le déroulement des élections américaines. Il marque l’entrée de la dernière ligne droite. Les débats deviendront de plus en durs. C’est la possibilité pour les candidats de montrer leurs connaissances des dossiers, de leur capacité de gouverner. Il est à prévoir que Trump essayera de s’esquiver en proférant des menaces envers la démocrate. Serait-ce enfin pour le peuple américain la possibilité d’y voir plus clair ? Le populisme prendra-t-il encore plus le dessus lors des quatre-vingts-dix minutes que devrait durer cette joute oratoire ? Comblera-t-il son ignorance en proférant des injures ? Cela s’est avéré utile pour cet homme qui ne peut que subsister ainsi. Mais il est a craindre que bon nombre de personnes y trouvent leur plaisir. Comme il a adopté le langage du « Café du Commerce », il trouvera des adhérents comme tous ceux qui se sentent dépassés par les événements nationaux et mondiaux. Croient-ils vraiment que la situation s’améliorera par des coups de gueule ? Hillary Clinton sera probablement parfaitement préparée et connaîtra bien les dossiers. Mais suffira-t-il d’égrener sa parfaite analyse de la situation américaine? Ne ressemblera-t-elle pas à une première de classe ? Il est connu que ce genre d’individus n’est pas forcément aimé. J’ai bien peur que tout passe par les tripes, que la réflexion soit considérée comme étant l’apanage d’une élite. Cela risque d’arriver. La candidate semble être pour beaucoup inatteignable. L’intelligence n’est pas forcément un moyen efficace pour gagner les foules. Elles prennent plutôt en compte le grand spectacle que devrait être ce genre de bataille. Tous les moyens sont permis. L’injure et la mauvaise foi en font partie. « Il est au moins des nôtres ! », tel l’avis de la frange prolétaire de l’électorat. Des blancs au revenu modeste qui ont peur de perdre leurs acquis. Il n’est pas étonnant que le racisme et l’exclusion soient de mise. Peut-être une dernière tentative de freiner la suprématie des descendants européens. Weiterlesen

Eine augenzwinkernde Auseinandersetzung mit dem Thema Musiker

Fangen wir mit denen an, die es geschafft haben: Die PROFIS haben jede Menge Kapital niedergeschmettert, alles andere an beruflichen Chancen versemmelt, aber mit großem Enthusiasmus an ihrem Wunsch, Musiker zu sein, festgehalten. Letztendlich ging ihr ganzes Leben drauf, in dem sie sich mehr schlecht als recht über Wasser gehalten und es mittels einer Vollbeschäftigungs-Mischkultur dann zu was gebracht haben. Nahezu alle ergraut derweil, jubeln ihnen die Massen zu. Sie haben es geschafft, die Stars der großen Bühnen und wenn sie einigermaßen Ahnung von Management hatten, dürften sie jede Menge Endorsements eingesackt haben, einige Supersongs produziert und es dürfte auch etwas übrig bleiben für die Kiste am Ende des Rockstarlebens. Arbeitsleben: Hauptberuflich Musiker mit eigenen Kompositionen, oft eigenes Studio, Musikschule/ -lehrer, Studiojobs. Ausdauer: Extrem, eine Lebensaufgabe. Stars, die viel Herzblut investiert haben und einen harten Weg gegangen sind.

Nächste Stufe wären die Nebenher-COVER  und HOBBY-Musiker: Völlig frustriert, dass das Musikbusiness leider nicht mit offenen Armen auf sie zugekommen ist, sitzen sie am Postschalter und stempeln. Ärmel hochgekrempelt, damit man wenigstens die Tattoos zu sehen bekommt, grauhaarig, vollbärtig und die Haare zum Zopf gebunden. Am Wochenende verdienen sie ein paar Flocken auf Hochzeitsfeiern, Dorfpartys oder bei Bekannten, die dabei gröhlend die alten AC/DC Songs besaufen. Auftritte gibt´s regelmäßig ohne nennenswerte Änderung im Ablauf, stets das gleiche Gedudel – das können sie aus mittlerweile aus dem „FF.“ „Scheiß Business“, denken sie, aber flöten weiter in der Hoffnung, doch noch entdeckt zu werden eines Tages. Irgendwie sind bei den Hobbymusikern immer die anderen schuld. Fazit: Scheiße gelaufen, zerstörte Illusionen, eigentlich kein Herzblutmusiker. Ausdauer: Ging so. Es fehlte ihnen die echte Power, aber dafür war die Eigenüberzeugung verdammt groß.

Dann kommen die NEWCOMER: Meistens noch keine 28 mit riesigem Engagement, das sich meistens auf die Likes der Communities erschöpft. Das Netz dient als Sprungbrett für mindestens einen Master-Label-Vertrag. „Die werden schon sehen, wir saugut wir sind, wir fegen alles weg“, lautet ihr Motto. Eigenes Material haben sie genug, Ideen auch, Biss (am Anfang) auch. Großes Problem: Sie unterschätzen die Konkurrenz, sie legen großen Wert auf das, was andere für gut oder schlecht befinden und verlieren ihren eigenen Weg. Geht es ihnen nicht schnell genug mit dem Erfolg, kommt es zu inneren Zerwürfnissen in der Band und außerdem fehlt irgendwann die Kohle für die Supports. Was nun? Mindestens einer geht und sucht sich einen gescheiten Job. Die Versprechungen der Partner halten oft nicht das, was es den Anschein hat und die Newcomer müssen blechen. Trotzdem hochmotiviert könnte ihnen der Weg ins Musikbusiness vielleicht doch noch offen stehen – sofern sie sich treu bleiben, sich selbst realistisch einschätzen und irgendwo eine Geld-Sau haben. Ausdauer: Mehr als extrem, aber leider oft kein Durchhaltevermögen.

