L’atome a connu une croissance six fois moins importante que le duo éolien-solaire l’année dernière. Je trouve que c’est une bonne nouvelle. Mais cela démontre aussi quel chemin devra faire la France, où l’énergie nucléaire couvre encore le 75% de nos besoins électriques. L’urgence de faire baisser ce taux si élevé se traduit par l’arrêt des réacteurs de la centrale de Belleville-sur-Loire dans le Cher. Cela s’est passé peu de temps après l’annonce des défaillances de l‘usine Areva du Creusot (Saône-et-Loire). De telles nouvelles continueront à nous inquiéter car le parc des centrales prend un coup de vieux. Je pense que Nicolas Hulot, le ministre de la Transition écologique et solidaire, devra prendre des mesures draconiennes. Ce qui est valable pour une voiture, devrait l’être aussi dans ce domaine. Ce n’est pas sans raison qu’une scientifique comme Angela Merkel avait décidé après la catastrophe de Fukushima de quitter le nucléaire, une décision unilatérale qui a permis à l’Allemagne de développer d’une manière non négligeable les énergies renouvelables. Les habitants en France croient encore aujourd’hui que les centrales atomiques leur garantissent un courant relativement bon marché. Il leur est difficile de comprendre que la technologie peut aussi être vulnérable. Ce qui les a amené à gaspiller leurs besoins. Ils croient encore ne pas avoir besoin de faire des économies dans la matière. Le pays est en retard en ce qui concerne l’isolement des immeubles et des pavillons privés. Il y a urgence de mettre de tels projets en route. Cela concerne aussi l’élaboration de produits light dans le parc des appareils électro-ménagés. Weiterlesen

Comme syndicaliste je trouverais qu’il serait temps que les partenaires sociaux agissent enfin positivement au lieu de faire constamment obstruction à tous progrès, comme c’est le cas en France. Il ne sert à rien de rester inamovible dans un monde en pleine mutation. Il serait temps de trouver des solutions adaptées aux conditions actuelles et celles de demain. Il ne fait aucun doute qu’une partie du travail à effectuer sera un jour fait par les automates et les robots. Je déplore cette situation, mais il ne sert strictement à rien de s’y opposer. Personne n’a pu jusqu’à ce jour faire obstruction à l’évolution aussi mauvaise soit-elle. Il serait donc opportun de réfléchir comment agir dans de telles conditions. Je trouve tout à fait regrettable qu’un des plus importants droit de l’homme soit ainsi remis en question : celui du travail. Ce n’est pas seulement une question de revenu. Il est possible de s’imaginer que la machine soit en mesure de donner à chacun un socle financier. Mais c’est avant tout une question de dignité. Sans une activité bien précise l’homme fléchit, remet en question sa présence sur terre. Aussi ringard que puisse être ma pensée, l’homme ne peut pas se réaliser que dans les loisirs. Il doit servir à quelque chose ! C’est une réalité qu’on observe chez les rentiers, qui s’ennuient malgré des revenus acceptables. Il est dans la nature humaine de vouloir contribuer à la bonne marche de l’humanité, de pouvoir s’engager d’une manière ou d’une autre pour le bien de la communauté toute entière. Ce sont ces problèmes-là dont il faut débattre. Descendre dans la rue comme cela s’est passé hier pour marquer que son refus face à un code du travail, qui pourrait par certains points être injuste pour les salariés, est légitime, mais sans une réforme bien plus radicale du monde du travail, nous n’évoluerons pas, ce que je trouve néfaste. Weiterlesen

Deutschland ist nach einem Gutachten des wissenschaftlichen Dienstes des Unterhauses des polnischen Parlaments immer noch verpflichtet, Kriegsreparationen an Polen für die Verbrechen im Zweiten Weltkrieg zu leisten. Die Rede ist von mindestens 840 Milliarden Euro. Es sei rechtens, dass die Republik Polen einen Anspruch auf Entschädigungen von der Bundesrepublik Deutschland erhebe, heißt es in dem 40-seitigen Gutachten des wissenschaftlichen Dienstes des Parlaments. Die einseitige Erklärung der polnischen Regierung vom 23. August 1953 über den Verzicht auf weitere Kriegsreparationen habe nur für die DDR gegolten.

