Donald Trump se regarde dans le miroir et dit à sa femme, « Mon chéri, je suis Dieu le père ! ». Satisfait il réajuste son nœud de cravate avant d’envoyer un tweed, Je ne peux que supposer ce qu’il va écrire : « Njet à l’accord de Paris sur le climat ! », Il ne va pas prendre sa chaussure pour taper sur la table comme l’avait fait Nikita Khrouchtchev à l’ONU, pour la bonne raison que Dieu ne porte pas de souliers. Basta ! Mesdames et Messieurs les chef d’États, il sait ce qu’il dit. L’écologie et l’envoi dans les airs du CO2, c’est du pipeau. Comme Donald emploie toujours des mots choisis, il ne dira pas que c’est de la couille de bouc ! Que la Chine, le Canada et l’UE rejettent ses bonnes paroles, est un sacrilège, des propos lès-majesté. Et tout cela pour continuer à brûler du charbon dans les centrales électriques. Mon petit-fils dirait : « Ton bon Dieu est complètement ringard, d’autant plus que la houille est une denrée de plus en plus rare. » Et l’avenir ? Il s’en fiche royalement, pourvu qu’on l’adule. Un homme qui veut baisser les subventions accordées à la recherche ne peut avoir qu’un cerveau de moineau et ceci, même s’il est Dieu ! Au lieu de saisir la chance que lui accorderait une réduction massive de l’effet de serre, il s’enferre dans des reliques du passé. L’Amérique aurait le potentiel intellectuel nécessaire de relever le défi en cherchant à développer des énergies renouvelables. Ce sera un marché énorme qui procurera beaucoup d’emplois. La Chine l’a bien compris. Ce n’est pas sans raison qu’elle exerce un leadership en ce qui concerne les panneaux solaires. Mais comme Dieu le père est têtu, il ne veut pas entendre raison, même si Ivanka, sa chère fille et son mari, sont d’un autre avis que lui. Il n’a certes pas encore donné son dernier mot, mais d’après ce qu’il fait entendre de lui, il n’hésitera probablement pas à se prononcer pour le massacre de la nature. Weiterlesen
Schlagwort: Trump
Messlatte Einwanderungspolitik
US-Präsident Donald Trump kommt seinen Zielen näher, als die Rückschläge in der Symbolpolitik vermuten lassen. Kritiker messen Trumps Einwanderungspolitik gerne daran, ob er die Grenzmauer zu Mexiko baut oder wie Gerichte den Einreisebann für Menschen aus muslimischen Ländern bewerten.
Trump hatte eine härtere Grenzpolitik versprochen, die Behörden haben begonnen, sie umzusetzen. In den ersten 100 Tagen nach seinem Amtsantritt verhaftete die für Abschiebungen zuständige US-Polizeieinheit „ICE“ („Immigration and Customs Enforcement“) 41.300 Menschen, die sich illegal im Land befanden. Das sind 40 Prozent mehr als im Vergleichszeitraum des vergangenen Jahres. Jeder vierte Verhaftete hatte allerdings gar keinen kriminellen Hintergrund – dieser Anteil hat sich verdoppelt.
Dass die Polizeieinheit nicht nur die „Bad Hombres“ (Zitat Trump) verhaftet, hängt mit ausgeweiteten ICE-Befugnissen zusammen. Wie einst unter George W. Bush darf die Behörde wieder Arbeitsplatz-Razzien in Firmen oder auf Farmen durchführen. Bei dieser Gelegenheit greifen die Beamten oft auch jene undokumentierten Mitarbeiter – meist aus Ländern wie Mexiko und Lateinamerika – auf, die nicht auffallen und sich deshalb umso strenger an die Gesetze halten.
Zudem tauchen sie Berichten zufolge auch in der Nähe von Schulen und Kirchen auf – Orte, an denen sie zwar kein Zugriffsrecht haben, ihre Präsenz aber durchaus Unwohlsein auslöst. Es ist unbestreitbar, dass das Klima für die geschätzt elf Millionen Menschen ohne Papiere rauer wird.
