Matteo Salvini et Luigi Di Maio ont rédigé leur contrat de gouvernement. Tout d’abord il veulent exiger de la Banque Européenne une remise de dette de 250 milliards d’Euro, que cela ! Mais Mario Draghi ne pourra rien faire pour eux, car il n’entre pas dans ses compétences d’accorder ou non une remise de dette. Cela démontre que l’Italie chauvine sera au rendez-vous, lorsqu’il s’agira de l’UE. Mais un point est d’or et déjà acquis, le pays ne sortira pas de la zone Euro. Donc maintient de la monnaie commune. Mais il faut s’attendre que le péninsule veuille remettre en question certains points, qu’elle considère comme étant de l’ingérence dans les affaires intérieures du pays. Il serait même question de renégocier le traité entre l’Italie et l’UE. Au niveau social nous aurons du populisme pur, comme le paiement pendant deux ans d’une somme de 780,00 euros mensuels à tous chômeurs italien pendant deux ans. Comme contre-mesure il est question de relever l’âge de la prise à la retraite à 67 ans. « Salvimaio » déclare en même temps que tous citoyens ayant cotisé pendant 41 ans, pourra quitter, quelque soit son âge, sans préjudices, son emploi. Les experts de tous bords jugent que ces mesures coûteront la sommes astronomique de 100 milliards, mais où prendre l’argent si les caisses sont vides ? Weiterlesen

GEZ heißt die Institution schon einige Zeit nicht mehr, die uns die Gebühren für die Nutzung des öffentlich-rechtlichen Rundfunks und Fernsehens abknöpft, sondern „Beitragsservice“. Mit Service für Gäste hat das nichts zu tun, vielmehr trifft es die Mehrzahl von uns, dass wir für die Nutzungsmöglichkeit der „Öffentlich-Rechtlichen“ zahlen müssen und zwar gezwungenermaßen.

Vielen stinkt das und sie möchten dies verfassungsrechtlich geprüft haben. Jedes Vierteljahr verschwinden vom Konto 52,50 Euro, das sind umgerechnet 17,50 Euro im Monat.

Seit 2013 muss der Rundfunkbeitrag von jedem Haushalt bezahlt werden, auch wenn dort weder Fersehen noch Radio stehen. Wer nicht taub, blind ist oder Hartz IV bezieht, kommt um den Rundfunkbeitrag nicht herum. Der hieß früher einmal Rundfunkgebühr und umgangssprachlich GEZ-Gebühr, weil die Gebühreneinzugszentrale (GEZ) das Geld eingetrieben hat. Noch viel früher war es die Postgebühr, die fürs Radio und Fernsehen bezahlt werden musste. Doch egal wie sie heißt, der Ärger um die „Zwangsabgabe“, wie Kritiker sie nennen, bleibt. Heute und morgen befasst sich das Bundesverfassungsgericht damit, ob der Beitrag rechtens ist. Es liegt eine Vielzahl von Beschwerden vor. Mehr als 400 sind in Karlsruhe eingegangen, rund 140 sind noch anhängig. Insgesamt vier hat das Gericht nun für das Verfahren zugelassen. Drei Privatpersonen und ein Autovermieter müssen begründen, warum ihrer Meinung nach der Rundfunkbeitrag gegen das Gleichheitsgebot von Artikel 3 des Grundgesetzes verstößt.

Die Gliederung der Verhandlung zeigt, dass die Verfassungsrichter im Wesentlichen drei mögliche Probleme sehen: Erstens, dass jeder Haushalt zur Finanzierung des öffentlich-rechtlichen Rundfunks herangezogen wird, unabhängig davon, welche Geräte sich in der Wohnung befinden. Zweitens, dass nicht differenziert wird, wie viele Menschen in dem Haushalt leben, was dazu führt, dass eine Wohngemeinschaft mit acht Personen genauso viel bezahlt wie ein Singlehaushalt und drittens, dass die Eigentümer von Zweitwohnungen zweimal zur Kasse gebeten werden – obwohl sie sich jeweils nur in einer Wohnung aufhalten können. Ähnlich wie bei Privateigentümern wird der gesamte Kanon an Vorschriften auch noch für den gewerblichen Bereich geprüft werden. Dass all diese Punkte Ärger bereiten könnten, war schon klar, als der Rundfunkbeitrag vor gut fünf Jahren eingeführt wurde. Dass die Rundfunkfinanzierung damals überhaupt neu geregelt wurde, erklärten die Verantwortlichen damit, dass die Empfangsgeräte Radio und Fernseher nicht mehr als Grundlage für die Berechnung der Abgabe taugten. Zunehmend ersetzen Computer, Laptop oder Handy die klassischen Informationsquellen; deren Nutzung ist schwieriger zu kontrollieren als der Besitz eines Fernsehers.