Zudem habe der damalige Beschluss des Ministerrates gegen die polnische Verfassung verstoßen, weil nicht der Ministerrat, sondern der Staatsrat für die Ratifizierung und Kündigung von völkerrechtlichen Verträgen zuständig gewesen sei. Kriegsverbrechen und Verbrechen gegen die Menschlichkeit verjährten laut dem Völkerrecht nicht. Das Gleiche gelte für Entschädigungen für solche Verbrechen.

Polens Regierungschefin Beata Szydlo hatte Polens Anspruch auf Kriegsreparationen bekräftigt. Bevor Warschau offiziell eine Entschädigung fordere, solle zunächst das Sejm-Gutachten abgewartet werden, sagte sie.

Nach dem Krieg seien die von Deutschland verursachten materiellen Schäden am polnischen Staats- und Privateigentum auf 48,8 Milliarden Dollar geschätzt worden. Mehr als sechs Millionen polnische Staatsbürger seien umgekommen. Weitere rund zehn Millionen seien Opfer von deutschen Verbrechen und Terror geworden. Gemessen an der Bevölkerungszahl und dem Gesamtvermögen hat Polen im Zweiten Weltkrieg dem Gutachten zufolge die meisten Toten und die höchsten materiellen Verluste von allen europäischen Staaten zu beklagen.

Der Zeitpunkt des Vorstoßes ist bewusst gewählt, gedachte Polen doch neulich des Warschauer Aufstands von 1944, dessen Beginn sich am ersten August zum 73. Mal jährte.

Die Siegermächte entschieden sich nach dem Zweiten Weltkrieg für einen pragmatischen Umgang mit den Kriegsschäden. So sammelten sie Reparationsforderungen zahlreicher Länder, klagten diese aber nicht vollständig ein. Sie bezweckten damit, eine ähnliche Entwicklung wie nach dem Ersten Weltkrieg zu verhindern, als fast grenzenlose Entschädigungsansprüche der Sieger Deutschland erniedrigten und in den Ruin trieben. Dies trug maßgeblich zum Aufstieg Hitlers bei.

Die wichtigsten Dokumente, die nach Kriegsende Entschädigungen regelten, waren das Potsdamer Abkommen von 1945 und das Londoner Schuldenabkommen von 1953. Ersteres hielt fest, dass die Sowjetunion ihre Reparationsansprüche durch „Entnahmen aus der von der UdSSR besetzten Zone in Deutschland und durch angemessene deutsche Auslandsguthaben“ befriedigen und daraus auch Polen entschädigen solle.

Die Sowjets demontierten einen großen Teil der Industriebetriebe und der Schieneninfrastruktur in Ostdeutschland. Außerdem schlugen die Siegermächte die deutschen Ostgebiete Polen zu, das allerdings sein eigenes östliches Staatsgebiet an die Sowjetunion abtreten musste. Vor diesem Hintergrund gelang es dem deutschen Unterhändler, die Forderungen der Gläubigerländer 1953 im Rahmen des Londoner Schuldenabkommens auf 14 Milliarden Mark herunterzuhandeln. Die Sowjetunion beendete im gleichen Jahr den Abtransport der Infrastruktur der DDR. Die polnische – allerdings durch die Sowjets eingesetzte – Regierung verzichtete auf weitere Reparationsforderungen.

Geregelt waren die Entschädigungsforderungen damit nicht. Vielmehr wurde die Frage der Reparationen vertagt bis zum Abschluss eines definitiven Friedensvertrags. In der Folgezeit gab es eine Reihe von Regelungen an seiner statt. So erkannte Deutschland 1970 im Rahmen des Warschauer Vertrags die neue Ostgrenze zu Polen an. Am Rande der Verhandlungen über den deutsch-polnischen Freundschaftsvertrag vom 17. Juni 1991 beschlossen die beiden Länder zudem zusätzliche Zahlungen Deutschlands an seinen Nachbarn und ehemalige Zwangsarbeiter über 2,5 Milliarden Mark.

Das entscheidende Abkommen war allerdings der „Zwei-plus-Vier-Vertrag“, der im März 1991 in Kraft trat. Dieser wurde explizit anstatt eines Friedensvertrags abgeschlossen und regelte ausstehende Reparationsansprüche. Da nur die Großmächte sowie die Vertreter der beiden Deutschland am Tisch saßen, argumentieren polnische, wie auch griechische, Politiker mehrfach, sie hätten keine Stimme gehabt. Dies ist allerdings nicht ganz korrekt, konnte Polen doch seine Forderungen bei den Vorbereitungen zu den Verhandlungen durchaus einbringen.

