« Stefan Jagsch, un adhérent du Parti national-démocrate (NPD), ultranationaliste, a été élu jeudi 5 septembre chef du conseil municipal de Waldsiedlung, une commune de 2 500 habitants du district d’Altenstadt, à 30 kilomètres au nord-est de Francfort. », telle la nouvelle que j’ai lue dans le Monde. Il a obtenu le soutien de la CDU et du SPD. Il y a de quoi bondir que le national-socialisme soit considéré en Allemagne de plus en plus comme un phénomène honorable, que le brun caca risque de devenir une couleur à la mode. Lorsqu’on voit que « le Flügel », la frange nazie de l’AfD est arrivé en deuxième position en Saxe et dans le Brandebourg en raflant en moyenne un quart des voix, cela me laisse pantois. Des leaders qui ont des bien des sympathies pour le mouvement identitaire proche des idées d’Adolf Hitler. L’exemple de la commune d’Altenstadt en Hesse démontre que l’extrême-droite a une bonne assise à la base. Qu’elle est de plus en plus ancrée dans les esprits. Je pourrais ruer dans les brancards, mais ne le fais pas, car cela ne sert à rien. Après m’être préoccupé en cette fin de semaine au sujet de la montée en puissance des activistes nazis au sein de l’AfD, je me pose la question de savoir à quoi imputer cette recrudescence ? Il est toujours question des migrants, mais je ne pense pas que cela soit forcément en premier lieu l’élément perturbateur, d’autant plus que dans les régions « brun caca » il y a relativement peu « d’intrus basanés ! Cela repose plutôt sur la peur de l’avenir et de vouloir par commodité confier son destin à des personnages du type alpha. Weiterlesen

Dans ce cas bien précis, il ne s’agit pas du coq gaulois qui a gardé toutes ses plumes, mais bien de Boris Johnson qui a galvaudé dans un temps record tous ses acquis. Après avoir mis à la porte les rebelles de son parti, 21 députés ayant fait la gloire des Tories, c’est maintenant Amber Rudd, la ministre chargée du travail et des retraites, qui a jeté l’éponge. Elle qui a été en 2016 contre le Brexit, avait tenu bon malgré les différents qu’elle avait avec ses collègues durs et purs, car elle croyait encore à la liberté de pensée. « Je ne peux pas rester alors que des bons, loyaux conservateurs modérés sont exclus ». Elle déplore que la démocratie ne soit pas respectée, que le fait de dire haut et fort qu’on n’est pas d’accord puisse avoir de telles conséquences. Boris Johnson est en train de se mettre à dos tous ceux qui ne le suivent pas. Ce serait près de la moité des Britanniques. « J’avais rejoint votre gouvernement en toute bonne foi: accepter le No Deal devait être sur la table, car c’était le moyen par lequel nous aurions les meilleures chances de parvenir à un nouvel accord pour sortir [de l’UE] le 31 octobre. Cependant, je ne crois plus que partir avec un accord soit l’objectif principal du gouvernement. » Weiterlesen

Et oui, il fallait y penser. Pour régler le problème des retraites, il faut au plus vite inventer le quatrième âge ! Cela consiste à aller dare-dare se reposer dans la boîte. Boulot-dodo et sans transition le repos éternel. Plus de retraités heureux, comme les porcs paissant sur des prairies au lieu d’engraisser dans des porcheries, avant de passer à l’abattoir ! Pourquoi perdre son temps à se regarder dans le miroir, à repérer toutes les nouvelles rides. « Tu commences à ressembler à un singe ! » Puis le passage obligatoire sur la balance, ce qui est une plaie. Dans ce cas-là de quoi attraper le torticolis, à vouloir jeter un regard sur son zizi rabougri. Ce sacré ventre est un obstacle de taille ! Je pourrais continuer à déblatérer ainsi sur les avantages qu’apportent la retraite. Toute une vie passée à trimer pour se trouver après affublé de tous les bobos et souvent en sus, des problèmes d’argent. J’ai toujours cru que je pourrais faire le grand saut, sans passer par le purgatoire qu’est le 3ème âge. Mais il n’en a pas été ainsi. J’ai été mis en veilleuse, sans que je le veuille. Pas de doute je suis une charge pour la société. Lorsque la politique doit redéfinir ce que devrait être la retraite, elle ne peut que jouer à la baisse. Elle coûte les yeux de la tête et il n’est pas à prévoir que cela changera. Les moyens nécessaires pour passer la fin de sa vie décemment, se rétrécissent comme une peau de chagrin. Weiterlesen

In Russland sind am Wochenende Lokalwahlen – doch diese sind nicht frei.