Ein Abschreckungseffekt durch härteres Vorgehen ist durchaus Teil der Strategie, seit Jahren propagieren Teile der Republikaner die Idee der „Selbstabschiebung“: Wenn die Lebensumstände für die „Illegales“ immer schwieriger werden, kehren nach dieser Theorie viele freiwillig in die Heimat zurück.
Einige „Ilegales“ gehen nicht mehr zur Arbeit oder nehmen nur noch Aufträge außerhalb von Latino-Vierteln an, um nicht zufällig aufgegriffen zu werden. Anekdotischen Berichten zufolge haben einige Eltern ihre Kinder aus der Schule genommen, andere werden nach dem Unterricht von Verwandten abgeholt, die amerikanische Staatsbürger sind. Besitzer von Farmen in Kalifornien und Florida melden, dass sich in diesem Jahr deutlich weniger Erntehelfer als sonst bewerben.
Weil viele Familien für den Fall einer Abschiebung Geld ansammeln, leidet in den Großstädten auch die Wirtschaft in den Vierteln der Hispanics. Zwischen einem Drittel und der Hälfte ist das Geschäft eingebrochen, erklärt die hispanische Handelskammer von Kansas City (Financial Times). Ein Drittel der Latinos sagt, die Situation habe sich im Vergleich zum vergangenen Jahr verschlechtert – so viele wie seit fünf Jahren nicht mehr.
An der südlichen Grenze der USA hat sich die Lage verändert, derzeit werden dort deutlich weniger Menschen als zuletzt aufgegriffen. Der „Trump-Effekt“ ist jedoch nur schwer zu bemessen, weil es eine Dunkelziffer unerkannter Grenzübertritte gibt, die bei der Aussicht auf direkte Abschiebung ohne Chance auf Asylverfahren steigt. Allerdings hat die Zahl der Asylsuchenden aus Mittelamerika zugenommen, die nun versucht, in Mexiko zu bleiben. Die Preise der „Coyotes“ genannten Menschenschmuggler, die häufig für die mexikanischen Drogenkartelle arbeiten, haben sich in den vergangenen Monaten fast verdoppelt.
Politisch basteln die Republikaner an weiteren Bausteinen für eine härtere Einwanderungspolitik. Vergangene Woche beriet der Justizausschuss im Repräsentantenhaus über ein verschärftes Grenzschutzgesetz. Der unerlaubte Grenzübertritt gilt bislang als Ordnungswidrigkeit, die nach fünf Jahren verjährt. Nun soll er zu einer Straftat erklärt und mit Gefängnis von bis zu 20 Jahren bestraft werden. Die Zahl der Deportationen ging unter Trump, anders als die Zahl der Festnahmen, bislang nicht nach oben.
Ideen, die aus der Mode waren, haben wieder Konjunktur: Lobbyorganisationen wie „American Children First“ wollen Bürgerentscheide darüber, ob Kindern ohne Staatsbürgerschaft künftig die Schulbildung verweigert werden darf. Bislang gibt es dafür selbst unter Republikanern keine Mehrheit, auch Gerichte dürften solche Anliegen kritisch bewerten. Angesichts fortgesetzter Haushaltskürzungen dürften allerdings gerade in konservativen Staaten kontroverse Debatten darüber anstehen, welche Rechte und Leistungen illegalen Einwanderern verwehrt werden könnten.
Ein böses Omen für einen demokratischen Staat …
En marche l’Europe !