Es ist aber zu bedenken, dass Polen in dieser Zeit als unabhängiger Staat erst begrenzt handlungsfähig war, befand es sich doch mitten im Prozess der Loslösung von der Sowjetunion. Aus der sowjetischen Besetzung speist sich das weitere Argument der nationalkonservativen Politiker, heute wieder Reparationen zu fordern: Polen habe unter sowjetischem Einfluss keine andere Wahl gehabt habe, als den Schuldenverzicht 1953 zu akzeptieren.

Les manifestations contre la réforme du code du travail iront en ordre dispersé. FO et la CFDT n’ont pas répondu à l’appel de le CGT. Les socialistes sont divisés, les opposants considérant qu’ils ne sont ni syndicalistes ni insoumis. Ces faits démontrent à quel point les Français sont divisés en ce qui concerne ces nouvelles dispositions. Il est évident que pour sortir du marasme actuel, il est nécessaire de se remettre en question, le système actuel étant un frein à toute évolution. Je pense qu’une majorité de citoyens en sont convaincus. Il y a bien des dispositions qui peuvent paraître délicates, mais dans le fond il n’était pas possible de rester inamovible. Il n’est pas possible que dans un tel contexte tout le monde soit d’accord. Il était indispensable que le président de la république aille de l’avant, ce qu’il a fait sans se laisser intimider par la chute de sa cote de popularité. Mais ce qu’il y a de plus important, c’est le changement radical que la société française est en train de subir. Il est évident que la faiblesse des forces traditionnelles de gauche se fait sentir. En temps normal de telles prescriptions auraient déjà déclenché en amont une vague protestataire sans aucune mesure par rapport à ce qui s’était passé dans le temps. N’oublions pas qu’Alain Juppé avait dû prendre son chapeau à cause des mouvements de rues qui s’opposaient à sa politique. Je ne pense pas que cela puisse être le cas dans ces prochaines semaines. Comme en 2010 en Allemagne, les Français devront avaler cette potion amère, s’ils veulent avoir un changement. Sans sacrifices de part et d’autre cela ne sera pas possible. Il est évidemment souhaitable que le patronat n’utilise pas ces divisions pour faire renaître l’injustice sociale. Weiterlesen

Une fois n’est pas coutume, je vais écrire ces quelques lignes sur un sport que j’aime beaucoup, le football. Mais pas pour parler d’une équipe ou d’un match bien précis, plutôt pour évoquer la carrière d’arbitre de Bibiana Steinhaus. C’est la première femme à diriger une partie à la Bundesliga, la première ligue allemande. Une ouverture dans le monde assez machiste du foot professionnel masculin. Cette nomination a donné lieu à des articles dans les journaux français qui ont souligné le caractère exceptionnel de cette nomination. Elle marque bien ce que je nommerais la tentative de mettre fin à une discrimination active de la femme. Je trouve sidérant qu’en 2017 il soit encore permis de parler d’exception. Je souhaiterais que Bibiana Steinhaus ne reste pas solitaire parmi ses collègues masculins. D’en parler comme je le fais est le signe que tout reste encore à faire lorsqu’on parle d’égalité entre les sexes en Allemagne, un pays où les femmes sont moins payées pour un travail égal. Ceci dans un pays-phare de l’économie mondiale ! Je ne comprends pas pourquoi il n’y a pas eu de grèves, d’opposition musclée à cette injustice. Que ce thème soit repris dans la campagne électorale du SPD est pour moi une évidence. Mais c’est en même temps honteux que rien n’ait été fait dans ce sens. Il est permis de se poser quelques questions en ce qui concerne cette discrimination flagrante. Est-ce un relent du passé, où pendant le 3ème Reich la femme au foyer était le modèle de société qui était favorisé ? Aussi l’image de la mère aimante, qui devait être constamment à disposition de sa famille, soumise à son mari. C’est un point du programme de l’AfD, le parti d’extrême-droite allemand. Je suis aussi d’avis que le rôle des femmes dans l’éducation des enfants est prédominant, mais il peut être partagé équitablement avec l’homme à ses côtés. Il est pour moi tout à fait normal de procéder ainsi. Lorsque ma fille était petite, je me suis occupé d’elle quotidiennement, car ma femme donnait des cours le soir. Étant bébé je la langeais, lui donnais la bouteille puis la mettais au lit. Aujourd’hui Thérèse à 44 ans et s’en porte pas plus mal. Je veux dire que même des hommes de ma génération ne rechignaient pas de mettre la main à la pâte lorsqu’il le fallait. Weiterlesen

