Renverser le Président avant la fin de la moité de son mandat, c’est ce que le fameux documentariste Michel Moore s’est mis en tête. L’auteur de Fahrenheit 11/9 est le seul qui aurait les moyens de le faire, mais j’en doute malheureusement. Trump est un personnage au sujet duquel on peut sortir les plus grandes horreurs et malgré tout on l’applaudira. Il remplit en quelque sorte aussi un rêve américain, celui du cow-boy qui peut aller pisser sur les tombes et qu’on vénérera pour avoir eu le courage d’avoir un tel toupet. Il est l’antithèse du sectarisme religieux, qui vous dicte de quelle manière vous conduire en société. Ces bien-pensants se prenant pour le peuple élu, prônant l’intolérance pour avoir encore plus de pouvoir, avaient eu l’illusion de faire de Donald une marionnette, c’est le contraire qui se passe. Il prend tout ce qui les caractérise à son compte tant que cela peut lui rapporter gros, mais ne se gêne pas de se faire la main sur le cul d’une pute. Tout cela dans l’atmosphère glauque du déisme ambiant, chez ces pharisiens prétendant s’être emparé de la vertu pour étouffer le peuple. Et si Trump sème la merde, tant mieux, grand bien lui fasse. Michael Moore pourra, preuves à l’appui, faire de lui le monstre national, le citoyen moyen le considéra comme un boute-en-train, le fou du roi qu’il aurait tant voulu être. L’intellectuel s’offusquera, essaiera de monter sur ses grands-chevaux, mais au bout du compte sera subjugué par son esprit frondeur. Il n’en a rien à faire des dames patronnesses et c’est ce qui le rend si populaire. Sur twitter il sème à tous vents un lot de conneries sans pour autant être sanctionné, il faut le faire. Trump maîtrise de main de maître les médias. Parler des fake-news est tout simplement génial. Se faire passer pour la victime d’individus qui veulent faire sa peau, il faut le faire. Weiterlesen
Monat: August 2018
Vendredi noir en Turquie
La livre turque s’est effondrée hier de 20 % sur les marchés internationaux pour atteindre 6,87 dollars. Depuis le début de l’année c’est une perte massive de 40 % de sa valeur. Le président Erdogan a incité ses concitoyens d’aller échanger les dollars et les euros qu’ils ont caché sous leurs oreillers contre des livres. Une contribution patriotique que peu de monde est prêt à suivre. Le taux d’inflation au mois de juillet a été de 16 % en rythme annuel. « Le pays affiche un important déficit courant : il dépend des financements étrangers, notamment en dollar », ajoute Christopher Dembik, économiste chez Saxo Banque. Le tout est renforcé par la hausse des taxes douanières avec les USA due à l’arrestation d’un pasteur américain. Il me paraît évident que la crise actuelle est aussi due, à la politique « musclée » de Recep Tayyip Erdogan. En ayant comme allié l’Iran, il se met à dos Donald Trump et l’Arabie Saoudite qui a tous moments peuvent anéantir l’économie de son pays. Il a beau proférer des menaces et dire que les répressions seront terribles, ce sont des mirages, du carton-pâte comme les villages de Potemkine. Le potentat est en train de surestimer complètement ses capacités. Il se prend pour Alexandre le Grand et est en fin de compte qu’un pion sur l’échiquier international. En se mettant aussi à dos l’Allemagne, en la traitant de nazie, il se coupe de l’herbe sous les pieds. Je crains fort que personne ne soit prêt à le tirer d’affaire économiquement, car sa politique n’est pas compatible avec nos valeurs. Weiterlesen
Battue et jetée du balcon ?