Si les Américains font faux bond, il faut que les liens entre les autres membres du G7 se resserrent. Merci Monsieur Trump, vous nous avez donné l’occasion de renaître de nos cendres. Mais il est trop imbu de soi-même pour s’apercevoir qu’il a enterré la suprématie des USA, au cas où les autres pays de la planète ne se vautrent pas une fois de plus à ses pieds. Ce qu’il considère comme étant une victoire pour son pays, pourrait être son déclin. Plus personne ne peut vraiment prendre au sérieux une administration qui refuse de voir la réalité, celle du désastre climatique dû à la pollution. Que le Japon et le Canada se joignent aux Européens ne peut qu’être une bonne nouvelle. Il faut aussi souligner la position de l’Angleterre, en plein brexit. Mais ce qui me semble essentiel, c’est que l’UE prenne conscience des atouts que lui confèrent plus d’unité. Il faudra tout faire pour parler d’une seule voix. Ce qui s’est passé à Taormina devrait nous inciter à reprendre le travail au sein du chantier « Europe ». Je souhaite que les propositions émises pas Emmanuel Macron soient discutées et mènent à un renforcement de nos positions. Comme je l’ai évoqué à plusieurs reprises, nous ferions bien de revoir nos rapports avec la Russie, la Chines et les autres puissances émergentes. Et les États-Unis ? Ils seront évidemment des nôtres s’ils arrêtent de nous dicter leurs quatre volontés et qu’ils respectent leurs engagements. Avec Trump cela ne sera pas le cas. La question qui se pose est de savoir s’il faut encore le prendre au sérieux ? J’ose espérer que les citoyens américains s’apercevront bientôt qu’ils ont à faire à un fossoyeur. J’ai été élevé dans une société, où des amis de mes parents étaient souvent des diplomates. Weiterlesen
Macron-Trump
Emmanuel Macron s’est rendu aujourd’hui à Bruxelles au sommet de l’OTAN. Il a rencontré à l’occasion d’un déjeuner de travail Donald Trump. La rencontre a été bien plus chaleureuse que ce qu’on pouvait attendre. Une longue poignée de mains, où le président américain a félicité son hôte pour son élection. « Vous avez mené une campagne incroyable et remporté une formidable victoire. (…) Le monde entier en a parlé. » Les deux hommes ont abordé tous les problèmes actuels. D’après les dires des observateurs le courant est bien passé entre eux malgré leurs différences. Si cela pouvait continuer, il serait peut-être possible de désamorcer bien des bombes à retardement entre l’Europe et les États-Unis. La rencontre avec les autres chefs d’États a démontré que rien n’était gagné. Donald Trump les a sermonné en réitérant l’exigence qu’ils augmentent sensiblement les dépenses pour la défense, ce qui avait déjà été accepté en principe. Il a aussi obtenu satisfaction en ce qui concerne l’engagement de l’OTAN dans la lutte contre le terrorisme, contre Daesh. Les commentateurs allemands ont relevé l’agressivité du président américain. Il était question d’une humiliation. Un reporteur a dit : « Il y a gagné deux à zéro ! », et ceci d’une manière cavalière. Un contraste avec la rencontre à l’ambassade américaine entre Macron et Trump. Peut-on l’expliquer ? Je pense que dans la psychologie du magnat de l’immobilier l’esprit d’initiative et le courage d’entreprendre qui a marqué l’ascension fulgurante de son interlocuteur, l’a visiblement impressionné. Je crois qu’il a été sincère. Mais ce mouvement de sympathie ne doit pas cacher les enjeux, les différents. Weiterlesen
Tratschtante
US-Präsident Donald Trump soll mit Russlands Außenminister Sergej Lawrow und dem russischen US-Botschafter Sergej Kisljak hochsensibles Geheimdienstmaterial besprochen haben. Dies berichten sowohl die New York Times als auch Washington Post mit Verweis auf eine Quelle im Weißen Haus. Trump habe seinen beiden Gästen bei ihrem Besuch am Mittwoch letzter Woche im Oval Office „mehr Informationen gegeben als wir mit unseren eigenen Verbündeten geteilt haben“ (Washington Post).
Bei den Informationen handelt es sich demnach um Material eines verbündeten Geheimdienstes, der diese Informationen zwar den USA bereitgestellt, aber nicht genehmigt hatte, dass sie geteilt werden. Selbst innerhalb der Regierung wurden diese Informationen nur beschränkt weitergegeben. Wie die Washington Post schreibt, soll Trump die als streng geheim eingestufte Information in dem Gespräch spontan offengelegt haben. Kurz danach habe man umgehend die CIA und NSA unterrichtet, da der Präsident mit seinem Gespräch die bedeutende Kooperation mit dem US-Partner gefährdet habe.
