Même si 78 % des Français trouvent justifiés de bloquer les routes le 18 novembre à cause de l’augmentation des taxes concernant le diesel, je trouve cette mesure justifiée. Il s’est avéré ces derniers temps que ce fuel était néfaste pour la santé, qu’il pouvait être la cause du cancer des poumons. Pour moi c’est une raison évidente de prendre une telle mesure, afin de limiter les dégâts. L’homme devrait toujours avoir la priorité, non pas les intérêts pécuniaires. Il faudra donc inciter l’industrie à développer le plus rapidement possible des moteurs « propres ». De rendre ces véhicules compétitifs par rapport aux services qu’ils doivent rendre. Pour les moteurs électriques une plus grande efficacité en ce qui concerne le nombre de kilomètres pouvant être parcourus ou de limiter encore plus le temps de recharge. Dans mon quartier en Allemagne, j’ai à deux pas de chez moi des colonnes, où les automobilistes peuvent charger les batteries. Mais de telles installations sont encore des exceptions. En rase campagne il n’en existe pour ainsi dire pas. J’approuve Emmanuel Macron lorsqu’il dit, que les gens veulent d’une part ne pas avoir un air vicié, de l’autre pouvoir acheter leur carburant à des prix avantageux. Cela ne va pas ! Ce n’est qu’en se serrant la ceinture que l’équation pourra être résolue, c’est à dire en circulant moins. Je sais, c’est une couleuvre difficile à avaler. Weiterlesen

Am 4. November 2018 findet das Unabhängigkeitsreferendum in Neukaledonien statt, in dem über die Unabhängigkeit Neukaledoniens von Frankreich abgestimmt wird. Die Wähler entscheiden darüber, ob Neukaledonien ein unabhängiger Staat werden oder der bestehende Status als französisches Überseegebiet beibehalten werden soll.

Nicht ganz 175.000 Wahlberechtigte können darüber abstimmen, ob sie eine „vollständige Souveränität und Unabhängigkeit“ des Gebietes befürworten. Umfragen lassen eine Mehrheit von 60 bis 69 Prozent der Wählerinnen und Wähler für die Beibehaltung des Status quo erwarten.

Gegner der Unabhängigkeit verweisen auf die finanzielle Unterstützung durch Frankreich – 1,3 Milliarden Euro im Jahr. Sie befürchten wirtschaftliche Nachteile, sollten die Verbindungen nach Frankreich gekappt werden. Befürworter der Unabhängigkeit gibt es vor allem unter den einheimischen Kanak, die etwa 40 Prozent der Bevölkerung stellen. Etwa 27 Prozent der Einwohnerinnen und Einwohner sind europäischer Herkunft. Die übrige Bevölkerung stammt aus asiatischen Ländern oder von anderen pazifischen Inseln.

Die Inselgruppe ist in den Bereichen Verteidigung, Strafverfolgung, Außenpolitik, Justiz und Bildung vollständig auf Frankreich angewiesen, genießt jedoch auch weitreichende Autonomie. Neukaledonien wird in der französischen Nationalversammlung durch zwei Abgeordnete vertreten und gilt als assoziiertes Gebiet der Europäischen Union. Die Einwohner dürfen damit auch bei Europawahlen ihre Stimme abgeben. Die Währung ist nicht der Euro, sondern der Pazifik-Franc.

Neu ist der Ruf der Kanaken nach Unabhängigkeit nicht, er ist heute nur weniger blutig als früher. Zwischen 1878 und 1917 wurden Hunderte von Indigenen in Aufständen getötet. Die ethnischen Spannungen endeten 1988 zum letzten Mal in einem großen Blutbad. Bei einer Geiselnahme wurden 19 Indigene und sechs französische Sicherheitskräfte getötet.

Eine 1988 abgeschlossene Vereinbarung, das „Matignon-Abkommen“, sah ein Ende der direkten Herrschaft durch Paris und eine Abstimmung über die Unabhängigkeit im Jahr 1998 vor. Die wurde später auf 2018 verschoben (euronews.com).

