Nicolá Maduro, le dictateur en herbe du Venezuela, suit l’exemple de ses collègues en essayant de s’emparer démocratiquement du pouvoir pour y installer l’arbitraire. Il suffit de faire élire une assemblée constituante et lui donner le pouvoir de paralyser toutes les instances politiques qui pourraient s’opposer au chef. L’opposition ayant refusé de prendre part à cette mascarade, seuls les fidèles du « messie » y sont représentés. La police et la justice, inféodées au pouvoir, mènent des actions de répression. La résistance s’organise un peu partout dans le pays, parmi eux aussi d’anciens partisans de Hugo Chavez, décédé en 2013. Ce régime n’a rien de socialiste malgré ce que prétend Jean-Luc Mélenchon. La gauche ne peut et ne veut pas soutenir un régime qui se braque contre une partie du peuple, c’est ce qui se passe sous l’égide de Monsieur Maduro. La communauté internationale rejette évidement dialectiquement de tels agissements, mais dans la pratique elle reste assez neutre. Après le Vatican, la France et d’autres pays cherchent à trouver une solution valable afin d’éviter que le sang soit versé. Mais ceux-ci ont été plus moins pris de cours en ce qui concerne la Constituante. Il la cautionneront pas. Je prends cet exemple afin d’ouvrir les yeux à tous qui croient que les choses vont de leur train et qu’il ne faut pas s’en mêler. On invoquera le principe de non-ingérence dans les affaires d’un pays tiers. Mais attentions, ces événements nous concernent car ils peuvent faire effet de taches d’huile sous nos latitudes. Nicolás Maduro est en droit de faire plébisciter une assemblée, mais son élection doit suivre une voie démocratique. Weiterlesen
Monat: August 2017
De la chaire à pénis
Il faut l’avoir vu ! J’ai tourné il y a des années des films sur les enfants des rues à Berlin. Des gosses entre 10 et 14 ans qui n’ont pas de domicile fixe, qui sont livrés à eux-mêmes. Ils ne venaient pas, comme il semble être actuellement le cas à Paris, du Maroc ou d’autres pays lointains. C’étaient souvent de jeunes allemands issus d’un milieu bourgeois qui avaient fugué. Et les parents ? Souvent ils ne réagissaient même pas, d’après les dires des cellules chargées de la protection de l’enfance. Il va sans dire que tous ceux que j’avais rencontré prenaient de la drogue, souvent pour masquer leur angoisse. Ce n’était pas par plaisir, par esprit de contradiction. Et pour se payer les stupéfiants, ils se prostituaient. Il y avait alors une clientèle avide de chaire fraîche. Je suis sûr que cela n’a pas changé depuis. Et comble d’ironie, si on peut décrire ainsi l’attitude des autorités, les clients n’avaient rien à craindre, car ils étaient issus de la bonne société. La loi qui aurait dû s’appliquer aussi à eux, les épargnait, car ils jouissaient en haut lieu de protections. Inutile de dire que cela me choquait lorsque des représentants de l’ordre me demandaient de ne pas faire des prises de vue de ces respectables personnes, au nom de la sauvegarde de leur personnalité. Et les enfants ? Ils s’en fichaient, les considérant comme étant du gibier lâché pour une chasse à courre. Comme personne ne s’occupait d’eux, peu importe qu’ils soient violés, torturés ou tués. Je sais qu’il en est toujours ainsi. Et la société? Elle se voile évidemment la face. Pour les mafias ces gosses sont des pépites d’or. Ils sont manipulables à souhait. Et lorsqu’il y a pénurie, on les importe d’un peu partout. Weiterlesen
Le Président
Emmanuel Macron steht für Erneuerungen, er gönnt der französischen Politik keine Sommerpause. Soweit geht er aber dann doch nicht, dass die Franzosen ihre Urlaubsrituale aufgeben müssten. Wie auf Kommando fallen Anfang August die Fabriktore ins Schloss. Büros, Lebensmittelgeschäfte und Kinos machen ebenfalls dicht. Als habe die Nation elf Monate lang auf diesen Moment hingelebt, bricht sie geschlossen in die Ferien auf.