Das politische System kommt in die Jahre. Manche denken bei diesem Satz heute an die Demokratie. Aber viel besser passt er eigentlich auf Autokratien. Die Proteste gegen das Regime in Hongkong, die Rebellion der Istanbuler Wählerinnen und Wähler gegen den starken Mann in Ankara, der Volksaufstand gegen den venezolanischen Linksdiktator sprechen für sich. Jetzt am Wochenende lässt ein weiterer autoritärer Herrscher wählen: Wladimir Putin.

Die Russen bestimmen ihre Kommunalparlamente.

Bereits Mitte August hatten Zehntausende Menschen an einer Demonstration in der russischen Hauptstadt für demokratische Wahlen und gegen Polizeigewalt teilgenommen. Einmal mehr kam es zu massenhaften Festnahmen. „Annullieren Sie die Pseudowahlen, die für den 8. September angesetzt sind. Setzen Sie eine neue Abstimmung Ende des Herbstes an und garantieren Sie die Teilnahme der Opposition“, schrieb der Kremlkritiker Ilja Jaschin in dem bei Twitter veröffentlichten Brief aus seiner Arrestzelle (n-tv.de).

„Jeden Tag ein neuer Kinderspielplatz“ und „Jeden Tag 1200 Meter neue Wege“ – die Kremlpartei Geeintes Russland verspricht einiges vor der Wahl des neuen Parlaments der Krim. Am 8. September wird auch auf der Schwarzmeer-Halbinsel wie in anderen Regionen Russlands gewählt – ein Stimmungstest für Kremlchef Wladimir Putin.

In zwei Jahrzehnten an der Macht hat Wladimir Putin sein System auf Geheimdienst und Günstlinge zugeschnitten. Die eigene Bevölkerung erscheint als diffuse Bedrohung – jedoch: eine einheitliche Protestbewegung bleibt aus.

Wladimir Putin spricht eigentlich viel lieber über die Probleme anderer als über die daheim. Beim Treffen mit Emmanuel Macron auf dessen französischer Sommerresidenz letzten Monat ging der Kremlchef zum ersten Mal persönlich auf die Proteste in Moskau ein. Wer sich dabei nicht ans Gesetz halte, der würde zur Verantwortung gezogen, sagte er. Niemand habe das Recht die Situation bis ins Absurde zu treiben. Er wolle keine „Gelbwesten“ in Moskau haben. Die Proteste in Frankreich mussten in russischen Staatsmedien schon früher als Schreckensszenario herhalten (sueddeutsche.de, 20.08.2019).

Der Kreml erklärte stets, er halte die Proteste nicht für eine Krise und die harte Reaktion der Polizei sei gerechtfertigt. Dass die Machthaber in Moskau die Situation aber sehr wohl als Krise betrachten, zeigt das Arsenal an Gegenmaßnahmen, mit denen sie die Menschen von nicht sanktionierten Protesten fernhalten wollen. Sie gehen längst über die absurd hohe Zahl der Sicherheitskräfte hinaus, die sich den Demonstrierenden jeden Samstag gegenüberstellt.

Die Menschen in Moskau wählen am Sonntag ein neues Stadtparlament – Kandidaten der Opposition stehen aber nicht zur Wahl. Deswegen gehen seit zwei Monaten jeden Samstag Demonstranten auf die Straßen der 15-Millionen-Einwohner-Metropole. Sie protestieren gegen die Weigerung der Behörden, kritische Politiker zur Wahl zuzulassen – vergeblich. Nach Angaben der Wahlkommission fehlten den 57 Kandidaten der Opposition entweder die notwendigen Unterschriften, oder ihre Unterlagen hatten Formfehler.

