Lors d’une interview qu’a donné Emmanuel Macron à TF1 hier du porte-avion De Gaulle, il a déploré que le peuple français avait des rapports tendus avec le pouvoir. C’est un phénomène qui n’est pas de hier. Les dirigeants d’un pays sont obligés d’anticiper, sinon ils ne rempliraient pas leur rôle. Dans le cas qui nous préoccupe, il s’agit de la taxe carbone, qui doit être prélevée sur le diesel. Comme je l’ai déjà évoqué une mesure nécessaire pour préserver l’atmosphère. Je suis tout à fait contre les blocages du 17 novembre, même si je peux comprendre le désarroi de beaucoup d’automobilistes, mais je suis obligé de déclarer haut et fort que l’écologie doit avoir la priorité. Je l’ai déjà écrit ces derniers jours. Dans ce cas-là le président prend une décision juste, même si elle est tout à fait impopulaire. Il ne pouvait pas faire autrement, sinon il n’aurait pas été responsable. Mettre ainsi un dirigeant au pilori, est une épreuve qu’il doit assumer, il le fait. Il ne s’agit pas dans ce cas-là d’amadouer le public, mais bel et bien d’assurer l’avenir de l’humanité. Les habitants du département de l’Aude savent bien ce qu’il en est, que les causes du réchauffement de la planète sont terribles, qu’elles entraînent la mort de bien des gens, ce qui est bien pire qu’une augmentation du carburant. Pour tous ceux qui doivent effectuer des navettes entre leur domicile et leur lieu de travail, il y aura des compensations, ce qui est à mon avis une mesure allant dans le bon sens. Mais je me permets de me poser une question fondamentale. Je suis étonné que personne ne manifeste contre les péages autoroutiers qui sont à mon avis exorbitants. Ne vaudrait-il pas mieux plaider pour une vignette comme cela se fait dans d’autre pays européens. Dans bien des cas les investissements ont été couverts. Dans un tel cas il faudrait tout au moins baisser les prix. Non, je ne peux pas accepter de tels abus. Revenons à la colère des Français contre l’Élysée. Elle est à mon avis complètement incompréhensible. Si je ne me trompe pas ils ont voté pour le changement, pour des réformes qui étaient depuis la nuit des temps indispensables. Weiterlesen

Angela Merkel a parlé hier devant les députés à Strasbourg et a dit qu’elle était partisane d’une armée européenne. Elle a ainsi rejoint Emmanuel Macron dans ce domaine, mais sans donner aucun détail, comme c’est son habitude. Elle a seulement dit, qu’il n’était pas question de faire concurrence à l’Otan. Je me demande bien comme cela peut fonctionner ! C’étaient plutôt des paroles pour amadouer le président français qui déplore avec raison le manque d’ardeur de la Chancelière quant à l’avenir de l’UE. Elle ne partage pas son avis sur la fiscalisation des géants du numérique. Il est pourtant prouvé, que ces grandes compagnies américaines nous mènent par le nez. Elle craint que des représailles allant dans ce sens, puisse déclencher de plus hautes taxes à l’importation des voitures allemandes aux USA. Une fois de plus c’est Donald Trump qui donne le ton, ce qui me dérange au plus haut point. Dans l’état, où nous sommes il faudrait foncer en avant, prendre des initiatives courageuses, mais nous assistons au contraire à une valse-hésitation, qui finalement n’est qu’un frein à toute envolée. J’aurais souhaité que Madame Merkel ait le même élan, que lorsqu’elle décida que l’Allemagne quitte le nucléaire ou lorsqu’elle fit passer l’éthique avant le pragmatisme en ce qui concerne le flux migratoire. Comme c’est son dernier mandat, elle n’a finalement plus rien à perdre. Il en va de son héritage, de sa position dans l’histoire. Mais sa nature s’oppose à toutes mesures pouvant faire ombrage. Ce qu’elle a vécu avec l’accueil des migrants, elle ne veut plus le supporter. Weiterlesen

Am 19. Februar 1919 spricht erstmals eine Frau als Abgeordnete vor einem demokratisch gewählten deutschen Parlament. Zusammen mit 36 anderen Geschlechtsgenossinnen war Juchacz zuvor in das Parlament – damals noch die Weimarer Nationalversammlung – gewählt worden.

