Bayer, le géant de la chimie allemand, vient de racheter la maison Monsanto pour environ 60 milliards de dollars. Cette nouvelle fera sûrement bondir les écologistes pour lesquels le trust américain est synonyme de manipulateur génétique. C’est lui qui détient un monopole sur les semis de maïs en particulier. Ils ne peuvent qu’être utilisé qu’une fois, parce qu’ils ne se reproduisent pas. Une catastrophe en particuliers pour les agriculteurs africains, qui sont obligés de racheter chaque année de nouvelles graines. Cela les mène à la ruine. Cette marque a fait aussi la une des journaux avec un herbicide qui peut provoquer le cancer. Il n’est pas étonnant que des organisations mondiales comme Green Peace ne soient pas enchantées par une telle fusion, la plus grande reprise financière d’une multinationale s’outre-Rhin. Cela a été seulement possible à cause du taux d’intérêt le plus bas d’après-guerre. Il est assez étrange de constater que ce deal concerne aussi un des pays au monde pour qui l’écologie se trouve au sommet des revendications politiques. Le business rend cette opération possible, mais elle n’est sûrement pas dans l’optique de tous ceux qui soutiennent la défense de l’environnement. Une majorité du peuple allemand est prête à voter pour tous partis qui se consacrent d’une manière essentielle aux questions relatives à la nature. Je peux parfaitement m’imaginer que cette initiative créera des tensions. Monsanto est devenu le symbole d’une organisation qui se rebiffe contre tout ce qui pourrait être bio. Cela ne correspond probablement pas à toute la vérité, mais son renom est bien ancré dans les esprits. Pour ma part j’émets des réticences pour tout ce qui pourrait être considéré comme une atteinte à la nature. Les produits génétiquement préparés entrent pour moi dans cette catégorie. Même si les études déclarent qu’il ‚y a pas un danger immédiat pour l’homme, qui pourrait me prouver que cela ne sera pas le cas dans quelques générations? Weiterlesen

Oui, c’est tout un programme, celui que préconise Alain Juppé pour l’avenir de la France. Il se refuse de se laisser aller à la sinistrose et cherche des solutions qui correspondent à la mentalité du pays comme la joie de vivre et la solidarité. Il ne veut pas se laisser aller à faire des diatribes contre tout ce que ses adversaires, que ce soit Marine Le Pen ou Nicolas Sarkozy, considèrent comme étant un virus dangereux. Je veux évidemment parler des migrants, des désavantagés qui dans les vues des populistes sont des tares à éradiquer. Il n’emploie pas un langage raciste, au contraire. Il appelle tous ceux qui ont choisi la France comme lieu d’accueil, à tout faire pour être intégrer. Cela demande une reconnaissance des valeurs de la République sans pour autant cracher sur sa propre identité. Il est, de son point de vue, tout à fait possible de respecter l’Islam sans pour autant fouler des pieds ce qui fait sa qualité. Il veut instaurer des moyens régulateurs en ce qui concerne le nombre de personnes à recevoir. Contrairement à Angela Merkel, il n’ouvrira pas tout grand les frontières, considérant comme étant indispensable de ne pas se surpasser en ce qui concerne l’intégration. Il faudra donc tenir compte des capacités tant humaines que financières. Dans cela il n’est pas si éloigné de la politique de François Hollande, dont il veut attirer ses électeurs déçus. Mais attention, le but d’être heureux ne peut pas se résumer aux problèmes ethniques. Il faut que l’économie et le social retrouvent un terrain d’entente, que les salariés ne se sentent pas floués. Soyons réalistes : personne ne peut d’un coup de baguette magique faire des miracles. Les gens le sentent, mais ce n’est pas en s’enferrant dans le défaitisme qu’il sera possible de sortir de l’ornière. C’est ce qu’Alain Juppé veut dire et il a raison. Il est vrai que l’état des lieux a de quoi inquiéter. Nous avons affaire à une gauche qui se saborde elle-même, à un centre plus ou moins flou. Seul le discours du FN semble être volontariste, ce qui ne présage rien de bon, car il est parfaitement irréaliste. Il se base sur des sentiments n’ayant aucun sens avec la réalité. Il déclenche des émotions où il faudrait se donner du mal de peser le pour et le contre. Weiterlesen

Lettin´go all sorrow,

just shine like the sun.

No more rainy day,

just sweep all clouds away.

Lettin´go all darkness,

just feel like lightening.

The flood of the light,

all time shining bright.

Lettin´ go all blue,

just turn to happiness.