Des milliers de citoyens anglais ont défilé hier dans les rues de Londres. Ils s’opposent au Brexit et voudraient bien que le référendum soit remis en question. Du point de vue de la démocratie, cela me semble être difficile, car cela remettrait en question une décision prise par le peuple dans son ensemble. Même si le oui l’a remporté avec une infime majorité, c’est lui qui compte… Malheureusement dans ce cas bien précis ! Une fois de plus je veux m’atteler au principe du scrutin populaire. Je trouve le principe même du référendum absolument positif, mais à condition qu’il tienne compte de certaines règles. Il implique de la part des électeurs une grande perspicacité. Pour prendre la bonne décision, il doit de surcroît être très bien informé, ce qui implique une certaine pratique, comme celle appliquée depuis très longtemps en Suisse. Il est évident que le pragmatisme devrait être son moteur, ce qui n’a pas été le cas en grande-Bretagne avec le Brexit. David Cameron a fait l’erreur historique de croire que des personnes exaspérées par l’immigration sauvage soient en mesure de juger les tenants et aboutissements d’une telle décision. C’est la grogne qui a triomphé. Probablement un réflexe compréhensible, mais très dangereux comme on le voit. Sur un coup de tête, tout l’avenir d’un pays est remis en question, une décision qui concerne avant tout les prochaines générations. Je comprends parfaitement le désarroi de tous ceux qui voient avec appréhension l’avenir. Il est profondément perturbé ! J’ai déjà souvent évoqué l’erreur politique commise avant tout par les Tories. Pour des raisons électorales ils ont joué à la roulette russe. Je qualifierais leur démarche comme étant antipatriotique. Ils ont fait passer des raisons partisanes avant l’intérêt de la nation toute entière. J’y vois le talon d’Achille de la démocratie. Il est effectivement très difficile de dissocier ces deux notions, si les responsables y voient le moyen d’asseoir leur pouvoir. Et c’est de cela qu’il a été question. Weiterlesen

Die WELT fragt: „War das Zeus, der vom Himmel gestiegen ist? Oder der Wiedergänger André Malraux’, des französischen Schriftstellers und Kulturministers, der anlässlich der Einweihung der Beleuchtung der Akropolis 1959 die Ehre hatte, eine große Rede zu halten?“.

Sicher ist eines: Frankreichs Präsident Emmanuel Macron hat es nicht mit den kleinen Gesten.

Bei seinem Besuch in Athen hat er zu einer Neugründung Europas aufgerufen. Dazu müsse die EU „demokratischer und souveräner“ werden, sagte Macron bei einer Rede vor der Akropolis.

Andernfalls werde der Staatenverbund auseinanderbrechen, warnte er. Der Prozess dazu müsse bald eingeleitet werden: Sechs Monate lang sollten die europäischen Völker über die Zukunft Europas beraten und reden.

Danach müsse offen politisch entschieden werden. Der Neugründungsprozess solle nach Macrons Ansicht in Athen, der Wiege der Demokratie, beginnen. Das klingt zunächst gut, mutig – und hat einen historischen Anknüpfungspunkt. Es ist Macron gelungen, sich bei seiner Rede vor der Akropolis wirksam in Szene zu setzen.

Nicht hinter verschlossenen Türen! Der Prozess dazu müsse bald eingeleitet werden: Sechs Monate lang sollten die europäischen Völker über die Zukunft Europas beraten und reden, sagte er. Danach müsse offen politisch entschieden werden, „nicht hinter verschlossenen Türen“. Der Neugründungsprozess sollte in Athen, der Wiege der Demokratie, beginnen, fügte er hinzu.

An die Jugend Europas gewandt sagte er: „Die Eule von Athen schaut leicht nach hinten. Tun Sie es nicht – schauen Sie nach vorne.“

Bürokraten und Technokraten hätten den Sinn Europas verdreht. Jungen Griechen wurde vor wenigen Jahren versprochen, die Sparmaßnahmen würden bald ihr Leben verbessern. „Was erleben sie heute? Arbeitslosigkeit und Perspektivlosigkeit“, sagte Macron. Ein solches Europa wolle niemand haben.