Begründet wurde die Abgabe mit dem bereitgestellten Leistungsangebot der öffentlich-rechtlichen Sender. Darauf, ob dieses Angebot angenommen werde, komme es nicht an. Kritiker können also nicht einfach darauf verweisen, nie mit dem öffentlich-rechtlichen Rundfunk in Berührung zu kommen. Nicht aus dem Auge verlieren darf man die Tatsache, dass in der Schweiz erst vor wenigen Wochen eine Volksbefragung über ihr Modell durchgeführt wurde: Mehr als 70 Prozent der Befragten wollen die Gebühr behalten!

Die juristische Dimension ist aufs Engste verknüpft mit dem Namen Kirchhof. Das rechtliche Konstrukt hinter dem Rundfunkbeitrag hat der ehemalige Verfassungsrichter Paul Kirchhof ersonnen. Sein Gutachten bildet die juristische Grundlage für die aktuelle Abgabe. Der 75-Jährige gilt als ausgewiesener Steuerexperte und war im Wahlkampf 2005 sogar Finanzminister im Schattenkabinett von Angela Merkel. Juristisch führt nun Paul Kirchhofs jüngerer Bruder Ferdinand die Regie. Der 67-Jährige ist aktuell Vizepräsident des Bundesverfassungsgerichts und Vorsitzender des Ersten Senates, welcher sich von diesem Tag an um die Verfassungsbeschwerden zum Rundfunkbeitrag kümmert. Da liegt es nahe, hier an Befangenheit zu denken. Das Gericht sah das jedoch anders und hat entsprechende Anträge Anfang Mai zurückgewiesen. Auch die Diskussion darüber, ob es sich bei der Rundfunkabgabe um eine verkappte Steuer handelt, wird vor dem Verfassungsgericht eine Rolle spielen. Der Steuerrechtsexperte Paul Kirchhof hat in seinem Gutachten viel Raum auf diese Frage verwendet und hält selbst eine Steuer für den falschen Weg, um den öffentlich-rechtlichen Rundfunk zu finanzieren, dem er aber gleichwohl eine finanzielle Bestandsgarantie einräumt, die vom Grundgesetz gedeckt ist. Immerhin diese Garantie haben die Verfassungsrichter in ihren bisherigen Entscheidungen pro Gebühr auch gesehen. Und egal, wie das Verfassungsgericht in seinem Urteil, das in ein paar Monaten erwartet wird, auch entscheidet: Ärger droht dann immer noch: Das Landgericht in Tübingen hat beim Europäischen Gerichtshof angefragt, ob die Abgabe mit dem Europarecht in Einklang zu bringen sei, da in Polen, Tschechien oder Frankreich die vergleichbare Abgabe drei bis zehn Euro im Monat billiger sei.

L’Assemblée Nationale a adopté en première lecture le projet de loi contre les violences sexuelles et sexistes. Les députés ont déploré que la présomption de non-consentement qui considère que toutes pénétrations d’enfants de moins de 15 ans, est un viol, ait été rayée du projet de loi. Marlène Schiappa, secrétaire d’État pour l’égalité entre les femmes et les hommes, a eu des doutes que cet article puisse passer le cap de la juridiction. Et pourtant c’était un des articles essentiels pour préserver les jeunes contre la pédophilie. Je trouve certes bien que le législateur impose quelques priorités, mais j’y vois aussi de graves problèmes psychologiques. En particulier en ce qui concerne le comportement à avoir, lorsqu’on essaie de conquérir un partenaire, quel que soit son sexe. Il y a les cas d’agressions sexuelles, qui ne laissent aucun doute dans leurs intentions : celles de violer. Dans de tels cas les punissions doivent être des plus sévères. Dès qu’une personne dit non, il n’y a pas de circonstances atténuantes. C’est tout à fait différent dans les cas, où le refus n’est pas prononcé d’une manière claire. Cela se passe souvent parce que les victimes ont peur de provoquer encore plus de violence chez l’agresseur. Mais il y a aussi des cas qui se situent dans un no-mans-land, qui fait partie d’un certain jeu, celui d’attiser le désir. Le verdict de bien des procès se trouve dans ces zones d’ombre. Weiterlesen