Aber: In diesem Sommer ist etwas anders. Die Stimmung ist umgeschlagen. Im vergangenen Jahr gemahnte der kollektive Aufbruch an eine Massenflucht. Mit Frankreich, ja Europa, schien es bergab zu gehen. Der damalige Staatschef François Hollande galt als Verwalter des Niedergangs. Ermutigt vom Brexit frohlockten die Rechtspopulisten. Aber anstatt Marine Le Pen kam Macron an die Macht – mit dem Versprechen, Frankreich und Europa von Grund auf umzukrempeln.
An Nachweisen der Entschlossenheit hat es der neue Staatschef seitdem nicht fehlen lassen. Man bezeichnet ihn als obersten Start-up-Unternehmer Frankreichs, oder gar als Göttervater Jupiter. Selbst während des kollektiven Kofferpackens hat der Erneuerer noch einmal nachgelegt, mit weiteren innovativen Vorstößen überrascht.
So kündigte er die Einrichtung von Hotspots in Libyen an, die Wirtschaftsflüchtlinge zurückhalten, allein politisch Verfolgte passieren lassen sollen. Es folgte die vorläufige Nationalisierung der unter der Präsidentschaft Hollandes dem italienischen Konzern Fincantieri zugesagten Werft STX. Beides
kam an. Er löse das Flüchtlingsproblem in Afrika an Ort und Stelle, lautete die erste Botschaft des Präsidenten, ich sichere auch in Zeiten der Globalisierung französische Arbeitsplätze vor fremdem Zugriff, die zweite. Erstmals seit Jahren fasst die Mehrheit der Franzosen wieder Vertrauen in die Zukunft: 52 Prozent glauben, dass die Globalisierung ihnen Vorteile verheißt.
Nach eigenem Bekunden weder rechter noch linker Doktrin verpflichtet, zählt für den früheren Geschäftsbanker, was unterm Strich herauskommt. Dazu passend unterteilte Macron kürzlich seine Mitmenschen in zwei Kategorien: „Diejenigen, die Erfolg haben, und diejenigen, die nichts haben“. In einem Land wie Frankreich, das in verkrusteten Strukturen gefangen ist, entfalten solche Worte therapeutische Wirkung. Verstörend sind sie allerdings auch, und zwar nicht nur, weil sie jegliches soziales Einfühlungsvermögen vermissen lassen.
Steht Macron nun doch für Wirtschaftsprotektionismus?
Irritierend ist, dass über das pragmatische Vorpreschen des Präsidenten die politische Linie verloren zu gehen droht. Wie passt zusammen, dass Macron, eben noch überzeugter Europäer, die EU wie auch die vom Flüchtlingsandrang besonders betroffene römische Regierung mit der Ankündigung von Hotspots in Libyen überrumpelt?
Ganz zu schweigen davon, dass die Voraussetzungen für solche Erfassungsstellen im Bürgerkriegsland Libyen bisher nicht gegeben sind, wie der Elysée-Palast kurz danach einräumen musste. Und wieso „rettet“ Macron, eben noch ausgewiesener Gegner des Wirtschaftsprotektionismus, eine französische Werft vor dem Zugriff der italienischen Nachbarn? Blendwerk, kohärente Politik ist das nicht!
Der Spruch vom Göttervater Jupiter dürfte bald verstummen. Bevor Macron in der letzten Juliwoche Flüchtlings-Hotspots und Werft-Nationalisierung ankündigte, war er in Beliebtheitsumfragen erstmals steil abgestürzt. Ein Minus von zehn Prozent hatten Meinungsforscher ihm attestiert. Vor allem die geplante Flexibilisierung des Arbeitsmarkts dürfte den Rückhalt weiter schmälern.
Die Reform erhöht die Einstellungschancen der Erwerbslosen, verringert zugleich aber auch den Kündigungsschutz der Beschäftigten. Nach skandinavischem Vorbild will der Staat Entlassene fortbilden, damit sie schneller einen neuen Job finden und während der Suche finanziell besser abgesichert sind. Aber das kostet Geld. Und energisch sparen, das will Macron auch.
Dem Präsidenten ist zuzutrauen, dass er letztlich beides durchzieht, Arbeitsmarktreform und Haushaltssanierung.