Der Nationalökonom und Finanzwissenschaftler Hans Werner Sinn hingegen erklärte Anfang letzten Monats, Macron lege es auf ein Europa der zwei Geschwindigkeiten an. Dies teile den Kontinent quer durch Mitteleuropa und mache Deutschland zum „Anhängsel und Zahlmeister einer neuen lateinischen Münzunion“, so Sinn.

So wolle Emmanuel Macron seinem Land Entbehrungen ersparen, wobei er den Schulterschluss mit Deutschland suche, so der Ökonom weiter. Das sei offenbar einfacher, als die darniederliegende Industrie aus eigener Anstrengung wieder fit zu machen.

Macron wolle außerdem für die Zukunft ein eigenes Parlament für die Euro-Zone mit eigenem Budget und mit einer eigenen Steuerhoheit – und der Möglichkeit, in gemeinsamer Verantwortung Schulden zu machen. Hinzu komme eine gemeinsame Einlagenversicherung für die Banken und eine Europäische Arbeitslosenversicherung, um damit „einen direkten Geldfluss vom Norden in den Süden zu organisieren“.

Nach Meinung des Kanzlerkandidaten Martin Schulz hat Macron „gute und sehr konkrete Vorschläge“ für die Reform der Europäischen Union unterbreitet, die „zum Teil auf Überlegungen aus dem EU-Parlament“ beruhten.

Für Macrons Idee eines eigenen Budgets für die Eurozone sei Schulz bereits als Präsident des Europäischen Parlaments eingetreten, hob der SPD-Politiker hervor. Damals habe Kanzlerin Merkel das „brüsk abgelehnt“. Nach der Wahl Macrons sei es „schön, dass bei ihr jetzt zumindest eine Bereitschaft zum Nachdenken festzustellen ist“.

Macron wollte diese Rede allen Sicherheitsbedenken zum Trotz auf dem Hügel der Pnyx halten, dort wo die Griechen den Staat und die Demokratie erfunden haben. Er wollte sie mit Beginn der Dämmerung halten, wenn die Hügel rings um Athen in ein rosafarbenes Licht getaucht sind, wenn die Zikaden noch zirpen, während jener blauen Stunde also, da alles möglich scheint, sogar die Neuerfindung einer so alten und inzwischen vielfach verratenen Idee wie Europa.

Viel Symbolik und Mystik, modern ausgedrückt: Show! Was bleibt sind Fragen: Wie will man das praktisch umsetzen? Wer soll das bezahlen? Wir als Zahlmeister? Drückt Macron sich nicht vor Reformen in Frankreich? Wenn diese beantwortet sind, reformieren wir „die alte Dame“ Europa!

Comme un enfant, qui pour se donner du courage, Emmanuel Macron répète constamment qu’il ne cédera pas, que les réformes entamées seront menées à terme. Il n’est effectivement pas facile d’effectuer de telles démarches dans un pays réfractaire au moindre changement. C’est ce que j’ai essayé d’expliquer à des membres du SPD, lors d’une conférence que j’ai tenue hier soir à Berlin. Il est vrai que de très gros efforts seront demandés aux Français ces prochains temps, en particulier en ce qui concerne le code du travail. Le président sait parfaitement qu’il ne doit en aucun cas céder, car il se mettrait en marge, perdrait sa crédibilité. Personne n’aime perdre des points en ce qui concerne sa popularité, Emmanuel Macron non plus. C’est la raison pour laquelle il dit à ses détracteurs que c’est le peuple qui l’a élu en tenant compte du programme politique qu’il avait défini. Sur le papier cela peut s’avérer comme exact, mais dans la réalité c’est autre chose. Le citoyens ont pris l’habitude que les politiciens leurs promettent monts-et-merveilles pendant leur campagne électorale, puis en fin de compte ignorent en partie ce qu’ils ont déclaré. Le président veut dans ce domaine faire bande à part et essayer d’imposer son programme. Je trouve cela positif, même si je n’approuve pas tout. Il est bon que la France ait un chef d’État qui ne cède pas. Mais il y a aussi un revers à cette qualité, c’est le manque de souplesse. Pour pouvoir bien gouverner, les responsables sont obligés d’adapter constamment leurs points-de-vue à la situation quotidienne. Weiterlesen