Besonders hart gingen die Sicherheitskräfte bei zwei Demonstrationen vor, am 27. Juli und am 3.August. An beiden Tagen nahmen sie jeweils mehr als tausend Menschen vorübergehend fest (schwaebische.de). Die Behörden erklärten die Kundgebungen zu Massenunruhen. Einige Teilnehmer mussten Geldstrafen zahlen, gegen 20 Menschen wurde ein Strafverfahren eingeleitet.

Der massive Einsatz von Gewalt durch Sicherheitskräfte bei den teilweise verbotenen Kundgebungen für faire Wahlen muss mann als Zeichen zunehmender Nervosität bei Kremlchef Wladimir Putin, der seit 20 Jahren in wechselnden Positionen das Ruder in Russland in der Hand hält, werten. Kommunalwahlen sind eine der wenigen Möglichkeiten in Russland für Putin-Kritiker, sich in der Politik zu engagieren. In der Duma, dem russischen Unterhaus, gibt es faktisch keine Opposition mehr.

Die Zivilgesellschaft im Land hat gelernt, sich zu vernetzen. Immer mehr einst politisch Passive wollen Verantwortung übernehmen, wollen wenigstens im Kleinen zeigen, dass sie etwas bewegen können. Sie wollen den Sprung aus der immer noch stark verankerten sowjetischen Kollektivität in die Individualität wagen. Die Drohkulisse des Staates aber ist intakt. Die politischen Spaziergänge der Unzufriedenen ziehen sich stets am Moskauer Boulevard-Ring entlang. Sie drehen sich buchstäblich im Kreis. Auch im politischen Sinne.

Die anstehenden Wahlen werden wohl wieder – wenn auch in kleinerem Rahmen – zu „Zarenkrönungen“ führen.

Je me regarde dans le miroir et me demande si je suis vraiment supérieur ? Mon faciès n’a rien à voir avec celui d’un gorille, ou bien ? Et lorsque je m’exprime, je n’émets pas de cris. Lorsque Lilian Thuram, l’ex-joueur des bleus déclare que les blancs pensent être supérieur et dans leur comportement raciste, je suis de son avis, même s’il ne faut pas généraliser comme le critique la Licra, qui parle « une dérive du combat antiraciste ».Pour le footballeur, il est dans ces cas-là, « nécessaire d’avoir le courage de dire que les blancs pensent être supérieurs et qu’ils croient l’être . Ne rien faire équivaut à être d’accord avec ceux qui poussent ces cris racistes ». C’est en Italie que dans les stades que le comportement de certains supporteurs est particulièrement vil. Les injures fusent lorsque un joueur de couleur entre sur le terrain, comme Romelu Lukaku de l’Inter Milan dimanche dernier. Si on arrête un match à cause des vindicatives portées contre l’homosexualité, il faudrait faire de même en ce qui concerne l’exclusion raciale. La FIFA, qui prétend être favorable à l’égalité dans tous les domaines, ferait bien d’être moins laxiste à ce sujet. Les clubs, dont les fans en arrivent à de tels affronts, devraient perdre des points et si cela se réitère, être relégués dans une ligue inférieure. Ce n’est qu’en combattant le racisme avec force, que le public pourrait se poser la question du pourquoi de telles réactions. Ce serait une réflexion qui dépasserait de loin le cadre des clubs de foot. « Il faut prendre conscience que le monde du foot n’est pas raciste mais qu’il y a du racisme dans la culture italienne, française, européenne et plus généralement dans la culture blanche, Il est nécessaire d’avoir le courage de dire que les blancs pensent être supérieurs et qu’ils croient l’être. De toutes les manières, ce sont eux qui doivent trouver une solution à leur problème. Les noirs ne traiteront jamais les blancs de cette façon, et pour n’importe quelle raison. L’histoire le dit. » Weiterlesen