Seit tausenden von Jahren besiedeln die Kanaken Inseln im Südwestpazifik. 1853 begann die Kolonialisierung, auf Anweisung von Napoleon. Später machte Paris aus Neukaledonien eine Sträflingskolonie. Seither sind die Neukaledonier abhängig von Frankreich wie ein Baby von der Mutterbrust: Teile der Wirtschaft sowie die öffentliche Verwaltung leben bis heute von Subventionen aus Paris. Allerdings tragen Tourismus und Bergbau verstärkt zum Einkommen bei. So liegen in den Gewässern von Neukaledonien einige der am besten erhaltenen Korallenriffe der Welt.

Im dortigen Boden lagern bis zu 25 Prozent der globalen Nickelvorkommen. Der Abbau des Rohstoffs ist mehrheitlich in französischer Hand. Die Pariser Firma Eramet hält einen Anteil von 60 Prozent an der lokalen SLN (Société Le Nickel) (handelsblatt.com).

Das Gebiet hat geostrategisch Bedeutung: Kritikerinnen einer Unabhängigkeit warnen davor, dass China seinen Einfluss in der Region vergrößern könnte, wenn sich Frankreich zurückzieht.

Die Inseln profitieren von EU-Mitteln, die sie über Frankreich beziehen. Im Falle einer Unabhängigkeit müsste nachverhandelt werden. Neukaledonien ist mit einigen anderen Überseegebieten assoziiert mit der EU und eine Art Außenposten der Union, allerdings weder EU-Territorium noch Teil des Binnenmarktes.

Sollten die Neukaledonier an diesem Sonntag „Nein“ zur Unabhängigkeit sagen, werden sie im Jahr 2020 nochmals abstimmen können und im Jahr 2022 noch einmal. So sieht es der vor 30 Jahren mit Paris unterzeichnete „Nouméa-Vertrag“ vor. Charles Wea, der Sprecher der Front de Libération Nationale Kanake et Socialiste, jedenfalls will am Ende eine neue Gesellschaft aufbauen, ein neues Land und damit eine neue Beziehung zu Frankreich: „Den französischen Kolonialismus können wir nicht mehr akzeptieren“ (derstandard.at).

Wirre Gedanken umkreisen deinen Schlaf,

denke nicht und fühle!

Ist es die Sehnsucht nach etwas, das du gar nicht brauchst?

Schlafende soll man nicht stören.

Und doch wachst du manchmal so gerne auf.

Da sind sie wieder, totbringende Zweifel.

Durch deine Erfahrungen rein katapultiert.

Angst hast du keine,

bist unabhängig, stark und alleine.

Tonangebend ist die erste Geige,

dem Nebenbuhler rückst du zu Leibe.

Ach herrje, welch´ üblen Streiche spielt dir deine Phantasie.

Bist nie und niemals einzigartig,

und doch bist du ein wundervolles

Unikat.

 

© Petra M. Jansen

http://jansen-marketing.de

 