Das aktive und passive Wahlrecht für Frauen war in Deutschland am 12. November 1918 vom Rat der Volksbeauftragten, der eine Übergangsregierung darstellte, in einem Aufruf mit Gesetzescharakter verkündet worden. Tatsächlich wählen konnten die Frauen erst bei der Wahl zur Weimarer Nationalversammlung im Januar 1919, sofern sie 30 Jahre alt waren und Grundbesitz hatten.

Diese Einschränkung zeigt bereits, dass es sich dabei nicht um das große einschneidende Ereignis handelte, als das es uns verkauft werden soll.

Bis 1918 galt in großen Teilen Deutschlands das preußische Wahlrecht, das nicht vom Geschlecht abhängig war, sondern an Kriterien wie Standeszugehörigkeit, Besitz und Steuerleistung ausgerichtet war. Es konnten auch nur wenige Männer wählen. Für Bayern zum Beispiel gilt, dass noch im 19. Jahrhundert nur 1,2 % der Bevölkerung das aktive Wahlrecht hatten.

Es war vielleicht doch ein Ansatz, eine kleine Revolution, deren Anführerinnen vergessen sind. Wer kennt noch die Namen der Frauen, die im Deutschen Kaiserreich dafür kämpften, dass die eine Hälfte der Bevölkerung mit der anderen Hälfte staatsbürgerlich gleichgestellt wurde? Louise Dittmar, die bereits 1848 das Frauenwahlrecht forderte, Hedwig Dohm, deren scharfzüngige Texte anprangerten, dass Gesetze von Männern für Männer gemacht waren, oder Anita Augspurg, deren „Weckruf“ von 1912 mit der Zeile endete „wir sind nicht von minderer Art“. Eine Selbstverständlichkeit aus heutiger Sicht, damals jedoch eine Kühnheit. Ist das Gefühl für das Sensationelle an der politischen Gleichstellung von Mann und Frau vor 100 Jahren abhanden gekommen, weil kaum noch vorstellbar ist, dass es jemals anders war?!

Die Frauenbewegung erscheint auch deshalb als Marginalie, weil das kollektive Gedächtnis stets im Bezug zu den gegenwärtigen Verhältnissen steht – und der Diskurs wie auch die Politik noch immer in skandalösem Ausmaß von Männern dominiert wird. „Wer das Sagen hat, bestimmt, was in den Kanon aufgenommen wird“ (sueddeutsche.de).

Und: Die Ausrufung des Frauenwahlrechts am 12. November 1918 war von epochaler Bedeutung. Dass auch Frauen wählen und gewählt werden konnten, gab der modernen Demokratie ihr Normalmaß: Darunter geht es seither nicht mehr. Staaten, die Frauen generell von der Macht ausschließen, gelten heute nicht als Demokratien. Die längste Zeit war das anders. Das seit der Antike tradierte Schweigegebot für Frauen in der Öffentlichkeit wurde – zumindest formal – aufgehoben.

„Die Frauen besitzen heute das ihnen zustehende Recht der Staatsbürgerinnen!“ (Marie Juchacz am 19. Februar 1919 in der Weimarer Nationalversammlung). Dafür hatten sie jahrzehntelang gekämpft. Am 12. November 1918 verkündete der Rat der Volksbeauftragten – die Revolutionsregierung von SPD und USPD – was fortan für das neue Deutschland zu gelten habe. Dazu gehörte: das allgemeine und gleiche Wahlrecht für Männer und Frauen.

Schon im Zuge der bürgerlichen Revolution 1848 hatten Frauen in Deutschland begonnen, ihre staatsbürgerliche Gleichberechtigung einzufordern. Politische Frauenvereine und Frauenzeitschriften wurden gegründet. „Wo sie das Volk meinen, zählen Frauen nicht mit“, klagte Frauenrechtlerin Louise Otto-Peters (1819-1895), Gründerin der einflussreichen Frauen-Zeitung.

Doch die Frauen fanden kein Gehör. Im Gegenteil: Nach der Revolution wurden Gesetze verhängt, die die politische Beteiligung von Frauen sogar noch erschwerten. Sie durften sich weder publizistisch noch in irgendeiner Form politisch betätigen.