Et encore du Johnson à volonté ! C’est vraiment lui qui fait la une ! On ne peut pas l’ignorer ! Il veut jouer à son Churchill, qui en 1940, devant le parlement de Westminster, fit cavalier seul en affirmant que la Grande Bretagne devait s’engager complètement dans la guerre et ceci sans négociations préalables. Que si on a la tête prise dans la gueule d’un tigre, toutes discussions seraient vaines.C’est la démarche que semble vouloir appliquer le premier-ministre, celui de la confrontation directe. Mais il oublie que l’UE n’est pas le 3ème Reich. Les députés lui ont fait subir une défaite l’une après l’autre. Ils veulent repousser la date du divorce au tout début de l’année 2020, refusent l’organisation d’élections au 15 octobre 2019. L’attitude intransigeante de Boris Johnson est payante si on en croit les sondages. Les Tories auraient gagné plus de 8 % des voix. Les Anglais semblent aimer ce genre de joute, où un valeureux chevalier défie seul, toutes les tourmentes. Cela semble satisfaire leur esprit sportif. Peu importe que la raison soit mis en veilleuse, ce qui compte c’est le pugilat. Lorsque j’ai appris qu’il en était ainsi, je me suis mis à comprendre l’attitude de Boris Johnson, celle d’un homme qui a tout à gagner, car une partie de son peuple se fiche complètement de la catastrophe qui pourrait arriver. C’est assez déconcertant. Le pays se trouve ainsi dans le trou. Je suis assez satisfait que Westminster ait mis un frein à la démagogie de ce personnage, ait rappelé aux Britanniques, que leur pays était encore une démocratie, où les députés avaient le dernier mot. Weiterlesen

Das amerikanische Verteidigungsministerium soll 3,6 Milliarden Dollar (3,3 Milliarden Euro) von bestehenden Projekten abgeschöpft haben, um die von Präsident Donald Trump gewünschte Grenzmauer zu Mexiko zu bauen (dpa). Das Pentagon will die Gelder verwenden, die für 127 bereits beschlossene Projekte vorgesehen waren. Damit solle ein Mauerabschnitt von 280 Kilometern Länge finanziert werden (washingtonpost.com).

Führende Demokraten verurteilten das Vorhaben des Pentagons umgehend. Das Abzweigen der Mittel von bereits genehmigten Projekten sei eine „unverantwortlich Entscheidung“, die das Budgetrecht des Parlaments verletze und der nationalen Sicherheit schade (Nancy Pelosi, Sprecherin des Repräsentantenhauses). Der demokratische Senator Chuck Schumer, erklärte gar, die „Kannibalisierung“ bereits geplanter Militärausgaben für den Mauerbau sei ein „Egotrip“ Trumps und ein „Schlag ins Gesicht“ aller Soldaten (morgenpost.de).

Verteidigungsminister Mike Esper genehmigte die Umschichtung der Mittel aus dem Etat des Pentagon für 2019. Der Schritte war nach einer Entscheidung des Supreme Court von Ende Juli möglich geworden. Das Oberste Gericht der Vereinigten Staaten hatte damals die vorhergehende Entscheidung eines Bundesrichters aufgehoben, der Trump die Nutzung von Mitteln aus dem Pentagon für den Bau neuer Absperrungen an der Grenze zu Mexiko untersagt hatte. Trump rief damals im Februar einen Nationalen Notstand an der Grenze aus, um bestehende Mittel umwidmen zu können.

Der Bundesrichter in Kalifornien hatte im Mai eine einstweilige Verfügung erlassen, wonach Trump zunächst keine Mittel für den Mauerbau verwenden durfte, die nicht vom Kongress bewilligt wurden. Ein Berufungsgericht entschied ebenfalls, dass die Regierung nicht auf das Geld zurückgreifen könne, während der Rechtsstreit laufe. Das Oberste Gericht hob die einstweilige Verfügung dagegen nun auf und gab der Verwendung der Mittel statt, während die rechtliche Auseinandersetzung weitergeht.

Die Grenzmauer ist eines von Trumps wichtigsten Wahlkampfversprechen. Der Republikaner argumentiert, dass nur ein solches Bollwerk illegal einreisende Migranten, Drogen, Menschenschmuggler und kriminelle Banden außer Landes halten könne. Er hat versprochen, langfristig auf der Hälfte der rund 3.200 Kilometer langen Grenze zu Mexiko eine Mauer bauen zu lassen. Der Rest der Grenze ist nach seinen Worten durch natürliche Barrieren wie etwa Flüsse geschützt. Trumps Pläne sind hoch umstritten. Mehrere Organisationen und US-Bundesstaaten gehen juristisch dagegen vor (tagesspiegel.de, 27.07.2019).