Remplacer les bistros par des Mc Do est une idée qui ne me sied pas. Il ne s’agit pas seulement d’aller prendre un verre, mais de communiquer avec les amis du coin, de débattre avec eux de tout ce qui concerne le quartier ou le village, de parler évidement de politique, de râler sur tout et rien. Certains tape le carton, d’autres étalent leur chagrin ou leur joie. Comme habitué on participe au destin de chacun, on prend part à des pans de la vie des autres, qu’on le veuille ou pas. Le bistro est un lieu de communication plus que nécessaire en ces temps, où l’autisme gagne de plus en plus de monde. Il est une réponse contre les contacts virtuels qui menacent de nous submerger de plus en plus. Chaque établissement qui meurt, est un peu de moins de France, qu’on se le dise. Le fast food par sa nature ne pourra jamais le remplacer, car il est de par sa conception anonyme. Ce n’est pas un lieu, où on s’attarde. Peut-être le zinc non plus, mais il a tout simplement un autre but, celui de rassembler les habitants, de leur donner une sorte d’agora. Il serait à mon avis une réponse à une société de plus en plus schématisée. Lorsque je suis dans mon appartement en France, je prends tous les matin mon café au café du village. J’y rencontre des connaissances avec lesquels je parle de tout et rien, sans but précis. Mais je m’y sens bien, car j’ai l’impression de faire partie d’une entité, même si je n’habite pas de manière continue au village. J’ai l’impression d’avoir été adopté. Je considérerais la mort de cet établissement comme l’anéantissement d’un droit fondamental, celui d’être membre d’une communauté. De même à Munich, où nous nous rendons ma femme et moi plusieurs fois par semaine dans une taverne. Occasion de rompre notre solitude, celle des personnes âgées. Il ne faut pas grand-chose pour recevoir un peu de chaleur. Un contact avec la sommelière ou le garçon. Souvent un petit brin de conservation suffit pour qu’on se sente mieux. Weiterlesen

Le plus vieux job du monde, que l’on veuille ou non, est la prostitution. Paris accueille son premier festival ayant comme sujet le travail du sexe. Tous ceux qui critiquent notamment les femmes qui vendent leur corps à des clients en manque, devraient se dire qu’il faut être à deux pour que cela fonctionne. Les hommes sont aussi concernés car sans eux le business ne pourrait pas fonctionner. De même sur les trottoirs, réservés à l’homosexualité. Quel est mon sentiment à ce sujet ? Tout d’abord il m’en va de l’honneur des femmes, tant qu’elles ne sont pas forcées par des proxénètes à se prêter à de telles pratiques, je leur accorde le droit de se prostituer. Il y a certes l’attrait de gagner de l’argent relativement facile, mais parfois aussi le besoin d’assouvir des désirs corporels, que le couple ne peut pas donner. Il faut faire une différence entre la sexualité et les sentiments amoureux. Je conçois que cela est difficile. La fidélité, comme l’entend la civilisation judéo-chrétienne, ignore souvent le corps, qu’elle considère comme un élément essentiel du péché, une entrave à l’élévation divine. Des religions souvent asexuées ne tenant pas compte des instincts dont sont pourvus les hommes. Vouloir les obliger à la virginité ou à considérer toutes approches intimes comme étant réservées uniquement à la procréation, c’est méconnaître des besoins essentiels, qui pour la plus par d’entre-nous font partie de notre instinct. Je veux parler de l’attirance sexuelle, sans laquelle l’amour serait plus ou moins tronqué. Weiterlesen

Et voilà Donald Trump qui veut suivre l’exemple de l’armée israélienne en ce qui concerne la bande de Gaza. Il a donné le feu vert à l’armée de tirer sur les migrants venant d’Amérique centrale, si ces derniers jetaient des pierres sur les soldats. Un acte militaire de grande envergure. Il y aurait des morts bien entendu, mais n’est-ce pas un acte d’autodéfense ? Plus de 10.000 migrants pourraient envahir les USA et les déstabiliser, avant tout des femmes et des enfants ! Ils pourraient prendre d’assaut la Maison Blanche ! Une nation armée jusqu’aux dents pourraient s’effondrer. Ce n’est pas un canular, c’est la rhétorique insensée d’un Président au cours de la campagne électorale qu’il mène contre les démocrates, accusés de traîtres, parce que ces derniers ne le considèrent pas comme le défenseur des valeurs américaines ! Il les traite de laxistes qui soutiennent des hordes de criminels. Trump est un maître incontesté de la démesure. Ne remarque-t-il pas qu’il sombre dans le ridicule ? De tels propos sont de mises aujourd’hui et auraient pu être prononcés par un Matteo Salvini. Peut-être que lui aussi en prendra de la graine et donnera l’ordre aux forces de police, dépendantes de son ministère, de tirer sur les migrants venant d’Afrique avant qu’ils abordent la côte italienne ? Et le pire dans tout cela, c’est qu’un grand nombre d’individus, se prenant pour des patriotes, se déclarent en faveur de telles mesures. Faire le carton sur des gens non-armés est un acte courageux, comme celui de tuer des Juifs dans un camp de concentration. Des héros qui servent les intérêts de la nation en éliminant la vermine. Une solution finale qui satisferait bien des petits-bourgeois ! Il est déconcertant que le peuple américain et italien en soient arrivés-là. Cela avait été aussi une solution qui avait été envisagée à l’époque par l’AfD, par Frauke Petry, qui était à l’époque sa présidente, avant de quitter le parti. Toujours le même schéma, celui de déclarer ennemi public, des gens qui ne sont pas en moyens de se défendre. Weiterlesen