Insoweit waren die Ereignisse zum Jahreswechsel 1918/1919 ein wichtiger Meilenstein. Wäre heute ein Bundestag vorstellbar, in dem 70 Prozent Frauen und 30 Prozent Männer sitzen? Wer jetzt zurückzuckt, kann sich vielleicht eine Vorstellung davon machen, wie revolutionär es war – damals vor 100 Jahren – als Frauen das Wahlrecht erhielten. Und dass der damit eingeschlagene Weg noch lange nicht zu Ende ist (tagesspiegel.de).

44 morts et plus de 200 personnes portées disparues en Californie. De nombreuses maisons calcinées que soit à Paradise ou à Malibu. De nombreux stars se retrouvent sans un toit sur leur tête, ce qui donne un poids médiatique au pire incendie qui dévaste cet État d’Amérique. Depuis 6 ans, que de la sécheresse. Du jamais-vu. Il n’est pas étonnant que les arbres s’enflamment comme des allumettes. Pendant ce temps nous avons affaire à un président qui croit dur comme fer que le réchauffement climatique n’est pas dû à la pollution que l’homme produit jour après jour. C’est la raison pour laquelle Washington a quitté le traité de Paris, qui appelait l’humanité à tout faire pour réduire le CO2. La folie d’un personnage qui ne voit que le quotidien, qui n’a pas les capacités de penser un peu en avant. Et voilà que les évènements le rattrape. Si seulement cela pouvait servir à quelque chose, mais ce n’est pas le cas. La seule chose qu’il a remarqué, c’est que le climat se réchauffait. Un enfant aurait pu aussi le faire, lorsqu’on considère ce qui se passe en ce mois de novembre. À Munich, de la sécheresse, des températures dépassant parfois les 20 degrés. Le signe évident qu’il y a un dérèglement général. Où l’exemple de l’Italie, où un déluge a eu lieu, ravageant des régions entières. Nous sommes probablement arrivés à un point de non-retour. Les deux degrés de réchauffement prévus jusqu’à la fin du siècle seront probablement dépassés ce qui n’augure rien de bon. Le niveau de la mer sera bien supérieur qu’à l’heure actuelle, submergeant des zones côtières un peu partout. Il y aura encore plus de sécheresse en Afrique amenant de plus en plus d’hommes et de femmes à quitter le continent pour trouver refuge en Europe ou ailleurs. Comme on le voit le problème de la migration est étroitement lié aux gaz nocifs que nous émettons. Weiterlesen

Pendant qu’à Paris le président Macron met le monde en garde contre le néofascisme, à Varsovie défilent, à l’occasion du centième anniversaire de l’indépendance de la Pologne, les partisans du gouvernement avec les hyper-nationalistes, avec les antisémites, les racistes, les xénophobes. Rien n’a voir avec le forum de la paix ! Ce qui se passe dans les rues de la capitale polonaise à de quoi inquiéter. C’est la démonstration de ce qu’il faudrait éviter à tout pris. Des paroles discriminatoires ont été prononcées. La police n’est pas intervenue. Ils devaient avoir reçu l’ordre de ne pas « perturber » ce grand élan démocratique. Pourtant la maire avait interdit que cette horde proche de l’idéologie nazie défile. C’est le gouvernement qui a pris la décision de passer outre et d’inviter ces fanatiques à se joindre à eux. Une situation qui n’est pas conforme avec les statuts de l’UE. C’est justement la démonstration pratique de ce que Merkel et Macron veulent éviter. Cela démontre aussi de l’impuissance. Que faire pour enrayer un tel phénomène ? Comment convaincre des aveugles ? Ces derniers n’ont vraiment pas compris que la Pologne, si elle était livrée à elle-même, ne pèserait pas lourd dans ce monde en pleine effervescence, qu’elle a besoin de ses alliés européens pour survivre. Weiterlesen