Die Informationen sollen aus dem inneren Zirkel des Terrornetzwerkes „Islamischer Staat“ (IS) stammen. Der Washington Post zufolge sprach Trump über die Versuche des IS, Anschläge mit Laptops an Bord von Flugzeugen durchzuführen. US-Regierungskreisen zufolge gibt es neue Erkenntnisse, wie Extremisten solche Geräte mit Sprengsätzen ausrüsten wollen. Auch deshalb habe man erwogen, das Verbot von Notebooks und Tablets an Bord von Passagiermaschinen auf einige europäische Länder auszuweiten. Trump hat nach Informationen der Zeitungen aber nicht nur den Modus Operandi der Terroristen verraten, sondern auch den Ort, wo der verbündete Geheimdienst die Information bekommen hat.
Nachdem die Washington Post und die New York Times ihre Berichte veröffentlicht hatten, war man im Weißen Haus um Schadensbegrenzung bemüht. Sowohl Sicherheitsberater Herbert Raymond McMaster als auch Außenminister Rex Tillerson bezeichneten die Berichte als falsch. Allerdings dementierte McMaster den Bericht nur in Teilen, und das Statement von Tillerson wurde nicht von dessen Ministerium, sondern vom Weißen Haus veröffentlicht. Darin heißt es, Trump habe mit Lawrow „eine breite Palette von Themen angesprochen, darunter gemeinsame Bemühungen und Bedrohungen im Bereich Terrorbekämpfung“. Man habe „Näheres über spezifische Bedrohungen“ diskutiert, nicht aber über „Quellen, Methoden oder militärische Operationen“.
Die veröffentlichte Geschichte sei falsch, so Sicherheitsberater McMaster. Einer der beiden Autoren des Berichts der Washington Post verteidigte die Stichhaltigkeit der Recherchen. Das Weiße Haus spiele mit Worten, sagte er dem Nachrichtensender CNN. McMaster weiche in der Sache aus. US-Regierungsvertreter hätten bereits in den vergangenen Wochen immer wieder berichtet, wie ungern sie Trump vertrauliche Kenntnisse weiterreichen. „Er hat keinen Filter: Es geht ins Ohr hinein und aus dem Mund heraus“, so ein Insider.
Der Chef der oppositionellen Demokraten im Senat, Chuck Schumer, bezeichnete den Bericht als „irritierend“, sollte er sich als wahr herausstellen. Der Präsident schulde der Geheimdienstwelt, den Amerikanern und dem Kongress eine detaillierte Erklärung. Trumps Vorgehen wurde als „gefährlich und leichtsinnig“ eingestuft. Der Bericht der Washington Post sei „zutiefst verstörend“, wird ein Mitglied des Geheimdienstausschusses des Repräsentantenhauses zitiert.
Auch innerhalb Trumps eigener Partei gab es Kritik. Das Weiße Haus müsse sich zügig unter Kontrolle bringen und für Ordnung sorgen. Das Team für nationale Sicherheit sei an sich gut aufgestellt. Chaos, das durch den Mangel an Disziplin geschaffen werde, schaffe ein besorgniserregendes Umfeld. Der republikanische Senator John McCain sagte CNN, „wenn das wahr ist, ist das natürlich beunruhigend“.
In dem Bericht schreibt die Washington Post, Trump habe im Gespräch mit Lawrow mit seinen Informationen über Sicherheitsbedrohungen prahlen wollen.
Trump ist der Präsident mit dem geringsten politischen Wissen. Er hegt eine geradezu kindliche Einstellung zu seinem Amt, klagte jüngst über die viele Arbeit und wie schwer es sei, seinen Willen als Präsident durchzusetzen. Als habe er nie etwas von den Mühlen der Politik gehört und dass Amerika keine Autokratie ist, sondern eine Demokratie, in der Gewaltenteilung herrscht.
Trump liest nicht, studiert kaum Akten. Seine Aufmerksamkeitsspanne soll sehr kurz sein. Darüber hinaus ist er impulsgesteuert, was letzten Endes zu dem Ausrutscher gegenüber dem russischen Außenminister Lawrow geführt haben dürfte.
Es gibt wieder Rufe nach Impeachment.
Sur le dos des plus pauvres!