Man liest öfter, dass es mit Angela Merkels Kanzlerschaft langsam dem Ende zugeht. Sie hat in Gestalt von Volker Kauder einen wichtigen Partner verloren, wirkt kraftlos. Ende einer Ära?

Denken wir mal an Helmut Kohl: Er war Merkels Lehrmeister!

Die Bundeskanzlerin hat ihr eigenes politisches Ende auf dieselbe unnachahmliche Art eingeleitet, wie sie jeden Paradigmenwechsel herbeigewartet hat. So hat Angela Merkel schon immer Politik gemacht: Entscheidungen werden aus der Macht der Not heraus geboren und auf dem Sprung nach vorn gleich noch ein paar eigene Grundsätze, die nicht mehr zu den Gegebenheiten passen, über den Haufen geworfen. So war es mit der Kopfpauschale, dem Atomausstieg, der Wehrpflicht und der Ehe für alle.

Jetzt konnte und wollte Merkel nach der verlorenen Landtagswahl in Hessen ihren Rückzug von der CDU-Spitze nicht länger aufschieben. Denn eigentlich hatte sie lange gesagt, sie wolle im Dezember auf dem Parteitag noch mal antreten und zwei weitere Jahre CDU-Chefin bleiben. Und dass Kanzleramt und Parteichef für sie zusammengehören, galt als Dogma. Jetzt hat Merkel die Souveränin gegeben, wahrscheinlich ein letztes Mal. Wäre sie viel länger geblieben, wäre mit jedem Tag die Gestaltungsmacht am eigenen Abgang geschwunden. Selbst wenn sie nur bis zur Klausur des Parteivorstands am Wochenende gewartet hätte – sie hätte ihre Autonomie verloren. Ganz unsentimental hat sie jetzt eine dialektische Entscheidung getroffen, die Macht an der Parteispitze abgeben, um Macht im Kanzleramt zu behalten (zeit.de).

Als „einmalig würdevollen Vorgang“ (nzz.ch) haben die Kommentatoren vorgestern die Ankündigung von Angela Merkel bezeichnet, im Dezember vom CDU-Parteivorsitz und spätestens 2021 als Bundeskanzlerin zurückzutreten. Als langgezogenen und schmerzhaften Niedergang könnte man den Prozess aber auch charakterisieren. Jahrelang war ihr das Etikett der mächtigsten Frau der Welt angeheftet worden. Ende 2016 hatte der amerikanische Präsident Barack Obama in Europa auf seiner Abschiedstournee noch versucht, sie als die letzte verbliebene Hüterin der freien westlichen Welt in die Pflicht zu nehmen. Doch tatsächlich befinden sich Merkels Macht und Autorität im Niedergang, seit sie sich im November 2016 nach langem Ringen entschlossen hatte, für eine weitere Kanzlerschaft zu kandidieren. Dass sie jetzt feste Daten für ihren definitiven Rückzug von der politischen Bühne veröffentlicht hat, ist deshalb nur folgerichtig.

Der Verzicht auf das Parteiamt ist ein Blitzableiter. An der neuen Person an der Parteispitze und an den Kämpfen um die nächste Kanzlerkandidatur sollen sich in den kommenden Jahren die Medien und die politische Konkurrenz innerhalb und außerhalb der Partei abarbeiten, während die „Grand Old Lady“ im Kanzleramt drei Jahre lang weiter die Fäden zieht.