Ce ne sont pas que des illettrés qui battent leurs femmes, mais aussi cet homme, un professeur de biologie. La caméra de surveillance de l’immeuble dans lequel ils vivaient, a pris ces images qui par leur brutalité reproduisent bien ce que beaucoup d’épouses et de compagnes vivent quotidiennement. Peu importe quel pays en Europe, des centaines de femmes sont traitées de la même manière. Elles font partie d’une statistique et plus personne ne s’en offusque vraiment. Dans ce cas bien précis, l’avocate est tombée 20 minutes après cette scène odieuse du balcon de leur appartement. Le mari prétend qu’elle s’est suicidée, la police croit à un homicide volontaire. Le film a été diffusé sur YouTube et choque tout le Brésil. Ce ne sont pas images qui changeront en quoi que ce soit le comportement de certains hommes à la recherche de leur ego. Au contraire ! Elles confirment les souhaits inassouvis de bien des machos, qui se considèrent en droit de tout faire par rapport à la femme. Des mâles qui croient que c’est leur droit le plus absolu d’être dominateurs, sinon par l’esprit, du moins par les poings. Je ne sais pas si cet individu ne dira pas dans sa défense, que sa femme a besoin de la violence pour bien faire ensuite l’amour. Des visions perverses d’une société en mal d’identité. D’une par des hommes qui sont devenus des lavettes, qui n’osent plus s’affirmer, de l’autre des brutes qu’on glorifie dans des films d’action. Un rêve hollywoodien qui peut que se réaliser dans des scènes comme celles-ci. Le résultat d’une éducation qui n’existe pas ? Weiterlesen
Afrikanischer Freihandel
Zölle erschweren innerafrikanischen Handel. Bisher treiben afrikanische Länder nur 14 Prozent (dw.com) ihres Handels untereinander. Zollabgaben sind nach Angaben der AU beim Warenaustausch zwischen afrikanischen Ländern häufig höher als bei Exporten außerhalb des Kontinents. Sollten alle 55 AU-Mitglieder der CFTA beitreten, entstünde eine Freihandelszone mit einem Gesamt-Bruttoinlandsprodukt von zwei Billionen Euro und einem Markt von 1,2 Milliarden Menschen.
Versperrte Märkte kann man hingegen den Europäern kaum vorwerfen. In Wahrheit hat die EU sich in den vergangenen Jahren massiv geöffnet. Für 32 der ärmsten Staaten senkte sie alle Zölle und Quoten auf null – für alle Produkte außer Waffen. Mit anderen vereinbarte sie Partnerschaftsabkommen ohne jeden Zoll. Gerade afrikanische Staaten südlich der Sahara haben so schon jetzt freien Marktzugang zur Europäischen Union. Das Problem liegt darin, dass die Zölle auch in die Gegenrichtung verschwanden. Die Folge: Noch ehe sich eine afrikanische Exportwirtschaft entwickeln kann, wird ihr Heimatmarkt durch günstige Importe aus der EU überschwemmt.
So kommt es auch, dass nicht Produkte, sondern weiterhin Rohstoffe Afrikas Exporte nach Europa dominieren. Deren Preisverfall wiederum hat auch den Wert der Exporte in den vergangenen Jahren einbrechen lassen. Auf dem Export von Rohstoffen hat bislang noch kein Staat eine zukunftsfähige Wirtschaft aufbauen können. Stattdessen lastet auf vielen Ländern Afrikas der Fluch der Ressourcen: Sie verlassen sich auf Rohstoff-Einnahmen, statt in Bildung und Infrastruktur zu investieren. Sinken aber die Preise, sind diese Staaten verloren.
Die Antwort auf derlei Abhängigkeiten liegt in mehr afrikanischer Wertschöpfung. Nach Europa würden dann nicht Mangos oder Trauben exportiert, sondern Säfte und Wein; statt seltener Erden und Metalle die Bauteile für Batterien. Es ist dieser Mehrwert, in dem Jobs und Perspektiven liegen. Stattdessen verlässt Obst zollfrei den Kontinent und kommt als Saft im Tetrapak wieder zurück.
Nach mehr als 50 Jahren Entwicklungshilfe für Afrika ist klar: Es gibt keine einfachen Lösungen, jedes Land ist anders. Es ist nicht damit getan, Brunnen zu schaufeln; es lassen sich keine Fabriken transplantieren und auch keine Regierungssysteme. Aber man kann einiges dafür tun, Entwicklung nicht zu zerstören.
