Vous me direz avec raison qu’il en y a marre du Brexit, que le spectacle que nous offre Theresa May et le parlement est en dessous de tout. Je suis de votre avis, mais je ne peux pas m’empêcher de jeter un regard sur le Royaume-Uni qui nous met dans l’embarras par son indécision. Dans l’état actuel des choses, toutes décisions en dehors de celle du peuple, ne peuvent que provoquer plus de désordre. Je trouve incroyable que des gens qui ont failli à un tel point puissent s’arranger à se maintenir au pouvoir. Il faudrait d’urgence rappeler les citoyens aux urnes, mais comment y arriver ? Même si toutes interventions politiques de la reine d’Angleterre sont interdites, je trouverais bien qu’elle intervienne pour rappeler à l’ordre le monde politique. Sans s’impliquer politiquement pour un camp ou pour l’autre, rien à mon avis l’empêcherait de revendiquer une nouvelle votation. Mais une chose est sûre, le seul point qui a recueilli une grande majorité à Westminster, c’est d’empêcher un divorce sans accord préalable. Donc pas de Brexit dur qui plongerait le pays dans une crise économique sans précédent. La livre sterling a dévissé une fois de plus après le 3ème échec de Theresa May. Cela n’augure rien de bon si le pays se retrouvait rejeté de la zone douanière le 12 avril. Il se trouverait non-préparé dans une situation qui pourrait le mener à la ruine. Ce serait un suicide a malgré tout reconnu une majorité de députés. Donald Tusk après le troisième échec de Madame May, où 286 députés contre 344 ont voté pour, Donald Tusk, le président du conseil européen, a convoqué pour le 10 avril les chefs d’État de l’UE à Bruxelles pour une conférence extraordinaire. Weiterlesen
Pas d’armes à l’Arabie Saoudite
L’Allemagne a engagé un bras de fer envers les pays, dont la France, avec qui elle produit des armes et qui se plaignent amèrement qu’il y ait pour l’instant un stop en ce qui concerne l’exportation d’engins de guerre, notamment à l’Arabie Saoudite. Le gouvernement a prolongé hier de six mois cet embargo. Il est en vigueur depuis le meurtre du journaliste Jamal Khashoggi. Cela a provoqué l’ire, notamment du ministre des affaires étrangères britannique, qui dans une lettre à Heiko Maas en février, a accusé Berlin de manque de loyauté. Mais aussi la France est irritée. Anne-Marie Descôtes, l’ambassadrice de France en Allemagne, a aussi critiqué l’aspect imprévisible de la politique à ce sujet. Le porte-parole du gouvernement allemand Steffen Seifert a déclaré : « L’Allemagne va s’employer dans ses consultations avec ses partenaires à ce que les équipements militaires produits en commun ne soient pas utilisés dans la guerre au Yémen et ce pendant neuf mois », jusqu’au 31 décembre 2019. Depuis 2015 il y a plus de 10.000 morts au Yémen, dont un nombre considérable d’enfants. La disette fait ce que les armes ne font pas, elle tue quotidiennement un nombre non négligeable de personnes. Vouloir empêcher que les engins de guerre ne soient pas utilisés dans des conflits tient de l’utopie. À quoi bon acheter des armes qui ne serviront pas ? Ne seraient-elles que présentées dans des défilés ? Ridicule ! Weiterlesen
La haine des tziganes
Depuis la mi-mars les tziganes de la région parisienne sont les victimes d’attaques injustifiées comme cela a toujours été le cas depuis la nuit des temps. Il leur est reproché le rapt d’enfants, une légende qui leur colle à la peau. Ceci pour les tuer et prélever des organes. La préfecture de police de Paris s’est empressée de dire, que ces accusations étaient complètement infondées. Il en est de même chez les Juifs. Ce genre d’injures est typique d’une époque, où les gens ne se sentent pas en sécurité, où toutes les assises semblent s’évaporer. Il faut des boucs émissaires afin de pouvoir montrer le mal du bout du doigt. Le soit-disant enlèvement des enfants fait partie de la panoplie discriminatoire qu’est le racisme. Les tziganes ont toujours été traqués. Ce n’est pas par amour du voyage, qu’ils ne sont pas sédentaires. Il faut prendre sous la loupe ce qui se passe encore aujourd’hui dans les pays de l’Est européen, d’où beaucoup d’entre-eux sont originaires. Ils sont chassés d’un endroit à l’autre, jugés indésirables par ce qu’ils ne sont pas comme les autres. On en a fait des traqués à qui les biens-pensants remettent en question leur droit de vivre. Comme pour les Juifs et les homosexuels, les nazis ont essayé de les exterminer à tout jamais. Des centaines de milliers d’entre-eux ont été exécutés, gazés à Auschwitz ou ailleurs. Et dire qu’actuellement le calvaire de ces malheureux est à nouveau d’actualité. C’est la preuve que nous nous trouvons en pleine régression en ce qui concerne l’esprit et l’intégrité intellectuelle. Weiterlesen
13
Wieder einmal wird deutlich, wie große der Abstand zwischen EU und Bürgern ist. Und ist wurde deutlich, wie alte Bürokraten und die junge Generation der Internetnutzer in zwei verschiedenen Welten leben.