Kritisch betrachtet: Ist es denn jetzt der richtige Moment? Wohl ja!

Bei Angela Merkel ist es aber kein richtiger Rücktritt, sondern nur ein Rückzug. Sie hat mehr oder minder erklärt, dass sie im Dezember beim Parteitag nicht wieder antreten wird – übrigens etwas, was man aus der SPD schon gut kennt.

Ein guter Rücktritt ist selbstbestimmt, viele Rücktritte sind es nicht. Was, besser „wer“, kommt danach?

Friedrich Merz könnte durch seine konservative „Strahlkraft“ (faz,net) jene CDU-Anhänger, die durch Merkels umarmenden Kurs links der Mitte enttäuscht zur AfD abwanderten, wieder zur Union zurückholen. Das gilt auch für enttäuschte Wirtschaftsliberale, die Lindners „Aufbruch“ in die FDP zog, für die eine Merz-CDU jetzt aber wieder das deutlich attraktivere Angebot sein könnte. Für die parteiinternen Konkurrenten um den Parteivorsitz wie Annegret Kramp-Karrenbauer und Jens Spahn ist Merz‘ Kandidatur schon deshalb ein empfindlicher Schlag. Trotzdem scheint offen, wer der drei Kandidaten sich auf dem Parteitag Anfang Dezember in Hamburg durchsetzen wird.

Für den Fall, dass die Bundeskanzlerin zurücktritt, schlägt der Bundespräsident dem Bundestag einen Nachfolger zur Wahl vor, der die absolute Mehrheit der Mitglieder des Bundestags auf sich vereinigen muss. Artikel 63 Grundgesetz regelt das Verfahren:

Je ne pouvais pas en croire de mes yeux, 41 % des Français sont prêts à accepter un régime autoritaire afin de régler avec une main de fer les problèmes du pays. Ont-ils la nostalgie du Maréchal ou appelleraient-ils de leurs vœux l’avènement au pouvoir d’un Jair Bolsonaro français ? Ont-ils encore toute leur raison ? Où est resté l’âme de la Révolution qui a eu pour but de faire des citoyens des hommes libres ? Il faut dire que dans ce panel se retrouvent les électeurs du Mouvement National ainsi que ceux du Parti Républicain, mais il ne fait aucun doute que nous nous trouvons à l’heure actuelle en pleine dérive. La démocratie ne semble plus faire que des adeptes, loin de là. Mais ce qui est inquiétant, c’est le fait que ces gens-là sont aussi prêts à sacrifier une partie de leurs libertés, celle de l’autodétermination. Serions-nous prêts, ce qui correspond bien au mois de novembre, d’enterrer nos valeurs fondamentales ? Le virus populiste dont sont atteints pour l’instant une partie des Européens semble se propager aussi dans l’hexagone, un phénomène pas nouveau depuis que la famille Le Pen y sévit. Mais je pensais qu’il serait possible de maintenir ce fléau au loin depuis l’avènement à la présidence de la République d’Emmanuel Macron. Cela ne semble pas être le cas ! Nombre de personnes prétendent que les nouvelles lois et les conséquences qu’elles amènent, sont insupportables. Qu’en serait-il si un potentat décidait de tout et de rien ? Cela serait pire, car il restreindrait drastiquement les droits fondamentaux. Il agirait sans aucun contrôle, ce qui risquerait vite de passer à la démagogie ! Mais allez faire comprendre cela aux tenants de la manière forte. Il vous enverrons au diable en prétendant que la démocratie est régie par un ramassis de dirigeants corrompus, qui font du clientélisme afin de se maintenir au pouvoir. Et le pire dans tout cela, c’est que c’est une opinion partagée par un grand nombre de citoyens qui voient le mal partout, malgré tout ce qui se fait. Weiterlesen