In days no more gloom,

in nights we´ll watch the moon.

Darker than darker,

we need to hide our eyes.

Gotta care for each other,

like sister and brother.

A little less bark,

a little more bite.

This world is not at its end,

just needs a managing hand.

Le problème des enfants traumatisés par la guerre ou par des attentats comme celui de Nice, est une bombe à retardement. Beaucoup parmi eux auront des séquelles psychologiques tout au long de leur vie. Des existences empoisonnées pas des psychoses. Tous ceux qui enseignent en savent quelque chose. Les échecs scolaires sont souvent programmés, la petite délinquance et la dépendance des drogues ou de l’alcool sont les conséquences. Il faut vraiment avoir un caractère de fer pour supporter de telles troubles au cour d’une jeunesse. J’ai connu des adultes qui avaient passé à Auschwitz étant petit. Certains ont pu se débarrasser comme par miracle de leurs cauchemars, d’autres se sentent encore aujourd’hui traqués. Il est certain qu’un suivi psychologique est d’une grande importance, mais il est malheureusement aussi clair, que beaucoup de parents ne mesurent pas l’importance d’une telle thérapie. Ces traumatismes peuvent conduire à une isolation complète, qu’il est difficile de détecter lorsqu’on est pas un psychologue. C’est pourquoi il est d’une importance vitale de prendre en charge ces enfants le plus rapidement possible afin d’éviter le grand plongeon. Si le nombre des attentats augmentaient encore ainsi que les guerres civiles, il est évident que nous nous trouverions devant des problèmes difficiles à gérer. Weiterlesen

700 chefs d’entreprises sont descendus en motocyclettes peintes en bleu les Champs-Élysées pour mettre un terme à la morosité. Je salue une telle initiative car je sais quel dommage peut causer le défaitisme. Je ne suis pourtant pas un adhérent de la méthode Coué, qui est souvent un leurre. Vouloir à tout prix faire croire aux gens que le bonheur est à portée de main sans preuves évidentes, peut faire office de boomerang. Il ne s’agit pas de faire des promesses plus ou moins cohérentes, car cela ne peut aider personne. Mais la démarche contraire est aussi néfaste. Vouloir présenter toute l’économie française comme un amas de ruines est inadmissible. Cela équivaut à un suicide, car toutes motivations en sont exclues. La sinistrose est un virus grave. Il est souvent dû au psychisme. Si on voit constamment devant soi un mur infranchissable, il ne peut pas y avoir de progrès. C’est ce qui se passe ici peut paralyser tout l’outil économique. Non, la France est pourvue de moyens efficaces pour affronter la crise. Si dans les moments les plus noirs de l’histoire, le peuple n’avait pas eu de rebond, tout aurait sombré dans le malheur. L’appel du 18 juin 1940 du Général de Gaulle n’aurait pas eu de suite, si les citoyens dans leur ensemble avaient abdiqué. Ils ne l’ont pas fait, car cela ne correspondait pas à leur caractère de se laisser entraîner dans le néant. La situation d’alors était sans comparaison avec ce qui se passe actuellement. Il y avait de quoi désespérer. C’est ce qui devrait être dit haut et fort. Il s’agit aujourd’hui de mettre la main à la pâte, de chasser les démons qui nous font suer. Les chefs d’entreprises ont raison lorsqu’ils se cabrent devant tant de défaitisme. Les ressources de l’industrie ne sont pas taries, au contraire. Au lieu de se plaindre constamment, chacun d’entre-nous devrait se forcer à montrer de la joie de vivre. Pour pouvoir glaner des fruits, il faut y croire, même si cela demande un effort. Weiterlesen

Vietnam am 08. Juni 1972: die Bewohner des Dorfes Trang Bang flüchten nach einem Napalm-Angriff. Das Mädchen Kim Phuc in der Bildmitte hat sich die brennenden Kleider vom Leib gerissen. Die Aufnahme des Fotografen Nick Ut wurde mit dem Pulitzer-Preis ausgezeichnet und zum Pressefoto des Jahres 1972 gewählt.

Für Facebook ist eine der wichtigsten Kriegsfotografien der Welt ein Fall unerlaubt veröffentlichter Nacktheit. Erst zensierte das soziale Netzwerk das Profil eines norwegischen Autors, dann das einer Zeitung, schließlich das der Ministerpräsidentin.