Et il triompha ! Je veux parler de Donald Trump lorsqu’il apprit que la Chambre des Représentants lui donna une majorité d’une voix afin de d’éliminer l’Obama-Care. C’est une assurance-maladie obligatoire pour les plus nécessiteux, qu’il veut remplacer par un système qui les désavantage encore plus. Il est à craindre que beaucoup d’entre-eux ne pourront plus jouir de soutien en cas de maladie. Mais attention, rien n’est encore fait. Au Sénat où les Républicains ont une majorité plus tenue, il est loin d’être dit que cela passera. Beaucoup d’entre-eux, peu importe de quel clan, se sentent mal à l’aise de suivre le président, car ils savent que ce projet insensé touche aussi leur clientèle. Des blancs au revenus des plus modestes, qui dans leur désespoir et leur colère ont voté Trump aux dernières élections. C’est comme si des moutons remerciaient les bouchers pour ce qu’ils font pour eux, les mener à une mort certaine. Je ne peux pas comprendre de ce qui peut se passer dans la tête de ce personnage qu’est le président. Au lieu de s’occuper du bien-être du peuple, ce qui serait son devoir, il fait tout pour avantager sa caste au détriment de tous ceux, qui à ses yeux, sont des parasites. Ce comportement arrogant le rend tout à fait insupportable. Aller fêter la pauvreté à la Maison Blanche avec ceux qui l’ont soutenu à la chambre, est infâme. Il démontre ainsi, que tout ce qu’il a dit contre l’establishment financier et politique n’était que du pipeau. Une attitude qui caractérise les populistes d’extrême-droite, qui font tout d’abord semblant de se préoccuper de la situation des plus démunis et une fois au pouvoir les méprisent. Car pour un Trump la pauvreté est un péché. Ceux qui pour une raison ou une autre en sont touchés, salissent l’image « nickel » que les réactionnaires se font d’une nation. Weiterlesen
Steuerreform
Die New York Times schreibt diesen Sonntag in der Überschrift: „Trump Changed the Presidency, but It Has Also Changed Him“.
Während des Wahlkampfs warb Trump mit der Ankündigung, die Steuern zu senken und die Mittelschicht zu entlasten. Gleichzeitig sollten die amerikanischen Staatsschulden vollständig abgebaut werden (Trump will das in nur acht Jahren schaffen!). Eine clevere Umstellung der Bemessungsgrundlage (von der Quellenbesteuerung auf die sogenannte „destination-based corporate cash flow tax“ soll zudem die Möglichkeiten der Steuervermeidung drastisch einschränken. Ein ziemlich sperriger Begriff, man kann sich eine Art Mehrwertsteuer vorstellen, die auf jedes verkaufte Produkt in den USA erhoben wird. Allerdings mit einem entscheidenden Unterschied: Anders als bei einer reinen Mehrwertsteuer dürfen die Unternehmen die Löhne, die sie Mitarbeitern in den USA zahlen, steuerlich geltend machen.
Was das konkret bedeutet, wird am besten an einem Beispiel in ZEIT ONLINE im Februar deutlich: Würde VW für eine Million Euro Autos in den USA verkaufen und der Steuersatz 20 Prozent betragen, müsste der Konzern, sofern er nur in Europa produziert, 200.000 Euro Steuern zahlen. Beschäftigt er aber auch Mitarbeiter in den USA, denen er zusammen 500.000 Euro an Lohn zahlt, könnte er diese Summe von seinen Einnahmen abziehen. Es verblieben dann nur 500.000 Euro, die er versteuern müsste – und damit 100.000 Euro, die VW an den amerikanischen Fiskus zu entrichten hätte. Der politische Wille ist klar zu erkennen: Unternehmen, die für Arbeitsplätze in den USA sorgen, sollen vom Staat belohnt werden. Und nebenbei sollen Steueroasen ausgetrocknet werden.
Zudem versprachen sich einige Vertreter aus dem Trump-Lager, dass die damit einhergehende „border tax“, also die Besteuerung von Importen und die Freistellung von Exporten, das Handelsdefizit reduzieren würde – wenngleich dies aus theoretischer Sicht nicht unbedingt zu erwarten steht. Die Einführung von Sofortabschreibungen für Investitionsgüter (in Verbindung mit der Streichung der Absetzbarkeit von Fremdkapitalzinsen) sollte die steuerliche Bevorteilung von Fremdkapital beenden und die Normalverzinsung des Kapitals steuerfrei stellen.