Macron wird die Neufassung des Arbeitsrechtes per Verordnung durchbringen. Das Parlament muss vor dem Ende September geplanten Inkrafttreten der Reform zwar zustimmen, hat aber keinen Einfluss auf die Details. Deren Leitplanken hat die Nationalversammlung in einem Rahmengesetz Mitte des Monats bereits festgelegt, am vergangenen Donnerstag erhob der Senat eigene Forderung für die Rahmengesetzgebung. Die Nationalversammlung hat im Zweifel das letzte Wort – sie stimmte am Dienstag mit breiter Mehrheit dafür, dass die Regierung die Reform mittels Verordnungen umsetzen darf. Macrons Partei „La République en Marche“ verfügt in der Kammer über eine absolute Mehrheit.
Er weiß, dass Frankreich nur eingebettet in eine schlagkräftigere EU im internationalen Kräftemessen Gewicht auf die Waage bringt. Und ihm ist bekannt, dass er die EU nur dann nach seinen Vorstellungen stärken kann, wenn er die Partner, hauptsächlich Deutschland, mit Strukturreformen überzeugt und mit Einhaltung der Defizitgrenzen Glaubwürdigkeit zurückgewinnt.
Hoffen wir, dass Macron am Ende seiner fünfjährigen Amtszeit zu denen zählen wird, die Erfolg haben, nicht zu denen, die nichts haben.
Toutes proportions perdues !
Neymar ne doit plus dormir de la nuit. Traîner sur chaque guibolles 111 millions d’euros, soit 222 millions pour un transfert probable au PSG, est une sacrée responsabilité. On n’a pas droit à l’erreur, pas de folles nuits passées dans des boîtes branchées, pas des descentes à ski sur les pentes de Chamonix, ne pas se laisser encanailler par des filles de joie. Il est un monument qui vaut son pesant d’or. J’adore le foot, bien moins ce genre de transaction qui ne peut que ravir les brokers, les émirs et les boss d’une mafia quelconque. Je ne vais pas parler de tous ceux qui au Brésil meurent plus ou moins de faim, car ils n’ont pas de boulot. Une telle comparaison, aussi justifiée soit-elle, ne tient pas forcément le cap, car la démesure des sommes versées pour un joueur, bouscule tout aspect moral. Ce qui se passe ici est comme la bulle qui menace d’éclater à Wall Street ou ailleurs. Celle des sociétés bidons qui ne produisent que du vent. Rien de vraiment palpable. Ce qui est inquiétant est le déséquilibre dans lequel s’aventure notre société. Monsieur Neymar est forcé d’être en bonne santé, de n’avoir jamais un accident, d’être un surhomme grassement payé. Il devrait toucher 40 millions par an de salaire, sans compter ses innombrables cachets. Le paradoxe dans tout cela, c’est qu’il est probablement l’idole des plus démunis. On ne lui tiendra pas rigueur d’être passé d’un excellent joueur à un veau d’or, adulé de tous ceux qui aimeraient ramasser les miettes d’un tel deal. Nous sommes dans l’empire des spéculateurs, de tous ceux qui n’ont aucun scrupule à se remplir les poches au détriment de ceux qui cherchent à être intègres. Pour moi Neymar décrit bien l’état des lieux dans lequel nous nous trouvons actuellement, celui du poker-menteur. Que compte vraiment le travail ? Pas bien lourd ! Weiterlesen
Die Architektur der Kultur
Wir beklagen heute den Werte- und Kulturverfall in Deutschland. Denkt man an Pegida, kommt von der politischen Linken nicht ganz unberechtigt die Frage, was denn deutsche Kultur sei. Manche gehen soweit zu sagen, wir hätten keine Kultur, die es gegenüber dem Islam zu wahren gelte.