Die Europäer haben ihre Märkte für afrikanische Produkte geöffnet – sie verlangten aber auch freien Zugang zu den Märkten Afrikas. Das ist schön für europäische Firmen, aber schlecht für ihre Konkurrenten aus Afrika. Denn mit ihrer gesammelten Markenkraft eroberten Multis aus Europa so die aufstrebende Mittelschicht Afrikas. Für regionale Produkte bleibt wenig Platz, geschweige denn für deren Export.
Die Antwort darauf könnten sogenannte Entwicklungszölle sein, mit denen Staaten bestimmte Branchen vor Importen aus Europa schützen können – zumindest so lange, bis sich eine wettbewerbsfähige Industrie entwickelt hat. Theoretisch ließen sich solche Zölle sogar auf Basis der Partnerschaftsabkommen einführen, die Europa mit Staatengruppen in Afrika geschlossen hat. Doch die Regelungen dafür sind so kompliziert, dass bislang kein Staat daraus hat Nutzen ziehen können.
Helfen könnte auch eine Zollsenkung zwischen den Staaten Afrikas selbst. Eine Freihandelszone innerhalb Afrikas wäre der größte gemeinsame Markt der Welt. Verhandlungen dazu laufen. Es gibt hier noch viel zu tun. Der Handel zwischen zwei Staaten Afrikas ist oft schwieriger als der zwischen einem afrikanischen Land und der EU. Nicht gerade gut gelaufen ist, dass die EU ihre Handelsbeziehungen zu Afrika in verschiedenen Partnerschaftsabkommen mit verschiedenen Regionen Afrikas regelte, zu unterschiedlichen Konditionen.
Unser Wohlstand baut in erheblichem Maß auf den Ressourcen Afrikas auf: Kein Handy funktioniert ohne Coltan aus dem Kongo. Aber wir bezahlen den Menschen keine fairen Löhne und akzeptieren, dass die Natur ausgebeutet wird. Deswegen brauchen wir ein neues Denken und Handeln in Politik, Wirtschaft und Gesellschaft. Es bedarf eines „Marshallplans mit Afrika“ (Gerd Müller, Bundesminister für wirtschaftliche Zusammenarbeit und Entwicklung, welt.de).
Der Handel zwischen den Ländern Afrikas bleibt hinter seinen Möglichkeiten zurück; wie erwähnt, macht er nur etwa 14 Prozent des gesamten Handelsvolumens aus. Im Vergleich dazu beträgt der kontinentale Handel in Nordamerika 40 Prozent. Die Länder Westeuropas wickeln sogar zu 63 Prozent Geschäfte mit ihren Nachbarn ab.
Charge d’âme
L’État a charge d’âme aussi pour « ses brebis galeuses ». Au premier juillet il y a avait dans les prisons françaises 70 710 détenus, soit 48 % de plus qu’en 2001. Les tribunaux ne veulent pas être responsables de laxisme et exigent que les peines soient appliquées. Cela va aussi dans le sens d’Emmanuel Macron qui plaide pour plus de clarté et de rigueur. Contrairement à ce qui se passe en Allemagne, au Pays-Bas ou en Italie, où on cherche à dégorger les établissements pénitentiaires. 60 % des personnes sont emprisonnées dans des établissements dépassant de 120 % leurs capacités normales. Dans certaines prisons le taux de densité est de 150 %. Dans un discours à Agen le 6 mars de cette année, le président préconisait de faire un état-des-lieux en reprenant le cas-par-cas des diverses situations. À par l’application immédiate des peines de plus de 12 mois, il était partisan de libérer tous ceux pour qui l’emprisonnement est inutile ou à la longue contre-productif comme les cas où chaque séjour encourage la récidive. À Fleury-Mérogis, la plus grande prison européenne, onze suicides ont eu lieu depuis janvier 2018. On se tue sept fois plus qu’à l’extérieur. Comme ce jeune de 25 ans ayant pris les transports publics sans ticket et ayant été condamné à trois mois de prison-ferme ou pour ce conducteur qui au volant de sa voiture n’avait pas d’assurance. Au lieu de deux mois, la peine capitale, car ils se sont tués. Dans de tels cas, comme on peut le voir, il n’y a pas de logique absolue. Des peines anodines se transforment en calvaires. N’en déplaise à tous ceux qui voudraient voir appliquée la poigne de fer. Nous avons affaire à ce que je nommerais des délits de négligence. Des personnes se trouvant plongées d’un seul coup dans des conditions des plus précaires, n’ont plus personne à qui parler. Les gardiens et les gardiennes sont complètement dépassés vu le manque de personnel. Weiterlesen
Brief vom 09.08.2018 – „Petra & Pierre im Gespräch“ (Teil 2)
Lieber Pierre,
früher war alles anders, früher war alles besser, früher… bis sie merken, dass früher auch nicht mehr ist und wie schnell das alles vorbei geht. Du sprichst die Grundregeln der Ethik und des menschlichen Zwischeneinanders an, was ich unglaublich wichtig finde. Immer wieder ertappt man sich dabei, dass man schwankt zwischen der bekannten Goldwaage und der puren Wahrheit. Es gibt ihn aber noch, den gegenseitigen Respekt. Zwar nicht in allen Kreisen der Gesellschaft, aber in meinen. In jeder Partnerschaft (privat wie beruflich) muss! der Respekt oben stehen und man darf nie den Humor vergessen, der so manches leichter überdenken und akzeptieren lässt. Ohne Humor gelingt auch nicht besonders viel.