Die E-Mail kam am Morgen des 07. September 2016: Die norwegische Zeitung „Aftenposten“ solle ein Bild aus ihrem Facebook-Auftritt löschen oder es verpixeln, hieß es aus dem Hamburger Büro des weltweit größten sozialen Netzwerks. Nacktheit sei nicht erlaubt und wenn diese Vorgabe gelegentlich Kunstprojekte oder Kampagnen beeinträchtige, die einer guten Sache dienten, entschuldige man sich für die Unannehmlichkeit.

Was „Aftenposten“ veröffentlicht hatte, war weder ein Kunstprojekt noch Teil einer Kampagne. Es war auch kein digital bearbeitetes Bild, das in erzieherischer, humoristischer oder satirischer Absicht veröffentlicht wurde – auch in solchen Fällen behält sich Facebook vor, Ausnahmen zu gestatten. Es ist eine der wichtigsten Kriegsfotografien der Welt: Nick Uts Aufnahme fliehender Kinder vor den Napalm-Bomben in Vietnam aus dem Jahr 1972, in der Mitte ein neun Jahre altes Mädchen, schreiend, nackt.

Der norwegische Autor Tom Egeland hatte es ein paar Wochen zuvor als eines von sieben Bildern auf Facebook beschrieben und veröffentlicht, die das Bild vom Krieg verändert haben. Facebook entfernte das Bild umgehend, und als nicht nur der Schriftsteller, sondern auch Kim Phuc selbst, vor 44 Jahren als Neunjährige im Zentrum des berühmten Fotos, den Eingriff Facebooks kritisierte, wurde Egeland gesperrt. „Aftenposten“ berichtete, veröffentlichte das Bild abermals, und wurde wieder von Facebook zensiert.

Die hat er sich nun genommen für seinen Brief, der mehr ist als die Protestnote eines Journalisten, der sich gegen vermeintliche Unannehmlichkeiten wehrt. Es ist eine erhellende Analyse der Macht, die Zuckerbergs Medienimperium inzwischen besitzt, der unerträglichen Oberflächlichkeit, mit der Facebook Stellung bezieht, und der Gefahr, die vom sturen Durchsetzen seiner weltweit geltenden Regeln ausgeht.

„Falls Freiheit überhaupt etwas bedeutet, dann bedeutet sie das Recht darauf, den Leuten das zu sagen, was sie nicht hören wollen“, so das berühmte Vorwort von Orwells „Farm der Tiere“. Medien haben die schwerwiegende Verantwortung, in jedem einzelnen Fall abzuwägen, was veröffentlicht werden müsse – eine Pflicht und ein Recht, das nicht durch Facebooks Algorithmen unterlaufen werden dürfe. Statt die Menschen einander näher zu bringen, wie es sich Facebook auf die Fahnen geschrieben hat, wird lediglich der Verdummung Vorschub geleistet, wenn das Unternehmen nicht zwischen Kinderpornographie und einem Dokumentarfoto aus einem Krieg unterscheidet.

Eingriffe wie Bildersperrung sind Machtmissbrauch. Facebook muss seine Richtlinien nicht nur an die unterschiedlichen Weltregionen anpassen, sondern die Arbeit von Redakteuren von Veröffentlichungen anderer Facebook-Nutzer unterscheiden.

Mit Bildern wie dem Nick Uts und Berichten, die der offiziellen Darstellung entgegenstanden, haben die Medien zum Ende des Vietnam-Kriegs beigetragen. Es ist eine wichtige Aufgabe der freien, unabhängigen Presse, auch unangenehme, manchmal sogar unerträgliche Informationen zu veröffentlichen, um zu einer offenen, kritischen Debatte beizutragen. Mit Facebooks jüngstem Fehlgriff ist es Zeit für eine offene, kritische Debatte über das Freiheitsverständnis und die Verantwortung eines sozialen Netzwerks.

Facebook äußerte sich auf Anfrage zunächst noch nicht dazu, ob der gelöschte Post erneut veröffentlicht wird. Man sei sich bewusst, dass es sich um ein ikonisches Foto handele. Dennoch sei es schwierig, Unterscheidungen zu treffen, in welchen Fällen das Foto eines nackten Kindes zugelassen werde und in welchen nicht, erklärte ein Sprecher der Seite. Es gelte, die richtige Balance zu finden, um Menschen die Möglichkeit zu geben, sich selbst zu äußern und gleichzeitig einen sicheren und respektvollen Umgang für unsere globale Gemeinschaft zu garantieren.

Facebook werde seine Standards weiter verbessern, um die bestmögliche Anwendbarkeit sicherzustellen. Viele Worte, denen Taten folgen mögen.