Par 93 voix contre 30 le parlement écossais rejette le brexit. Le Parti national écossais s’est allié aux Parti travailliste, les Libéraux-démocrates et les Verts pour arriver à ce score. C’est un repaire d’une grande importance pour Theresa May. Elle sait dorénavant que l’Écosse ne jouera pas le jeu. Même si elle est en mesure de mener le Brexit à son terme, elle devra compter sur la volonté d’une des quatre nations qui composent le Royaume Uni, qui dit ne pas vouloir la suivre. Cela pourrait mener à une sécession, ce qui ne peut pas être son but. Au référendum de 2014 le peuple écossais s’était prononcé à 55 % pour le maintien de leur nation, dans l’État britannique. Cela pourrait être remis en question. La question qui se posera est de savoir qui héritera des compétences actuellement détenues par l’UE, notamment dans les domaines de la pêche et de l’agriculture, sans oublier la question primordiale du l’or noir de la mer du Nord? Est-ce que Londres sera le seul maître à bord, une alternative qui ne sera en aucun cas du goût des Écossais. Il y aura en tous les cas conflit, car Madame May prétend que le gouvernement central récupérera toutes les prérogatives détenues jusqu’à présent par Bruxelles. Nicola Sturgeon, la première-ministre écossaise, ne se laissera pas mener par le bout du nez. Des experts en la matière prétendent que la question de l’indépendance pourrait être remise sur le tapis, si à Downing Street 10 on continue à être aussi têtu. Weiterlesen

Déjà au nom des six millions de victimes des camps de concentration, l’État d’Israël ne devrait pas agir ainsi. À l’occasion de son 70ème anniversaire de sa création, ce pays n’a pas hésité à « faire hier le carton » sur 58 Palestiniens qui manifestaient à la frontière, entre le bande de Gaza et l’État hébreux, pour exprimer leur frustration d’être ainsi parqué comme du bétail sur un territoire occupé. Cela me rappelle le ghetto de Varsovie, soit disant autogéré par les Juifs, mais sous le feu constant des SS. Je m’incline devant ces gens qui eurent malgré leur situation terrible, la force de se rebeller. Ils ont essayé de sauver leur honneur. Les autorités israéliennes ne remarquent-elle pas qu’elles agissent dans l’esprit des SS ? Je suis outré, que des descendants – pas tous de loin heureusement – soutiennent de tels agissements. Je donne dans ce contexte raison à la Turquie et à l’Afrique du Sud d’avoir retiré leurs ambassadeurs de Tel Aviv, non pas de Jérusalem ! Non, la capitale d’Israël n’est pas la ville sainte. Elle devrait être la capitale d’Israël et de la Palestine à la fois. Je suis partisan de deux États sur un même territoire, car les deux populations n’arrivent pas à s’entendre. L’idéal serait pour moi un pays multiculturel et religieux mais nous n’en sommes pas là. Donald Trump a voulu provoquer le conflit actuel. Il le fait avec un certain plaisir car le soutien à Benjamin Netanyahou ressemble à celui de deux boss de la mafia. Des personnes dénuées de toute sensibilité et d’esprit humain. Ils devraient savoir que leur politique cause aussi des victimes dans les communautés juives de part le monde. Des personnes innocentes sont assassinées, car elles représentent pour leurs agresseurs la politique insupportable d’Israël. Le premier-ministre sait parfaitement bien qu’il attise ainsi l’antisémitisme. Il le fait d’une manière consciente, ce qui est bien pire. Weiterlesen

Une fois de plus un dérapage en direction de l’extrême-droite en Europe. Aujourd’hui les représentants antisystèmes du Mouvement 5 Étoiles (M5S) et de la Ligue vont présenter au Président de la République italienne, Sergio Mattarella, leur projet de gouvernement et lui dire qui devrait être à leurs yeux le premier ministre. Matteo Salvini, chef de la ligue et son homologue M5S Luigi Di Maio, voudraient que le chef du gouvernement soit une personnalité n’appartenant à aucun de ces deux partis. Soit une personnalité neutre du point de vue politique, mais ayant, comme les deux leaders l’assurent, un poids politique. Il n’est donc pas question de nommer un technicien. Un mariage qui avait été considéré comme impossible il y a encore quelques jours. Une alliance entre une formation du type FN avec des libertaires en ce qui concerne leurs vues sur ce que devrait être l’État. Une seule chose les lie, c’est leur attitude anti-Bruxelles et leur mépris pour l’establishment politique. Ce sont des populistes, avec des vues bien différentes. Les uns, avec une certaine nostalgie pour le Duce. Serait-ce une renaissance du fascisme à la Mussolini ? Je ne peux pas le croire, mais ceci à condition que « les néo-anarchistes suivent une bonne tactique. Mais je dois dire que j’émets certains doutes. Enfin le fait est qu’avec une étoile de trop, le M5S se trouve dans un gouvernement, une autorité qu’il a toujours combattue. Passer du protestataire au légaliste est d’être conscient, qu’on prend un chemin escarpé et rocailleux. Il faudra être assez discipliné pour faire ce saut sans l’inconnu. Weiterlesen