Wir nennen vielleicht das Liebe-Betreiben heutzutage einfach salopp SEX, aber tief in uns drin schlummert die Sehnsucht nach Verschmelzen, dem Eins-Sein und der großen Liebe. Der Erregung, wenn man seinen Partner/ seine Partnerin anschaut, dieses grenzenlose Vertrauen, das man dem Anderen entgegenbringen sollte und die Fähigkeit, zu akzeptieren, dass jeder Mensch auch sein eigenes Ding machen muss. Natürlich gibt es Perversionen und Normen abseits des Akzeptablen, psychisch geschädigte Seelen, aber wir reden jetzt vom Durchschnitt. Ich gehe sogar noch viel weiter in dem Wunsch nach der körperlichen Liebe…. sie ist nur dann gut, wenn das mit Respekt und der gegenseitigen Wertschätzung des Partners (auf Augenhöhe) einhergeht. Es ist ein Verschmelzen der Sinne und ein vollkommenes Einlassen mit Haut und Haar… oder aber es driftet ab in die Welt des oberflächlichen Konsums, zu dem natürlich auch der SEX schon lange gehört. Außerdem ist es ein Riesengeschäft, eine wahre Goldgrube, das darf man dabei nicht außer Acht lassen und auch nicht die Tatsache, dass der Mensch im Sexuellen eine Art triebgesteuertes „Tier“ ist. Doch am Ende lässt auch der geilste Porno den Zuschauer wieder alleine zurück mit sich selbst, Hauptsache die Kasse klingelt.
Es hat sich tatsächlich gesellschaftlich sehr viel verändert und das geht an niemandem spurlos vorbei. Vielleicht haderst du täglich mit dir selbst, fragst dich, ob du nicht schon längst zum alten Eisen gehörst und deine Laune sackt in den Keller, wenn du verinnerlicht hast, dass die Welt offensichtlich aus Oberflächlichkeit, Missgunst und Kriegen besteht? Ausbeutung, Schnelllebigkeit, Kommerz, eine sich im Kreis drehende Politik, eine Überflutung durch die Medien und so weiter. Aber bei alledem – wieder einmal – lässt sich mit Humor und einem gesunden Verstand vieles richten. Die Diskussionen über gut und schlecht werden nie aussterben und nicht alles kann immer gleich gut sein, das waren wir selbst ja auch nicht. Es gibt enorme Fortschritte in unserem Zeitalter und natürlich bleibt die Entwicklung nicht stehen, der Mensch dreht sich mit. Dass er sich dabei oft um die eigene Achse dreht und mit Unverständnis, Wut, Hass, Neid und schweren psychischen Erkrankungen reagiert, dürfte uns ebenfalls klar sein. Das „zu viel“, „zu schnell“, „ich muss“ nagt an unserem Ego und wenn wir nicht überall mithalten können, schmeißen wir auch mal unsere Etikette und unsere ethischen Basisgedanken auf den Müll. Ich sage nicht, dass es gut ist, ich sage nur, d a s s es so ist und es liegt einzig alleine an uns, gegenzusteuern und uns Freiraum für die Reduktion, Selektion oder auch für das Besinnen zu erlauben. Vielleicht war die Entwicklung einfach nur so schnell, dass wir unsere Mühe haben, Schritt zu halten? Vielleicht war unser technisches Know-How so schnell, dass es uns bereits emotional überrundet hat? Was immer es ist und war, wir müssen damit leben lernen und zwar im Jetzt und so schön es ist, nach hinten zu blicken und darüber nachzudenken, wie es früher einmal war, so schön kann es – bei klugem Umgang mit der Neuzeit – die Perspektiven und Möglichkeiten von heute aufzugreifen und zu nutzen. Eine andere Wahl dürften wir kaum haben.