Lieber Pierre,

wir dürfen niemals schweigen, wenn Menschen Unrecht geschieht und sie in ihrer Freiheit oder Menschenwürde angegriffen werden, niemals. Dieses Gedenken an die Pogromnacht ist Mahnmal, Vergangenheit, Gegenwart und Zukunft zugleich und erinnert daran, wie brutale Gräueltaten als Resultat von Hass und einer selbsternannten Herrenrasse ausgeübt wurden. Und wenn wir nicht aufpassen oder einfach schweigen, sind wir bald wieder mittendrin in einer europaweit schwappenden Hass-Bewegung, in der erneut Intoleranz und Menschenunwürdigkeit Stimme bekommen. So lange wir Rechtspopulisten als selbstverständlich hinnehmen und sie nicht mit sofortigen Maßnahmen bekämpfen, rollen wir erneut die verdorbene Geschichte auf und haben nichts davon gelernt. Hass, Frustration, krankhaftes Ego, ungebildete und perspektivenlose Menschen streuen vergiftetes „Material“ auch in unsere gegenwärtige Gesellschaft, daran besteht kein Zweifel, wenn wir um uns schauen. Stopp! Mit sofortiger Wirkung müssen rechtspopulistische Parteien und Strömungen im Keim erstickt werden und ich weiß nicht, mit welcher Rechtfertigung sich heute aktive Politiker hinstellen und menschenunwürdige Thesen von sich geben, die offenbar geduldet werden (fatal!). Darf das wahr sein, dass unsere demokratische, freiheitliche Gesellschaftsordnung derart bloßgestellt und angegriffen werden kann und niemand einen Riegel vorschiebt? Die Achtung und Würde eines jeden einzelnen Menschen ist verdammt nochmal zu respektieren und die Zivilgesellschaft ist aufgefordert, den Mund aufzumachen und für ein weltoffenes Land  zu werben – das wird allerhöchste Zeit. Toleranz hat Grenzen, ja… und sollte jemand sich wider unsere Gesetze verhalten, ist eine Strafe absolut angemessen. Nicht jedoch eine Vor-Verurteilung, eine Diskriminierung, eine Pauschalierung von Gruppen und die bewusste Abwertung von Menschen.

Die Erinnerungen an solche grausigen Ereignisse der Vergangenheit dürfen nicht verstummen und sind Zeichen einer Wertschätzung des Menschen. Nationalsozialismus, Nazidiktatur, Fremdenhass duldet keinerlei Toleranz, niemals! Da bin ich tatsächlich sehr intolerant und das sehr, sehr gerne.

 

Eine herzliche Umarmung nach Frankreich,

Petra

 

© Petra M. Jansen

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Vor hundert Jahren war es soweit: Mit der Ausrufung der ersten deutschen Republik endet am 9. November 1918 das deutsche Kaiserreich. Zwar dankt der ins Exil geflohene Kaiser Wilhelm II. erst 19 Tage später ab, doch eine Rückkehr zum „Alten und Morschen“, wie der SPD-Politiker Philipp Scheidemann die Monarchie bezeichnet, ist undenkbar.

Die Novemberrevolution besiegelt nicht nur das Ende der Monarchie, sondern zieht auch den Waffenstillstand mit den Siegermächten, mehrere Revolten und von Arbeiter- und Soldatenräten regierte Klein-Republiken nach sich, bevor im Sommer 1919 die neue Weimarer Reichsverfassung in Kraft tritt.

Gleich zweimal wird die Republik ausgerufen: In Berlin ist die Stimmung angespannt, Massenproteste der USPD werden erwartet. Reichskanzler von Baden gibt ohne das Wissen Wilhelms II. dessen Thronverzicht bekannt, der Kaiser ist an der Westfront und flieht in die Niederlande. Am Mittag des 9. November übergibt der Kanzler sein Amt an SPD-Chef Friedrich Ebert. Kurz darauf ruft am Reichstag Philipp Scheidemann ohne Absprache mit seinem Parteifreund Ebert die deutsche Republik aus. Nur wenig später proklamiert der USPD-Politiker Karl Liebknecht am Berliner Stadtschloss die sozialistische Republik. In der Hauptstadt regieren daraufhin Arbeiter- und Soldatenräte acht Wochen lang parallel zur Reichsregierung Ebert. Kaiser Wilhelm II. dankt erst am 28. November 1918 offiziell ab (zeit.de).

Wann genau die Revolution begann, ist auch im Rückblick kaum auszumachen. Ende Oktober 1918 wollte die kaiserliche Marineleitung die Hochseeflotte zu einem letzten Gefecht, zum „Heroischen Untergang“ auslaufen lassen (dw.com). Doch der Krieg war da bereits verloren; Ende September hatte die Oberste Heeresleitung – die Generäle Ludendorff und Hindenburg – nach Berlin gemeldet, dass Deutschland nicht mehr siegen könne und bei den Westalliierten um einen Waffenstillstand bitten müsse.