Spiegelt sich in der Architektur der Zustand einer Kultur und damit einer Gesellschaft? Gehen wir in die 1920er Jahre: Die Architektur des Bauhaus und Ähnlichem nannte man „dekonstruktivistisch“ und „traditionsfeindlich“. Fakt ist aber, das diese Epoche bis heute die Architektur im Westen bestimmt und Le Corbusier, Gropius und andere sozialistische Architekten bis heute von der Architekturwelt rezitiert werden. In Fachkreisen sagt man, es sei eine schlechte Architektur gewesen, ja „Müllarchitektur“. Diese Neudenker der Gesellschaft, die ganz im sozialistischen Geist eine traditionsfeindliche Dekonstruktion der Kultur vornahmen und bis heute betreiben – exotisch sind diese Geister, ihre Schöpfungen passen buchstäblich „nicht ins Bild“. Aber richteten sie deswegen in unseren Städten Schaden an?! Architektur ist eine Form von Kunst, damit Kultur und Spiegelbild einer Gesellschaft. Sie muss nicht zyklisch sein, d.h. nur die geistige Entwicklung einer Bevölkerung spiegeln, nein, sie kann sie auch anprangern, kritisieren. Früher nannte man dies „entartete Kunst“. Heute nennt man es „Antikunst“. Oft wird gesagt, diese stelle eine Form des linken Kulturkampfes dar, erpicht darauf, die westliche Zivilisation physisch zu vernichten. Ob diese Praktiken linker Denke entspringen, sei dahingestellt. Kritik ist immer vielfältig, kommt – auch – von links. Was die „Vernichtung der westlichen Zivilisation“ angeht, so geht es in einer modernen Gesellschaft wohl auch weniger martialisch. Es ist nicht die Kritik als solche; eine Gesellschaft kann aus Kritik lernen. Erst wenn sie ihre Kritikfähigkeit verloren hat, ist sie dem Untergang geweiht. Die Frage, die sich stellt, ist: Sind wir soweit? Ich sage: noch nicht!
Schlimm ist jedoch die Auffassung (selbst bei angeblichen Kunstexperten), moderne Kunst folge dem Geist der Dekonstruktion, fülle ganze Museen mit geistlosem Müll. Kunst als ideologisches Protestmittel, sozusagen Tyrannei des Hässlichen und des Absurden. Folgte man dem, wenn also Kunst eine Schöpfung des menschlichen Geistes ist, dann ist die Kunst rückwirkend Indikator des menschlichen Geisteszustands. Vergleicht man dabei klassische Kunst mit moderner Kunst, wäre wohl heute ein Psychologe zu Rate zu ziehen. Die heutige Kunst wäre somit von Stumpfsinn, sowie Geist- und Seelenlosigkeit, bestimmt.
Die gesamte Popkultur diente damit ausschließlich der Zurschaustellung der schlimmsten menschlichen Eigenschaften wie Narzissmus, Hedonismus, Materialismus oder Sexismus.
Kann das sein? Gehen wir hundert Jahre zurück in den Dadaismus, die Jahre 1916/17. Letztes Jahr feierten wir das hundertste Jubiläum. Welche Epoche! Hat jemand schon einmal genau hingeschaut: Was sollte der „Müll“ aus Kollagen, Abbildungen von Schrott und hirnlosen Kombinationen?! Ist diese Epoche jetzt plötzlich gut, weil sie in die Jahre gekommen ist? Nein, Dada bildete damals den geistigen Zustand der u. a. deutschen Bevölkerung, der deutschen Kultur ab, mitten im Ersten Weltkrieg. Künstler prangerten an, sagten: „Passt auf! Sonst läuft es aus dem Ruder!“. Man hat auf die kritische Kunst, das Abbild des Geistes der Bevölkerung, nicht gehört, die Intellektuellen gegen die Wand laufen lassen. Wohin es führte, wissen wir. Und gewisse Anklänge finden sich heute in der Politik – Augenmerk nach Polen oder Ungarn, aber auch zu Gruppierungen wie Pegida – wieder.
Kunst – zu der auch Architektur gehört – ist wichtig, um uns unsere Fehler und Gedankenlosigkeiten vor Augen zu führen. Das wird von offizieller Seite – oder auch dem „Mainstream“ – nicht gerne gesehen. Man verbreitet Angstvisionen, wie die vom „Kulturmarxismus“, der seit den 1960er Jahren mit seiner „Kritischen Theorie“ einen breiten Krieg gegen die westliche Kultur und alle ihre Traditionen, Werte, Ideale und Tugenden führt und alles bis hier Genannte aufgreift und radikalisiert. Genau betrachtet fällt einem nur eines dazu ein: Zum Regieren gehört auch das Verbreiten von Angst, und die Angst muss auf die Straße.
Was bedeutet das alles nun für unsere Städte? Der nachrückenden Generation junger Architekten bleibt heute vielfach die Aufarbeitung. Aufstockung und Ausbau, Erweiterung und Umbau, Umgestaltung und Umnutzung, Ergänzung und Revitalisierung lauten die Aufgaben, die aus so mancher voreiligen Gedankenlosigkeit auftragsverwöhnter älterer Jahrgänge resultieren – wenn noch etwas zu retten ist. Hoffnungsloser denn je scheint die Lage der Architektur in den Gewerbe- und Industriegebieten, den „Wegwerflandschaften“ unserer Stadtkultur. Hier von einem Reparaturfall zu sprechen, käme angesichts der flächendeckenden Verbrüderung von Umsatzkultur und Kulturverfall niemandem in den Sinn.