Seiten mit leeren Suchergebnissen auf Google, die „YouTube wird gelöscht“-Panik, „Artikel 13“ und der „Merkelfilter“ oder „Upload-Filter“: Die geplante Urheberrechtsreform der EU ging eine verschärfte Debatte voraus. Doch was ist der „Artikel 13“ überhaupt und was soll dieser regeln?
Bei der neuen Regelung der Europäischen Union (EU) geht es um das geitige Eigentum und das Urheberrecht. Beides soll besser geschützt werden. Deshalb wird die Regelung auch Urheberrechtsreform genannt. Am gestrigen Dienstag fiel die Entscheidung, ob diese gültig werden soll. Politikerinnen und Politiker stimmten im Europäischen Parlament dafür. Kritikerinnen und Kritiker befürchten, dass sich das Internet dadurch sehr verändern könnte.
Nach Ansicht von Kritikern führt Artikel 13 zwangsläufig zum Einsatz sogenannter Uploadfilter, denn anders könnten Plattformen die Inhalte gar nicht auf Verstöße überprüfen. Sie befürchten, dass diese Filter auch legale Inhalte wie Parodien oder Zitate blockieren – und so die freie Meinungsäußerung einschränken. „Algorithmen können nicht unterscheiden zwischen Urheberrechtsverletzungen und der legalen Weiterverwendung wie zu Parodiezwecken“, sagt etwa Piraten-Politikerin Julia Reda (welt.de). Dieser Meinung hatten sich zuletzt Politiker aus fast allen Parteien angeschlossen.
Auch Google – und damit Youtube – hatte gegen die Reform mobil gemacht. Artikel 13 könne „unbeabsichtigte Folgen haben, die Europas Kreativ- und Digitalwirtschaft schaden könnten“, schrieb Youtube am Dienstag (twitter.com).
Gegner des Leistungsschutzrechts sehen insbesondere für kleine Verlage Nachteile. Diese seien darauf angewiesen, von Suchmaschinen gelistet zu werden und hätten eine schwache Verhandlungsposition gegenüber Google & Co. Zudem verweisen sie auf Deutschland: Hier gibt es schon seit 2013 ein Leistungsschutzrecht – doch es führt nicht zu nennenswerten Geldzahlungen an die Verlage. Außerdem wäre die Medienvielfalt im Netz nach Ansicht der Kritiker eingeschränkt.
Die großen deutschen Verlegerverbände begrüßten das Ergebnis. „Die Zustimmung zur Reform ist ein Ja zur digitalen Zukunft von Kultur und Medien und zu einer lebendigen und vielfältigen Kreativlandschaft in Europa“, teilten der Bundesverband Deutscher Zeitungsverleger und der Verband Deutscher Zeitschriftenverleger mit.
Artikel 13 der neuen Copyright-Richtlinie nimmt alle kommerziellen Onlineplattformen (sogenannte „Online Content Sharing Service Provider“) in die Pflicht, die im Jahr mehr als zehn Millionen Euro Umsatz machen, mehr als fünf Millionen Besucher im Monat haben und schon länger als drei Jahre existieren – also Plattformen wie YouTube, Facebook und Google.
Momentan verdienen solche Plattformen viel Geld damit, dass sie Material zugänglich machen, das eigentlich urheberrechtlich geschützt ist: zum Beispiel Musik, Fotos und Texte. Die Urheber – der Fotograf, Musiker oder Journalist – sehen von dem Geld meistens nichts.