Die Matrosen in Kiel und Wilhelmshaven verweigerten die Befehle zum Auslaufen. Aus der Meuterei wurde ein Aufstand, Heeressoldaten schlossen sich an, bald auch Arbeiter. Schon am 3. November formierten sie sich in Räten und formulierten klare politische Forderungen: Kaiser Wilhelm II sollte abdanken, der Krieg sofort beendet werden. Der revolutionäre Funke sprang bald über auf andere Garnisonen, auch in Hamburg, Bremen und Lübeck bildeten sich Arbeiter- und Soldatenräte. Am 7. November dankte in München der letzte Wittelsbacher König ab, danach stürzten die gekrönten Häupter überall im Reich. Das Deutsche Reich war damals ein Bundesstaat: ein Verbund von 26 Föderationssubjekten, 22 von Ihnen waren Königreiche, Herzog- oder Fürstentümer (wikipedia). Am 9. November erreicht die Revolution Berlin.

Was ist alles gegen diese Revolution vorgebracht worden! Die SPD hat die Arbeiter verraten, hat sich der extremen Rechten an den Hals geworfen statt mit den Kommunisten zu paktieren und gründlich aufzuräumen mit den feudalen Verhältnissen. Weil die Revolution blutig unterdrückt wurde, weil alte Seilschaften nicht gekappt wurden, weil visionäre Hoffnungsträger wie Rosa Luxemburg und Karl Liebknecht ermordet wurden, und nicht nur sie, sei damals der Weg in den Nationalsozialismus vorgezeichnet gewesen, so bisher der allgemeine Tenor in der Geschichtswissenschaft.

Tatsächlich gab es in der Revolutionszeit viele, die erleichtert feststellten, dass die Renten weiterbezahlt wurden, dass die Ordnung trotz Bayerischer Räterepublik und Berliner Spartakus-Aufstand recht schnell wiederhergestellt war. Aber kann das ein Kriterium sein? Lenin sagte spöttisch, wenn die Deutschen einen Bahnhof stürmen wollen, kaufen sie sich vorher eine Bahnsteigkarte, Kurt Tucholsky lästerte, die deutsche Revolution habe „im Saale stattgefunden“.

Revolutionen gehören nicht der Vergangenheit an. Nach der großen Weltwirtschaftskrise von 2008/09 hat international eine Periode von Massenbewegungen und gesellschaftlicher Polarisierung eingesetzt.

Vor dem Hintergrund solcher Zukunftsaussichten hat das Studium vergangener und gescheiterter Revolutionen keinen akademischen Charakter, sondern sollte als Vorbereitung auf die Zukunft verstanden werden. Revolutionen haben bestimmte Gesetzmäßigkeiten, die von niemandem so offen gelegt wurden, wie von Lenin und Trotzki.

Es gilt, aus der Geschichte zu lernen.

Emmanuel Macron et Angela Merkel se sont rendus hier après-midi à Rethondes, dans la forêt de Compiègne, pour y commémorer la fin de la première guerre mondiale. Dans le wagon, où a été signé l’armistice (une réplique), ils ont écrit dans le livre d’or, les sentiments qui les animaient, avant de dévoiler une plaque, où était gravé en Allemand et Français un texte, qui avait pour but de faire comprendre aux visiteurs, que la haine entre les deux peuples a laissé place à l’amitié. C’était la première fois qu’un dirigeant allemand se rendit officiellement dans ce lieu historique. Cette visite a été sans aucun doutes un moment fort des innombrables cérémonies qui ont lieu ces jours-ci un peu partout, que soit à Verdun ou dans la Somme. La terrible guerre des tranchées a fait des millions de victimes et ceci pour faire en fin de compte du sur-place pendant près de quatre ans. Cela est pour moi le symbole de l’absurdité. C’est la raison pour laquelle il faut tout tenter pour sauvegarder la paix que nous connaissons en Europe depuis 73 ans. Mais il ne faut pas pour autant oublier le terrible conflit en ex-Yougoslavie ou ce qui se passe dans le Donbass, à l’Est de l’Ukraine, où il y a tous les jours des coups de mortiers ou l’annexion par les Russes de la Crimée. Il faut bien se mettre en tête qu’il faut lutter pour la paix, que ce n’est pas une évidence. Il faut avant tout éviter que la haine gagne les esprits des citoyens européens. Weiterlesen