Nun kommen die EXZENTRIKER: Für das Musikbusiness auf Dauer uninteressant, für die Fans vielleicht etwas für´ s Schäferstündchen. Die kann man ja sowieso enorm verarschen mit den Netzprofilen und der Gibson um den Hals. Diese Spezies steht zwar virtuell gut da und tut so als ob, aber da gibt´s nichts Weltbewegendes. Da passiert nichts auf weiter Flur und da ist nichts, womit man tatsächlich etwas anfangen könnte. Mehr als über ihren Ort hinaus spielen sie keine Gigs, sie sind reine Umgebungs-Spieler im Radius von maximal 50 km. Einige Versuche der Exzentriker in diversen Bands oder Konstellationen sind gescheitert, aber das Niveau ist – in der eigenen Wahrnehmung – mindestens auf Slash- / Metallica-Niveau. Dass weder Labels noch Manager oder Booker an dieser Pflaume interessiert sind, fällt gar nicht auf. Die Buschtrommeln trommeln virtuell was das Zeug hält und wer weiß, vielleicht wird ja doch noch eines Tages jemand aufmerksam? Bloß den Kopf nicht in den Sand stecken, schließlich hat diese Spezies von Musiker jede Menge Kohle ins Equipment investiert und das muss sich doch lohnen! Ergebnis: Wir haben es nicht mit wahren Musikern zu tun sondern mit Möchtegerns, die für das Business ebenso interessant sind, wie der Furz eines Eichhörnchens. Aufwand der Ego-Musiker:  Gelegentlich, wenn´s gerade zeitlich passt. Proben fallen meist aus, aber mit der Fresse immer im Einsatz. Dafür werden reihenweise Groupies abgeschleppt und gesoffen bis zum geistigen Crash.

Am Anfang der Musikerkarriere stehen die KÜKEN: Sie wissen zwar noch nicht, was auf sie zukommt, aber hauen rein ohne größere Kenntnis der Materie. Musikunterricht Fehlanzeige, alles autodidaktisch und stets mit Freunden irgendwo in den Katakomben verschwunden. Dort wird mehr gekifft und gesoffen als geübt, aber der Weg nach oben war auch bei Motley Crüe nicht anders. Riffs spielen sie mehr schlecht als recht, Texte bräuchten dringend ein Lektorat. Sie wollen an die Spitze und sind überzeugt davon, dass die Welt auf sie gewartet hat. Spätestens bei dem ernsthaften Versuch, sich die Instrumente von der Pike auf drauf zu schaffen, wird´s anstrengend und Noten lesen? Geht gar nicht. In dem zarten Alter taucht garantiert die Prinzessin auf oder der Traumprinz kommt um die Ecke und vorbei ist es mit der Anwesenheit im häuslichen Keller, der als Proberaum dient. Fazit: Die Jugend ist harte Wege und extreme Arbeit nicht gewohnt und die Lorbeeren muss man sehr schwer verdienen. Ausdauer: Reiner Zeitvertreib, Spaß mit Hang zum Rumgammeln. Rocker-Allüren, die nicht unbedingt von Dauer sind.

So. Ich habe dann hoffentlich nichts vergessen und wünsche einen langen Atem, einen wohlwollenden Mentor und einen Geldscheißer. „Rock´n´Roll never dies.“

 

© Petra M. Jansen

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En Chine, un dur réveil. La chancelière s’y trouve pour le G20. Le vote d’un Land peu habité devrait lui donner du fil à retordre. Le parti d’extrême-droite AfD a devancé son parti et se trouve d’un seul coup projeté en seconde position derrière le SPD. Avec 20,8% des voix les populistes ont de quoi pavoiser. Leurs voix sont particulièrement issues du milieu prolétaire. Un phénomène que nous connaissons en France avec le Front National. Des personnes ayant l’impression d’avoir été ignorées depuis l’accueil des migrants. Dans le Mecklembourg-Poméranie il n’y a que 6000 réfugiés. La preuve que ce vote régional a une dimension nationale. C’est le désaveu de la politique d’Angela Merkel. Ce qui est particulièrement dur pour elle, c’est que sa circonscription se trouve ici, près de la mer baltique. Il se peut qu’elle remette en question sa candidature aux élections du Bundestag en 2017. Elle ne peut pas ignorer ce coup de semonce, mais se trouve dans la situation désagréable d’être bloquée. Elle ne peut pas passer par opportunisme d’une femme ayant un sens aigu pour la justice à un faucon balayant tout sur son passage. Elle remettrait en question son éthique, qui pour elle a la priorité absolue. C’est un secret de polichinelle que les partisans de l’AdD n’ont qu’un désir en tête, la renverser. Le 4 septembre marquera probablement l’histoire de la République Fédérale. Avoir pu d’emblée s’imposer devant les chrétiens démocrates fait penser à la croisade du FN. Il est clair qu’une telle victoire à un relent nauséabond et fait penser à l’histoire. Même si le SPD a pu limiter la casse, tous les partis qui se réclament de la démocratie devraient plancher sur ce qui s’est passé. Faut-il la redéfinir ? Lui donner un nouvel essor en expliquant aux citoyens qu’elle est synonyme de liberté. Il est à craindre que les extrémistes entrent au Reichstag et ceci serait très néfaste pour une nation qui s’efforce depuis la fin de la guerre de changer d’attitude face à l’absolutisme ? Serait-ce l’échec d’un mea culpa par rapport aux camps d’extermination. Weiterlesen