Betroffen von der aktuellen Maßnahme sind zwei Abschnitte in Arizona und New Mexico, in denen der Baubeginn unmittelbar bevorsteht. Die Trump-Regierung möchte bereits bestehende Absperrungen in drei US-Staaten durch robustere Barrieren ersetzen. Durch die Entscheidung des Supreme Courts kann Trump zusätzlich zu den vom Kongress bewilligten 1,4 Milliarden Dollar nun weitere 3,6 Milliarden für den Bau der Mauer ausgeben.

An Teilen der Grenze gibt es bereits seit längerem befestigte Anlagen, meist in Form einer Stahlbarriere oder eines Zauns. Seit den Neunzigerjahren wurden verstärkt Sperranlagen gebaut, die nach und nach erweitert wurden, insbesondere nach den Anschlägen vom 11. September 2001. Auch der Grenzschutz in Form von Überwachungstechnologie und Personal wurde ausgebaut. 1.130 Kilometer der 3.144 Kilometer langen mexikanischen Grenze enthalten Barrieren verschiedener Art.

Und der Rest? Manche Strecken sind offen, sie wären aber ohnehin kaum lebend zu überqueren: unwirtliche Gebirgsabschnitte, extreme Wüstenregionen. Zäune oder Mauern wären dort weder effektiv, noch ließen sie sich überhaupt errichten und wären teuer. An anderen Stellen der Grenze gibt es Patrouillen und technische Überwachungsmaßnahmen. Die Zahl der Grenzschutzkräfte lag in den vergangenen Jahren bei rund 20.000 (zeit.de, 10.01.2019), zuletzt befanden sich mehr als drei Viertel davon an der südlichen Grenze.

Die Panik, die Präsident Donald Trump verbreitet, erscheint rückblickend kaum gerechtfertigt. Anfang 2018 stiegen die Zahlen der illegalen Grenzübertritte, sie blieben aber immer noch niedriger als vor zehn Jahren. Lediglich den Vergleich zu 2017 heranzuziehen, um von einer außergewöhnlichen Krise an der Grenze zu sprechen, ergibt wenig Sinn. Ein kurzfristiger Anstieg der Festnahmen seit Trumps Amtsantritt dürfte eher der Null-Toleranz-Politik seiner Regierung zuzuschreiben sein.

Die Regierung von Donald Trump hat immer wieder behauptet, „Tausende Terroristen“ beziehungsweise potenzielle Terroristen würden versuchen, über die mexikanische Grenze in die USA zu gelangen. Eine offizielle Statistik gibt es dazu nicht – und auch sonst wenig Anlass, dieser Darstellung zu folgen.

Boris Johnson a subi hier un cuisant-échec à la chambre des communes. Le parlement débattra au sujet d’une motion consistant à retarder la sortie de la Grande Bretagne de l’UE afin d’arriver à un deal. Les députés craignent avec raison qu’une sortie sans accord de l’Union puisse mener le pays à la ruine. Cette initiative sera mise aux voix aujourd’hui. Si elle était acceptée, Boris Johnson n’aurait plus qu’une alternative pour entamer une contre-offensive, celle d’organiser des élections le 14 octobre, soit trois jours avant le sommet de l’UE du 17 et 18 octobre, où devrait-être encore une fois discuté le Brexit. Mais pour les faire passer il lui faut plus des deux tiers des voix. Bien des députés craignent qu’il veuille ensuite repousser le scrutin après le 31 octobre, mettant ainsi le pays devant un fait accompli, celui d’un Brexit dur. Comme on le voit la confiance règne ! Les représentants écossais sont allés en justice, afin de rendre caduque la mise au repos du parlement, comme en a décidé le premier ministre. La superbe de Boris Johnson en a pris un sacré coup, d’autant que son groupe parlementaire est en train de vaciller. Des membres influents, dont Nicholas Soames, le petit-fils de Winston Churchill, ou l’ex-ministre des Finances Philip Hammond ont voté contre lui et ont été expulsés séance-tenante du parti. 21 Tories rebelles. Cela aurait dû faire réfléchir Johnson, mais rien ne semble vouloir le faire fléchir. Ceci en plus du départ pendant son discours du député Phlipp Lee, qui a rejoint les rangs du parti libéral-démocrate, pro-européen. Cet affront pour le premier-ministre a probablement sonné le glas d’une manière prématurée de son règne à la tête du pays. Weiterlesen