Von den Haushaltszielen Entlastung, Schuldenabbau, Bekämpfung der Steuervermeidung, Reduktion des Handelsdefizits, Finanzierungsneutralität ist nur erstere übriggeblieben. Und diese soll für Unternehmen üppiger ausfallen als zunächst angenommen. Der Steuersatz (der Körperschaftsteuer auf Bundesebene) soll von jetzt 35% auf 15% (ursprünglich angekündigt waren 20%) sinken. Damit einhergehende Verluste beim Steueraufkommen sind dramatisch und machen einen Schuldenabbau unmöglich, da es bis dato keine Vorstellung einer plausiblen Gegenfinanzierung gibt. Die „border tax“ ist nicht mehr im Programm, die Umstellung von weltweiter auf territoriale Besteuerung wird hingegen tendenziell zu einer Ausweitung des Handelsdefizits führen. Zur Gleichbehandlung von Fremd- und Eigenkapital findet sich nichts in den Plänen.
Die Pläne lassen erkennen, welche Ziele der Präsident für vorrangig erachtet und welche nicht. Innerhalb der geplanten Entlastungen lassen sich Schwerpunkte erkennen: Unternehmen werden stärker entlastet als zunächst angekündigt. Zudem sollen eigentümergeführte Unternehmen zukünftig von dem niedrigen Körperschaftsteuersatz profitieren können, wovon vor allem reiche Steuer-Individuen (wie unter anderem Trump selbst) profitieren, ebenso wie die geplante Abschaffung der ObamaCare-Steuer. Hingegen wurde die ursprünglich angekündigte Vervierfachung des Freibetrags in der Einkommensteuer auf eine Verdoppelung reduziert – die Entlastung, von der anteilsmäßig vor allem Geringverdiener profitieren würden, fällt also geringer aus.
Auch das nach Wachstum und Entlastung weitere Ziel der Steuerreform, nämlich die Vereinfachung des Steuerrechts, wird voraussichtlich verfehlt. Aus sieben Einkommensintervallen (income brackets) sollen drei werden und einige Abzugsmöglichkeiten wegfallen; Details fehlen jedoch bislang. Zudem sollen wesentliche Abzugsmöglichkeiten (für Hypothekenzinsen, Spenden usw.) bestehen bleiben. Dass Unternehmenseigner ihr Einkommen unter der Körperschaftsteuer versteuern können, erschafft zudem eine attraktive Steuervermeidungsmöglichkeit, die umfangreiche Detailregelungen erfordern wird, soll es nicht zu einer Welle an Unternehmensneugründungen kommen, die einzig der Steuervermeidung dienen, was die geplante Reform schließlich vermeiden soll.
Es klingt zunächst alles gut, aber: Die Reform wird ein riesiges Loch in den amerikanischen Haushalt reißen – es werden vor allem diejenigen zu den Verlierern gehören, die auf einen starken Staat angewiesen sind.
First Daughter
Die „First Daughter“ – „Erste Tochter“ – der Vereinigten Staaten, ist nach Deutschland gekommen, um mit einigen der mächtigsten Frauen der Welt, darunter Kanzlerin Merkel und Königin Maxima, darüber zu sprechen, wie die Rolle der Frau in der Wirtschaft verbessert werden kann. Women20 ist Teil des Dialogprozesses der G20 – der Runde der führenden Industrie- und Schwellenländer. Das W20-Format bringt regelmäßig Vertreterinnen von Wirtschaft, Verbänden und Politik zusammen. Sie beraten darüber, wie die wirtschaftliche Lage von Frauen und ihre Stellung am Arbeitsmarkt verbessert werden kann und wie ihnen Wege ins Unternehmertum eröffnet werden können. Deutschland hat in diesem Jahr die G20-Präsidentschaft inne und richtet im Sommer den G20-Gipfel aus.
