Il est évident que la canicule n’a pas arrangé l’effet de serre. Le taux d’ozone peut faire frémir ; les gaz que nous respirons deviennent de plus en plus nocifs pour notre état de santé. Pas seulement les poumons en prennent un sale coup, mais tout notre métabolisme. Une étude dont parle l’Obs, nous prouve que chacun d’entre-nous est capable de contribuer d’une manière tout à fait positive en ce qui concerne l’arrêt du réchauffement climatique. Les municipalités peuvent prendre en collaboration avec les citoyens des mesures très efficaces, qui changeraient les donnes. Qu’un crâne archi-dur comme celui de Donald Trump, qui ne veut pas reconnaître qu’il y a un problème écologique à l’échelle planétaire, ne soit pas en mesure, par pauvreté intellectuelle, de revenir sur des décisions unilatérales qu’il a prises dans une crise de Twitter, est évident. Inutile d’investir une seconde de ce côté-là. Bien plus dans dans tout ce qui concerne la proximité. Le génie humain consisterait à ne pas lancer seulement des interdits dans le milieu urbain, mais de changer d’une manière positive la manière de vivre, de contribuer à plus de qualité. Ce serait le challenge qui devrait être lancé. Cela peut aller d’une réforme des transports publics, incitant vous et moi de laisser la voiture au garage ou de reverdir la ville en y plantant des arbres et en y créant des parcs. Pour chaque ville il y aurait des mesures particulières, dépendantes de son passé, du taux de nuisance, de ses origines et des possibilités urbanistiques à prendre. Si cela part au niveau du quartier, chez ses habitants, qui doivent être évidemment à l’écoute, il y aurait bien des chances de réussites. Il faut tout tenter afin qu’il y ait plus de joie de vivre, non pas de contraintes. Weiterlesen