Une fois de plus un homme a poignardé des passants qui étaient à mille lieues de penser de ce qui allait leur arriver. Il était à plus 21 heures dans le quartier de l’Opéra à Paris. Un homme s’est précipité sur des gens qui n’avaient rien à voir ni avec la cause musulmane, ni avec le terrorisme en général. Le bilan : un mort et quatre blessés, qui d’après Gérard Collomb le ministre de l’intérieur, sont maintenant hors de danger. Daech a revendiqué cet attentat pour son mouvement et a évidemment qualifié le meurtrier de martyre, sans pour autant demander à Allah son avis. Ce qui se passe là est une fois de plus un acte d’usurpation, qui théologiquement ne tient en aucune manière le cap. Le Président de la République a tout de suite réagit du Fort de Brégançon, dans le Var, où il se trouve actuellement pour une courte villégiature. Il a dénoncé cet attentat et répété que la France ne céderait jamais à la menace, d’où quelle vienne. Il faut malheureusement s’attendre aussi à l’avenir à de tels méfaits, qui partent souvent d’initiatives personnelles. Je sais, j’ai parlé souvent de telles attaques, mais je ne peux pas faire ce matin, comme si cela ne me regardait pas. J’aurais eu du mal de parler d’autre chose, comme le prix Eurovision de la chanson, qui s’est tenu hier soir à Lisbonne. La lauréate a été une jeune israélienne, qui a profité de l’événement pour clamer son amour pour son pays. Je veux bien, mais je pense qu’il aurait été mieux de ne pas transformer de telles joutes « show-business » en une plate-forme politique. Mais d’un autre côté on ne pourra empêcher personne à le faire. Que l’on veuille ou pas, de telles horreurs ont très souvent en toile de fond de ce qui se passe au Proche-Orient. L’essai d’une prise d’influence par le fanatisme religieux, provenant ou de l’Islam ou du Judaïsme. Mais en fait il ne s’agit là que d’intérêts territoriaux et d’influence. Weiterlesen

C’était du temps de la RDA, où son gouvernement devait se conformer aux ordres de l’ambassadeur russe. Tel le comportement d’un occupant, ce dernier ne se gênait pas d’imposer les vues de Moscou sans même accepter une discussion. C’est ainsi qu’on se comporte avec des colonisés. Souvenez-vous encore que pendant l’Occupation, il en était de même à Paris, où Otto Abetz transmettait les ordres du ministres des affaires étrangères du Reich, Joachim von Ribbentrop, au Maréchal Pétain. Richard Grenell, le nouvel ambassadeur des USA en Allemagne en a pris de la graine. Il est dans la droite ligne des méthodes hitlériennes ou soviétiques et considère ce pays comme une terre occupée par les USA. En menaçant l’industrie allemande de sanctions graves, si elles continuaient à vouloir commercer avec l’Iran. Il n’y a plus qu’à dire « Heil Trump ! » À la place de Berlin, j’essaierais de le mettre à la porte, car il blesse les conventions internationales en ce qui concerne l’ingérence dans les affaires intérieures d’un pays. Je ne peux qu’exprimer mon plus profond dégoût ! Je ne comprends pas Heiko Maas, le ministre des affaires étrangères, qu’il n’ait pas invité « ce gouverneur général » pour lui dire à quel point il trouvait ses propos indignes, d’un pays qui se targue d’être démocratique. Je soutiens tout à fait la revendication du parti « Die Linke », qui réclame un peu de dignité de la part du gouvernement allemand. Ou a-t-on affaire à des lavettes ? Qu’il soit dit, je ne me conformerais en aucune manière aux ordres du Führer de la Maison Blanche. S’il veut la bagarre, qu’il l’ait. En tous les cas il faudrait faire appel aux éboueurs, afin qu’ils emmènent les détritus de l’Alliance atlantique. Elle n’a plus sa raison d’être dans de telles conditions. Weiterlesen