An der Veranstaltung im Rahmen der deutschen G20-Präsidentschaft nahmen unter anderem auch die kanadische Außenministerin Chrystia Freeland und Christine Lagarde, die Chefin des Internationalen Währungsfonds, teil.
Hierbei richteten sich alle Augen auf Ivanka Trump. Ein Politstar im Blitzlichtgewitter der Fotografen. Ein Staatsbesuch ihres Vaters Donald könnte kaum mehr Wirbel verursachen als der Auftritt der 35-jährigen Geschäftsfrau, die im Weißen Haus in Washington ein eigenes Büro bezogen hat.
Für viele Beobachter spielt sie die Rolle der eigentlichen First Lady, weil die aktuelle Ehefrau Melania sich mit öffentlichen Auftritten zurückhält.
Ivanka Trump ist die Tochter des US-Milliardärs und jetzigen US-Präsidenten Trump und seiner ersten Frau Ivana. Im Kreis der mächtigsten Frauen der Welt, zu denen sie zweifellos inzwischen zählt, hält sich Ivanka Trump bestens – ganz buchstäblich. Aufrechter sitzt niemand in der Runde, sie ist aufmerksam, wirkt keine Sekunde abwesend, lächelt, nickt und klatscht an exakt den richtigen Stellen und spricht überlegt. Zur Kanzlerin hielt sie engen Blickkontakt.
Die Tochter des US-Präsidenten hat sich bei Siemens in Berlin über die duale Ausbildung in Deutschland informiert, ein weltweit einzigartiges Ausbildungssystem. Sie freue sich, die im Weißen Haus begonnene Unterhaltung hierüber nun fortzusetzen, sagte die First Daughter im Gespräch mit Siemens-Chef Joe Kaeser. Trump unterhielt sich engagiert mit Studenten eines internationalen Mechatronik-Ausbildungszweigs, stellte Fragen und bewunderte Maschinen.
Zum Ende ihres 20-minütigen Rundgangs im Ausbildungszentrum probierte Frau Trump eine von Studenten entwickelte Kaffeemaschine aus.
Bundeskanzlerin Merkel hob bei der Veranstaltung Ivanka Trumps Engagement für Frauen im Rahmen politischer Prozesse der 19 Staats- und Regierungschefs von Industrie- und Schwellenländern sowie der Europäischen Union als Institution hervor. Sie dankte Frau Trump für die Initiative, in die G20 einen Fonds zur Förderung des Unternehmertums von Frauen in Entwicklungsländern einzubringen.
Die Kanzlerin, so wird spekuliert, wolle über die Tochter Themen befördern, für die sich der Vater womöglich weniger interessiert. Dazu werden die Umwelt- und die Frauenpolitik gezählt.
Die First Daughter bedankte sich in einer Reihe von Tweets für ihre Erlebnisse in Berlin und zeigte sich beeindruckt vom Besuch des Holocaust-Mahnmals. Sie sei von der Geschichte des Mahnmals, das an die sechs Millionen jüdischen Opfer der NS-Zeit erinnert, „tief bewegt“, so ihre Botschaft in dem sozialen Netzwerk. Ivanka Trump bedankte sie sich Merkel für den „unglaublichen Panel“ von versierten Frauen bei dem internationalen Gipfel.
Wofür Ivanka Trump politisch steht, war und ist bis dato wenig bekannt, zumal sie vor dem Wahlkampf ihres Vaters kaum als Akteurin in Erscheinung getreten war. Nun aber kommt ihr offenbar eine wichtige Rolle als Vermittlerin im Weißen Haus zu.
Das ist auch Angela Merkel aufgefallen – spätestens als sie bei ihrem jüngsten Besuch in Washington neben der 35-Jährigen zum Essen platziert wurde. In Regierungskreisen heißt es jetzt: „Will man etwas bei dem Vater erreichen, sollte man den Weg über die Tochter wählen“.
Das Eis zwischen den First Ladies – Kanzlerin Merkel und Frau Trump – scheint nach anfänglichen Irritationen getaut zu sein.
Womöglich lassen sich über „Frauenpower“ die etwas angefröstelten deutsch-amerikanischen Beziehungen doch noch retten.