Die gigantischen Netzkonzerne sollen nun also Geld dafür zahlen, dass sie Inhalte von anderen verbreiten dürfen. Das Geld soll dann auf die Urheber umverteilt werden und somit auf dem Konto der Fotografen, Maler oder Musikern landen. Wie sichergestellt werden soll, dass das Geld nicht bei den großen Plattenfirmen und großen Verlagen hängenbleibt, ist noch offen.
Uploadfilter sind, soweit überhaupt schon verfügbar, unausgereift und fehleranfällig. Ob rechtswidrige Verbreitung eines geschützten Werks oder zulässiges Zitat, erlaubte Satire oder eigener künstlerischer Beitrag – das können die Algorithmen nicht unterscheiden. „Zensur“ fürchten daher die Gegner der Filter. Außerdem greife die Vorabfilterung in die Privatsphäre der Nutzer ein und beschränke das Grundrecht auf Meinungsfreiheit.
Aber von Filtern stehe nichts in der Richtlinie, halten die Befürworter von Artikel 13 – jetzt Artikel 17 – dagegen. Die angestrebte Lizenzierung käme finanziell den Urhebern zugute. Sie würden endlich angemessener an den Einnahmen der Plattformen beteiligt. Und Nutzer seien künftig vor Abmahnungen geschützt. Auf den Vorwurf, man zerstöre die lebendige Netzkultur, entgegnen sie, dass Memes, Blogs, Start-Ups und nicht-kommerzielle Webseiten ausdrücklich ausgenommen seien.
Le droit d’auteur ou la censure ?
Comment se fait-il qu’un homme comme moi, ayant fait partie d’une commission devant régler la question des droits d’auteurs dans le contexte de sa chaîne, soit opposé à la directive concernant la propriété intellectuelle sur internet, qui a été adoptée hier au Parlement européen ? Je suis évidemment en tant qu’auteur de l’avis que tout travail effectué pour le grand public doit être rémunéré. Nous ne pouvons pas faire venir le plombier sans le payer, ce qui est clair pour tout le monde. Il doit aussi en être ainsi pour les « créatifs » qu’il soit dit. Mais c’est la manière de prélever les fonds et le choix des bénéficiaires qui me fait mal au ventre. Je trouve l’emploi de filtres automatiques qui feraient une sélection des contributions plus que douteux. Il est possible de les programmer à sa guise, ce qui pourrait être un frein considérable à la liberté d’expression. Sur Facebook il y a un tel système pour écarter tous messages discriminatoires. Il se base sur certaines expressions mais ne peut pas tenir compte dans quel contexte elles ont été écrites. Deux de mes textes satiriques ont été ainsi écartés. Il s’agissait d’une attaque acerbe contre les agissements des néonazis. J’ai employé les phrases qu’ils emploient pour marquer leur haine. Ceci dans les deux premières strophes d’un poème. Dans la troisième je les attaque de front. Comment voulez-vous que les algorithmes puissent reconnaître ces nuances ? Cette sélection automatique est de la censure, car elle ne peut pas faire la différence. Je crains qu’il en soit de même pour la directive des droits d’auteurs. L’autre pierre d’achoppement est le choix des destinataires des droits récoltés. D’après ce que j’ai bien compris, ce seraient avant tout les éditeurs et les producteurs. J’émets des doutes que l’argent revienne aux ayant-droits, les auteurs ou les interprètes en ce qui concerne la musique ou le cinéma dans son ensemble. Dans le cadre de l’UER, l’organisation européenne des chaînes de télévision et de radio, la question des droits d’auteurs préoccupe les spécialistes depuis des décennies. Weiterlesen
Et l’Écosse ?