Es gibt einen guten Weg, den du kennst, mein lieber Freund…. ein offenes Ohr haben für die Belange der Menschen, reflektieren, freundlich sein und natürlich auch durchaus kritisch und nicht alles fressen, was uns vorgesetzt wird. Und bei alledem nicht vergessen, dass wir Spaß und Freude erleben müssen, am Ende immer die Hoffnung und der Wunsch nach Harmonie steht und ein bisschen Entspannung und Genuss dabei nie fehlen darf. Ich verdammter Idealist, was?
Eine herzliche Umarmung und meinen Glückwunsch
nach Frankreich,
Petra
© Petra M. Jansen
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Le challenge des citadins
Il est évident que la canicule n’a pas arrangé l’effet de serre. Le taux d’ozone peut faire frémir ; les gaz que nous respirons deviennent de plus en plus nocifs pour notre état de santé. Pas seulement les poumons en prennent un sale coup, mais tout notre métabolisme. Une étude dont parle l’Obs, nous prouve que chacun d’entre-nous est capable de contribuer d’une manière tout à fait positive en ce qui concerne l’arrêt du réchauffement climatique. Les municipalités peuvent prendre en collaboration avec les citoyens des mesures très efficaces, qui changeraient les donnes. Qu’un crâne archi-dur comme celui de Donald Trump, qui ne veut pas reconnaître qu’il y a un problème écologique à l’échelle planétaire, ne soit pas en mesure, par pauvreté intellectuelle, de revenir sur des décisions unilatérales qu’il a prises dans une crise de Twitter, est évident. Inutile d’investir une seconde de ce côté-là. Bien plus dans dans tout ce qui concerne la proximité. Le génie humain consisterait à ne pas lancer seulement des interdits dans le milieu urbain, mais de changer d’une manière positive la manière de vivre, de contribuer à plus de qualité. Ce serait le challenge qui devrait être lancé. Cela peut aller d’une réforme des transports publics, incitant vous et moi de laisser la voiture au garage ou de reverdir la ville en y plantant des arbres et en y créant des parcs. Pour chaque ville il y aurait des mesures particulières, dépendantes de son passé, du taux de nuisance, de ses origines et des possibilités urbanistiques à prendre. Si cela part au niveau du quartier, chez ses habitants, qui doivent être évidemment à l’écoute, il y aurait bien des chances de réussites. Il faut tout tenter afin qu’il y ait plus de joie de vivre, non pas de contraintes. Weiterlesen
Pressefreiheit in Gefahr
Orbáns Macht ist stabil. Er wird wohl auch dann noch Ministerpräsident sein, wenn unsere jetzige Regierung in einigen Jahren nicht mehr besteht. Er ist nicht mehr abzuwählen. Die Opposition ist völlig zersplittert und zerstritten. Alle Herausforderer Orbáns in den vergangenen 20 Jahren sind am Boden – persönlich, politisch, materiell. Viele denken ans Auswandern oder sind schon weg. Erst am vergangenen Wochenende hat Orbán mit seiner Rede vor ethnischen Ungarn im rumänischen Tusnádfürdö, bei der jährlichen Sommerakademie der Fidesz-Partei, klar gemacht, worum es ihm geht: Er hat sich vorgenommen, die Generation der 1968er in Europa zu stoppen. Er führt einen Kulturkampf gegen liberal gesinnte Intellektuelle, gegen Multikulti und Zuwanderung. Was Orbán als „illiberale christliche Demokratie“ auslegt, will er bei den kommenden Europawahlen nach Europa exportieren.