Vielleicht sollten wir gerade bei der Sucht nach Kommerz als einer der Ursachen für geistigen Verfall ansetzen.
Le travail par ordonnance ?
Je ne sais pas si l’idée de faire passer la loi du travail est vraiment bonne. Je comprends parfaitement Emmanuel Macron lorsqu’il dit qu’il y a urgence de faire des réformes afin de donner un coup de collier à l’économie. Mais c’est un domaine si complexe qu’à la moindre erreur il y a effet de domino. Il ne suffit pas de prendre certaines mesures, à première vue nécessaire, sans prendre compte des conséquences que cela peut déclencher. Une chose est certaine, pour que cela réussisse il faut avoir un consensus entre les patrons et les travailleurs. Il faut créer un climat de travail qui permette vraiment de faire des progrès. C’est l’aspect psychologique qui est le plus important dans toutes ces négociations. Je mets en garde le gouvernement de partir trop vite en besogne. Il serait même raisonnable de faire des tests avant de généraliser tout. C’est une expérience que j’ai faite pendant les cinq années où j’étais un des représentants syndicaux au sein de notre compagnie. La théorie est une chose, la pratique en est une autre. Pour trouver des solutions valables, il faut prendre en compte deux points essentiels. D’une part la situation du salarié et du patron par rapport aux modifications apportées, de l’autre l’aspect économique et politique en général. Tenir compte de ces deux données et essayés de les mettre en symbiose, est un exercice des plus périlleux et d’une complexité absolue. Le bien-être individuel n’est pas forcément celui de toute une nation. Instinctivement je réagirais comme le président d’une manière forte et décisive, de l’autre je sais pas expérience que toute évolution ne peut être obtenue qu’à des doses thérapeutiques. Comme patient au soins intensifs, toutes mesures doivent être constamment contrôlée. Ce n’est pas par des électro-choc qu’on améliora les chances de guérison, au contraire. Weiterlesen
America Last?
America First! Abschottung und offener Nationalismus – um die internationalen Angelegenheiten der USA ist es aus Sicht ihrer Partner nicht gut bestellt.
Rückzug aus dem Klimaabkommen von Paris, Abwertung internationaler Institutionen, Abschied vom transpazifischen Handelsabkommen TPP. Letzteres hat Chinas Rolle in Asien enorm aufwertet. Goodbye, United Staates?
Man wird sehen. Noch steht Präsident Trumps Patzern das enorme Gewicht der letzten Supermacht der Welt gegenüber. Politisch, militärisch, wirtschaftlich, kulturell. Ebenso wie Jahrzehnte der Diplomatie, weltweiter Einfluss und strategische Partnerschaften.
Aber, was auf Trumps Betreiben geschieht, hat mit Realitätssinn nichts mehr zu tun (New York Times). Es ist die radikale Abkehr von der kooperativen Vision, die Amerika und seine Alliierten seit dem Zweiten Weltkrieg angetrieben hat.
Trump will die Macht Amerikas nicht beenden, aber von Tag eins seiner Regierungszeit an redete er immer wieder dem Rückzug der USA das Wort. Abhängigkeiten beschnitten die Souveränität.
Aus Angelegenheiten anderer Staaten will er die USA heraushalten, so gut es geht. Es sei denn, es sei zum eigenen Nutzen.
Vor diesem Hintergrund muss die Frage gestellt werden: „Kann die liberale Ordnung überleben?“ (Foreign Affairs). Die Antwort fällt nach Trumps Warschauer Rede gemischt aus, stellte Trump sich doch hinter die NATO und führte sich als Bewahrer der westlichen Zivilisation auf.
Aber wie immer folgte auch seinem Jerusalemer „Frieden-für-Nahost-Auftritt“ zunächst nichts.
In Washington verweisen Think Tanks wie die Carnegie Stiftung oder Brookings darauf, dass die USA über Jahrzehnte Institutionen, Regeln und Normen aufgebaut haben, die anderen Ländern Vorbild waren, ihre Differenzen nichtkriegerisch auszuräumen: mit Abkommen, Institutionen oder dem Einstehen für Menschenrechte und Demokratie.