Cette nuit la Chambre des communes a décidé que mercredi elle voterait pour d’autres options que celles de Theresa May en ce qui concerne le Brexit. C’est un nouveau revers qu’elle essuie et qui en fin de compte signifie plus ou moins sa destitution. Le champ de manœuvre se réduit comme une peau de chagrin. Ou bien il faudra repousser aux calendes grecques la sortie du Royaume uni de l’UE et renégocier le tout. Cela reviendrait à dire que les électeurs seraient appeler aux urnes le 23 mai afin d’élire des députés au parlement européen, ce qui seraient pour beaucoup de britanniques une pilule amère à avaler. L’autre serait d’appeler le peuple à se prononcer à nouveau sur le maintien ou non du pays dans l’UE. Dans ce contexte il serait à prévoir que l’Écosse plaide pour que le statu actuel ne soit pas modifié. Ses habitants sont des adeptes de l’Europe et ne veulent pas faire cavaliers-seuls. Cela rend toutes les démarches amorcées jusqu’à présent assez fatales pour l’unité du Royaume. Pour beaucoup d’Écossais il serait tentant de demander à Bruxelles de pouvoir rester dans l’UE. Ne nous faisons pas d’illusions, cela représenterait l’éclatement de la Grande Bretagne. C’est la preuve que non seulement l’Irlande du Nord divise les esprits. Le prix du Brexit serait dans ce cas-là bien trop élevé. Il faudra que les députés à Westminster fassent preuve de beaucoup d’imagination afin de préserver leur pays de l’éclatement. Je veux essayer de me mettre à la place d’un citoyen britannique qui aurait voté pour le grand départ. Comme patriote, je trouverais insupportable que l’intégrité de la nation puisse être remise en question. C’est ce point d’achoppement qui me ferait réfléchir s’il faut m’entêter dans ce que devrait être le Brexit, avec toutes ses nuisances économiques et sociales, ou s’il était raisonnable de mettre de l’eau dans son vin et de rester membre, en essayant de reformer l’UE de l’intérieur ? Je pense que du point pragmatique je modifierais mon attitude. Weiterlesen
„No Collusion“
Das Ergebnis von Muellers Ermittlungen ist: Kein einziger US-Staatsbürger hat sich der betrügerischen Absprache mit Russland schuldig gemacht.
Der zentrale Vorwurf, den es gegen den US-Präsidenten und sein Umfeld gab, ist damit widerlegt. Selbst wenn Mueller einzelne Indizien für betrügerische Absprachen gefunden haben sollte, reichen sie seiner Auffassung nach offenbar nicht für eine gerichtsfeste Anklage. Auch der Anfangsverdacht der Justizbehinderung, der nicht zu Muellers ausdrücklichem Ermittlungsauftrag gehörte, hat sich trotz „eingehender Prüfung“ nicht mit der für eine Anklageerhebung erforderlichen Gewissheit bestätigt – auch wenn der Sonderermittler diese Frage letztlich offengelassen hat.
Die vorliegenden Informationen stützen sich auf einen vierseitigen Brief von Justizminister William Barr an die Vorsitzenden von vier Ausschüssen in Senat und Repräsentantenhaus. Bei dem am Sonntag verfassten und publizierten Schreiben handelt es sich um die „grundsätzlichen Schlussfolgerungen“ zu dem vertraulichen Report über die Untersuchung von russischer Einmischung in die Präsidentschaftswahl 2016.
Allein 19 Anwälte und 40 FBI-Agenten waren für den Bericht tätig. Es gab demnach mehr als 2800 Vorladungen, etwa 500 Zeugen wurden interviewt und 13 ausländische Regierungen kontaktiert. Auf gut Deutsch: Der gewissenhafte Sonderermittler, der sich während seiner anderthalbjährigen Untersuchungen nicht einmal öffentlich zu Wort gemeldet hat, hat gewissermaßen „jeden Stein umgedreht“ und darunter geschaut.
Dass Russland versucht hat, die Präsidentschaftswahlen 2016 zu beeinflussen, daran gibt es wenig Zweifel. Der Kreml präferierte damals den republikanischen Präsidentschaftsbewerber Donald Trump, der öffentlich die Führungskunst von Russlands Präsidenten Wladimir Putin pries und die – infolge der Krim-Annexion gegen Moskau verhängten –Sanktionen infrage stellte. Trump war der für Moskau geschmeidige Kandidat, anders als seine Konkurrentin, die Demokratin und frühere Außenministerin Hillary Clinton.
Wie ist die Reaktion des Präsidenten auf den Bericht? Zunächst lautes Schweigen! (merkur.de) Während der US-Präsident sonst zu allen Tages- und Nachtzeiten auf Twitter aktiv ist und das Netzwerk als Kanal für Rechtfertigungen, Beschimpfungen und Selbstlob nutzt, äußert er sich bis jetzt noch gar nicht zum Bericht zur Russland-Affäre von Sonderermittler Mueller. Das ist so ungewöhnlich, dass es fast schon auffällig ist.