Laut Süddeutscher Zeitung hat Facebook nach der massiven Kritik das Posting eines Zeitungsberichts mit einem berühmten Foto aus dem Vietnam-Krieg (1955 bis 1975) wieder online gestellt. Obwohl auf dem Bild ein unbekleidetes Kind zu sehen sei, erkenne das Online-Netzwerk die historische Bedeutung des Fotos an. Wollen wir hoffen, dass es nicht bei dem Einzelfall bleibt. Und auch, dass es nicht jedes Mal eines Shitstorms bedarf, damit das Netzwerk sich seiner sozialen Verantwortung bewusst ist.

Aujourd’hui, le jour de l’attentat terrible du World Center à New-York, il y aura une trêve concernant la campagne électorale. Il y a 15 ans que deux avions ont été guidés volontairement dans les deux gratte-ciels entraînant la mort d’environ 3000 personnes. Une pause qui pourrait être bénéfique tant le ton employé est désagréable. Hillary Clinton a du s’excuser pour avoir accusé de personnes pitoyables une partie de l’électorat qui soutient Donald Trump. Elle a raison, mais ce ne sont pas des propos qui pourraient lui donner des avantages. Qui aime entendre que ses décisions sont débiles ? Mêmes les plus grands idiots se considèrent comme étant plein de bon sens. Il serait temps que la campagne se concentre sur les vrais problèmes que connaissent les USA au lieu de s’enferrer dans de la polémique de bas niveau. En agissant ainsi les deux candidats vont au casse-pipe. Madame Clinton serait bien conseillée de ne pas réagir aux provocations de Monsieur Trump, de garder son sang-froid. Mais elle est aussi un être humain avec toutes ses contradictions. Il est souhaitable que lors du premier débat télévisé elle se maîtrise et ne parle que des sujets important de la politique actuelle. Á la fin du mois de septembre en on saura plus. Il est évident que le futur locataire à la Maison Blanche devra montrer de la pondération, que ses décisions seront forcément un acte d’équilibre. Ce poste réclame beaucoup de connaissancec et en particulier une maîtrise presque parfaite de ses sentiments personnels. C’est ce poste qui le veut. Cela ne revient pas à dire que toutes émotions doivent être bannies, au contraire. La politique doit communiquer. Et ceci ne peut pas se faire aseptiquement. Il faut montrer patte-blanche, même si cela n’est pas forcément vraiment utile. Mais une chose est claire, je crains fort que le niveau même de ces élections sera des plus bas. Ce qui s’est passé jusqu’à présent est une honte. Il n’y a pas un jour où les deux candidats ne se lancent pas des injures et des mots d’oiseau. Weiterlesen

Les ministres des affaires étrangères américain et russe, John Kerry et Sergueï Lavrov, se sont mis d’accord à Genève de faire respecter une trêve en Syrie. Baschar al-Assad sera mis sous pression par le Kremlin afin de faire taire les armes tout au moins pendant un certain temps. Les deux grandes puissances ne pouvaient pas faire autrement. Mais ne nous faisons pas d’illusions les forces armées traditionnelles ont perdu de l’influence dans un conflit où des groupuscules ne se sentent pas liés par tel ou tel accord. Notre destin est plutôt entre les mains d’individus qui se démarquent complètement des règles édictées par des nations tierces. Ils n’en ont rien à faire et c’est justement ceci qui rend la lutte contre le terrorisme si difficile. Il n’y a pas de repères auxquels ont peu se référer. C’est le fait de ces terroristes qui de leur propre chef commettent des attentats. De plus en plus ils se passent d’état-major et n’en font qu’à leur tête. La politique étrangère ne peut que suivre les événements. Dans bien des cas elle est parfaitement impuissante à régler des conflits. Je pense malheureusement que la trêve envisagée par les USA et la Russie ne se résumera qu’à deux signatures apposées au bas d’un document. Comment mettre au pas les islamistes de l’EI ? Ils ne se laisserons pas dompter. Et si cela devait être en partie le cas, il y aurait séance-tenante des dissidents qui feraient tout pour saper toutes initiatives de paix. Comme on le voit l’individualisme est de mise. Chacun pour soi ! John Kerry et Sergueï Lavrov le savent mais ne veulent pas se laisser reprocher qu’ils n’ont rien tenté pour arrêter ce bain de sang. Il s’avère nécessaire de revoir toutes les actions diplomatiques, de rechercher de nouvelles voies. Cela s’avérera comme étant presque impossible. Weiterlesen