Nicht wenige Kritiker warnen nun davor, dass dies, womit Amerika seine Ära geprägt habe, nun von Trumps Arroganz, seinem geschichtlichem Desinteresse und politischen Unvermögen im Kern bedroht sei.
Das New York Magazine hat gar schon das post-amerikanisches Zeitalter eingeläutet. Länder, die man üblicherweise als Junior-Partner ansehe, schickten sich an, das hinterlassene Vakuum zu füllen.
Dass China, Europa oder Russland die zentrale Stellung der USA bedrohen, ist unwahrscheinlich. „Amerika hat gewiss viele Probleme. Aber es wird wahrscheinlich schon wegen seiner Verwobenheit und seiner zahllosen Allianzen über Jahrzehnte mächtiger bleiben als jeder einzelne andere Staat“ (Joseph Nye, Diplomat).
Aber Krisenmanagement per Twitter sei vollkommen unangemessen, urteilen unter anderen einige Think Tanks. Sehen wir uns Nordkorea, Russland, Nahost, Iran, Syrien und die Lage im südchinesischen Meer an: Die Vereinigten Staaten sind unter ihrer chaotischen, unbeständigen Regierung überfällig für eine ernsthafte Krise – und alles andere, als darauf vorbereitet.
Den Begriff „amerikanisches Jahrhundert“ hat der TIME-Verleger Henry Luce geprägt.
Er wollte die US-Regierung damals vom Eintritt in den Zweiten Weltkrieg überzeugen, statt Isolationismus solle sie moralischen Einfluss geltend machen.
In der Folge stand der Begriff für eine von den USA geprägte Ära.
Luce definierte die „amerikanische Idee“ als Wertschätzung der Freiheit, des Rechts und der Religionen, Chancengleichheit für alle uns als Bekenntnis zur Wahrheit und zur Zusammenarbeit.
All dies sind Ideale, die heute kaum jemand mehr mit Trump verbindet. „Das amerikanische Jahrhundert“ war vielen ein Begriff. Von all dem haben sich die USA unter Trump verabschiedet.
Gleichwohl bleiben die USA eine gigantische Macht, nicht nur politisch und ökonomisch. Gleiches gilt für die Popkultur, sie sind führend in vielen Wissenschaften. Amerikas Schriftsteller haben Weltruf, seine Sportler gehören zur Weltspitze.
Gesellschaftlich ist es aber im Land kälter geworden. International sind die Vereinigten Staaten eine Art „Platzhirsch mit Imagekrise“ (gmx.net).
Déboussolés ?
Le Président a tiré la sonnette d’alarme, il faut que la plupart des ministres et des députés revoient leur copie. Il y a eu trop de pannes et de dilettantisme, que ce soit au gouvernement ou au parlement. On pouvait l’admettre à cause du grand chamboulement politique. Sortir des génies d’un chapeau clac n’est pas du ressort de tout le monde et ceci malgré la meilleure volonté du monde. L’exercice du pouvoir est un exercice périlleux et il serait trop demandé que des néophytes réussissent tout du premier coup. Les adhérents de « En marche la République » dont je fais partie, sont bien placés pour s’en rendre compte. Cela commence avec les structures du parti, qui se doit d’être plus démocratique en ce qui concerne le choix des responsables. Pour qu’il y ait de la réussite dans l’air, il faut mettre en place une machine efficace dont le mode d’emploi doit être clair pour tout le monde. Sans vouloir imposer un carcan, l’homme a besoin d’une certaine marche à suivre. C’est moins dans les idées que dans leur réalisation que le bât blesse actuellement. Cela semble être très visible à l’Assemblée nationale. Il sera certes très ardus de mettre tout le monde au diapason, mais je pense que cela devrait être possible après une période de rodage. Je pense qu’il serait bon que l’Élysée intervienne plus directement dans les affaires du pays, tout au moins jusqu’au moment où le moteur atteint sa vitesse de croisière. La créativité du président, à elle seule, peut redonner un coup de barre. Peut-être sera-t-il trop tôt d’attendre des progrès à la rentrée, mais il faut y travailler. Je veux essayer de m’imaginer ce que je ferais en temps que député. Je pense que tout passe par une étude approfondie des dossiers, tout en gardant un œil critique. Weiterlesen