So eindeutig, wie der US-Präsident es darstellte, sind die Schlüsse aus dem Abschlussbericht des Sonderermittlers Mueller dennoch nicht. Bislang gibt es eine Zusammenfassung des Justizministers William Barr. Den eigentlichen Bericht soll auch Trump noch nicht gelesen haben (faz.net). Barr erklärt in seinem vierseitigem Papier: „Die Ermittlungen wiesen nicht nach, dass Mitglieder der Trump-Kampagne mit der russischen Regierung bei deren Versuchen, die Wahl zu beeinflussen, zusammenarbeiteten oder dass sie eine Verschwörung mit dieser bildeten“. Trump wurde demnach tatsächlich von dem Vorwurf einer direkten Verschwörung mit dem Kreml entlastet.
Muellers Verdienst ist es laut der Zusammenfassung von Barr, dass er detailliert herausarbeiten konnte, wie Russen versuchten, die Wahl 2016 zu beeinflussen. Die Ermittler sammelten Beweise für eine gezielte Desinformationskampagne in sozialen Netzwerken sowie für die Hacks der E-Mails der Demokraten. Trumps Kritiker wollen, dass alle Details über diese Angriffe veröffentlicht werden. Dem Bericht zufolge gab es auch Versuche von Russen, Kontakt mit Trumps Team aufzunehmen.
Die Demokraten wiederholten nach der Veröffentlichung von Barrs Zusammenfassung, dass der ganze Bericht Muellers öffentlich gemacht werden müsse. Das amerikanische Volk verdiene die ganze Wahrheit und volle Transparenz, so Nancy Pelosi, demokratische Sprecherin des Repräsentantenhauses (sueddeutsche.de). Vor rund zwei Wochen verabschiedete das Repräsentantenhaus in seltener Einstimmigkeit eine Resolution, die genau dies verlangt. Den Demokraten geht es um mehr: Sie wollen nicht nur den Bericht sehen, sondern auch das Material, das Mueller als Grundlage diente, etwa Protokolle von Zeugenbefragungen oder E-Mails.
Trop beau pour être vrai !
C’est vraiment trop beau pour être vrai ! Après que j’ai pris note des conclusions du rapport du procureur Robert Mueller au sujet des doutes qui ont été émis par les médias avant tout, quant à l’ingérence des Russes dans la campagne présidentielle du candidat Trump, qui aurait eu pour but de dénigrer Hillary Clinton. Il s’agissait avant tout des mails qu’elle avait écrits de son ordinateur personnel à l’époque, où elle avait été ministre des affaires étrangères, ce qui était illégal. Pas étonnant que le président pavoise et se sente aussi pur qu’un derrière de bébé ! « Les investigations du procureur spécial n’ont pas déterminé que l’équipe de campagne Trump ou qui que ce soit associé à celle-ci se soit entendu ou coordonné avec la Russie dans ses efforts pour influencer l’élection présidentielle américaine de 2016 », d’après le ministre de la justice Bill Barr dans un rapport remis au congrès. L’éléphant Mueller a enfanté d’une souris. Je peux bien m’imaginer à quelles pressions le procureur a été soumis. Je ne peux évidemment pas prouver qu’il y ait eu magouille dans cette enquête, mais je sais une chose : c’est qu’il n’y a jamais fumée sans feu. Il y a eu à mon humble avis trop de bruits, pour que tout ces doutes n’aient eu aucun fondement. Les services russes, qui auraient pu être mêlés à une intrigue, ont certainement tout fait pour effacer toutes traces, s’il y avait eu une ingérence quelconque. C’est de bonne guerre, mais je crois pas à leur innocence. Alice au pays des merveilles danserait un menuet de joie. Pour démontrer que le tout n’est pas cousu de fil blanc, les autorités « compétentes » ont déclaré : « Si ce rapport ne conclut pas que le président a commis un crime, il ne l’exonère pas non plus ». Un tour de passe-passe juridique qui a mes yeux ne veut rien dire. Je ne serais pas un journaliste digne de ce nom, si j’avalais sans commentaires une telle couleuvre. Weiterlesen