Im Zuge der Entwicklung wurde der öffentlich-rechtliche Rundfunk mit der staatlichen Nachrichtenagentur MTI verschränkt. Was hat das konkret für Auswirkungen?
Es konnte sich eine erhebliche Vetternwirtschaft etablieren. Beim öffentlich-rechtlichen Rundfunk gingen Milliarden an Fidesz-nahe Produktionsfirmen, um dort technische oder menschliche Kapazitäten oder Medieninhalte zu kaufen. Die ungarische Nachrichtenagentur MTI, die früher unabhängig von dem öffentlich-rechtlichen Rundfunk agierte, gehört nun zum staatlichen Medienkonglomerat. MTI passte sich dem politischen Klima an: Sie arbeitet unausgewogen und verschweigt manchmal wichtige Nachrichten, die der Regierung nicht passen. Vermeldet wurde zum Beispiel nicht, als ungarische Intellektuelle massenhaft ihre staatlichen Auszeichnungen zurückgaben, nachdem einem bekannten Hasspublizisten einer der wichtigsten staatlichen Verdienstorden verliehen wurde.
Davon unabhängig: In keiner anderen Weltregion hat sich die Lage der Pressefreiheit im vergangenen Jahr so stark verschlechtert wie in Europa. Die Medien seien auch in Ländern wie Polen, der Slowakei und Tschechien zunehmend „medienfeindlicher Hetze durch Regierungen oder führende Politiker“ ausgesetzt, beklagt die Organisation Reporter ohne Grenzen in ihrer neuen Rangliste der Pressefreiheit. Deutschland verbesserte sich etwas und rückte in dem Ranking um einen Platz auf Rang 15 vor.
Hass und Verachtung gegen Journalisten zu schüren, sei „in Zeiten des Vormarschs populistischer Kräfte ein Spiel mit dem Feuer“, erklärte Reporter ohne Grenzen. Leider erlebten sie das zunehmend auch in Mitgliedsstaaten der Europäischen Union. Vier der fünf Länder, deren Platzierung sich in der neuen Rangliste am stärksten verschlechtert haben, liegen in Europa: Malta, Tschechien, die Slowakei und Serbien. In diesen Ländern werden der Nichtregierungsorganisation zufolge die Freiräume für kritische Berichterstattung durch die Konzentration der Besitzverhältnisse der Medien eingeschränkt. Dies zerstöre die Grundsätze einer demokratischen Gesellschaft und sei in Zeiten des populistischen Vormarschs besonders gefährlich. In der Slowakei sorgte der Mord an dem Investigativjournalisten Ján Kuciak für landesweite Proteste, Ministerpräsident Robert Fico bot an, sein Amt niederzulegen.
Stärkster Absteiger ist Malta, das um 18 Plätze auf Rang 65 zurückfiel. Der Mord an der Investigativjournalistin Daphne Caruana Galizia habe deutlich gemacht, wie eng in dem EU-Land das Geflecht von Politik, Justiz und Wirtschaft sei, teilte Reporter ohne Grenzen mit.
Unser Kontinent steht noch immer an erster Stelle bei der Pressefreiheit, aber es verschlechtert sich, es wird erschüttert. Durch politische Leitfiguren, die auf dem Journalismus herumhacken und manchmal seine Legitimität verleugnen. Es ist ein gefährliches Spiel für Europa und für Demokratien im Rest der Welt.
In Norwegen steht es um die Pressefreiheit am besten, Deutschland belegt – wie ausgeführt – Platz 15, das Schlusslicht bildet wie im Vorjahr Nordkorea. Die USA rangieren auf Platz 45. In einer Demokratie, in der die Pressefreiheit durch das First Amendment garantiert ist, das Staatsoberhaupt die Presse aber als „Fake News“ bezeichnet, wird die Arbeit für Journalisten immer schwieriger.
Das Fazit von Reporter ohne Grenzen: Hass auf Journalisten schadet der Pressefreiheit und dem demokratischen System (euronews.com).